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Exoplanètes.


TK_AK

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Jupiter n'a rien de radio-actif :

Tout simplement parce que la sonde va être amenée a traverser des zones denses en particules d'éruption solaire, piégées dans la magnétosphère de jupiter : de la même manière qu'il y en a de piégées dans la magnétosphère terrestre :

Ce sont principalement des protons, et des électrons en couches successives a divers degrés de densité

Sur terre, on appelle ça aussi "ceinture de Van Hallen"

Ces particules sont d'origines solaires et non des planètes qui les piègent

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Merci pour la correction sur l’origine des particules mais le résultat reste désagréable.

Il est même quasi mortel  ;) Ce sont des particules a haute énergie, accélérée dans le tore du champ magnétique terrestre qui se déploie dans l'espace comme sont accélérée des particules dans un accélérateur (bon on est quand même loin du niveau énergétique des particules et des ions lourds accélérés dans le LHC et le tevatron aujourd'hui : mais suffisament pour qu'elles fassent de lourds dégats et ce très rapidement a un corps humain ou a des appareillages électriques et électroniques au point d'en être mortel en quelques heures voir en quelques minutes d'expositions selon les parties les + denses en particules

http://fr.wikipedia.org/wiki/Ceinture_de_Van_Allen

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Une équipe internationale d'astronomes a annoncé la découverte de plus de cinquante nouvelles exoplanètes en orbite autour de proches étoiles, dont une "super-Terre" située dans une zone "habitable", c'est-à-dire où l'eau peut être sous forme liquide. C'est la plus grosse moisson d'exoplanètes annoncée en une seule fois, a relevé, mardi 13 septembre, dans un communiqué l'Observatoire austral européen (ESO).

Ces résultats ont été présentés lundi lors de la conférence sur les systèmes solaires extrêmes qui a lieu dans le Wyoming, aux Etats-Unis. Depuis 2003, le spectrographe Harps, performant "chasseur" d'exoplanètes de l'ESO, installé au Chili, ausculte le ciel austral en quête de planètes gravitant autour d'autres étoiles que le Soleil. Sa dernière moisson d'une cinquantaine d'exoplanètes inclut 16 "super-Terre", c'est-à-dire des planètes ayant une masse comprise entre une et dix fois celle de notre planète.

L'une de ces super-Terre, tournant autour de l'étoile naine Gliese 581, pourrait s'avérer "habitable" avec un climat propice à la présence d'eau liquide et à la vie. Cette exoplanète, environ 3,6 fois plus massive que la Terre, est située à trente-six années-lumière (1 année-lumière = 9 460 milliards de km). Sept fois plus massive que la Terre et vraisemblablement rocheuse, Gliese 581d "pourrait devenir la première planète potentiellement habitable jamais découverte", a annoncé lundi le Centre national de la recherche scientifique dans un communiqué. Gliese 581d pourrait bénéficier d'un effet de serre lui offrant un climat "chaud au point de permettre la formation d'océans, de nuages et de pluie", selon une modélisation illustrant "la grande variété des climats possibles pour les planètes de la galaxie", précise le CNRS.

http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/09/13/des-chercheurs-decouvrent-une-exoplanete-potentiellement-habitable_1571851_3244.html#xtor=AL-32280184

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Une planète en orbite autour d'un duo d'étoiles, tournant l'une autour de l'autre, a été découverte par le satellite Kepler de la Nasa.

Le satellite Kepler, dédié à la découverte d’exoplanètes habitables, a repéré un bel objet de curiosité : une planète aux deux soleils. Située à 200 années lumière de la Terre, cette planète baptisée Kepler-16b est en orbite autour de deux étoiles qui tournent l'une autour de l’autre, expliquent des chercheurs dans la revue Science publiée aujourd’hui. Sur cette planète gazeuse et froide, où il serait vain de chercher des traces de vie, les levers ou couchers de soleils sont dignes des meilleurs décors de science fiction.

Transits et éclipses

De nombreux systèmes stellaires binaires sont connus. La présence d'une planète est suspectée dans quelques cas mais c’est la première fois que des astronomes ont l’occasion de détecter la présence d’une planète grâce à la méthode des transits. Le satellite Kepler de la Nasa mesure en effet les variations de luminosité des étoiles avec suffisamment de précision pour détecter le passage d’une planète devant son étoile.

Dans le cas du système binaire Kepler-16, où les deux étoiles se tournent autour en 41 jours, une première éclipse se produit lorsque la petite étoile passe devant sa compagne, puis lorsqu’elle passe derrière - la plus massive éclipsant totalement sa lumière. Cependant les données de Kepler, analysées par l’équipe de Laurance Doyle (SETI, Californie, USA), révélaient une baisse de luminosité même lorsque les deux étoiles ne s’éclipsaient pas l’une l’autre. Ces éclipses supplémentaires se produisant à intervalles réguliers, elles signifient qu’un troisième larron est en orbite autour des deux autres. Une planète circumbinaire qui fait le tour des deux étoiles en 229 jours, en dehors de la zone habitable (là où l’eau liquide peut exister à la surface d’une planète).

Planète circumbinaire

Pour l’instant la planète circumbinaire la plus célèbre est Tatooine : c’est l’une des planètes imaginaires de Star Wars, la célèbre trilogie de George Lucas. Elle doit son nom au désert de Tataouine, en Tunisie, où ont été filmées les scènes se déroulant sur cette planète désertique.

Dans le ciel de Kepler-16b, les deux disques solaires n’auraient pas la même taille et l’une –la plus massive- brillerait nettement plus que l’autre. La plus grosse étoile représente en effet 69% de la masse du Soleil et la plus petite 20% seulement.

http://www.sciencesetavenir.fr/actualite/espace/20110916.OBS0491/une-exoplanete-a-deux-soleils.html

Découverte de 50 nouvelles planètes dans la Voie lactée

Parmi elles, une «super-Terre» pourrait contenir de l'eau liquide et abriter la vie.

La quête d'un nouveau monde semblable au nôtre, quelque part au sein de notre bonne vieille galaxie, vient de connaître un spectaculaire rebondissement. À l'occasion de la conférence sur les systèmes solaires extrêmes qui s'est déroulée cette semaine aux États-Unis, une équipe internationale d'astronomes, dirigée par Michel Mayor (université de Genève), a annoncé la découverte de plus de 50 nouvelles exoplanètes gravitant autour d'étoiles proches de notre Soleil, dont pas moins de 16 «super-Terres» ! C'est-à-dire des planètes dont la masse est comprise entre une et dix fois celle de la Terre.

Mieux : l'une d'elles, poétiquement baptisée HD 85512b, se trouve à l'intérieur de la zone «habitable» de son étoile (ni trop près ni trop loin), dans un environnement où l'eau peut exister sous forme liquide et où, par conséquent, la vie a pu apparaître et se développer.

Jamais, depuis la découverte de la première planète extrasolaire en 1995, des scientifiques n'avaient réalisé une telle moisson. Elle est à mettre à l'actif de l'instrument Harps, un «chasseur» de planètes hors pair installé sur le télescope de l'Observatoire européen austral (ESO) de La Silla, au Chili. «C'est le résultat de longues années d'observation, explique l'astronome Jean-Loup Bertaux, membre du consortium Harps qui a participé à ces travaux avec d'autres chercheurs du CNRS et des universités Paris-VI et Versailles-Saint-Quentin. Ces planètes ayant une masse très faible, le mouvement induit autour de leur étoile est à peine perceptible. Il faut donc accumuler un très grand nombre de données pour détecter leur signal.»

«La moisson de découvertes grâce à Harps dépasse toutes les attentes», s'est réjoui Michel Mayor, codécouvreur de la première exoplanète, en constatant que leur «rythme s'accélère». De fait sur les 670 exoplanètes recensées à ce jour, cet instrument a permis d'en détecter 150 à lui seul, dont deux super-Terres potentiellement habitables : Gliese 581d en 2007 et HD 85512b récemment.

Lister les planètes habitables

Environ 3,6 fois plus massive que la Terre, cette dernière se trouve à «seulement» 36 années-lumière (1 AL = 9460 milliards de km) de la Terre. «Sachant que les étoiles de notre Voie lactée sont distantes en moyenne de 4 à 5 années-lumière l'une de l'autre, on peut considérer qu'elle est très proche de nous» poursuit Jean-Loup Bertaux. Avec l'amélioration de la précision de Harps et de ses successeurs, attendue dans les prochaines années, il espère que les astronomes seront bientôt en mesure de «faire un inventaire géographique de l'environnement des étoiles proches de notre Soleil.» Et donc de dresser la première liste de planètes potentiellement habitables dans notre voisinage galactique.

Pour Michel Mayor, cette liste pourrait être disponible dans les dix ou vingt prochaines années. Elle permettra de cibler la recherche de vie extraterrestre au moyen de futurs télescopes spatiaux, capables de détecter la présence d'oxygène dans l'atmosphère ou - il n'est pas interdit de rêver - de capter à distance des signes révélant la présence d'une vie intelligente.

http://www.lefigaro.fr/sciences/2011/09/15/01008-20110915ARTFIG00739-decouverte-de-50-nouvelles-planetes-dans-la-voie-lactee.php

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  • 4 weeks later...

Pour l'info sur les 50 planètes en plus, info mise juste précédemment, mais merci, le figaro à quelques petits détails en plus.

Bon, il ne semble pas que la découverte de ces nouvelles terres apporte un supplément de rêve à l'homme  :P

C'est surtout que même pour celles qui sont toutes proches à l'échelle cosmique, comme la "super-Terre" autour de Gliese 581 située à 36 années lumières, la plus rapide des sondes qu'on sera capable d'envoyer d'ici 2050 mettra plusieurs siècles pour arriver à destination : par exemple si on arrivait d'ici là à faire une sonde qui voyage à 30 000 km/s (10% de la vitesse de la lumière) ça ferait 360 ans de trajet.

Et ensuite les images de cette sonde mettraient encore 36 années pour nous revenir par liaison radio :-[

Du coup, il est clair qu'il va falloir se contenter d'observer ces exoplanètes "voisines" de la galaxie depuis notre bonne vieille Terre, jusqu'au "bond technologique" qui nous permettra d'atteindre (voire de dépasser si c'est possible pour un objet massif) la fameuse vitesse de la lumière  :| 

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C'est clair que pour l'instant on est loin de pouvoir même imaginer une missions vers un autre système solaire.

Mais après Bruno, tu peux réduire déjà le temps de voyage en prenant un système solaire plus proche. Le système solaire le plus proche est à 15 années lumière.

Ensuite clairement envoyer un engin spatial à ces distances même si on avait le temps, ça serait impossible. Déjà pour pouvoir communique avec lui, à cette distance ca serait pas faisable : il faut compte sur la faiblesse du signale reçu et le temps de réaction entre 2 ordres qui serait de 30 ans. Ensuite il faudrait connaître suffisamment le système pour que la sonde soit suffisamment autonome pour pouvoir manœuvrer toute seul.

Bref, aujourd'hui je pense qu'on est à la naissance de l'exploration extra-solaire.

Et la première étape c'est d'arriver à voir de manière suffisamment et détaillé les systèmes solaires qui nous entourent.

Niveau propulsion y'a des trucs intéressants comme la Propulsion MAgnétoplasmique :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Propulseur_magn%C3%A9toplasmadynamique

Ils arrivent à des vitesse d'éjection allant jusqu'a 100km/s.

Mais donc ça sera plus pour des voyage dans notre système solaire.

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Bref, aujourd'hui je pense qu'on est à la naissance de l'exploration extra-solaire.

Et la première étape c'est d'arriver à voir de manière suffisamment et détaillé les systèmes solaires qui nous entourent.

et la deuxième est d'inventer un système de communication plus rapide que la lumière

la découverte du cern, si elle se vérifie pourra peut être nous aider pour ca

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Moi je pense qu'il faudra inévitablement passer par d'autres concept que ceux utilisé actuellement dans les communications modernes.

Déjà on va perdre le contact avec les sondes VOyager car elles sont trop loin et donc le signal est trop faible. De plus le temps de réaction est vraiment trop long.

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Pourquoi ne pas ressortir le projet ORION propulsion nucléaire pulsée infiniment plus efficace que toutes les propulsion actuels et futur , largement faisable aujourd'hui (ça été conçu dans les années 50-60) et qui permettrait des voyage interplanétaire et interstellaire à bas coût avec de très grosse charges utiles (plusieurs milliers à millions de tonnes).

http://fr.wikipedia.org/wiki/Projet_Orion

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Pourquoi ne pas ressortir le projet ORION propulsion nucléaire pulsée infiniment plus efficace que toutes les propulsion actuels et futur , largement faisable aujourd'hui (ça été conçu dans les années 50-60) et qui permettrait des voyage interplanétaire et interstellaire à bas coût avec de très grosse charges utiles (plusieurs milliers à millions de tonnes).

http://fr.wikipedia.org/wiki/Projet_Orion

Ca a pas vraiment l'air faisable comme technologie. Y'a trop d’inconvénients.
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le problème n'est pas tellement son utilisation dans l'espace mais plutot son voyage jusqua l'espace car imaginez challenger si quand elle a pété elle avais 500kg de plutonium en soute, je pense que la Floride aurait put être évacué car vu l'explosion il y aurait très bien put se créer un phénomène de fission et boum bombe A

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C'est largement faisable puisque ça l'était dans les années 50-60 et y a aucun inconvénients si on restreint son utilisation dans l'espace.

Y'a quand même d'énormes risques d'accident nucléaire de grande ampleur sur la terre avec ce genre de technologies. C'est pas un détail :D
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pour des voyages de ce genre je ne pense pas qu'un lancement depuis la surface soit une idée viable. Faudrait assembler en orbite lointaine un vaisseau et là, on pourrait y coller une propulsion qu'on veut. Si on veut un vol de longue durée faut pas rêver, faudra un monstre comme engin, et impossible de faire décoller depuis la Terre donc sécuriser du combustible jusqu'à l'orbite ne devrait pas être compliqué, même s'il s'agit de plutonium et puis si ça se barre en sucette dans l'orbite y a toujours moyen d'envoyer ça loin ou de le faire se crasher sur la Lune plutôt que sur notre gueule.

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Un Orion quel que soit la taille transporte beaucoup moins  de plutonium et de matières radioactives qu'une bombe H.

Pour un lancement depuis la surface , suffit de trouver un coin isolé comme pour les test nucléaires de bombe H .

Pour éviter toute retombées radioactive , suffit de n'allumer la propulsion nucléaire à 40km d'altitude car à partir de là y a quasiment plus d'atmosphère donc aucune retombée radioactive.

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C'est sur que toutes les techno connues aujourd'hui  qui pourraient arriver dans un futur à court ou moyen terme ne permettent que de faire une exploration avancé de notre propre système solaire. Pas plus. Et d'un coté c'est déjà pas mal si on arrivait déjà à pouvoir mettre en place une réelle activité hors de notre planète. Ca ouvrirait pas mal de possibilités.

Pour l'instant il vaut mieux se concentrer sur les téléscope spatiaux pour essayer de trouver des systèmes solaire le plus proche possible et essayer de trouver des planètes comme la terre.

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Un Orion quel que soit la taille transporte beaucoup moins  de plutonium et de matières radioactives qu'une bombe H.

Pour un lancement depuis la surface , suffit de trouver un coin isolé comme pour les test nucléaires de bombe H .

Pour éviter toute retombées radioactive , suffit de n'allumer la propulsion nucléaire à 40km d'altitude car à partir de là y a quasiment plus d'atmosphère donc aucune retombée radioactive.

Heuuu et la gravité dans tout ça ? Pas de propulsion nuc avant de sortir du champ gravifique terrestre, merci.

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Heuuu et la gravité dans tout ça ? Pas de propulsion nuc avant de sortir du champ gravifique terrestre, merci.

La gravité , aucun effet sur des gaz qui s'échappent à plusieurs centaines/milliers de km/s (la vitesse de libération n'est que de 11.2 km/s pour la terre) donc aucune retombée radioactive si on allume la propulsion nucléaire à +40km.

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Des gamers ont aidé à découvrir deux planètes

Il y a environ un mois, plusieurs organisations, dont les prestigieuses universités d'Oxford et de Yale ont lancé un petit jeu vidéo de recherche d'exoplanètes, nommé Planet Hunters et se jouant dans le navigateur.

Utilisant les données publiques de la mission Kepler, le jeu est conçu pour permettre aux utilisateurs d'observer les courbes de luminosité d'étoiles pour trouver les périodes durant lesquelles la quantité de lumière qu'elles émettent diminue. Ces diminutions de luminosité, lorsqu'elles se répètent à intervalles égaux, lorsqu'elles sont importantes et ne correspondent pas à une variation normale de la luminosité de l'étoile, correspondent souvent à des transits de planètes (lorsqu'une planète passe entre le détecteur de Kepler et l'étoile autour de laquelle elle tourne).

http://www.gamers.fr/actus/2011/09/30/des-gamers-ont-aide-a-decouvrir-deux-planetes

Si vous voulez vous-même "jouer" à Planet Hunter et tenter de découvrir des planètes extrasolaires, rendez-vous sur le site officiel du jeu à cette adresse.

http://www.planethunters.org/

Le jeu consiste ainsi à trouver et relever de telles variations parmi de nombreuses courbes de luminosité d'étoiles. Les données collectées sont ensuite utilisées par un petit groupe de scientifiques.

Les données sont déjà examinées de manière automatique grâce à un calculateur, mais le but de Planet Hunters est de trouver les éventuelles planètes que la machine n'aurait pas détectée parmi les 150 000 enregistrements. Ce qui semble-t-il a marché étant donné que l'équipe de scientifiques a annoncé avoir trouvé deux possibles nouvelles planètes grâce au jeu vidéo,

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  • 1 month later...

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