Bechar06
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Voilà un super tandem : l' ALLEMAGNE ......mariée à ...... la TURQUIE ! Dommage que la France ne se soit pas "mariée" avec la Turquie, Pensez : "l'Usine du Monde avec la Qualité Allemande !" ... Tout de l'Allemagne sans ses emm... Et un pays, la Turquie, qui en veut ! Alors à l' Allemagne de faire le pas en effet.. Surtout qu'ils se connaissent bien les Turcs et les allemands ... Des décennies de fréquentation étroite, depuis les années 60s
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IFV pour "infantry fighting vehicle" pour en rajouter une mince couche
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Le E-7 Wedgetail ne faisant plus trop "bander" : peut-être bien que tous le E-3 Awacs vont bénéficier de meilleurs petits soins "électroniques" qu envisagées initialement par rapport à la cellule... Petits soins qui peuvent effectivement dédramatiser le tuilage
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Apparement 2 voies intérimaires se dégageraient: - Un Leclerc évolué partant des savoirs faites existant, franco-français - Un char germano-français Décantation, qui va démarrer pour augmenter le format de 200 Leclerc existants
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La France se donnerait elle encore qq années pour choisir son prochain AWACS ? N est ce pas contradictoire avec un choix récent pour 1 GlobalEye ? https://www.opex360.com/... Awacs report de 10 ans de leur retrait En fait les 2: MCO Global des E-3F et: "Selon le député Frank Giletti, le ministère des Armées commandera deux avions GlobalEye en 2026. Ces appareils « devraient être livrés respectivement en 2030 et 2031 » tandis que les « deux autres unités en option pourraient être commandées et livrées d’ici à 2035 ».
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@Patrick tu te fatigues pour pas grand chose de sérieux ... Les allemands avaient un plan secret dans cette affaire face à une France affaiblie par ses dettes et son économie, presque uniquement orientée redistribution .. Les allemands finançaient et Les Français "donnaient" la propriété conceptuelle & industrielle de DA en matière d avions de combat C était simple, finalement: donnant - donnant, gagnant - gagnant .... et hop tout le monde est content La France avait l impression d être plus + européenne et L Allemagne confortait son statut de leader européen, qu elle avait déjà économiquement et démographiquement ... Heureusement y a DA qui a gardé les pieds sur terre... et qui défend son statut du meilleur concepteur d avions de combat au monde, compte tenu de sa taille relative L organisation en piliers aurait pu cacher les démarches de RAPT de la PI... Heureusement encore: DA veut garder son indépendance et sa trajectoire mûrement construite sur des décennies Alors Airbus et L Allemagne se sont cassés les dents... Et la France se fracasse - pour l instant - contre sa vaste classe politique sans boussole, sans réalisme, ses petits arrangements de parti et surtout de petits chefs... Le choix: 1- préférer l avenir de la France ? ( et l éponge sur une partie de sa dette ) grâce à la mansuétude ( apparente, mais pas désintéressée ) de l Allemagne 2- Préférer L avenir de DA et d une certaine idée de La France... En espérant que ses petits politicards actuels seront écartés et sa situation économique restaurée, par un retour des français vers + de réalisme et + d efforts partagés, notamment + de travail ( - de retraite, plus de jeunes et seniors au boulot , tous aux 40 heures, fin du "temps libre"... ) pour moi: choix 2.. et prêt à contribuer !
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Manuel nous fait un excès de zèle : rare chez lui ... Il est bien pardonné !
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Donc les allemands vont commander les 7 A400M qu ils avaint retirés de leur programme initial ? Voir dépasser les 70, pour garder le lead ? Ou l odeur du leadership ?
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Aperçu seulement un SERVAL terre de France sur un nouveau semi remorque porte char, direction Grenoble depuis Bougoin-Jallieu, sur l autoroute, en face. Descendant vers Grenoble Varces pour équiper la 2-eme BIM ? Un jour de retard par rapport à la venue du PR Macron et son nouveau service militaire... Gros engin ce Serval ( par rapport au VAB d avant ) Ou en est l équipement des BCA ? Et des autres régiments AdT ?
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Bonne question !!
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Vous y croyez à ce truc au centre de gravité aussi haut et avec ses roulettes ?
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Arianespace/Esa
Bechar06 a répondu à un(e) sujet de Chevalier Gilles dans Engins spatiaux, Espace...
https://air-cosmos.com/article/ministerielle-de-l-esa-la-france-va-contre-le-vent-70711 Copie intégrale Ministérielle de l’ESA : la France va contre le vent Ce mercredi 26 novembre à Brême, l’Agence spatiale européenne a ouvert sa conférence ministérielle, qui statuera sur le budget pour les trois prochaines années. La conférence s’est ouverte dans une bonne ambiance, chargée de promesses de fortes hausses de souscription de nombreux états membres. Seule la France, au budget encore incertain, ronchonne. La ministérielle de Brême se tient sur deux jours. Les négociations doivent aboutir demain jeudi 27 novembre, pour une annonce du budget en conférence de presse à 13h. Les ministres des 23 états membres sont présents, ainsi que les représentants des états associés (Lettonie, Lituanie, Slovaquie, et Canada). La plupart d’entre eux ont d’ores-et-déjà annoncé une hausse de leur souscription, ou leur adhésion à la proposition de budget de la direction de l’ESA, qui demande 22.25 milliards d’euros. L’Allemagne avait annoncé en amont de la conférence augmenter drastiquement sa participation à hauteur de 5 milliards, l’Italie pourrait suivre avec 4 milliards. La France serait alors troisième souscripteur avec 3.6 milliards. Augmentation des souscriptions motivée par des budgets défense En ouverture, le directeur général de l’ESA Josef Aschbacher a insisté sur trois priorités : le climat, la sécurité, l’économie spatiale. Plus que jamais, le volet sécurité a été mis en avant avec la demande de l’ESA d’une avance de 1.35 Md€ pour le programme European Resilience from Space, qui sera financé par l’Union Européenne à partir de 2028. Cette première phase du programme comprend un volet observation de la Terre (avec des démonstrateurs à déployer d’ici 2028), un volet dédié aux télécommunications sécurisées, et un volet dédié à la navigation (qui intègre le projet LEO-PNT d’augmentation de la précision du positionnement du système Galileo par l’ajout de satellites en orbite basse. A la demande de nombreux états membres, chaque volet doit prendre en charge le développement de solutions pour une meilleurs interopérabilité, afin de réagir pendant une crise. Avec ERS, on retrouve la motivation de nombreux états membres à financer leur souscription à l’ESA à partir de leur budget dédié à la défense. Face à la menace russe, et sans moyens souverains, les petits états européens sont très enthousiastes. Pour ceux qui sont membres de l’OTAN, leur adhésion à des programmes de sécurité de l’ESA peuvent être pris en compte dans leur obligation par les Etats-Unis d’augmentation des dépenses militaires. Ainsi, dans les discours des états membres, les besoins de sécurité ont prévalus sur le reste des programmes de l’agence, peu ont parlé d’exploration, d’astronomie, bien qu'il faut s'attendre à une hausse du budget dédié. Même la priorité du réchauffement climatique est passée au second plan, contrairement aux espoirs de Josef Aschbacher. La France en position de faiblesse Lors de l’annonce de la stratégie spatiale nationale, Emmanuel Macron avait annoncé consacrer 16 milliards d’euros au spatial civil et dual entre 2026 et 2030, (et 10.2 milliards pour le spatial militaire). De son côté, l’Allemagne a décidé d’investir énormément dans le militaire avec 35 Mds€ d’ici 2030. Pour l’ESA, on a annoncé outre-Rhin une puissante augmentation de budget, en devenant de loin le principal souscripteur avec 5 Mds€. De son côté, le ministre en charge de l’espace et ancien patron du CNES Philippe Baptiste va devoir se satisfaire d’une hausse de 400 M€ de la souscription française, qui atteindra donc 3.6 Mds€ (information révélée par La Tribune). Pendant ce temps, l’augmentation de la souscription italienne pourrait la faire monter au-delà de 4 Mds€. Ainsi, en prenant la seconde place, l’Italie pourrait aisément contrer le discours français contre le principe de retour géographique, auquel elle est accrochée, tout comme une grande majorité des états membres qui compte sur ce principe pour valoriser et doper leur écosystème spatial. Sous contrainte budgétaire, la France est finalement un des états membres qui augmente le moins son adhésion. Beaucoup d’états membres ont décidé d’augmenter la leur de moitié, comme l’Espagne et le Portugal, voire de la doubler. Même le Canada, membre associé, a annoncé décupler sa souscription en injectant 528.5 M€ ! Si une certaine unité semble s’afficher autour de la proposition de budget de l’ESA, des discours restent encore contraire. Ce jeudi à 13 heures, on sera fixé. Fin copie intégrale -
La FRANCE devint une puissance spatiale: étapes symboliques
Bechar06 a répondu à un(e) sujet de Bechar06 dans Militarisation de l'espace
Air & Cosmos continue sa série historique ( A&C existait déjà à l'époque, il a donc des références ) https://air-cosmos.com/article/asterix-ou-les-premiers-pas-de-la-france-sur-orbite-70714 Reprise complète ! Astérix ou les premiers pas de la France sur orbite Il y a 60 ans, le 26 novembre 1965, le lanceur Diamant plaçait sur orbite terrestre le satellite artificiel A1 ou Astérix. Focus sur cette charge utile qui a permis à la France de devenir la troisième puissance [ spatiale ] mondiale. En plaçant sur orbite le 4 octobre 1957 le premier satellite artificiel de la Terre (Spoutnik 1), l’Union soviétique ouvrait les portes de l’espace, devançant de peu son rival américain, entraînant d’autres nations comme la France. Cette dernière, qui dispose alors d’un contexte favorable depuis le retour au pouvoir du général de Gaulle (juin 1958), s’investit et se dote de moyens financiers, structurels, et en s’appuyant sur un tissu industriel compétent. En 1959, puis en 1961, plusieurs décisions importantes sont prises conduisant à la première satellisation. L’idée du satellite Le 7 janvier, sollicité par les scientifiques, le gouvernement de Gaulle met en place le Comité des recherches spatiales (CRS) pour fédérer les activités spatiales nationales en train de naitre, et pour participer aux négociations internationales portant sur le développement de la science spatiale. Au sein du CRS, la réflexion s’engage sur plusieurs thématiques dont la construction de satellites scientifiques. L’idée n’est pas nouvelle, elle a été soulevée quelque temps auparavant au Comité d’action scientifique de la Défense nationale (CASDN) qui chapeaute alors les campagnes de tir des fusées-sondes pour l’exploration de la haute atmosphère. Le 17 septembre, encouragé par le général de Gaulle, le gouvernement Debré crée la Société d’étude et de réalisation d’engins balistiques (SEREB) pour construire les premiers missiles balistiques stratégiques pour la force de dissuasion nucléaire. Quelques mois plus tard, les ingénieurs de la SEREB constatent que l’un de leurs futurs missiles d’études pourrait très bien satelliser ; en juin 1960, une pré-étude est réalisée et présentée à la fin de l’année (projet Diamant). Dans le même temps, un autre organisme engagé dans l’aventure spatiale, l’ONERA (Office national d’études et de recherches aéronautiques – aérospatiales à partir de 1963), établit également une pré-étude portant sur un petit satellite de quelques kilos pour l’étude de l’atmosphère (projet Satmos) pouvant être lancé par Bérénice, un de ses missiles d’étude de rentrée atmosphérique. La décision Tout se joue au cours de l’été 1961. A la suite d’une réunion faite à l’Elysée autour du général de Gaulle, le gouvernement prend deux décisions (confirmées à la fin de l’année) : la création d’une agence spatiale (confiée aux scientifiques) et la construction du lanceur de satellite Diamant par la SEREB, sous la responsabilité de la Direction Ministérielle à l’Armement (mise en place en 1961-62). Le projet de satellite de l’ONERA est définitivement abandonné au profit de celui de la SEREB qui, grâce à Diamant, pourra satelliser une charge utile comprise entre 40 et 80 kg. Quant au satellite même, la SEREB sollicite la société Matra. Matra Au cours des années 50, alors que les armées engagent de nombreuses études sur tout type de missile (sol-sol, sol-air, air-air, air-sol), Matra devient une société industrielle de premier plan dans le domaine des missiles guidés (R 511) et d’armements embarqués, assurant même la maîtrise d’œuvre de programmes pour le compte du Service technique de l’Aéronautique (STAé). Elle réalise des structures et développe diverses capacités dans notamment le pilotage des missiles et les équipements nécessaires. Ayant ainsi acquis des compétences dans le domaine des missiles, Matra est tout naturellement choisi en 1962 par la SEREB pour l’épauler dans la réalisation du lanceur Diamant. A la tête de la division Espace à Matra, Pierre Quétard se souvenait de l’engagement de l’entreprise Matra « pour le développement de trois importants sous-ensembles : la case à équipement (…) |regroupant] pilotage, guidage, télécommande et télémesure, servitudes, fusées de mise en rotation et de séparation (…) ; le système de basculement du composite deuxième étage vide plus le troisième étage pour l’orientation précise avant la mise en rotation et l’allumage du troisième étage non piloté. C’est de la qualité de cette orientation, précisait Pierre Quétard, que dépendait la précision de la mise en orbite ; [et enfin] le satellite A1 (A pour Armées), baptisé Astérix avait comme mission la transmission des différentes informations recueillies au cours du lancement (…) et surtout la trajectographie des premières orbites ». Le satellite Georges Estibal, dans l’équipe du projet de satellite en tant que spécialiste de la télémesure, témoignait il y a quelques années : « A1 était en fait un détecteur de performances, passif. Il n’était pas un satellite scientifique (…). Il y avait à bord deux grands types d’équipement : un répondeur radar fourni par l’Américain Motorola (permettant de vérifier que le satellite serait bien sur orbite et connaître sa position), et un système de télémesure fourni par la SAT (…). Il y avait également un système jouant l’interface entre tous les détecteurs (thermique et autres) et la télémesure. Ce qui était essentiel, c’était le système de télémesure pour obtenir un certain nombre de performances du lanceur ». D’une masse totale de 42 kg, le satellite a alors une hauteur de 54 cm pour un diamètre maximum de 55 cm. Sa mise au point nécessite plusieurs mois, comme s’en souvenait Francis Perrenot, ingénieur à Matra dans le domaine de l’intégration et des essais de satellite : « On a mis plusieurs semaines pour faire l’assemblage, les essais ont duré un peu plus longtemps. Il faut se rappeler qu’à l’époque, on était vraiment des pionniers, on ne connaissait pas ce genre de chose. On découvrait avec les concepteurs qui avaient décidé comment le satellite serait, et nous, à la fin, nous devions vérifier ce qu’ils avaient créé. C’était un mouvement d’ensemble : créateur, développeur, réalisateur, intégrateur (…) ». Par ailleurs, le satellite est bariolé avec des rubans alternant le noir et le blanc. Francis Perrenot précisait que cela « permettait de faire en sorte que l’effet du Soleil sur le satellite ne chauffe pas trop l’intérieur. Il y avait ainsi une sorte réverbération des rayons solaires qui sont très violents en orbite, de façon à ce que l’intérieur du satellite ne soit pas trop chaud. On était en terrain inconnu, on ne savait pas comment cela allait se passer. Nous avions quelques informations provenant des Américains qui nous donnaient des conseils (…) ». La mise sur orbite Prévu pour le 25 novembre, le lancement intervient le lendemain après quelques incidents, à 15h47 depuis la base spatiale d’Hammaguir du Centre interarmées d’essais d’engins spéciaux (CIEES). Dix minutes plus tard, Diamant place avec succès Astérix sur orbite. Toutefois, l’émetteur radio demeure muet. Les antennes du satellite ne transmettent pas, laissant comprendre que celles-ci ont été abîmées lors du largage de la coiffe. Néanmoins, le répondeur radar du satellite n’étant pas endommagé, le radar Aquitaine (au sol, au CIEES) réussit à accrocher Astérix, confirmant la bonne mise à poste du satellite (527 km de périgée, 1 700 km d’apogée). Si la perte des antennes ne permet pas de récolter les mesures attendues pour en savoir plus sur le comportement du lanceur, les ingénieurs et techniciens français viennent néanmoins d’atteindre l’orbite, remplissant l’objectif principal de la mission. Quant au premier satellite scientifique, le FR 1, il est lancé dix jours plus tard par une fusée américaine. La France rejoignait la cour des grands. Une version longue de cet article 6 sera publiée en janvier 2026 dans le bulletin Espace & Temps de l’Institut Français d’Histoire de l’Espace (IFHE). Quelques références - Un ouvrage : « Naissance des activités spatiales », Pierre Quétard, in Naissance de l’industrie spatiale française, IFHE Publications, 2002, pp. 115-130. - Des témoignages en vidéo, à l’occasion des 50 ans d’A1-Astérix à la Cité de l’espace de Toulouse, mis en ligne le 6 janvier 2016 Fin copie -
Oui, c'est une vaste BD de RH ressources humaines à gérer surtout, avec au minimum 3 axes : des Spécialités ( axe 1 ) et des personnes mobilisables ( axe 2 ), en veillant à ne pas perturber une industrie / entreprise stratégique ( axe 3 : des engagements du moment de ces personne dans le civil ) EXCUSES : je croyais que j"étais dans la section "Réserves et Service "volontaire" militaire
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Airbus pourrait il racheter les plans, le design au Uktainiens ? ( racheter =/= Pas volé hein ! ) Et ensuite avec ce qui reste des ingé et techniciens UKR ANTONOV ( embaiché par Airbus ) , repartir sur un développement Airbus inspiré fortement du AN-124, mais aussi fortement actualisé ( matériaux, équipements, etc ... ) D'aiileurs la division de Airbus la mieux placée serait, bien évidemment Airbus Civil : équipe A380 ou A350 ( qui a d'ailleurs récupérer l'A400M en difficulté avec le BE espagnol plutôt que A D&S Séville en perdition ou même A D&S DE ... ) Quitte aussi à intégrer des Espagnols de Séville à cette équipe
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Fin ! Reste la FDI
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En effet, tu as raison : A400M 0142/F-RBAY (MSN142) Fully Painted 30/9/24 .. Et le Y est la 25-ème lettre de l'alphabet français sur 26 ( le Z ) ( je m'étais planté autour du 075 F-RBAT à la livraison décalée, après le 122 F-RBAS )
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C'est celui-là, le 142, qui n'en finit pas de se préparer à la livraison ... On l'avait déjà remarqué Selon mes tablettes, il s'agit du 26-ème pour l'AAE Les suivants : 149 a volé, le 151 a ses couleurs, le 153 est en préparation, le 154 en préparation ... soit visibilité quasi certaine sur 30 au total pour l'AAE, on en voit 5 de plus "planifiés", mais cela bouge à cet horizon là
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En même temps l' Italie n'as pas de territoires outre-mer et est surtout méditerranée centrée et centrée europe du sud ... Donc : à la fois une force de terre et navale, le transport militaire est secondaire Toutefois si le A400M peut leur faire plaisir : qu'ils ne se privent pas !
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[Ministère des Armées, MINARM]
Bechar06 a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Economie et défense
Tu frises là, cher Capmat, le politiquement incorrect et un avertissement pour "censure" possible mais c'est bien dit .... Salut à toi, de Chibani à Chibani -
Pas lu mais de belles photos au moins du LECLERC https://blablachars.blogspot.com/2025/11/leclerc-en-action.html
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Ou le + méchant n'est pas le + gros ! Comparaison n'est pas raison : BRF versus FDI https://www.meretmarine.com/fr/defense/premier-ravitaillement-a-la-mer-entre-brf-et-fdi
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Modeste petite contribution indirecte :
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Alors que l'USAF s'interroge Reveil du programme NGAL sur notre site ( oui, avec ce site "avions légendaires".. ) https://www.avionslegendaires.net/2025/11/actu/c-5m-super-galaxy-et-c-17a-globemaster-iii-vont-faire-du-rab-de-service/ "Au sein de l’US Air Force les mastodontes peinent à prendre leur retraite, et cela ne concerne pas que le bombardier stratégique Boeing B-52H Stratofortress. On a appris cette semaine que les Boeing C-17A Globemaster III et Lockheed-Martin C-5M Super Galaxy ne sont pas prêts de quitter la première ligne. Dans le même temps l’administration Trump se donne un an et demi afin de lancer un programme commun de remplacement actuellement appelé NGAL, pour Next Generation Airlift. L’avion issu de ce dernier devrait être opérationnel d’ici quinze ans" "début des essais en vol en 2038 et ensuite déclaration IOC (Initial Operational Capability) pour 2041, le programme NGAL, c’est simple." mais .. "les Radia Windrunner et Scaled Composites Stratolaunch plutôt hors norme pourraient essayer de tirer leur épingle du jeu" "L’idée est de conserver les Lockheed-Martin C-5M Super Galaxy au moins jusqu’en 2045 et les Boeing C-17A Globemaster III en 2075" Sinon : https://nationalinterest.org/blog/buzz/us-air-forces-two-biggest-cargo-planes-preparing-for-retirement-hk-092825 Tandis que notre ami Top Force manque d'un graphiste à côté de lui pour actualiser ses planches et photos : c'est le C-390 qui va de l'avant ! Sauf là : https://x.com/JP_Grumbach/status/1992912816718958628/photo/3
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Titus en Tchéquie