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Thyssenkrupp préfère probablement vendre ses navires à la Pologne plutôt que de recevoir simplement une commission de licence de la part des Fincantieri. :)

Selon des publications dans la presse polonaise, la proposition italienne est bloquée par les Allemands.

Une indépendance totale dans la gestion de l’avion serait la meilleure solution. Néanmoins, les coûts sont importants. Le gouvernement voudra probablement négocier plusieurs choses avec Airbus en même temps. L'option la plus attractive pour Airbus pourrait être de persuader la compagnie aérienne polonaise LOT d'abandonner les avions Boeing et Embraer au profit de modèles européens. Airbus propose actuellement a PLL LOT A220 dans la catégorie des avions de transport de passagers de taille moyenne, en concurrence avec Embraer. D'autant plus que le groupe Airbus possède l'usine aéronautique PZL Warszawa Okęcie, où sont actuellement produits les satellites et les composants des avions C-295 et A400 Atlas, ainsi que les réparations et l'entretien des avions de transport C-295 de l'armée polonaise. Des composants pour les avions commerciaux A320 et A330 y sont également fabriqués. Il sera donc facile de proposer des avantages économiques ou une plus grande portée de maintenance pour les futurs avions militaires ou commerciaux. Ici, l'ancien inspecteur de l'armée de l'air, le général Tomasz Drewniak, parle de la nécessité d'un avion MRTT: https://xyz.pl/mrtt-czyli-koniecznosc-polska-potrzebuje-samolotow-do-tankowania-w-powietrzu/

Paradoxalement, la Pologne a été l’un des initiateurs du programme MMF. En 2014, les Pays-Bas, la Pologne et la Norvège ont entamé des négociations avec Airbus concernant l’acquisition conjointe et l’exploitation collective de l’avion Airbus A330 MRTT. La contribution financière polonaise devait être de 22 %. Les coûts estimés du programme à l'époque s'élevaient à 265 millions d'euros. Les équipages devaient provenir des trois pays participants et l'unité devait avoir sa base principale à Eindhoven, aux Pays-Bas. Pendant ce temps, la 33e base d'aviation de transport polonaise à Powidz devait abriter une base avancée pour les activités opérationnelles. Cependant, trois jours avant le sommet de l'OTAN à Varsovie en 2016, où l'accord devait être signé, le ministre de la Défense de l'époque, A. Macierewicz (le responsable de contrat rompu d'hélicoptères Caracal), a quitté le programme. Ainsi, une décennie plus tard, l’armée de l’air a toujours besoin de MRTT, mais il n’est pas clair si les avions seront achetés, loués ou exploités dans le cadre du MFF.

Comment a été calculée la réserve de 10 000 pour les forces terrestres? À partir de 2022, on peut effectuer service militaire volontaire en Pologne. Un mois de formation générale, puis de 11 mois dans une unité militaire. Au bout d'un an, une personne quittant l'armée a le statut de réserviste. Cela fait maintenant 30 000 personnes capables a mobiliser. De plus, le service militaire territorial est pratiquement de l'infanterie légère. La formation d’un opérateur d’armes d’équipe, d’un médecin ou d’un opérateur radio est la même. Après la fin du contrat, ils sont également réservistes. Le salaire de départ d'un soldat est de 6 000 PLN (1 500 EUR). Il vit dans la caserne, ce qui signifie que le logement et la nourriture sont gratuits. Pour chaque journée de service à la frontière (en raison de la crise migratoire) ou sur le terrain d'entraînement 180 PLN (45 EUR) supplémentaires. Le salaire médian en Pologne est de 6 641 PLN brut. Autrement dit, la moitié des Polonais qui travaillent gagnent moins que ce montant et 10 % gagnent moins de 4 300 PLN.

Actuellement, 206 000 militaires servent dans l’armée polonaise. Le nombre de militaires professionnels c’est 144 000. Le reste sont d'autres formes de service (chiffres approximatifs, aucune information exacte dans l'annonce) plus de 5 mille soldats du service militaire volontaire pendant leur formation (étudiants des universités militaires) près de 20 mille les soldats du service militaire volontaire plus de 35 mille militaires du service militaire territorial https://portalobronny.se.pl/polityka-obronna/gen-kukula-priorytety-na-2025-r-to-poprawa-gotowosci-bojowej-i-wdrazanie-nowego-sprzetu-aa-dMw4-vb2k-Ujdr.html

Bien entendu, toutes les décisions doivent être considérées dans le contexte de la situation spécifique, du conflit en Ukraine. Les politiciens ont décidé de faire don d’une énorme quantité d’équipements, anciens et nouveaux. Une grande partie du matériel soviétique restera en service pendant encore une décennie. C'était censé être le moment de faire des achats sous forme d'appels d'offres. Cependant, l’armée s’est soudainement retrouvée sans armes. Certains estiment que les forces terrestres ont restitué 60 % des véhicules opérationnels. C’est fin d’époque des MiG-29, Mi-24, BMP-1 et T-72 dans l’armée polonaise. Si plusieurs exemplaires sont encore dans les unités militaires, il n'y a pas de servis. Certains des achats actuels (bien qu’assez chaotiques et imparfaits) consistent simplement à remplacer des véhicules des années 1980 par de nouveaux. Comme vous l’avez remarqué, il n’y a plus de conscription dans l’armée polonaise depuis 2008. La cible était une armée professionnelle fournissant des contingents d'hommes pour OPEX. Aujourd'hui, la situation a changé et d'autres formes de service sont apparues, comme le service volontaire annuel et la défense territoriale. Des divisions supplémentaires sont créées au sein des forces terrestres. Aux trois existantes (11, 12, 16), une autre (18) s'est ajoutée, dans le sud-est de la Pologne. Le gouvernement précédent avait prévu de créer deux divisions supplémentaires, mais le gouvernement actuel est sceptique sur cette question et elles resteront probablement virtuelles, sans équipement ni personnel. Les quatre divisions comptent au total 14 bataillons blindés, 17 mécanisés et 20 motorisés. Il s’agit d’un retour au nombre de forces terrestres de 2011, bien loin du potentiel de l’époque du Pacte de Varsovie. Le nombre de véhicules du bataillon de l'armée générale sera probablement réduit de 58 à 44. Il faudra donc 616 chars répartis dans quatorze bataillons blindés. Les plus de 200 chars Leopard, 360 Abrams et 180 Black Panther que nous possédons actuellement sont largement suffisants pour les équiper. C'est similaire à d'autres égards. 500 MLRS ne figurent que dans les déclarations des politiciens. Actuellement, la Pologne dispose de 20 HIMARS, qui fonctionneront comme une artillerie stratégique au niveau du corps d'armée, comme des anciens missiles Totchka-U retirés en 2006. A un niveau inférieur se trouvent les Chunmoos coréens, commandés en 290 pièces. Lanceurs intégrés aux camions polonais, aux systèmes de communication et de commande. En fait, l’armée polonaise retrouve les capacités qu’elle avait perdues depuis des années et ne devient pas une hégémonie militaire.

Tu as raison. En Pologne, pour bénéficier de l'assurance et pouvoir travailler, on a besoin d'un numéro PESEL, c'est-à-dire d'une inscription au système national d'enregistrement de la population. Tout Ukrainien peut le faire dans n'importe quel bureau municipal sur la base d'un passeport valide. Des problèmes surviennent avec les services consulaires ukrainiens lorsqu'un homme n'est pas inscrit dans le système de réserve militaire. Par exemple, dans le cas de l’obtention d’un permis de conduire. Le nombre d’Ukrainiens est similaire en Allemagne et en Pologne. La différence est dans le nombre de personnes qui travaillent. En Pologne, ce chiffre est d'environ 78 % et en Allemagne, de plus de 20 %.

C'était comme ça. En avril, la télévision privée TVN a diffusé un reportage sur les pédophiles au sein de l'Église catholique. Elle a avancé la thèse selon laquelle le pape Jean-Paul II était au courant de la dissimulation de crimes sexuels par l'administration de l'Église. Cela a mobilisé les cercles conservateurs pour organiser des marches pour défendre la réputation du pape polonais. Tout le monde était concentré sur la question de savoir si Jean-Paul savait ou ne savait pas. L’annihilation nucléaire potentielle était une préoccupation de second ordre. --------- Pour revenir au sujet. Selon les médias locaux : Au moins 10 pour cent des soldats ukrainiens désertent après un entraînement militaire mené en Pologne. Des soldats ukrainiens s'entraînent dans le cadre de la mission EUMAM (Mission d'assistance militaire de l'Union européenne à l'Ukraine). De l’automne 2022 à fin 2024, environ 13 000 personnes ont été formées en Pologne. Certains Ukrainiens envisagent probablement délibérément de s'entraîner en Pologne parce qu'ils espèrent s'enfuir. On ne sait pas non plus ce qui arrive aux évadés. Selon un informateur de l’armée polonaise, nombre d’entre eux se rendraient probablement en Allemagne et dans d’autres pays européens. La Pologne ne les poursuit pas parce qu’elle n’a aucune base légale pour cela. https://wiadomosci.onet.pl/kraj/ukrainscy-zolnierze-uciekaja-ze-szkolen-w-polsce-nikt-ich-tu-nie-sciga/t3cp0zn

Le 16 décembre 2022, un missile de croisière russe entre en Pologne et atterrit près de Bydgoszcz. L'objet a été détecté par les stations radar au sol alors qu'il s'approchait de la frontière polonaise. Deux paires de chasseurs en alert ont décollé : deux F-16 polonais et deux F-35 américains. L'abattage en régime de paix n'est possible qu'après confirmation visuelle (procédure RENEGADE). Les mauvaises conditions météorologiques ont rendu cela impossible. Le missile de croisière s'est perdu au fond de la Pologne. Fin avril 2023, dans la forêt 15 km de Bydgoszcz, des civils retrouvent les restes du missile russe Ch-55. Au lieu d’une ogive nucléaire, elle avait un poids equivalent. Le centre de formation des forces interarmées de l'OTAN et l'usine Nitro-Chem sont situés à Bydgoszcz, l'un des plus grands producteurs mondiaux de TNT et d'explosifs. Un conflit éclate entre le ministre de la Défense et les officiers d'état-major. À ce jour, les intentions des Russes sont inconnues. Était-ce une provocation délibérée ou une roquette perdue suite à une attaque de saturation en Ukraine? https://oko.press/rakieta-ch-55-betonowa-glowica-analiza

MRTT doit être un "force multiplier" qui permetr de maintenir les avions dans les airs plus longtemps, plutôt que de parcourir de longues distances. Actuellement, la Pologne renonce aux opérations extérieures et la priorité est de défendre son propre territoire. Le programme d’acquisition de 10 nouveaux avions de transport moyen, baptisé Drop, doit être mis en œuvre entre 2033 et 2035. D’ici là une flotte de plusieurs avions de transport C-130H Hercules d’occasion sera exploitée. Il y aura également une modernisation de 16 avions de transport Airbus C-295M, livrés en quatre lots entre 2003 et 2013. La modernisation de l'avion M28 Bryza est également à l'étude. Il s'agit de remotoriser les plus anciens.

Mais quelle guerre, tovarish? C'est juste une opération spéciale.

Pas seulement l'Allemagne. La Pologne a libéré le journaliste espagnol Pablo Gonzalez. Il est maintenu à l'isolement depuis deux ans, malgré les protestations des médias espagnols et du ministère des Affaires étrangères. La mère de Pablo est une communiste espagnole avec laquelle il est revenu de Moscou dans la péninsule ibérique en 1990. Cependant, après sa libération, il a choisi la patrie de son père, où il a une deuxième identité, Pavel Rubtsov.

En plus de l'IFV Borsuk, un nouveau véhicule plus lourd doit être construit. Le nouveau véhicule sera basé sur le châssis coréen K9PL/PK, également utilisé dans les obusiers Krab, et sur la tourelle ZSSW-30, utilisée dans le Borsuk. Le véhicule constituera l'équipement de base de la 18e division mécanisée, il coopérera donc avec l'Abrams, qui sera équipé de la 1re brigade blindée de la 18e division mécanisée. https://radar.rp.pl/modernizacja-sil-zbrojnych/art38042311-jednak-nie-koreanski-ciezkiego-bwp-zbudujemy-sami

Les médias polonais ont seulement rapporté que les services avaient démantelé un réseau d'espionnage et de sabotage travaillant pour la Russie. Les Biélorusses, en revanche, ont publié des photos et d'autres détails sur les personnes détenues. Les présentant comme des victimes du régime polonais. https://t.me/vashy_slivy?fbclid=IwAR0igl5wd-tKXMR6Suk6yBv32S6lbOfuQ01XFu7B6InSJGPEOprqaZopIK8 Information du site d'opposition Belsat: https://belsat.eu/pl/news/16-03-2023-kim-sa-aresztowani-przez-abw-wyciekly-dane-z-kgb Les personnes arrêtées sont des citoyens biélorusses : Uladzislaw P. (19 ans), Maria M. (19 ans) et Mikalaj M. (52 ans). Les deux plus jeunes sont des étudiants d'universités polonaises. Tous deux nés à Minsk. https://www.instagram.com/mariya_medvedeva_insta/?fbclid=IwAR2OKvvzQU-F11a2lMCb3e8LActn_6vEM33kRd6EQqy22v9Y5c_x7c9PGUU Alors que Mikalaj M est né en Ukraine. De 2003 à 2008, il a travaillé pour Kompa, qui produit des équipements pour l'industrie alimentaire. Dans la base de données des services frontaliers de Biélorussie, il fonctionne comme une personne qui utilise les services d'un établissement médical sous l'autorité du KGB (comme son père qui a la nationalité russe). Il changeait souvent de documents, parfois deux fois par an. Dans les années 2007-2010, il s'est rendu en Pologne et en Ukraine près de 250 fois, à chaque fois pour quelques jours. Il a utilisé un passeport de la série RR, c'est-à-dire un registre consulaire.