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Projets de l'Europe dans l'espace


nourdi

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Rien d'étonnant au vu du fait que la Pologne est aujourd'hui l'un des états européens des + dynamiques en croissance éco du fait de son rattrapage économique qui continu ... Et le + riche des anciennes républiques soviétiques aujourd'hui intégrées dans l'UE ou dans le conseil de l'Europe après leur libération

Mais aussi du fait du caractère privilégié dont bénéficie aussi la Pologne, de par son attitude envers les USA durant l'ère Bush ou elle a été un éleve géostratégique assidu de la politique extérieure neo-cons (élève zélé en Irak 2003 ...)

Ils ont du bénéficié de pas mal d'investissements qui leurs ont été "réservé" vu que justement beaucoup d'investisseurs et fonds d'investissement US sont en liens politiques avec les neo-cons & rep' : quand a leur volonté d'investir en Europe, de préferer si possible de le faire en Pologne pour les "remercier" de leur loyaux services durant l'ère Bush, tout comme fidèle soutien aussi a la politique US qui veut un bouclier anti missile en Europe

Du coup, quelques années + tard, malgré la crise mondiale : ils en récoltent les fruits au niveau budgétaire national, et puis bon la Pologne est quand même depuis une bonne decenie déja, en voie de standardisation occidentale en terme de niveau de vie : ce qui implique forcément une forte croissance de moyens budgétaires de l'état de facto : si les gens sont + riches, la classe moyenne toujours + aisée = + de taxes et d'impots qui rentrent

Cela fait dans les esprits des européens de l'Ouest comme nous, un contraste marquant du fait que nous on a toujours eu, une vision d'une Pologne miséreuse notamment a cause de l'image que nous en avions dans les années 80, qui bien qu'encore soviétique était déja un peu légèrement ouverte

J'ai eu connu dans mon enfance, dans les années 80 la soeur ainée d'un des mes "potes" de lotissement, qui a bénéficié d'un voyage en Pologne dans le cadre d'études dans le nucléaire civile, très certainement qu'il devait exister un programme d'échange d'étudiants pour de la coopération en sécurité nucléaire civile malgré l'influence soviétique, et il y a eu d'autres coopérations me semble ... Son père était un collège du miens tout deux travaillant a la CNPE de Creys Malville (superphenix) il était d'ailleurs ingénieur chef de quart d'exploitation de la centrale, ce qui a surement facilité le voyage d'étude de sa fille la bas :

A sa description de son voyage la bas dans les années 80 (c'était je crois 1 an après tchernobyl, les soviétiques avaient très certainement besoin de montrer patte blanche en sécurité nucléaire de leur centrale hors de russie en Europe) la bas, pour les gamins dans les villes : une orange c'était le bout du monde ... (ça l'avait marqué d'offrir des oranges a des gosses, qui étaient heureux comme si on leur offrait des douceurs a noel)

Il est sur que les choses ont changé depuis ... Dans l'inconscient quand on pense Pologne a cause de ses images qu'on en a des années 80 et de l'ouverture globale des années 90, le levé de rideau sur la misère est resté dans les esprits et perdure : quand on pense "polonais" on pense européens miséreux et qui en bavent dur ...

Aujourd'hui la pologne est riche comme jamais elle ne l'a été ! Même si y a encore un écart certain de niveau de vie avec nous, le rattrapage en cours est quasi terminé ... Et maintenant qu'ils peuvent dégager des budgets ils ont besoin de mettre de l'argent dans l'europe spatiale pour diversifier et développer de la technologie chez eux en retour (il me semble pas que durant l'ère soviétique ils aient bénéficié comme les ukrainiens d'industries spatiales et bureaux d'études aéronautique ?)

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Rien d'étonnant au vu du fait que la Pologne est aujourd'hui l'un des états européens des + dynamiques en croissance éco du fait de son rattrapage économique qui continu ... Et le + riche des anciennes républiques soviétiques aujourd'hui intégrées dans l'UE ou dans le conseil de l'Europe après leur libération

Mais aussi du fait du caractère privilégié dont bénéficie aussi la Pologne, de par son attitude envers les USA durant l'ère Bush ou elle a été un éleve géostratégique assidu de la politique extérieure neo-cons (élève zélé en Irak 2003 ...)

Ils ont du bénéficié de pas mal d'investissements qui leurs ont été "réservé" vu que justement beaucoup d'investisseurs et fonds d'investissement US sont en liens politiques avec les neo-cons & rep' : quand a leur volonté d'investir en Europe, de préferer si possible de le faire en Pologne pour les "remercier" de leur loyaux services durant l'ère Bush, tout comme fidèle soutien aussi a la politique US qui veut un bouclier anti missile en Europe

Du coup, quelques années + tard, malgré la crise mondiale : ils en récoltent les fruits au niveau budgétaire national, et puis bon la Pologne est quand même depuis une bonne decenie déja, en voie de standardisation occidentale en terme de niveau de vie : ce qui implique forcément une forte croissance de moyens budgétaires de l'état de facto : si les gens sont + riches, la classe moyenne toujours + aisée = + de taxes et d'impots qui rentrent

Cela fait dans les esprits des européens de l'Ouest comme nous, un contraste marquant du fait que nous on a toujours eu, une vision d'une Pologne miséreuse notamment a cause de l'image que nous en avions dans les années 80, qui bien qu'encore soviétique était déja un peu légèrement ouverte

J'ai eu connu dans mon enfance, dans les années 80 la soeur ainée d'un des mes "potes" de lotissement, qui a bénéficié d'un voyage en Pologne dans le cadre d'études dans le nucléaire civile, très certainement qu'il devait exister un programme d'échange d'étudiants pour de la coopération en sécurité nucléaire civile malgré l'influence soviétique, et il y a eu d'autres coopérations me semble ... Son père était un collège du miens tout deux travaillant a la CNPE de Creys Malville (superphenix) il était d'ailleurs ingénieur chef de quart d'exploitation de la centrale, ce qui a surement facilité le voyage d'étude de sa fille la bas :

A sa description de son voyage la bas dans les années 80 (c'était je crois 1 an après tchernobyl, les soviétiques avaient très certainement besoin de montrer patte blanche en sécurité nucléaire de leur centrale hors de russie en Europe) la bas, pour les gamins dans les villes : une orange c'était le bout du monde ... (ça l'avait marqué d'offrir des oranges a des gosses, qui étaient heureux comme si on leur offrait des douceurs a noel)

Il est sur que les choses ont changé depuis ... Dans l'inconscient quand on pense Pologne a cause de ses images qu'on en a des années 80 et de l'ouverture globale des années 90, le levé de rideau sur la misère est resté dans les esprits et perdure : quand on pense "polonais" on pense européens miséreux et qui en bavent dur ...

Aujourd'hui la pologne est riche comme jamais elle ne l'a été ! Même si y a encore un écart certain de niveau de vie avec nous, le rattrapage en cours est quasi terminé ... Et maintenant qu'ils peuvent dégager des budgets ils ont besoin de mettre de l'argent dans l'europe spatiale pour diversifier et développer de la technologie chez eux en retour (il me semble pas que durant l'ère soviétique ils aient bénéficié comme les ukrainiens d'industries spatiales et bureaux d'études aéronautique ?)

C'est tant mieux. Surtout si ils investissent avec nous dans des projets comme l'ESA.
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(il me semble pas que durant l'ère soviétique ils aient bénéficié comme les ukrainiens d'industries spatiales et bureaux d'études aéronautique ?)

Les Polonais avaient la plus importante industrie aéronautique du bloc communiste, hors Union Soviétique, devant l'industrie tchécoslovaque. Ils ont fabriqué des milliers d'appareils de tous types, essentiellement des hélicoptères (notamment les Mil Mi-2), des avions légers (les avions agricoles PZL, ou l'Antonov An-2) et des chasseurs sous licence (pour leur propre force aérienne).

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C’est dans la joie et la bonne humeur que l’Agence Européenne de Défense (EDA) vient de signer un contrat avec Astrium afin de lancer la cellule européenne d’acquisition de services de communication par satellite – ou European Satellite Communications Procurement Cell (ESCPC) en anglais.

Plusieurs ministères de la Défense vont ainsi mettre en commun, à partir d’aujourd’hui, leurs acquisitions de services de communications par satellite commercial. L’objectif est de combattre la fragmentation de la demande «afin de réduire les coûts (de plus ou moins 10%), de permettre un accès plus facile et d’améliorer l’efficacité des opérations» a précisé Claude-France Arnould, Directrice générale de l’Agence. Cinq pays ont déjà indiqué qu’ils participeraient à l’initiative (La France, l’Italie, la Pologne, la Roumanie et le Royaume-Uni). Mais l’Agence s’attend à ce que l’expérience prouve aux plus septiques que la manoeuvre ne compliquera pas tant les choses et permettra surtout des réductions budgétaires significatives. D’autant plus que malgré des situations financières publiques difficiles, la demande est en hausse. L’utilisation d’applications dévoreuses d’informations satellitaires devient de plus en plus courante lors d’opération militaires. Et on pense tout d’abord à un marché des drones grandissant. Le projet se veut également flexible. La cellule est à la disposition des Etats-membres et non à la disposition de l’Union. Ceux-ci peuvent ainsi décider d’utiliser la structure européenne aux fins qui leur conviennent, que ce soit au niveau national, en coopération bilatérale ou dans le cadre d’une opération de l’OTAN, et cela sur la base d’une facturation à l’usage. Principe de souveraineté oblige ! A noter que seuls les pays européens ou pays associés à l’Agence (tel que la Norvège ou la Suisse) pourront se joindre à la manoeuvre, laissant derrière eux le Danemark ou la Turquie par exemple.

Pour Astrium, c’est aussi une belle opportunité. La société européenne va devenir pour les trois prochaines années le guichet unique des Etats-Membres en matière de délivrance de satellites de communication. Et pour l’Europe, c’est un fournisseur de premier choix. «Nous connaissons le marché, ce qui est disponible, et à quel prix» a fait valoir Eric Béranger, PDG d’Astrium Services. Numéro un des compagnies spatiales européennes, elle pourra mettre son carnet d’adresse et toute son expertise technique et financière à la disposition des Etats, puisqu’elle compte entre autre aujourd’hui, parmi ses clients non-européens, les Etats-Unis, le Canada ou encore l’OTAN. L’initiative a également été bien accueillie par l’industrie des satellites de manière générale. «Les compagnies réalisent de plus en plus qu’un seul programme vaut mieux qu’aucun programme du tout», explique Claude-France Arnould.

Parallèlement, l’Agence Européenne de Défense propose le concept d’une Télécommunication Sécurisée par Satellite (SECTELSAT), une approche coopérative également inspirée de la méthode de Pooling & Sharing. Le principe consiste à mettre en commun les satellites de communication militaires nationaux. L’Allemagne (Satcom-BW), l’Espagne (SecomSat), la France (Cyracuse III), l’Italie (Sicral) et le Royaume-Uni (Skynet 5) vont ainsi partager leurs ressources militaires et mettront ces mêmes ressources à dispositions des Etats-membres ne disposant pas de ces capacités. Les mettant également à la disposition, par exemple, des missions européennes. Les leçons tirées des opérations anti-piraterie (Atalanta) ou EUFOR Tchad-République Centrafricaine ont montré le besoin d’une meilleure connectivité. Un milliard d’euros devrait ainsi pouvoir être économisé dans des investissements communs pour les années à venir. D’autant que les réseaux de satellites actuelles arriveront pour la plupart, à la fin de leurs vies entre 2020 et 2025, laissant un trou capacitaire qu’il faudra combler au gré des restrictions financières.

http://www.bruxelles2.eu/defense-ue/capacites-milit-%e2%80%93-exercices-ue/un-guichet-unique-europeen-sur-les-satellites-de-communication.html

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Paris accélère le remboursement de sa dette à l'Agence spatiale européenne

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20120928trib000721888/paris-accelere-le-remboursement-de-sa-dette-a-l-agence-spatiale-europeenne.html

Paris augmente sa contribution de 3,7 % à l'Agence spatiale européenne (ESA). Ce qui lui permettra d'apurer plus rapidement sa dette vis-à-vis de l'ESA et souscrire à des programmes déjà engagés. Le ministère de la Recherche, en charge de l'espace, augmente également sa contribution au CNES.

C'est passé inaperçu... Dommage pour le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, qui communique peu sur les enjeux industriels de la filière spatiale, qui offre des emplois hautement qualifiés pour les ingénieurs de demain. D'une façon générale, le ministère réaffirme grâce au budget 2013 "l'ambition européenne et internationale de la recherche". Ce qui passe par "la reconduction au niveau de 2012 des contributions françaises aux grandes organisations et aux grands programmes internationaux", dont l'Agence spatiale européenne (ESA).

Apurer la dette

Dans ce cadre, Paris augmentera de "3,7 % la contribution française à l'Agence Spatiale Européenne qui est portée à 799 millions d'euros". Cette contribution garantit à la fois la couverture des engagements souscrits par la France et l'objectif d'apurement de la dette dans le respect de l'engagement pris par la France lors de la Conférence ministérielle de 2008", explique le ministère. Soit 29 millions d'euros (+ 3,7 %) pour l'ESA, dont une partie de la somme servira à apurer la dette de la France, qui court jusqu'à 2015. "Il y a une accélération du calendrier d'apurement de la dette", explique-t-on à la "tribune.fr". L'autre partie permettra à Paris de souscrire à des programmes déjà engagés. Geneviève Fioraso avait expliqué en juillet devant les députés de la commission des affaires culturelles et de l'éducation de l'Assemblée nationale qu'elle avait trouvé "une dette de 45 millions d'euros à l'égard de l'ESA en 2012". S'agissant de la contribution au Centre national d'études spatiales (CNES), elle croît de de 17 millions d'euros, passant de 1,398 milliard d'euros en 2012 à 1,413 milliard en 2013.

Projet ITER

Par ailleurs, Paris va augmenter de 58 % de la participation française au projet ITER, qui est portée dès 2013 à 100 millions d'euros, contre 62 millions d'euros en 2012", selon le ministère. "Cette participation garantit la montée en puissance du programme", explique-t-il. Pour mémoire, la part du financement de l'Etat français sera à terme de 2,2 milliards d'euros sur les 24 milliards du projet.

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Le Conseil d'administration du CNES, l'agence spatiale française, a approuvé l'engagement de la France au développement des instruments de Solar Orbiter, la mission européenne qui doit être lancée en 2017 pour étudier en particulier les éruptions et le vent solaires.

Solar Orbiter fait partie du programme Cosmic-Vision 2015-2025 de l'Agence spatiale européenne (ESA). Six des dix instruments embarqués sur cette sonde comporteront des contributions françaises, a précisé le CNES jeudi dans un communiqué.

"En s'approchant à moins de 42 millions de kilomètres de notre étoile, la sonde Solar Orbiter sera presque 4 fois plus près du Soleil que la Terre", a-t-il ajouté.

"Solar Orbiter doit répondre à des questions scientifiques de première importance", a souligné Fabienne Casoli, responsable du programme Sciences de l'Univers au CNES, citée dans le communiqué.

Plusieurs laboratoires français sont impliqués dans cette mission, parmi lesquels l'IAS à Orsay, l'IRAP à Toulouse, le LESIA à Meudon, le LPC2E à Orléans, le LPP à Palaiseau et Saint-Maur-des-Fossés, ou l'IRFU de Saclay.

http://www.la-croix.com/Actualite/S-informer/Sciences/La-France-concretise-son-engagement-dans-la-mission-Solar-Orbiter-_NG_-2012-10-04-860963

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je croyais que le problème avait été réglé

Oui normalement, j'ai l'impression qu'OHB arrive après la bataille.

Enfin le problème est réglé au niveau Français, reste maintenant a prendre la décision au niveau européen. Mais de ce que j'ai compris les Allemands veulent la même chose que nous maintenant : Ariane 5 ME + Ariane 6 un peu plus tard. (ou j'ai mal compris?)

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Si il arrive après la bataille il est plutôt maladroit vu la rhétorique employé.

Quand au supposé consensus Franco Français il devait être relativement mou vu le peu de médiatisation* fait autour de lui.

*un article de blog sans beaucoup de détails

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OHB est un adversaire de la France qui veut saper Atrium son rival en terre allemande en démontrant que la France dupe l'Allemagne. Cfr les Wikileaks sur Galileo.

OBH fait tout simplement sa petite langue de "femme de petite vertue" dans l'espoir d'être la bonne aux USA ...

Le Pdg d'OBH qui niait avoir eu les propos rapporté sur le programme galiléo (les raisons françaises et attermoiements) a malgré tout quand même bien reconnu qu'il a eu des diners avec des diplomates US ... Gens avec qui il a TOUT intérêts a pourrir un maximum les visions françaises de galiléo (alors qu'en + ils ont le marché sur 10 sat a construire !) si ce personnage vise le marché des objets, pièces ustensiles spatiaux US ...

Du coup ça rend les propos encore + méprisable au vu du potentiel de traitrise au spatial européen qu'il y a derrière

En fait, on peu douter du degrés d'engagement dans le spatial européen de cet industriel douteux quand a nos intérets a tous, allemands compris ! Mais l'allemagne elle, est otanienne ... Bref c'est le bordel

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OBH fait tout simplement sa petite langue de "femme de petite vertue" dans l'espoir d'être la bonne aux USA ...

Le Pdg d'OBH qui niait avoir eu les propos rapporté sur le programme galiléo (les raisons françaises et attermoiements) a malgré tout quand même bien reconnu qu'il a eu des diners avec des diplomates US ... Gens avec qui il a TOUT intérêts a pourrir un maximum les visions françaises de galiléo (alors qu'en + ils ont le marché sur 10 sat a construire !) si ce personnage vise le marché des objets, pièces ustensiles spatiaux US ...

Du coup ça rend les propos encore + méprisable au vu du potentiel de traitrise au spatial européen qu'il y a derrière

En fait, on peu douter du degrés d'engagement dans le spatial européen de cet industriel douteux quand a nos intérets a tous, allemands compris ! Mais l'allemagne elle, est otanienne ... Bref c'est le bordel

C'était pas l'ancien PDG qui s'est fait viré ça ?
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Je sais pas du tout, me semble ça concerne  "Berry Smutny"

Yep, ben après recherche oui c'est bien lui qui s'est fait virer quelques semaines après la révélation des propos

La France étant "l'empire du mal" qui syphonnerait les technologies allemandes (quelle blague) puis aurait raillé les raisons française de galiléo

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