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Casse gueule garanti: qu'est-ce que "l'art opérationnel"?
max a répondu à un(e) sujet de Tancrède dans Histoire militaire
Nan, c'est la tactique de la t'naille dans la forète de Machecoule. OK, je sors ... ;) -
Systèmes de recrutement: quelle meilleure armée pour quelle tâche?
max a répondu à un(e) sujet de Tancrède dans Histoire militaire
Ben non, il oserait pas ! ;) -
Soucis d'accès sur le forum
max a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Remarques et idées
YES! le miracle est arrivé, thanks a lot. ;) -
Soucis d'accès sur le forum
max a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Remarques et idées
Oups, je ne vois plus la rubrique "derniers messages non lus depuis votre dernière visite.."... ni plus d'avatars nul part... Au secours g4lly ! Please ! That's an emergency's message. :'( :'( :'( -
Les camouflages « exotiques » du 13 remontent au début des années 80, de même que la coupe et la texture de leurs vêtements. Ils sont réellement dans l’hexagone des pionniers en matière de création liée à l’environnemental (notamment dans une expression de besoin clairement définie). Le GIGN, le COS, l’UFV et la garde présidentielle ont été dans une moindre mesure plus tardive dans la création (fin des années 90). Le problème de la conception, quelle qu’elle soit, se situe surtout au niveau de la possibilité dans la petite série. Nonobstant le prix unitaire, la réactivité et surtout les différentes variantes de thèmes, la problématique est entièrement liée à la faisabilité sur site de production. Etonnamment dans ce domaine, ces clients là restent très attachés au territoire national…
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Le Mindef/Minarm - Successeurs - Nomination - bilan et actions
max a répondu à un(e) sujet de zx dans Economie et défense
N'en déplaise à certains, Hernu avait laissé un petit quelque chose dans la mémoires de ceux qui ont bossé avec lui. Si si ;) -
Qualités et performances des troupes
max a répondu à un(e) sujet de Tancrède dans Histoire militaire
En fait en te lisant Tancrède ça me fait penser au topo raconté par ma dernière fille lorsqu’elle est revenue de sa JAPD, j’en reste pensif (mais pas ma femme)… Pas par le contenu de cette journée (articulation, pertinence...etc.…), mais par son ressenti. Il y est question de fatigue, de galère ( ?). Toutes ses copines ont passées une « dure » journée, les copains pareils, puis « ça sert à rien », puis « s’est immonde ce que l’on mange », « on nous prend pour du bétail », « il a fallu prendre le train », « pas facile de trouver la caserne machin », gna gna gna... Je pense que ça va être sympas pour cette génération de programmer quoique ce soit pour l’aération du neurone et du corps … ;) -
roulotte de campagne ?
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Pas encore trop vieux. Fond de sac Mailly ; - chaussettes bouclées/tige haute de rechange - Lysopaine/théralhen pectoral - FMVB/bâton de berger/pain Polka - Goretex trois couches perso (du Kerdier c’est bien) - Cagoule Windstopper - Petzl à leds frontal - Sur sac de couchage - moufles « pince de crabe » polaires En version été je rajoute de la lotion de Foucault et du talc, en version hiver du viandox ! =D =D =D
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... en parlant de 105, je n'ai toujours pas ta réponse sur l'unité de feu en dotation initiale... :'( :'( :'(
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Je n’ai aucune peine à te croire, vraiment. Le premier « ancien » avec lequel j’ai commencé sur TBU 15 CLD en équipe de dépannage carburait sur le terrain à la sardine à l’huile et au vin rouge… mais à toutes heures et pas seulement pour 24 h00. Plonger dans un trou d’eau sur piste à char pour récupérer une goupille de galet tendeur sur AMX 13 sanitaire déchenillé ne lui pesait aucun problème. D’ailleurs le seul geste qu’il faisait avant était de me donner son portefeuille avec ses papiers pour les tenir au sec (Münsingen en Automne…). Ou encore cet autre énergumène légèrement alcoolisé pour qui la mécanique ne commençait à devenir digne d’intérêt qu’à partir de l’échange standard du GMP avec si possible du moyen de levage adapté (donc rien), de nuit et avec un TC2 très loin dans la pampa. Un peu comme cet autre ci pour qui toute intervention n’était réalisable qu’après une bavette à l’échalote ( peu importe alors le niveau d’inter’, l’appro de pièces ou le délai d’immo’…). Seul dénominateur commun de cette faune particulière ; le dépassement et la capacité technique coute que coute. Bien évidemment aujourd’hui la relève est là et ne démérite en rien dans son potentiel (notamment au regard de ses ainés), mais je constate que la rusticité et les moyens sont pour le moins différents.
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Thanks a lot for the engineers of the mechanical diesel corps ! ;) ;) ;)
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tu me le souffles :'( ... moi qui étais si content de retrouver la disposition du lot de bord et des épiscopes de caisse. Je boude O0
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Quelqu'un à d'autres infos sur cette colonne ? je reste un peu sur ma faim avec cette approche marketing... ;)
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Un chassis de Vickers 6 T c'est sur.
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C'est un concept séduisant ;)
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Il a bien changé le TRF 1... ;)
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Un des moyens les plus efficaces pour ne pas avoir à décaper au Karcher pendant des heures un engin crotté au retour d’une mission est de le « Gasoiler » avant. l’UC (Unité Collective ; lot d’outillage) en dotation dans les NTI1 intègre des pistolets à Gasoil avec de gros godets à brancher avec le tuyau d’air du lot de bord véhiculaire. Il faut pulvériser grassement le gasoil pur sur le bas de caisse et dans les passages de roues (mais en faisant attention à ne pas déborder sur les pneumatiques pour les véhicules à roues). La boue accumulée (même sèche) se décolle alors beaucoup plus facilement lors d’un nettoyage haut pression, même à froid. De la sorte on insiste moins avec le jet haute pression lors du décapage, permettant ainsi d’épargner un peu plus la peinture. Contrairement à des idées reçues, l’adjonction d’une solution lessivielle (savon liquide) lors du passage au Karcher n’améliore pas le décapage des boues sur les trains de roulements chenillés. Dans ce cas seul d’abord un passage à la fosse et ensuite un décapage haute pression permet un bon résultat. Pour les boues calcaires (Mourmelon, Bitch, Suippes et Mailly-les-bains) le savon liquide est remplacé par du vinaigre en petite quantité, permettant ainsi de casser le film blanchâtre résiduel une fois le véhicule sec. Le lavage est nettement plus performant lorsqu’il s’effectue sous température (minimum 40°). Dans certaines formation la séance de lavage véhicule est assortie judicieusement d’une mise en œuvre du lot de décontamination régimentaire dans la chaine de nettoyage. Ce lot intègre des motopompes AS et des douches de décontamination pour l’homme, permettant ainsi de disposer d’eau chaude. Pas trop éco-responsable le militaire parfois ;)
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Effectivement une peinture « miracle » a été mise en service il y a pas mal d’années. Elle était annoncée par le Matériel comme étant particulièrement « accrochante » sur tous types de supports, ne nécessitant ainsi pas ou peu de préparation. A part quelques opérations standards au papier cache et un lavage haute pression, rien n’était requis. En revanche et après le voilage, le temps a été son pire ennemi, car au bout de quelques mois de franches pelures d’orange apparaissaient, et partout. Donc oui à la rapidité pour la pose, non au pour le « weathering ». Pas de nouvelle depuis. Dans le cas d’un matériel mobilité terrestre, le plus long et surtout ce qui conditionne la tenue dans le temps d’une peinture complète c’est la qualité apportée à la préparation, surtout pour ce qui part en OPEX. Les peintures à base de résines polyuréthanes (qui sont depuis plus de 20 ans en dotation dans les RMAT équipés d’une cabine de peinture) demandent hélas une préparation longue. Il est vrai aussi qu’un matériel militaire est perclus de sous ensembles (mobiles ou non) dont les formes sont pour le moins éloignées du galbe simple d’une aile ou d’un capot. La tenue dans le temps d’une peinture est essentiellement lié à la qualité de son support lors du voilage, donc tout repose sur ce que l’on fait en amont ; - dégraissage complet des liaisons articulées (suppression des suintements d’huile et de graisse) - ponçage fin de TOUT ce qui doit être voilé (et ici précisément se fait la différence) - application du papier cache sur les points ne faisant pas l’objet d’un voilage (très gourmand en temps) - application des conditions de transfert (température du support notamment…) - strict respect du temps de séchage (pas souvent l’apanage du militaire ça) La peinture pour la bourrellerie a fait aussi quelques progrès depuis une dizaine d’année, et tient maintenant correctement dans le temps. En fait aujourd’hui un véhicule qui pèle est un véhicule mal préparé ;).
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Mark VII Tetrarch faisant parti de la vingtaine d'exemplaires envoyés en Union Soviétique , 1941. Un des seuls chars, à ma connaissance, dont la direction s'effectue par un mouvement des roues de routes qui gauchit les chenilles pour former un arc de cercle.
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Train de roulement T 64, rabats lattéraux relevés avec Youri à l'entretien premier échelon ...
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Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
max a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Exact. Et au déplaisir de certains, j’estime le CAESAR n’être qu’un pisse-feu à roulette. Une espèce de TR F1 auquel on a greffé des moyeux et une chaudière. Je ne vois de positif à ce tube là que d’être bon à être projeté par les airs, rien de plus. Les vidéo représentant les servants à activer le tir me laissent pantois, quel recul en arrière, quelle tromperie. Tant que les canonniers resteront à découvert au pied de leur pièce, on ne me fera pas dire que l’on a fait des progrès depuis l’AUF 1 dans l’artillerie. Il est inadmissible de considérer qu’en 2010 cette solution pour servir une pièce (fut-elle légère) est convenable. Comment peut-on encore accepter aujourd’hui qu’une mise en batterie, même Flash, nécessite cette voltige à l’air libre des canonniers ? L’artillerie d’assaut en particulier, mais aussi l’artillerie en générale est bradé. On sauve la mise par l’opportunité de projection, certes, mais alors on se concentre sur de l’entré de gamme pour les servants. Il y avait largement matière à innover contre la pénibilité et le risque par de l’asservissement et de la protection, j’en reste persuadé. -
Qualités et performances des troupes
max a répondu à un(e) sujet de Tancrède dans Histoire militaire
Qualités et performances des troupes … Sur une mission donnée ou sur la distance dans le temps ? Sur un savoir faire précis ou sur un spectre métier plus large ? Sur un ratio de pertes humaines défini ? Sur une consommation RAV/MEC/SAN de dotation initiale ? Sur un timing d’objectif obtenu ? Sur une rallonge de mission malgré la relève prévue ? Sur la résilience au contact ? Sur l’adaptation de moyens assez moyens ? Sur … Eclaire ma lanterne Tancrède, je me perds … ;) -
Quiz identification unité
max a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Quiz identification
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Quiz identification unité
max a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Quiz identification
Je n'ai rien contre les HD UHU, je plaisantais ;). Quoique, les 120 décibels délivrés par chaque gamelle en Full, les hectolitres d'huile de ricin brulés et consommés à chaque centaines de mètres laborieusements parcourus, les dégradations importantes et répétés du bitumes à chaque raclure de la béquille, la capacité du dé à coudre servant de réservoir ... T'aurais pu rouler en BM quand mème.