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Kamelot

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  1. Mais bien sûr... et un plongeur du Génie pourrait très facilement devenir sous-marinier. Dans ce sens tout est possible, tout en remarquant qu'à un certain niveau ce sont plus des gestionnaires de Force et de conflit que de fins tacticiens du combat. Point intéressant, qui apporte de l'eau à votre moulin, la bataille navale de la Mer Noire doit beaucoup à l'apport des SBS qui comporte aussi des "terriens et aviateurs"... Les Anglois sont très structures interarmées pour des raisons d'efficacité, y compris budgétaires, avec plus ou moins de réussite. Dans ce sens cela a fait école avec le COS, et avec raison.
  2. Pour se faire à l'idée d'une certaine fonction de la Cavalerie et pour ceux qui auront la possibilité d'y assister : https://lignesdedefense.ouest-france.fr/a-coetquidan-le-12-juin-des-hussards-aux-drones-renseigner-sur-le-champ-de-bataille-depuis-la-grande-guerre/ Demain l'engin principal de combat ou d'observation sera possiblement un drone ou une plateforme robotisée, qui sait ? Après tout le début de l'aviation militaire "de l'armée de Terre" a reposé sur des traditions de la Cavalerie, faute de pouvoir l'utiliser dans des combats statiques. Elle a été réinventée sous une autre forme pour percer les lignes, avec au début le terme "d'artillerie spéciale". Mais c'est une autre histoire... Rien ne disparaît, tout se transforme, sinon il ne resterait plus rien.
  3. Oui, comme à une époque pas si lointaine des chars étaient versé à l'Infanterie et réciproquement avec l'infanterie à la cavalerie... L'Histoire et les Traditions ont leurs poids, l'emploi est plus progressif. En étant réserviste au 1er Rima, je n'ai pas trop fait la différence avec mon "vrai" Rima d'origine. De telles structures augurent peut-être des "GTIA préformés ou permanents". Certains y réfléchissent pour la cohérence et l'efficacité opérationnelle interarmes des unités. D'ailleurs même si les officiers supérieurs sont issus d'une Arme, aujourdhui il doivent penser interarmes et parfois interarmées. Bon, de là à attribuer un Terrien à la Marine, comme les Anglois, il nous faudra du temps et se faire à l'idée...
  4. Une certaine idée et fonction de la Cavalerie : https://lignesdedefense.ouest-france.fr/a-coetquidan-le-12-juin-des-hussards-aux-drones-renseigner-sur-le-champ-de-bataille-depuis-la-grande-guerre/
  5. Là aussi je demande à voir, tout en considérant les effets de la charge militaire restante, des IA et autres plateformes connectées. Et pourtant, d'un point de vue balistique "la solution" a déjà été essayé et encore récemment avec les résultats que l'on connaît : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Pariser_Kanonen (Humour) https://www.forcesoperations.com/amp/nous-avons-besoin-de-canons-qui-tirent-aussi-loin-que-des-roquettes-nous-avons-besoin-de-roquettes-qui-tirent-aussi-loin-que-des-missiles/ https://meta-defense.fr/2022/05/24/lus-army-abandonne-son-programme-de-super-canon-strategic-long-range-cannon/ https://meta-defense.fr/2024/03/12/super-canon-m1299-erca-abandon-us-army/ Etc... et idem pour la Navy. Bien entendu, la différence de portée va de 70/150 à 1500 km ! Certes les progrès techniques existent, surtout en terme de précision/guidage. Pour autant, l'employabilité, les sujétions mécaniques et les coûts d'une munition de canon auto-propulsėe et guidée semblent encore contraignants pour avoir un effet opérationnel probant. Le système de guidage et la portée annoncés devront être en corrélation avec les effets de la charge militaire, surtout sans un capteur terminal (?). Ce n'est pas le Pershing II, toutes propostions gardées... Toutefois le "canon à poudre" peut encore évoluer et surtout ses munitions. D'ailleurs il est envisagé un "module propulseur" sur une version future du "modulaire" Katana/Sabir de KNDS. Mais nous en sommes pas encore là avec la portée indiquée de 150 km..., sauf avec d'autres petits engins planants. https://www.forcesoperations.com/eurosatory-2024-le-developpement-de-lobus-de-precision-katana-desormais-accompagne-par-la-dga/
  6. En espérant de ne pas se retrouver avec des euro-PrSM-Typhon-LRHW Il y a balistique et balistique en fonction de la trajectoire et du comportement terminal du vecteur avec l'hypervelocitė. Et pour mémoire avec ou sans forces US en Europe... https://air-cosmos.com/article/trois-systemes-lance-missiles-longue-portee-americains-prochainement-deployes-en-allemagne-69101 Bien sûr avoir deux systèmes (balistique et aérobie) serait nécessaire dans le cadre d'ELSA. Entre un MdCM qu'il faudra faire évoluer ou remplacer et quelque chose de très versatile avec le développement d'un vecteur "V-max", il faudra peut-être choisir ou étaler dans le temps, faute de moyens financiers (!). Il en sera de même avec le programme FLP-T [Frappe longue portée terrestre] et sa large concurrence avec des engins de différents types pour répondre à la demande temps/portée/précision. Certains besoins et synergies techniques existent dans nos trois armées, il serait intéressant d'en tenir compte dans les développements pour rationaliser nos budgets et efforts industriels. Toujours attendre "l'Europe" et ses crédits ou une coopération politique, sans présenter un prototype ou un vecteur probatoire, nous conduirait à subir événements et décisions.
  7. La menace est aussi dans les airs : FPV contre Ka-52 Alligator !... https://www.capital.fr/economie-politique/l-armee-russe-perd-son-helicoptere-de-combat-le-k-52-alligator-d-une-valeur-de-16-millions-1513943?utm_campaign=Nonli&utm_medium=Social&utm_source=Facebook&utm_content=Capital.fr&utm_term=photo&fbclid=IwQ0xDSwKXGq5leHRuA2FlbQIxMQABHtZ3vpNNq3P70rtdLdV_UqcOpzy_nawj4Eh4TGXCTkRDaR7laceFguW2RU7B_aem_aN-h9-3QecVEiWRawjEtLg Autant le drone peut contrer les drones et les hélicoptères, autant il peut participer à la manoeuvre héliportée en tant que moyen de reconnaissance ou de MTO... La llmite se trouvera dans la conscience du champs de bataille et la densité des liaisons de données. Cette première interception était annoncée :
  8. Et même l'ALAT le fait... https://www.opex360.com/2025/05/18/airbus-helicopters-va-equiper-lhelicoptere-nh-90-avec-des-munitions-rodeuses-espagnoles-q-slam-40/
  9. Les Paras comme les Alpins sont avant tout des unités comme les autres avec une spécialisation. Leurs matériels et structures sont pratiquement les mêmes. Ils sont pressentis pour des emplois dans des contextes difficiles comme le combat urbain ou les climats extrêmes. Seuls certains matériels diffèrent pour la mise en place et accomplir la mission avec un minimum de mobilité. L'aéromobilité pour déborder ou accéder aux arrières ennemies (Elle se pratique par voie terrestre par beaucoup d'unités, y compris les Transmissions) ou pour une longue élongation engendrent moult complications pour l'emport des matériels et le support logistique. À l'évidence l'usage de grandes unités n'est pas un sport de masse et sous condition d'avoir des porteurs en nombre suffisant et une relative maîtrise de l'air. Donc : pas simple ! Toutefois sur des missions de courte durée et/ou à défaut d'hélicoptère lourd, cela peut se faire pour générer la surprise. En haute intensité en centre Europe les occasions sont rares pour se projeter à l'arrière des lignes, de vive force, des unités importantes, voire réduites. Cela demanderait sûrement une opération combinée interarmes et interarmées avec un temps réduit dans un espace lacunaire pour créer une tête de pont sur un axe offensif. Il y en a qui ont donné en Ukraine... Les Opérations Spéciales sont "autre chose" même s'il y a des similarités techniques. Y aller est une chose, combattre dans la durée une autre et être rejoint où en revenir encore une autre et sans évoquer le sacrificiel pour "l'honneur"... Les aspects "commando" ou "choc" sont à prendre avec prudence pour ne pas griller inutilement des unités de valeur dans des combats très abrasifs, voire impossibles. Même au temps de la DOT finissante le combat "commando" avec embuscade et imbrication était pratiqué. Cela relevait plus des techniques de partisans et autres moudjahidines. Le fait est que chaque régiment veut "ses commandos" et maintenant "ses drones" et que beaucoup d'officiers sont brevetés Para. Histoire, réputation, mode, emploi, valorisation..., ne sont pas toujours au rendez-vous des résultats attendus. Par contre, le "passage initiatique de la porte" est une constante.
  10. Kamelot

    [Rafale]

    Et bien on le met en soute avec un supplément comme chez easyMissile. À ce sujet, le MICA est adapté aux soutes d'après son constructeur. Il serait intéressant de faire des tests d'éjection/séparation avec un proto du futur UCAV ou "équipier d'accompagnement avancé connecté et toussa" du standard 5. Cela pourrait servir. https://www.areion24.news/2025/05/14/systemes-de-combat-aerien-futurs-y-a-t-il-un-pilote-dans-lavion-de-sixieme-generation/
  11. Kamelot

    [Rafale]

    Bon ok, je ferai signer la copie par mes parents... pffff !
  12. Kamelot

    [Rafale]

    Sans rouvrir le dossier, mais pour la compréhension : ouvrez le ban ! Tout à fait, le Rafale a peut-être connu une collision aviaire, ou le pilote par mégarde et après une longue mission a appuyé sur le mauvais bouton ou poignée, ou bien encore il s'agit d'un missile perdu qui a trouvé un objectif via un autodirecteur AESA avec IA...? Chacun y trouvera son plaisir. Effectivement le triptyque radar (Saab), J-10C et le missile PL-15 ("débridé" avec LAM montante/descendante ?) pourraient être à l'origine d'une nouvelle tactique collaborative avec navigation du missile sur les indications ou commandé par un tiers au plus loin. Un découplage détection-ciblage-suivi avec le tireur est envisageable, y compris sous d'autres formes. Après tout il ne s'agit que de transmissions de données, de codes et de latences. Sur le papier c'est simple, pratiquement c'est certainement autre chose, même si les futurs superfurtifs auront leurs drones ! En attendant cela ne fait pas rire les Ricains, surtout dans le Pacifique. De plus, sans connaître les paramètres de l'engagement supposé, il est difficile d'être affirmatif. La localisation de la base aérienne a aussi, peut-être, aidé. Fermez le ban ! Même sans connaître la vérité vraie, cela fait réfléchir pour les futurs standards du Rafale, l'enrichissement de la bibliothèque de SPECTRA ainsi que l'intégration qu'un leurre actif décalé à trajectoire adaptée, évoquée à une époque. Sans être un minimum véritablement discret, un "super-Rafale omothétique" risque d'être une daube pour son époque. Il faudra bien passer à une autre cellule ou autre chose avec des techniques différentes. Par exemple : https://www.opex360.com/2025/05/17/lonera-va-coordonner-des-projets-europeens-sur-lautomatisation-du-combat-aerien-et-la-furtivite/ Et d'ici là les techniques de détection auront sûrement évoluées, la course est permanente...
  13. Les trucs révolutionnaires auto-propulsés doivent toujours faire leurs preuves en terme d'effets, de résilience, de soutenabilité et d'accessibilité. Dans le cas présent, je demande à voir...
  14. En matière de portables et de réseaux non protégés, il y a des exemples récents et célèbres, y compris dans nos Forces et la classe politique ! Aujourdhui il faut se méfier, en plus, du Cyber-numérique, comme au temps des "murs qui avait des oreils" ou des ascenseurs de la ligne Maginot... Filtrer et évaluer ne veut pas dire casser mais sélectionner, orienter et accompagner par l'exemple. Tout le monde peut servir son pays dans différentes fonctions sans forcément atteindre toutes ses ambitions. L'armée vient aussi en aval de l'Education Nationale et d'une société normalisatrice qui voudrait que des savants, sachants et footballeurs. Cherchez l'erreur ! J'ai souvent entendu mes grands-parents dire que de leurs temps les jeunes étaient "meilleurs" et mieux éduqués. O tempora o mores et bis repetita plus que deux fois... Certaines "terreurs auto-dėclarėes avec un mental en-dessous de la ceinture et le béret vissé sur le coin d'une tête microcėphale" et malheureusement gradées ne feraient pas un pli au combat, de par leurs attitudes et compétences. Ne le répétez pas, je n'ai rien dit, mais il y a eu des faits historiques avec des accidents de tir... Commençons par bien présenter les besoins, affiner les sélections et faire le ménage dans les encadrants, si nécessaire et en toute transparence. Personne n'est exempt de surveillance et de critiques dans nos Armées. L'omerta et un catégoriel toxique sont contre-indiqués. Il en va de sa crédibilité et la valeur morale de nos Forces, à moins de vouloir se comporter comme des russes. Il y en a qui aime et c'est un choix de civilisation...
  15. Pour rebondir sur cette expression intéressante, il ne faut pas confondre les Armes et les armements avec leurs usages ainsi que les moyens "blindés" qui se généralisent dans tous les domaines terrestres, y compris les unités des Commandements Alpha, FS et Services transverses. Je ne prendrai qu'un simple exemple non limitatif avec le 1er RIMA. Par moment la frontière est ténue par l'emploi interarmes et les phases des combats avec l'introduction du coopératif infocentré. Mais chacun retrouvera ses petits, y compris au sein d'un GTIA "bon de guerre".
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