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AIR-DEFENSE.NET

Aisym

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  1. Sur les Horizons l'un des brouilleurs est juste au dessus de la passerelle aussi.
  2. Aisym

    Le successeur du CdG

    La solution parfaite pour forcer la main au politique ? Nommer le PANG "Liberté" et s'arranger pour en lancer un deuxième nommé "Egalité"... Impossible ensuite d'échapper à un PANG3 "Fraternité" et hop!
  3. On peut deviner les différences entre la version française au premier plan (avec un PSIM) et la version italienne au second (KRONOS/MRFA).
  4. D'après Cabirol, c'est plié en faveur d'Airbus. https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/avions-de-patrouille-maritime-le-ministere-des-armees-choisit-airbus-face-a-dassault-1010738.html Le ministère des Armées a sélectionné la proposition d'Airbus Defence & Space au détriment de celle de Dassault Aviation pour le programme d'avions de patrouille maritime (Patmar). Ce programme vise à renouveler après 2030 la flotte constituée par 18 Atlantique 2. Ce qui semble avoir séduit le ministère des Armées, c'est qu'Airbus propose un appareil de la famille A320 avec une grosse capacité d'emport. En ouvrant le ventre de l'appareil, cela permet d'embarquer beaucoup d'équipements pour répondre au large spectre des missions de patrouille maritime. [...] Mais il est également le plus cher. Ce qui n'a pas freiné le ministère, qui a préféré coller aux missions de la Marine nationale. Le ministère a pour l'heure engagé 89 millions d'euros, dont huit millions en 2025, sur ce programme. En termes de coopération européenne sur le Falcon 10-X, Dassault Aviation défendait la place de Rolls-Royce, en tant que motoriste de l'appareil. Au Sénat, Eric Trappier avait rappelé que l'équipe qui a conçu le moteur du 10-X était « exclusivement une équipe allemande » que ce soit aussi bien dans le domaine du business, du design, de la fabrication et des bureaux d'études. Quant à Airbus, l'avionneur européen dispose déjà de tout un écosystème industriel en France et en Espagne pour réaliser cet appareil.
  5. Logiquement, les 5 corvettes Avante remplacent les corvettes de la classe Badr qui datent du début des années 80, les MMSC remplacent les Al-Madinah mises en service à la fin des années 80, et il restera le remplacement des Lafayette qui datent du début des années 2000... A moins que la flotte prenne en volume, même s'il reste l'éternelle question de la RH, surtout dans les pays du Golfe.
  6. On répète beaucoup que le P8 a asséché le marché des PATMAR, mais aujourd'hui le P8 n'est en service que dans 9 pays. Dont 130 unités pour les seuls Etats-Unis, auxquels il faut ajouter les Five Eyes, la Norvège et la Corée du Sud (qui n'auraient, sauf miracle, pas acheté français), puis l'Inde et l'Allemagne. Rien que parmi les opérateurs du P3 qu'on pourrait convaincre il y a le Brésil, l'Argentine, le Pérou, le Chili, l'Espagne, la Thaïlande, le Portugal, l'Espagne et possiblement Taïwan. Sans même compter sur les marines du Sud Est asiatique qui montent en gamme, ça laisse une sacrée marge pour rentabiliser le programme...
  7. FDI avec 32 VLS en plage avant, brouilleurs, RapidFire et LMP sur le toit du hangar... "standard 2"?
  8. Les premières Mogami doivent être équipées de mk41 mais uniquement pour le tir de missiles ASM. Les "New FFM" avec 32 VLS n'auront plus grand chose en commun avec les 30FFM.
  9. Ils ont justement choisi RM, qui propose des investissements énormes dans les pays cibles, pas l'Allemagne, qui cherche des rentes. C'est pour ça qu'on parle d'un Challenger 3, pas d'un Leo2.
  10. Quelques petites idées en vrac : - Il n'y a pas que l'Allemagne et la France en Europe qui veulent préserver leur industrie de défense. Pas sûr que les Italiens ou les Britanniques se contentent docilement d'une hégémonie terrestre allemande. - Surtout que le Leo2A8 est l'ultime évolution possible avec la caisse actuelle : passer au 2RC3.0 revient à acheter un nouveau char. Et ça risque d'être de plus en plus compliqué de convaincre des clients d'acheter un char sans possibilité d'évolution alors que les K3, Abrams M1E3 et autres EMBT vont commencer à être disponibles. Sachant aussi que les Leo2A4 (la majorité des Leo2 refilés aux Européens) ont été construits entre 1985 et 1992, ce qui commence à dater... - La nuée de Leo2 en Europe c'est plutôt un avantage pour la France si on arrive à imposer un MGCS à KMW. On pourrait récupérer 50% de la valeur d'un marché que les Allemands auront ouvert pour nous. Au pire, si on y parvient pas, on passera de 0% de part de marché à 0% de part de marché... - Pas sûr que cette nuée de Leo2 soit si intéressante d'un point de vue interopérabilité/économies d'échelle, vu que chaque pays insiste pour avoir sa version, ses specs, et sûrement ses processus de déploiement/d'engagement
  11. Très étrange comme raisonnement. Sans même parler des considérations tactiques l'implication directe c'est une augmentation des coûts, puisqu'une bonne partie du tonnage d'un bâtiment est non-corrélé au nombre de munitions embarquées et constitue un pallier : un Burke côute ~$2.2M, avec un équipage de 300 pax et 96 cellules quadpackables, trois FDI "Grecques" coûtent ~€3M, avec 375 pax et 96 cellules non quadpackables. Les petits bâtiments c'était aussi la marotte de la Jeune Ecole... on sait comment tout ça a finit. Aujourd'hui tout le monde se met à construire des monstres de 10 000t mais on qualifie de "premier rang" des frégates de 5000t...
  12. Cet argument est vraiment spécieux... si on a des bâtiments bien rodés et efficaces, autant les équiper convenablement, parce que qu'on le veuille ou non, la "taille de la salve" compte toujours dans le combat naval. On voit tous dans les performances des FREMM en Mer Rouge une validation des capacités de la Marine mais les Houthis sont un ennemi asymétrique et on a aucune idée des règles d'engagement, de la proportion de cibles traitées, du positionnement des frégates etc. mais les marins sont loin d'être casse-cous et je vois mal un bâtiment capable d'intercepter 16 menaces prendre les mêmes risques qu'un bâtiment capable d'en traiter 100. Et aujourd'hui, les marines équipées de VLS quadpackables, de CIWS missiles/canons, d'artillerie sérieuse en AA ont un sérieux avantage. L'USN est en train de rajouter un RAM sur tous ses Burke, alors qu'ils ont déjà des magasins pleins jusqu'à ras la gueule d'ESSM et SM2, les Brits vont rajouter des CAMMs à leur T45... et les Danois ont bien envoyé une frégate en Mer Rouge, avec 32 SM2-IIIA et entre 24 et 48 ESSM.
  13. On pourrait d'ailleurs envisager de remplacer FDA et FREMM par une classe unique, et partir sur la même dichotomie Destroyer/Frégate que l'USN par exemple (FDA NG + FDI/DDG + FFG). Mais historiquement les longues séries ont presque toujours été un échec en France...
  14. C'est faux. Les troupes aéroportées et parachutistes de l'OTAN ont d'abord été avant tout équipées pour un combat contre le PAVA. Par exemple, aux USA, pendant les années 50-60, l'US Army avaient 3 divisions de parachutistes "pentomic" (30 bataillons, 20% des divisions d'active). Et c'est seulement à partir des années 70 et l'influence des opérations américaines dans le tiers monde que les para ont commencé à se marketer comme la "Rapid Reaction Force" par excellence pour intervenir en LATAM/Moyen-Orient, quand l'administration Kennedy s'est détournée des grandes opérations en Europe. Et l'idée d'utiliser les paras et les troupes héliportées comme "ralentisseurs" (la 5th Airborne britannique était surnommée la "Speed-Bump Brigade") avec bouchons antichars établis sur des axes stratégiques établis à la hâte dès que l'axe d'attaque principal serait connu. Les Allemands avaient eux trois "Luftlandebrigaden" aéroportées équipées de Wiesel et missiles antichars pour servir de pompier.
  15. "Les FTI ne pourvoient donc pas au remplacement des frégates de type La Fayette (FLF). Il s’agit plutôt de développer un nouveau type de bâtiment pour arriver au chiffre total de quinze frégates de premier rang tel qu’il est prévu par le Livre Blanc." Audition de l'Amiral Bernard Rogel, commission de la défense nationale et des forces armées à l'Assemblée nationale, 27 mai 2015, https://www.assemblee-nationale.fr/14/cr-cdef/14-15/c1415066.asp#P7_346
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