
LePetitCharles
Members-
Compteur de contenus
872 -
Inscription
-
Dernière visite
Réputation sur la communauté
558 ExcellentProfile Information
-
Pays
France
Visiteurs récents du profil
Le bloc de visiteurs récents est désactivé et il n’est pas visible pour les autres utilisateurs.
-
Tu connais pas la Sicile toi ;-)
-
Justement si. C'est bien le principe de cartographier les zones d'opérations en amont. Evidemment si on parle d'une opération sur une zone totalement improbable et qu'en plus il n'y a pas eu de préavis avant le vol ... ok. Mais on est dans la niche là!
-
Du coup je ne saisie pas très bien. En Suivi de Terrain Automatique, les lignes électriques ne sont pas prises en compte ?
-
Qu'est ce qui décide de l'affectation de la réparation chez Dassault ou à l'AIA ? @Jarod encore pour toi ?
-
Sur RMC Découverte. https://www.planetecsat.com/dans-les-coulisses-secretes-de-laviation-militaire-un-acces-inedit-a-laiacf-sur-rmc-decouverte/
-
Négatif GhostRider. La verrière c'est l'ensemble donc cadre + canopée (qui est aussi, on est d'accord la cime des massifs forestiers et des lits à baldaquin !!!) Mais je suis prêt à te consentir le point si on peut s'éviter une nouvelle Guerre du Mastic.
-
Et au delà de la blague, qu'est ce que cela vise en pratique ?
-
Cinq mois pour passer du F3R au F4 ? Cela peut sembler long (j'ai bien dit sembler) : Qu'est ce qui explique ce délai (la masse de travail, le manque de personnel, le fait que ce soit un retrofit tête de série, ...) ? Sachant que les modifications concernent : - Peu de hardware (intégration du Scorpion - Beaucoup de soft (modifications logicielles sur la conduite de tir (pour le Meteor), évolution des algorithmes de détection passive des menaces, - Du ... je ne sais pas (intégration de l'AASM 1000, échange de données intra patrouille, nouvelles fonctions Talios, OSF, RBE2, et connectivité).
-
Il faut y coller une constellation de point de repère pour permettre la localisation dans l'espace du casque. C'est une modification marginale mais elle permet d'identifier les avions susceptibles de recevoir les casques EDIT : Ce qui est génial c'est que pour trouver une image pour toi j'ai trouvé ... un Rafale M !!!!!!
-
Et autre question pour @bubzy @Picdelamirand-oil et les autres Je ne suis pas sûr d'avoir encore vu des Rafale M dont la canopée était modifiée pour accueillir les casques Scorpion. Est ce parce que le casque n'est pas prévue dans l'Aéronavale, parce que le calendrier donne priorité à l'AAE ou tout simplement parce que je n'ai pas regardé au bon endroit ?
-
Petite question pour les sachant de la production, notamment @Jarod Je viens de voir dans un reportage, que le SIA/AIA de Clermont Ferrand mettait 5 mois pour faire le rétrofit d'un Rafale. Je précise que le Rafale en question était un C (a priori le 30-IU) et non un Rafale M. A quoi ce "retrofit" de 5 mois peut il correspondre sachant que l'avion en question semblait en état "normal" à l'entrée à l'atelier (il ne semblait pas victime d'un évènement notoirement connu comme un crash au décollage suite à éjection, une collision aérienne, etc.) ?
-
Exportation du Rafale: prospects et clients potentiels
LePetitCharles a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
L'article en question Des Rafale en Arabie : Paris s'accroche, Riyad décroche Le retour de Donald Trump aux affaires pourrait ouvrir une voie royale à l'export de F-35 à Riyad, alors que la négociation sur les Rafale de Dassault semblait, vue depuis Paris, bien avancée. Fin 2024, l'Élysée s'est même persuadé que la victoire était quasi acquise. L'engouement saoudien initial est, pour le moment, en berne. À Paris, l'acquisition par la Royal Saudi Air Force (RSAF) d'un lot d'avions de chasse Rafale de Dassault Aviation est toujours d'actualité. Si, sur le papier, l'offre de Dassault n'a jamais réellement été en pole position, l'espoir avait grossi dans les rangs français lors de la préparation de la visite d'Emmanuel Macron en Arabie saoudite en décembre (IO du 14/10/24). La délégation préparatoire menée par le chef d'état-major particulier de la présidence, Fabien Mandon, qui avait fait l'aller-retour à Riyad juste avant la visite du chef de l'État, était revenue pleine d'optimisme auprès de ses interlocuteurs français quant aux chances de Dassault de vendre un lot de ses avions de chasse lors du déplacement présidentiel. La garde rapprochée d'Emmanuel Macron s'était même persuadée que le prince héritier Mohammed bin Salman al-Saoud (MbS) avait promis la signature d'une Letter of Intent (LoI) à cette occasion. Las, cette LoI attendue est restée un mirage. Aujourd'hui, l'analyse française de la situation est que, sur les 220 appareils que Riyad souhaite acquérir au total, le pays peut rester intéressé par l'offre de Dassault Aviation au vu de ses probables envies de diversification. L'état-major saoudien était surtout attiré par la version F5 du Rafale, le futur avion développé par le constructeur qui disposera de datalinks permettant des vols interconnectés avec des drones, mais sa sortie n'est prévue qu'à l'horizon 2030-2035. Évaluation mal calibrée Pourtant, au même moment, côté saoudien, mais aussi dans les rangs du constructeur de l'appareil, il commence désormais à se dire que la délégation française avait mal évalué les réponses saoudiennes, toutes en circonvolutions. Et ce, jusqu'à insuffler un air d'auto-intoxication : lors de la visite d'Emmanuel Macron dans le royaume, la partie saoudienne avait en effet préféré temporiser à ce sujet, politesse khaleeji oblige. Un prince ne dit jamais non directement, mais laisse dire (IO du 10/12/24). Au siège de Dassault – qui n'a pas répondu à nos sollicitations –, ainsi que parmi les consultants défrayés pour en connaître des intentions de Riyad, l'espoir est déjà retombé. Parmi la "Team Rafale", seul le sous-traitant Thales continue à croire au dossier, envers et contre tout. Une telle vente mobilise pourtant l'ensemble de la task force française d'accompagnement des contrats d'armement à l'export, de l'Élysée au ministère des armées et des affaires étrangères, et jusqu'aux services de renseignement. Le Typhoon en pole position Côté saoudien, la priorité semble revenue à l'acquisition d'un lot de Typhoon d'Eurofighter, le consortium mené par le groupe britannique BAE Systems. Paris avait pu profiter, à partir de 2023, d'une mince fenêtre de tir avec l'embargo de Berlin imposé à Riyad sur la vente de l'appareil, composé d'électronique de sociétés allemandes. Dassault avait ainsi effectué une proposition chiffrée pour 54 Rafale en novembre 2023 (IO du 17/10/23). Après la levée de l'embargo en janvier 2024, Londres avait toutefois pu envisager la signature d'un contrat pour 128 appareils le mois suivant (IO du 15/07/24). Les négociations sont toujours en cours entre Londres et Riyad, la partie saoudienne souhaitant s'équiper de la version la plus avancée du Typhoon. Atout commercial de luxe : la flotte saoudienne est déjà composée de l'appareil britannique, ce qui permet d'éviter d'onéreux programmes de formation en cas d'achat d'avions d'un nouveau pays fournisseur. Effet Trump En parallèle, les envoyés du prince héritier Mohammed bin Salman ont gardé un canal de discussion ouvert avec Washington. Outre sa volonté de négocier un lot du F-15 de Lockheed Martin dans sa version la plus récente – qui ne leur a toujours pas été proposée par les États-Unis –, l'Arabie souhaite aussi acquérir un lot de F-35. Avec, en tête, la conviction que l'ère "Trump II" lui sera beaucoup plus favorable que l'administration de Joe Biden, sur fond de renégociation du pacte de défense américano-saoudien, bientôt soumis à l'avis du Sénat. Riyad espère surtout, avec l'administration Trump, acquérir le F-15 ou le F-35 sans contrepartie diplomatique à accorder à Israël. La Turquie, possible invitée surprise Riyad reste vivement intéressé, à plus long terme, par des appareils de dernière génération. Outre le F5 de Dassault, le royaume continue de discuter de sa participation financière au Global Combat Air Programme (GCAP), le programme nippo-italo-britannique de conception d'un avion de sixième génération (IO du 22/08/23 et du 09/01/24). Fin décembre, lors d'une visite de l'industrie de défense turque à Istanbul, le vice-ministre de la défense Khaled al-Bayari et le commandant de la RSAF Turki bin Bandar bin Abdelaziz al-Saoud ont laissé une porte ouverte quant à l'acquisition d'un lot du KAAN. Ce programme turc d'appareil de cinquième génération, développé par le conglomérat Turkish Aerospace Industries (TAI), auquel participe BAE Systems, devrait lui aussi être opérationnel à l'horizon 2030-2035. -
En gros, nous reviendrions au statut de la Guerre du Golfe (celle de 1991). Un partenaire faisant masse (ce qui est encore plus vrai proportionnellement aujourd'hui) mais pas au niveau technique. Sans même parler des claques reçues à l'époque sur les sujets spatiaux, GE, ravitaillement, FS, etc. et en se concentrant sur la seule dimension aérienne, quelles étaient nos effecteurs : - Coté Aéronavale le combo Crusader, Super Étendard, Étendard IV, Alizée était tellement dépassé que le seul porte-avions envoyé transporta ... des hélicoptères et du matériel de l'armée de terre - Coté AA la moitié de la flotte d'avions de combat n'était pas déployable (Mirage III, Mirage V et Mirage F1C). Et l'autre moitié soit incapable d'agir de nuit (Jaguar), soit posant problème de reconnaissance avec l'adversaire (F1 CR) soit enfin ne disposant pas des bons IFF (Mirage 2000). Dans l'intervalle (de 95 à 2011) nous avons rattrapé significativement (voir totalement) notre retard technique/ comblé notre capacité d'intégration OTAN (question de point de vu). C'est ça que le F35 a mis à terre. Et qui est pointé du doigt depuis près de 10 ans. La furtivité certes mais aussi et surtout l'intégration dans le système de système. Et c'est cela que le Rafale F5 doit absolument combler (en attendant le NGF/ SCAF). Le reste (furtivité, munition, etc. qui sont à n'en pas douter des problèmes majeurs) n'enlève rien au fait qu'aujourd'hui les USA ne peuvent s'appuyer que sur 3 forces aériennes capables en Europe : UK, France et Italie. Et que donc , que nous soyons des joueurs de D2 ou de D3, ils auront besoin de nous et de chaque Eurocanard en cas de conflit de HI en Europe. PS : Après le vrai adversaire technologique des USA (susceptible d'être traité en HI) semble devoir être le Chine. Et là franchement, même si nous avions maintenant des avions de 5G/ 6G, je doute que les USA comptent significativement sur nous.
-
Est ce que vous savez quelle est la doctrine d'emploi de l'AAE sur les MICA IR/ EM ? Est ce que qu'il est potentiellement prévu de traiter une cible avec un double tir de MICA (dont 1 EM et 1 IR) à moyenne portée ce qui rendrait assez difficile les évasives et le leurrage ? Ate Chuet (pas taper) avait indiqué dans une de ses vidéos que les russes le faisaient/ prévoyaient de le faire. Si tel est le cas, vos réflexions sur les versions "camions à missiles" du Rafale prennent encore plus de sens.
-
Son utilisation en Lybie actuellement ? Je ne suis pas sûr de comprendre. Mais pour son RETEX de l'Irak 1991 (qui est quand même la principale zone de conflit de haute intensité équivalente à l'Ukraine), les feed back étaient dithyrambiques. Le niveau de pertes comparé au niveau d'engagements (sur la CAS mais sur différentes autres missions) était très très bons. Les RETEX sur sa capacité à encaisser les coups (AA ou SAM) et sa capacité à revenir à la maison sont incroyables. Je vous invite tous à lire "Pilotes dans l'Enfer Irakien" (Edition ALTIPRESSE) qui retrace la campagne des A10 pendant cet engagement. Ce qui est étonnant c'est que juste avant ce conflit, l'USAF/ ANG voulait déjà les envoyer à Davis Monthan. Puis après l'Irak 1991 puis après l'ex Yougo 99 puis après l'Irak 2003 etc. etc. Bref les conflits ont a chaque fois sauvé ce "moche avion" (vu de l'Air Force). Et pour l'Ukraine, la seule raison, à mes yeux de son non engagement/ non livraison est que seul l'USAF/ ANG dispose de cet appareil. Or les USA n'ont donné aucun avion à l'Ukraine depuis le début du conflit. CQFD