Yourvali

La télévision publique algérienne a confirmé que l’Algérie est le premier pays étranger à acquérir le chasseur de cinquième génération Su-57E. Les pilotes algériens suivent actuellement une formation en Russie, et les livraisons devraient débuter cette année. L’Algérie a franchi une nouvelle étape dans la modernisation de son armée de l’air en devenant le premier acheteur étranger du chasseur de cinquième génération russe Su-57E. Selon la télévision publique algérienne, l’acquisition a été finalisée et la formation des pilotes est déjà en cours afin de préparer l’entrée en service de ces nouveaux avions. Les livraisons devraient débuter en 2025, selon le directeur de Rosoboronexport, Alexandre Mikheïev. Ce dernier a confirmé que l’exportation de cet appareil à un client étranger est bien prévue pour cette année. Lire aussi Le chef de l’État algérien Abdelmadjid Tebboune préside, le 9 février, un conseil ministériel consacré à la gestion stratégique des ressources minières. En Algérie, le gouvernement décide de réserver des terres rares aux générations futures D’après MENADefense, le contrat signé par l’Algérie porte sur 14 Su-57E, en plus d’autres acquisitions d’appareils militaires russes comme des avions Su-34 et Su-35. L’intérêt de l’Algérie pour le Su-57E ne date pas d’hier. En 2019, une délégation algérienne avait déjà pu observer cet avion de combat lors du salon MAKS-2019 en Russie. À cette occasion, des responsables algériens avaient testé un simulateur reproduisant les performances du chasseur. Selon le Russian Center for Analysis of World Arms Trade, six Su-57E seront livrés à l’Algérie dès 2025; les autres suivront en 2026. En parallèle, la flotte actuelle de Su-30MKA sera modernisée pour être portée au standard Su-30SM2, utilisé par l’armée russe. L’acquisition du Su-57E marque une nouvelle étape dans la coopération militaire entre Alger et Moscou. Selon Defence Blog, l’Algérie a toujours privilégié le matériel russe pour équiper son armée de l’air. Le pays dispose déjà d’une large gamme d’appareils, dont les Su-30MKA, les MiG-29, ainsi que des systèmes de défense antiaérienne S-300. Cette montée en puissance de l’aviation militaire algérienne intervient dans un contexte où d’autres forces régionales modernisent également leurs capacités aériennes. Le Maroc, par exemple, a récemment renforcé son aviation avec des F-16 Viper. Cependant, comme le souligne Military Watch, le Su-57E apporte des capacités avancées en furtivité et en manœuvrabilité, ce qui pourrait donner un avantage stratégique à l’Algérie dans la région. D’après Barlamane Algérie, la modernisation de l’aviation militaire algérienne se poursuit, avec une volonté affichée de renforcer ses capacités et de maintenir une supériorité aérienne dans la région. A suivre...

Bonsoir J'ai trouvé cela : https://infobrics.org/post/43418/ Traduction Google : ------------------------------------ Mardi 11 février 2025 L'Inde est l'un des plus gros acheteurs d'équipements militaires au monde. Cela en fait un client particulièrement important pour un certain nombre de grands exportateurs d'armes, dont la Russie, la France, les États-Unis, etc. En raison de ses liens étroits avec Moscou depuis plus d'un demi-siècle, Delhi est l'un des principaux utilisateurs d'armes russes, allant des fusils d'assaut modernisés de la série AK-200 aux sous-marins à propulsion nucléaire. Cette coopération implique également d'importants transferts de technologie, notamment des armes hypersoniques et des développements avancés dans l'aviation . L'Inde a même participé au programme FGFA (Fifth Generation Fighter Aircraft) qui a presque abouti à la production conjointe d'un dérivé indien du Su-57 par Sukhoi et HAL (Hindustan Aeronautics Limited). Si l'armée de l'air indienne (IAF) a acquis un certain nombre de systèmes français et israéliens, la plupart de ses équipements, y compris les chasseurs et les missiles, sont toujours d'origine russe. Cela comprend les avions de combat Sukhoi Su-30MKI, les meilleurs de l'IAF , qui constituent près de la moitié de ses escadrons (14 sur 30). On y trouve également les chasseurs MiG-29UPG et MiG-21, les avions de transport lourd IL-76 et les ravitailleurs IL-78. L’Inde a également converti deux IL-76 en plateformes AEW&C (alerte avancée et contrôle aéroportées). Naturellement, un pourcentage aussi élevé d’avions russes signifie également que l’IAF utilise de nombreuses armes russes, notamment les missiles air-air R-77 et R-73, les missiles air-sol Kh-59, Kh-35 et Kh-31, ainsi que la série de bombes guidées par laser KAB. L'armée indienne dispose également d'hélicoptères multirôles russes Mi-17, d'hélicoptères d'attaque Mi-35 et d'hélicoptères de transport lourd Mi-26, ainsi que des désormais légendaires systèmes de missiles sol-air S-400 , dont les livraisons ont commencé en décembre 2021, en plus de nombreux autres systèmes de défense aérienne russes. Selon diverses estimations, plus de 85 % de l'armée de Delhi utilise des armes, des munitions et des équipements achetés à Moscou. Bien que l'Inde ait commencé à diversifier ses achats d'armes, la Russie reste à l'avant-garde. Comme mentionné précédemment, cela inclut également les technologies hypersoniques, car BrahMos Aerospace, une coentreprise indo-russe de production de missiles, teste le très attendu missile à statoréacteur « BrahMos II ». Tout cela suggère qu’il est très peu probable que Delhi se débarrasse des armes russes dans un avenir proche. Au contraire, il est tout à fait logique que l’armée indienne continue d’acquérir de nouvelles armes auprès de Moscou. L’édition 2016 du salon Aero India indique précisément que cela se produira dans un avenir proche. Le Su-57 a notamment fait ses débuts au plus grand salon aéronautique indien , ce qui a donné lieu à des spéculations raisonnables selon lesquelles Delhi se procurera le chasseur russe de pointe. Il est intéressant de noter que le Su-57 a également eu sa première rencontre avec le F-35, le système d’arme le plus en difficulté de ce siècle . Ce dernier était même prévu pour un vol de démonstration, mais pour une « raison inexplicable », les États-Unis ont décidé de ne pas aller plus loin . La seule conclusion logique est qu’ils voulaient éviter une nouvelle humiliation pour le F-35 déjà en difficulté. Washington DC tente toujours de séduire Delhi pour qu'elle acquière davantage d'armes américaines, notamment des avions de combat comme le F-21, un dérivé avancé du F-16 « avec l'ADN du F-22 et du F-35 » . L'absence de vol de démonstration de ce dernier est très révélatrice de sa réputation au sein de l'armée indienne, qui s'inquiète particulièrement du fait que les pays dotés de F-35 sont pratiquement toujours soumis à des niveaux de contrôle inacceptables , mettant en péril leur souveraineté tout en acquérant au mieux un avion médiocre. L'avion de fabrication américaine a démarré l'année de manière " phénoménale ", d'abord en s'écrasant en Alaska ( en même temps que les actions de Lockheed Martin ), puis en subissant encore plus de réductions de commandes , notamment de la part des États-Unis et du Royaume-Uni . Pire encore, le dernier rapport sur les performances du F-35 montre que très peu (voire rien) n'a été fait pour l'améliorer . En revanche, le Su-57 a fait ses preuves au combat dans le plus grand conflit conventionnel depuis des décennies, malgré les tentatives incessantes de calomnier l'avion russe . Cependant, alors que les États-Unis financent la propagande contre les systèmes d'armes de Moscou par le biais de leur vaste réseau de « médias indépendants » , la réalité est tout autre. De nombreux analystes ont suggéré que l'annulation du vol de démonstration du F-35 est « destinée à éviter des comparaisons défavorables avec le Su-57, dont les performances de vol sont considérées comme largement supérieures ». De plus, les moteurs AL-41F1 3D TVC (thrust vectoring controls) déjà fantastiques du jet russe seront bientôt remplacés par la nouvelle génération AL-51F . En attendant, le F-35 est toujours aux prises avec ses moteurs F135 qui sont sujets à la surchauffe et aux pannes en général. De plus, le bilan de combat (et même en temps de paix) de cet avion de fabrication américaine est tout à fait peu impressionnant, c'est le moins que l'on puisse dire. Alors que le Su-57 effectue régulièrement des missions SEAD (suppression des défenses aériennes ennemies), air-air et air-sol dans des zones fortement saturées par des systèmes SAM , le F-35 est à peine capable de rivaliser avec des pays qu'il devrait être relativement facile de contraindre à se soumettre. En outre, comme nous l’avons déjà mentionné, l’Inde est extrêmement inquiète du contrôle de tels systèmes d’armes par les États-Unis. Selon le maréchal de l’air à la retraite Anil Chopra , son pays « reste prudent face à la tendance des États-Unis à exercer des pressions et à abandonner leurs alliés lorsque leurs propres intérêts divergent des leurs, ainsi qu’aux attentes potentielles des États-Unis de voir l’Inde prendre ses distances avec la Russie ». C’est un indicateur clair que le vieux partenariat militaire indo-russe est plus que vivant et en bonne santé. Le maréchal de l'air Chopra a également souligné que « choisir un pays partenaire fiable qui n'imposera pas de pression excessive est crucial », ce qui est une référence très claire aux États-Unis. Cela implique en outre que l'avion américain est hors jeu, ce qui ne laisse que le Su-57 comme seule option viable et opportune pour l'IAF . Cette idée est encore renforcée par l'offre officielle de Moscou de produire conjointement l'avion russe avec Delhi , ce qui relancerait effectivement le programme FGFA. De plus, des informations fiables indiquent que le premier Su-57E (version export) sera livré à un client étranger dont le nom n'a pas été dévoilé. Il pourrait s'agir de l'Algérie ou du Vietnam , qui convoitent l'avion russe depuis des décennies. Il est très peu probable que l'Inde obtienne son premier Su-57 cette année, car elle n'en a même pas encore officiellement commandé. Cependant, les derniers développements indiquent clairement qu'aucune sanction ni aucune pression ne pourraient ébranler les fondements du monde multipolaire . Auteur : Drago Bosnic , analyste géopolitique et militaire indépendant --------------------- Citation : 'Choisir un pays partenaire fiable qui n'imposera pas de pression excessive est crucial », ce qui est une référence très claire aux États-Unis. Chopra ' Donc pas à la France... ouf ;-) Une connaissance qui bosse chez Dassault en Inde m'a dit que les Indiens étaient prêts à signer l'acquisition des Rafales, c'est l'instabilité politique en France qui retarde tout apparemment...

On verra bien ce que cela donne. En attendant que ce genre de chose arrive en Europe (c'est pas demain la veille !), j'avoue que je ne serais pas hyper rassuré de voler... sans pilote ! Une voiture sans pilote m'effraie déjà, alors en hélico, à basse altitude, juste au dessus d'une ville bien peuplée... Dans un vrai taxi, il y a bien un conducteur, non ? J'ai l'impression que dans cet hélico, on lui définit un trajet, ou au moins un point d'arrivée, et ensuite le vol vers la destination se déroule automatiquement... La gestion du trafic s'effectue en s'appuyant sur les réseaux 4G-5G... Cela non plus, ce n'est pas fait pour me rassurer. Mais justement, si les Chinois parviennent à trouver une formule viable et sécurisante, alors chapeau ! Mais il faudra aller en Chine pour essayer, dans un premier temps, et seulement dans les zones bien couvertes par la 4G-5G...

Bonjour Je ne sais pas trop où mettre cela... https://www.aerobuzz.fr/aviation-generale/la-chine-certifie-le-premier-evtol-autonome-de-lhistoire-de-laviation/ https://www.ehang.com/news/990.html Une version transporte des passagers (sans pilote...) : https://www.ehang.com/ehangaav/ il fait aussi bombardier d'eau : https://www.ehang.com/ehang216f/

ah ah et il y a pas mal de noms de villes européennes aux États-Unis, et au Canada...

Ok, j'entends tout à fait vos arguments et j'espère comme vous que tout va bien se passer. Cependant, d'après cette source de 2021, il y a bien des parties du Rafale qui contiennent des pièces d'origine américaine : https://eurasiantimes.com/at-americas-mercy-why-frances-highly-prized-rafale-fighter-jets-are-dependent-on-us-approvals-for-their-export/ L'article parle en effet beaucoup du Scalp, notamment pour l'Egypte, mais pas que. Un extrait : French Defense Minister Florence Parly had then stated in response: “We are at the mercy of the Americans when our equipment is concerned.” Auxiliary power units, lighting systems, fuel nozzles, wheel brakes and brake controls, transducer, electro-optical and passive electronic components, cabin systems, canopies, fuel tank sealants, corrosion inhibitors, and various mechanical and electrical power systems were all supplied by American companies. Je ne connais pas le degré de fiabilité de la source, mais c'est quand même madame Florence Parly qui est citée. Quand au reste de l'article... ??

oups

Le groupe américain Heico a annoncé avoir finalisé le rachat du fabricant de composants électroniques Exxelia, ex français... devenu britannique en 2014, celui-ci est néanmoins vital pour l'armement ou la haute technologie française. Et Exxelia fabrique des composants pour le Rafale. Via le CAATSA act les américains pourraient-ils bloquer la vente de Rafales (M ou C) à L'Inde ? Il y a probablement déjà des composants dans le Rafale qui sont américains, donc le CAATSA act pouvait déjà être utilisé... et les américains peuvent aussi laisser la vente se réaliser mais négocier quelque chose en contrepartie. Qui vivra verra...

Merci, en effet, il y a probablement trois R-37M, et deux R-77 (et quelques R73 pour compléter) Et le R-37M peut-il être emporté par le S30SM (SM2 maintenant) ? Wikipedia n'en parle pas...

Du gros R-37M des familles contre des pauv' hélicos ? Gosses de riches ! (On a des vidéos ou des photos de Su35S engagés en Ukraine avec ce missile ? Je ne me souviens pas en avoir vues, ou je n'ai pas fait attention...) Bah de toute façon, comme c'est la guerre, la vraie, on n'aura confirmation ou infirmation de tout cela que quand la dite guerre sera terminée. Ou rien du tout...

Si je comprends bien, vous parlez de l'achat de Rafales par la marine indienne... J'ai discuté la semaine dernière avec un français qui travaille avec Reliance en Inde, et en effet d'après lui c'est gagné sur le plan "technique", mais maintenant c'est de la "géopolitique", comme il me l'a dit... Pour l'anecdote, il disait que les Indiens aimaient bien bosser avec les français et avec les russes, mais pas avec les américains...

Ah Ok, je ne suis pas encore encore au fait de tout sur ce sujet... Encore faut-il, en effet, qu'il soient en vol, les Awacs. Mais c'est certainement cela qui a aidé le(s) pilote(s) à réussir un tel carton. Le gros radar aussi...

Pas de soucis j'avais compris ;-) Extrait du rapport du mindef russe du 29 décembre : https://t.me/mod_russia_en/5598 Fighter Aviation of Russian Aerospace Forces has shot down Su-25 and Su-24 airplanes of Ukrainian Air Force near Krasniy Liman and Kramatorsk. ◻️ In addition, 2 Ukrainian Mi-8 helicopters have been shot down near Suvorov and Orlovka (Donetsk People's Republic). Il reste à voir si les distances entre les deux zones sont compatibles avec un vol de 2h en Su35S... A mon humble avis, ce sont deux actes séparés, sinon le rapport militaire n'aurait pas manqué de mettre en valeur le pilote du chasseur et la qualité "extraordinaire" du Su35S, bien évidemment. J'émets une hypothèse : il y avait un A-50 dans la zone...

Vous me direz si c'est ici que l'on poste ce genre de message SVP, je ne suis pas sûr : "Un Su-35S a abattu 2 hélicoptères et 2 avions en une seule patrouille de combat (en Ukraine). Cela lui a pris 2 heures, avec 4 missiles. Su-24 et MiG-29 ou MiG-29 et Su-25, ce n'est pas clair. Et une paire de Mi-8. Source : https://t.me/fighter_bomber C'est un message du 30 décembre, l'évènement aurait eu lieu le 29 décembre. En attente de confirmation...

Les essais en vol du nouveau moteur PD-8 ont commencé, sur IL76LL. Quelques photos sur le lien ci-dessous. Le PD8 est plus petit que le moteur d'origine. On le verra peut-être un jour sur un avion militaire... https://bmpd-livejournal-com.translate.goog/?_x_tr_sl=ru&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp Traduction google : Comme indiqué le 26 décembre 2022, la Rostec State Corporation, qui fait partie de United Engine Corporation JSC (UEC), a commencé les essais en vol du moteur PD-8 conçu pour le SSJ NEW court-courrier et le Be- 200 avions amphibies installés sur le laboratoire de vol Il-76LL, propriété du LII nommé d'après M.M. Gromov JSC "United Aircraft Corporation" (UAC). Les principales données opérationnelles sont enregistrées - vitesse, pression, température, ainsi que des paramètres supplémentaires nécessaires pour confirmer les décisions de conception prises et assurer la sécurité du fonctionnement du réacteur. De la part de bmpd, nous soulignons que, à en juger par les photographies publiées, les essais en vol d'un prototype d'un turboréacteur à double flux prometteur PD-8 ont commencé au LII nommé d'après M.M. Gromov à Joukovski sur un avion de laboratoire volant Il-76LL avec le numéro d'immatriculation "76529". Cet avion (numéro de série 073410308, numéro de série 08-07) a été construit à l'origine en 1977 pour l'armée de l'air irakienne en tant qu'avion de transport militaire Il-76 de la première modification, en 1989, il a été renvoyé en URSS et converti en laboratoire volant Il-76LL4 (numéro d'enregistrement premier URSS- 76529, puis RA -76529) pour tester de nouveaux moteurs installés sous l'aile à la place d'un des moteurs standard D-30KP. En 1989-1990, il a été utilisé pour tester le moteur propfan D-236T et en 1990-1994 pour tester le moteur propfan D-27. Après cela, l'avion a été stocké à Joukovski pendant 20 ans. Après réparation depuis novembre 2015, en tant qu'Il-76LL, il a été utilisé pour les essais en vol du moteur PD-14. La création d'un moteur PD-8 prometteur avec une poussée au décollage dans la version de base de 7900 kg est réalisée par l'UEC avec le rôle principal de JSC UEC-Aviadvigatel (Perm). Le moteur PD-8 est en cours de création pour la nouvelle modification maximale "substituée à l'importation" de l'avion régional SSJ100, appelée SSJ NEW. Il est également possible de remplacer les moteurs de la famille D-436 de la production Zaporozhye par le moteur PD-8, en particulier sur l'avion amphibie Be-200. À l'avenir, sur la base du PD-8, il est possible de créer toute une gamme de moteurs, y compris le puissant moteur d'hélicoptère PD-8V. Les essais du générateur de gaz du moteur PD-8 ont commencé en 2021 et les essais au banc du premier prototype du moteur PD-8 ont commencé au début de 2022. Fin octobre 2022, Yury Shmotin, directeur général adjoint - concepteur général de l'UEC, a annoncé que des tests au banc de trois prototypes PD-8 étaient déjà en cours. La certification du moteur PD-8 par la Federal Air Transport Agency est prévue de manière très optimiste pour 2023.