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le parcoure de Mokhtar Belmokhtar
Exclusif : un repenti révèle le vrai visage de Mokhtar Belmokhtar
Il a participé à la création d’un des tout premiers groupes salafistes dans le Sahara, dans les années 1990, aux côtés de Mokhtar Belmokhtar. Tahaoui, terroriste repenti, raconte à El Watan Week-end, comment l’ennemi public numéro 1 s’est peu à peu détaché d’AQMI pour devenir leader de son propre groupe.
Quand je vois l’importance que les médias donnent à Mokhtar Belmokhtar, je suis toujours étonné. J’ai vécu à ses côtés pendant dix ans et je crois que seul le hasard lui a permis de devenir le terroriste qu’il est aujourd’hui. Belmokhtar est un homme comme les autres. Ce sont les circonstances qui l’ont amené à accepter une mission qu’il pense sacrée. C’est vrai, il maîtrise parfaitement l’art de la guerre et son expérience en Afghanistan a fait de lui un bon commandant militaire. Mais cela ne l’a pas empêché de prendre de mauvaises décisions, et c’est, à mon avis, ce qui l’a empêché d’arriver au sommet des organisations terroristes en Algérie, que ce soit le GSPC, le GIA ou AQMI. Il n’était même pas membre du majliss echoura d’AQMI avant sa dissidence.
Al Qaîda avait besoin de lui pour son expertise de la guerre dans le désert et son réseau de connaissances qui s’étend de la Tunisie jusqu’au Congo. Ce que Belmokhtar a le mieux réussi, finalement, c’est de rester vivant pendant vingt ans de cavale. Il savait très bien qu’après l’arrestation, en 2003, de Abderrezak El Para, il était le second sur la liste. J’ai appris qu’il était entré en contact avec les services de sécurité algériens pour profiter du dispositif de la réconciliation nationale (2006). Je crois que son seul but à l’époque était de rester en vie et de gagner du temps. Il sait entrer en contact et négocier avec tous les bords quand il s’agit de son propre intérêt, qui passe avant ceux de son groupe.
Contrebond
Il a eu des contacts avec des personnalités très importantes au Burkina Faso, au Niger, en Mauritanie, au Mali, en Guinée. Mais on ne peut pas lui faire confiance, car je le sais capable de se débarrasser de ses alliés sans aucun remord. J’ai rencontré Belmokhtar, pour la première fois, en février 2004. Mohamed Halis (voir ci-contre : «Parcours d’un djihadiste») m’avait demandé, ainsi qu’à cinq autres combattants, de nous rendre à Ghardaïa et de rencontrer l’émir Mohamed Bida. Il voulait organiser une opération importante. Mais en décembre 2006, les émirs de Ghardaïa ont été éliminés les uns après les autres. Bida, Msitfa et Ben Abdelnabi. Ce dernier avait ordonné de partager les hommes armés en deux groupes : un sous son commandement et l’autre sous celui de Belmokhtar. Ce dernier a alors décidé de se diriger plus vers le Sud pour protéger ses hommes. Je faisais partie de ceux-là. Nous étions 38 avec 2 voitures et un camion. Heureusement que certains d’entre nous, ceux originaires d’El Ménéa, savaient s’orienter en plein désert.
Le pouvoir nous a offert le désert sur un plateau d’argent, lorsqu’il a détruit, en 1992, la machine de contrebande que gérait Hadj Bettou. C’était un hors-la-loi qu gérait des groupes de contrebandiers armés et bien entraînés de plus de 200 hommes. Chadli et le pouvoir tout entier avaient là un outil non officiel pour contrôler le désert et surveiller les frontières. Mais l’arrestation de Hadj Bettou, ordonnée par Boudiaf, a provoqué une situation de chaos. D’autres groupes de contrebandiers que l’Etat ne contrôlait plus ont émergé. Cela a coïncidé avec notre arrivée dans la région et nous a facilité les choses. Certains éléments de Hadj Bettou nous ont même rejoints, nous avions besoin de leur expérience pour savoir comment bouger dans le désert. Un jour, Belmokhtar n’a plus accepté d’obéir aux émirs et a décidé de rompre son allégeance à Antar Zouabri. Il a alors écrit à plusieurs émirs de l’Est et de l’Ouest. Il a été le premier à désobéir et l’un des premiers à soutenir la dissidence de Hassan Hattab.
Ifoghas
C’est pour cela qu’il se voyait devenir le remplaçant de Hattab à la place de Droudkel. En 1996 et avant la dissidence du GIA, Belmokhtar recevait des messages de Djamel Zitouni lui demandant de s’approvisionner en armes à partir de la Libye et du Niger. Le GIA souffrait d’une crise aiguë d’armement à cause du siège de l’armée. Surtout les armes légères, les RPG et les explosifs. Belmokhtar a donc envoyé quatre hommes de son groupe à Agadez au Niger, et à Gao au Mali, pour ramener des armes bon marché. C’est à ce moment-là que s’est posé un autre problème : celui de l’argent. On avait décidé de voler les véhicules des entreprises publiques et de les vendre au nord du Mali. Hassan Hattab aussi était pour cette idée, ce qui l’a rapproché de Belmokhtar. Les armes étaient transportées du Nord-Mali vers Tamanrasset ou Adrar avant d’être acheminées plus au nord par les groupes de Hassan Hattab. On ne s’aventuraient que très rarement jusqu’à Biskra ou le mont Boukhil à Messaad (Djelfa).
Souvent, les services de sécurité interceptaient ces cargaisons. Des années 1990 jusqu’en 2001, les frontières n’étaient pas autant contrôlées par les services de sécurité. Nous circulions assez facilement. Nous n’étions pas encore installés au nord du Mali bien que depuis 1997, nous avions commencé à préparer des caches à Tigharghar et dans le massif des Ifoghas. Car en 1996, il a fallu fuir les régions où se trouvaient les bases aériennes et les forces spéciales, Ouargla et Laghouat, pour se déplacer vers l’extrême-sud, Tamanrasset et le nord du Mali. Nous avions aussi commencé à entrer en contact avec des officiers et des dissidents de l’armée malienne, parce que là-bas, dès que tu as de l’argent, tu peux tout acheter.
«Enturbannés»
Je n’ai jamais vu Belmokhtar aider un trafiquant de drogues, mais on ne s’opposait pas aux passages des contrebandiers par les zones que l’on contrôlait, parce qu’ils avaient beaucoup d’informations sur le positionnement des forces de sécurité algériennes. Belmokhtar ne voulait pas d’affrontement avec les contrebandiers car il savait que toute l’économie du Sahara repose sur la contrebande. La perturber aurait signé notre fin. Mais en 1999, tout a changé. Belmokhtar a demandé à ses hommes de se rendre dans les maquis du nord de l’Algérie pour transporter des armes mais en leur recommandant de faire un détour par In Salah pour voler des 4x4 d’une multinationale pétrolière très bien gardée par l’armée. Tous les djihadistes ont été décimés par les militaires. C’est là que Belmokhtar est entré en conflit avec le mufti du GSPC.
Plusieurs émissaires ont rencontré à Sid Ali Bounab, à côté de Tizi Ouzou, Hassan Hattab pour se plaindre de l’autoritarisme de Belmokhtar. Ce dernier avait échangé quelques lettres avec le chef du GSPC qui était déjà dans des étapes avancées de contacts avec le pouvoir pour se rendre. Le chef du GSPC a donc décidé d’envoyer Abderrezak El Para comme émir du groupe du Sahara en 2000. En mars 2001, Belmokhtar, à qui Hattab avait exigé de rester au GSPC, nous a réunis pour nous demander de choisir entre lui et le nouvel émir, El Para. Un groupe est parti avec El Para, les plus anciens sont restés avec Belmokhtar qui s’est auto-proclamé émir des djihadistes algériens au Nord-Mali. Lors d’un accrochage avec des gendarmes maliens, ces derniers ont appelé leurs assaillants «les enturbannés». Ce nom a plu à Belmokhtar qui l’a gardé pour le donner à sa katibat. Il s’est marié avec une femme barabiche (tribu arabe des régions frontalières du Sud) pour éviter tout coup bas d’El Para. Un troisième groupe a décidé d’arrêter l’action armée, certains sont même partis au Mali. C’est à ce moment-là que j’ai pensé à me rendre.
Parcours d’un djihadiste :
Après dix ans de «djihad», Tahaoui, 56 ans, s’est rendu aux autorités en 2002. Il vit aujourd’hui à Adrar, où il travaille dans les transports. «Jusqu’en 1993, j’étais enseignant. Les gendarmes m’ont arrêté deux fois parce que certains de mes proches étaient membres du Front islamique du salut. Certains étaient même au GIA. Je suis resté quatre mois en prison alors que la justice n’avait aucune preuve contre moi.»
Après cet épisode, il décide de rejoindre le Mouvement islamique armé, dirigé par Mohamed Saïd et Abdelkader Chebouti. «Mais le MIA n’était pas très présent dans le Sud, qui appartenait complètement au GIA, dirigé à l’époque par Sid Ahmed Mourad alias Djaffar El Afghani. Je connaissais personnellement Mohamed Halis, alias Abou Talha Al Janoubi, l’émir de la seriat de Laghouat, tué par l’armée en 1994. Je l’ai rencontré en 1993 grâce à un membre de l’ex-FIS, à Djebel Lezreg. C’est à partir de là que j’ai commencé mon action armée.»
http://www.elwatan.com/une/exclusif-un-repenti-revele-le-vrai-visage-de-mokhtar-belmokhtar-25-10-2013-232532_108.php
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@ Honey
Les MRAP en effet seraient utiles contre les IED et explosifs des membres d'AQMI. Pour l'artillerie vous avez vos Smerch mais ce serait bien aussi des obusiers automoteurs (style 2S19 ou PZL-05) et de l'artillerie tractée. Vu l'immensité de votre pays ce serait très utile.
Pour l'équipement individuel c'est une bonne chose de produire local car c'est la base d'une industrie de défense et si vous avez besoin d'une commande urgente ça va plus vite que de faire venir de l'étranger.
pour se qui est de l'artillerie tracté l'armée de terre et la marine ont aquis aupres de la chine des Obusier Auto-Mouvant ASH-1 de 155mm
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En tout cas dans mon livre sur la guerre Iran-Irak ils expliquent que l'Algérie a été impliquée dans ce que l'on a appelé l'accord d'Alger en 1975. C'était un accord qui entérinait la frontière entre les deux pays, mais que Saddam Hussein a ensuite dénoncé.
la politique étrangère algerienne de l'époque était de défendre la cause du tiers monde dons le monde arabe et elle contribuer diplomatiquement et activement pour résoudre les conflit entre états du tiers monde dans elle considéré que la plus part étant fomenté de l’extérieur , c'est ainsi que la diplomatie algerienne est contribuer grandement a la résolution de nombreux conflit dons le conflit iran-irak , la guerre civile libanaise dont la fin de la guerre est en grande partie due au effort de la diplomatie algerienne , d'ailleurs l'actuel émissaire de l'onu pour la syrie lakhdar brahimi est l'un des architecte de la paix au Liban.
il y a aussi d'autre conflit peut connue comme la guerre des trois jour entre la Libye de khadafi et l’Égypte d'Anouar el-Sadate du 21au 24 juillet 1977
La guerre égypto-libyenne est un conflit de courte durée entre la Libye et l'Égypte à la frontière de ces deux pays en juillet 1977. La tension entre les deux pays était progressivement montée depuis 1973 à la suite du changement d'orientation de la politique internationale égyptienne après la guerre du Kippour, notamment le rapprochement avec Israël et les distances prises avec l'URSS. Les combats ont débuté à la frontière le 21 juillet 1977 à l'initiative de la Libye, suivis par des attaques terrestres et aériennes des deux côtés. Le conflit a tourné à l'avantage des armées égyptiennes, qui ont occupé plusieurs villes frontalières. Un cessez-le-feu a été conclu le 24 juillet, sous l'égide de Houari Boumédiène, président de l'Algérie.il y aussi de nombreux autre conflit étouffé dans l'Œuf par la diplomatie algerienne ou est a contribuer notamment dans le monde arabe , la fin de la guerre civile 1970 puis la Réunification en 1990 du Yémen , la médiation algerienne a de nombreuse reprise entre le soudan et l’Égypte qui ont frôlé plusieurs fois le conflit ouvert au sujet des eaux du Nil , médiation aussi entre la Syrie de hafs el assad et l’Irak de sadam ...ect
pour en revenir au rôle de l’Algérie dans la guerre Iran - Irak elle était neutre et jouer de ça neutralité pour faire une médiation entre les deux pays pour mettre fin au conflit , la diplomatie algerienne était sur le point d'arracher un cesser le feu entre les deux pays mais sadam husseyn avait fait subitement volte face , il aurait fait abattre l'avion civil transportant le MAE algérien de l’époque qui venait de quitter l’Irak en direction d’Iran dans le cadre de la médiation.
Statuts:
Date: 03 MAI 1982
Type/Sous-type: Gulfstream Aerospace G-1159 Gulfstream II
Operator: Algerian Government
Immatriculation: 7T-VHB
Numéro de série: 230
Année de Fabrication: 1978
Equipage: victimes: 4 / à bord: 4
Passagers: victimes: 10 / à bord: 10
Total: victimes: 14 / à bord: 14
Dégats de l'appareil: Perte Totale
Conséquences: Written off (damaged beyond repair)
Lieu de l'accident: Qotur (Iran)
Phase de vol: En vol (ENR)
Nature: Affaires
Aéroport de départ: ?
Aéroport de destination: Tehran-Mehrabad Airport (THR/OIII), Iran
Détails:
The Gulf was en route from Cyprus to Tehran at FL370 with the Algerian foreign minister on board when it was shot down by an Iraqi Air Force MiG-25PD fighter aircraft. The crew had been warned by the Air Defence Radar operator who requested the pilot to return to Ankara.
Sources:
» Exhumating the Dead Iraqi Air Force / Tom Cooper (ACIG.org)
temoignage de L’ex- ministre des affaires présidentielles et étrangères irakiennes
Hamed El Djabouri à El-Djazira : le secret de la mort de Boumediene et de Benyahia
Le défunt président Algérien Houari Boumediene. L’ex- ministre des affaires présidentielles et étrangères irakiennes, Hamed El Djabouri, affirme que le président Houari Boumediene est mort empoisonné suite à sa visite dans la capitale syrienne, Damas où il a assisté à son dernier sommet arabe. L’ex- ministre des affaires étrangères algérien Mohamed Seddik Benyahia, aurait lui, été victime d’un tir de missile irakien.
El Djabouri, qui témoignait dans l’émission «Chahid ala el Asr» (Témoin de l’Epoque), sur la chaine « El-Djazira », relate qu’il avait vu le président Boumediene se transformer en fantôme suite à l’effet du lithium. Il précise : «Boumediene a commencé à maigrir jusqu’à ressembler à un fantôme, ses cheveux sont tombés et ses os sont devenus si fragiles qu’ils se brisaient facilement». El Djabouri poursuit: « je savais de quoi souffrait le président Boumediene; il a été empoisonné avec un type de poison ravageur: le lithium, et j’ai eu à voir un cas similaire ici en Irak et l’issue est la mort pour quiconque en consommerait».
El Djabouri révèle qu’il se tenait constamment au courant de l’état du défunt président étant donné la place de l’Algérie dans le cœur des irakiens, et que le docteur Ahmed Taleb El Ibrahimi le renseignait sur l’évolution de la santé du président Boumediene –dieu ait son âme- et qu’il lui a confié, lors des derniers jours du président, que le «siège» s’est durci en ce qui concerne les visites quotidiennes de sorte qu’il était le seul à le voir ainsi que quelques personnes très proches car Boumediene avait réellement l’air d’un spectre.
D’autre part, El Djabouri, a levé le voile sur le meurtre de l’ex- ministre des affaires étrangères algérien Mohamed Seddik Benyahia, le 03 mai 1982 suite à l’explosion de l’avion qui le menait de l’Irak vers l’Iran. Rappelons que feu Benyahia agissait en médiateur pour faire cesser la guerre entre les deux pays.
Selon le témoin d’El Djazira, quelques mois après l’assassinat de Benyahia, l’ex- président Chadli Bendjedid aurait délégué son ministre des transports en Irak où il s’est réuni avec le défunt président Saddam Hussein et lui-même.
El Djabouri déclare que le ministre algérien des transports portait un grand registre qu’il a présenté à Saddam et qu’il l’a informé que l’Algérie avait ouvert une enquête sur l’assassinat de son ministre. Pour cela, l’Algérie a procédé à des prélèvements des débris de l’avion et du missile qui l’avait descendu. Des expertises ont été réalisées à l’aide d’experts et de militaires russes, et il est apparu que le missile était irakien, de fabrication russe et ses débris trouvés du côté de la frontière iranienne prouvent qu’il a été tiré à partir du territoire irakien.
Donc, continue El Djabouri, il a été prouvé par la suite que l’avion de Benyahia a été touché par un missile terre-terre tiré à partir d’un avion irakien. Pourquoi, s’interroge El Djabouri, le ministre algérien des transports a-t-il remis le registre à Saddam en lui disant que l’Algérie pensait que son ministre a été tué par des mains irakiennes ?
Saddam est resté pantois et n’a proféré aucun mot mais il était visiblement décontenancé et sur ces entrefaites, le ministre a pris congé en disant: «Au revoir Monsieur le Président».
El Djabouri est amer lorsqu’il relate l’entêtement de Saddam à s’engager dans une guerre avec l’Iran et son rejet de toute médiation musulmane ou africaine qui aurait pu le convaincre que cette guerre était fomentée par les américains. Saddam aurait refusé d’écouter le président Chadli lorsqu’il l’a rencontré, selon l’ex ministre irakien.
Chadli aurait confié à El Djabouri qu’il avait en vain tenté de convaincre Saddam de renoncer à la guerre contre l’Iran. L’ex président irakien avait également fait fi de la médiation pakistanaise, puis guinéenne. Pour El Djabouri, la guerre irako-iranienne a englouti les enfants des deux pays et gelé le processus de développement de l’Irak.
El Chououk
bref ça explique en partie la politique de neutralité algerienne dans les conflit actuel qui ne se mellent plus des conflits étranger certainement un tromatisme de la décinie noire algerienne qui s'est retrouver seul face au terrorisme dans les années 90 ou les pays qu'elle avait soutenue hiers lui avait tourné le dos .
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AW-119MKII [Koala]
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les SMT renvoyer en russie ont étaient remplacer par plus de SU-30MKA
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beaucoup d'affirmations mais qui ne reposent sur aucune preuve présentable , la téorie du complot sur le 11 septembre 2001 aurait plus de crédibilité a coté .
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Au fait, qu'est devenu le candidat du kung-fu, Mohamed Beliali ? Il a une influence sur la scène politique ?
hé bien personne n'a plus eux de nouvelle de lui depuis 2012 , il doit étre certainement quelque part en asie entrain d'aprendre de nouvelle technique a exhibé lors des présidentiel de 2014 en algerie , donc patience =D
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Réaction de dilem apres la diffusion des images de bouteflika a la tv algerienne
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document de la BBC sur l'attaque de ain amenas
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=4kNuhRBFOx4
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Comme ça a était dis plus haut ça sera le FOX-2 Allemand et le Nimer 2 dans un premier temps et dans quelques années le Boxer .
si non le projet de fabrication de vehicule blindé en algerie remonter aux années 80 et méme que c'est avec la france que ça allait se faire mais m'alheuresement a cause de la crise economique qui avait toucher l'algerie dans les années 80 c'était tombé a l'eau .
l'Algérie ambitionnait de produire son propre APC et suite a un raprochement entre les présidents de l'époque Chadli et Mitterandet le Panhard allait étre produit notamment le VCR-TT2 qui est un dérivé du M3
One of the prototypes undertook some 3,000 km of trials in Algeria. It was intended that production of this vehicle would be undertaken in Algeria, but in the end the project was discontinued by Algeria owing to a shortage of funds.
The VCR TT 2 shares many automotive components, for example the power pack and suspension, with the Panhard ERC 90 F4 Sagaie 2 (6 × 6) armoured car, which was unveiled together with the VCR TT 2 for the first time in June 1985. At that time three prototypes of the VCR TT 2 had been built but, by late 2001, production of this vehicle had yet to commence.
Description
The hull of the Panhard VCR TT 2 is of all-welded steel armour construction providing protection from small arms fire and shell splinters. The driver sits at the front of the vehicle in the centre and has three day periscopes for forward observation, the centre one of which is mounted in a forward-opening hatch for driving in the head-out position.
The engine compartment is to the immediate rear of the driver. The VCR TT 2 is available powered by two Peugeot XD 3T diesel engines developing a total of 196 hp at 4,150 rpm or two Peugeot PRV V-6 petrol engines developing a total of 290 hp at 5,500 rpm. These are each coupled to a ZF 4 HP 22 fully automatic transmission with four forward and one reverse gears which are in turn connected to a Panhard two-speed, road and cross-country transfer box. Power is transmitted to all roadwheels via drive shafts in the armoured hull.
Steering is power assisted on the front two roadwheels and, when driving on roads, the centre two roadwheels are normally raised clear of the ground.
Each roadwheel is independent and mounted on trailing arms with helicoidal spring suspension. The front and rear wheels have hydropneumatic suspension units while the centre ones have hydraulic jacks.
There is a single door in each side of the hull, to the rear of the first roadwheel station, and a large door in the hull rear that opens to the left. This has two Giat Industries firing ports each with an observation block above. These allow the troops to fire their weapons from within the vehicle.
Six troops sit down either side of the hull facing each other, with two upward-opening hatches in the upper part of each side of the troop compartment. Over the top of the troop compartment are four roof hatches, two either side, that are hinged on the outside.
The main armament installation is mounted on the roof to the rear of the engine compartment. If, for example, a SAMM BTE 105 cupola is fitted, armed with a 12.7 mm M2 HB machine gun, then 12 troops can be carried, but when heavier two-man turrets are mounted, then the number of troops is reduced.
Optional equipment includes an air conditioning system, NBC equipment, a front-mounted winch and various passive night vision devices.
The VCR TT 2 is fully amphibious, propelled in the water by two steerable propellers mounted under the hull rear.
Variants
In addition to being fitted with a wide range of armament installations, Panhard has suggested a number of specialised versions of the VCR TT 2, including command post, ambulance and workshophttp://www.army-guide.com/eng/product4297.html
The VCR TT 2
Though developed for the export market in general, the only customer for the VCR/TT2 has as of yet been Algeria, who had to cut their order due to lack of funds and the imminent arrival on the export market of more capable vehicles. The hull is similar, but a bit larger than, the VCR; however, the automotive components share more in common with the ERC-90 F4 Sagaie 2. The armament normally a pintle-mounted heavy machinegun, but some have had a light twin machinegun turret fitted; other turrets applicable to the VCR can also be fitted. (These will not be covered here.) Versions with two types of engines were supplied; one has a pair of Peugeot XD 3T diesel engines developing a total of 196 horsepower and the other has a pair of Peugeot PRV gasoline engines developing 290 horsepower. Most of the particulars of suspension, driving, and automotive operations are the same as the 6x6 version of the VCR, though the suspension is beefed up a bit the ride is generally regarded as smoother. The VCR TT 2 is a quite a bit heavier than the VCR, with some of the extra weight going to heavier armor, though the VCR TT 2 is also longer than the VCR. The VCR TT2 has the hinged firing windows in the sides and firing ports in the rear doors, the same as on the VCR. Side doors are also found in the sides of the troop compartment, near the front of the compartment between the noticeable gap between the front pair of wheels and second pair of wheels. The VCR TT 2 has two large hatches on the rear deck instead of the small hatch of the VCR. The Algerian vehicles have had air conditioning installed, and a collective NBC system is an option as is a front mounted winch similar to that of the VCR and a commander’s cupola with night vision devices or a night
vision scope for the machinegun turret are options. A cluster of three smoke grenade launchers are found on each of the front fenders.http://www.pmulcahy.com/PDFs/vehicles/wheeled_apcs.pdf
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il y a diverse version concernant le rayon d'action du SU-32/34 mais se qui est sur qu'il est superieur a se lui du SU-24
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dommage que personne n'est pensé a prendre en photo le débarquement des BTR-80 >:D
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On en a déjà parlé en long et en large mais je ne sais toujours pas si l'Algérie a prévu l'achat de Su-34 pour remplacer les Su-24. Est-ce que c'est prévu ou à l'étude ? :-[
hé bien selon combat aircraft monthly de janvier 2013 l'algerie serait en negociation pour l'aquisition d'un nombre inconue de SU-34 FullBack mais pour le moment rien n'a encore filtré .
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premiers nimer II algerien en décembre 2013
.L’Algérie et les Emirats Arabes Unis finalisent des contrats et conventions de coopération (MDN)
ALGER- Le Groupement de la promotion de l’industrie mécanique, relevant du ministère de la Défense nationale et le groupe émirati "Tawazun" et sa filiale "Nimre-Automotiv" ont procédé dimanche à Alger à la finalisation de tous les contrats et conventions de partenariat, a indiqué un communiqué du ministère
"Dans le cadre de l’exécution du programme de développement des fabrications militaires, sous la forme partenariale, à court, moyen et long terme et sa mise en oeuvre dans le respect des délais de réalisation fixés, une importante délégation du groupe émirati Tawazun et sa filiale Nimre-Automotiv séjourne en Algérie du 24 au 27 août 2013", a ajouté la même source.
"Durant son séjour, la délégation présidée par M. Seif Al-Hadjiri, le PDG du groupe Tawazun et par M. Fahd Harhara, directeur général de Nimre-Automotiv ont procédé avec l’Etablissement public à caractère industriel et commercial, Groupement de la promotion de l’industrie mécanique (Epic-GPIM) du MDN, à la finalisation de tous les contrats et conventions au niveau du siège du ministère de la Défense nationale", a précisé le communiqué.
La délégation émiratie a, par ailleurs, fixé avec son homologue algérienne, les différentes étapes du lancement de la production, en vue de la sortie des premiers véhicules de l’usine de Khenchela dès décembre 2013, a poursuivi la même source.
Enfin, une convention d’investissement relative à ce programme a été signée avec l’Agence nationale de développement de l’investissement (ANDI), a conclu le communiqué du MDN.
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les islamistes d'Ennahda savent leurs sort a l'égyptienne aprocher , ils gesticulent déséspérément pour gagner du temps et la meilleurs bouer de sauvetage pour tous les gouvernement au monde c'est la main étrangére .
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felicitation pour la nouvelle interface du forum elle est extra
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ils se sont cassé les dents en Algérie ,ils tentent leurs chance en Tunisie maintenant .
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la Tunisie s'est fortement rapprocher de l’Algérie et bénéficie de son soutien dans la lutte antiterroriste .
sans parler des visites de responsable tunisien a Alger tellement qu'on croirait a l'année de la Tunisie en Algérie , a chaque visite il y a les drapeaux tunisiens qui sont accrocher sur les routes :D
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pour l'Alias l'important qu'il est un commencement , après ils s’amélioront progressivement , donc c'est pas grave qu'il soit reporté :)
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dilem :lol:
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navire de débarquement
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se type c'est carrément Lord of War ! :O
L'armée de terre algérienne
in Afrique / Proche Orient
Posted · Edited by scorpion-rouge35
hé bien dans les pire moment du terrorisme en algerie des hordes de lorde de mille a deux milles barbus se baladaient dans les maquis se cachant dans les massifes forestier , quand l'armée déclanchait des ratissages ils se dispersent en groubuscule de quelques dizaines d'hommes chaqu'un pour se fendre et se regroupaient quelques semaines apres lorsque l'opération de ratissage se déplacent vers d'autre region .
aujourd'hui les groupes terroristes dépassent rarrement la dizaine d'individue et se font tres discret , leurs principal type d'attaque c'est les IED , ils se risquent que tres rarement a des embuscades .