magellan Posté(e) le 9 mars 2011 Share Posté(e) le 9 mars 2011 quelqu'un à quelques news là dessushttp://polynesie.la1ere.fr/infos/actualites/un-satellite-echoue-non-loin-de-larchipel_47324.htmlet sur une éventuelle station de suivi de trajectoire de la nasa dans cet archipel ?à plus Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 9 mars 2011 Share Posté(e) le 9 mars 2011 Il s'agit du satellite Glory :http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5gCXtQJMdhMVR7hRouND2AleVwsdQ?docId=CNG.457f66391b18f9c7235ed3e6c712b416.1e1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) le 22 septembre 2011 Share Posté(e) le 22 septembre 2011 Un satellite gros comme un bus va percuter la Terre Sa mission finie, sa réserve de carburant épuisée, UARS (Upper Atmosphere Research Satellite) va retomber sur Terre vendredi. Si une bonne partie brûlera lors du passage dans l'atmosphère, 532 kg de carcasse, de roues et de batteries devrait atteindre le sol. Où ? Mystère... Ce n'est pas de la science-fiction, et l'échéance se rapproche : un satellite américain, grand comme un bus, doit retomber sur Terre vendredi. A quelle heure ? Difficile de le dire. Où ? Encore plus problématique. Ce sera quelque part entre 57 degrés de latitude nord et 57 degrés de latitude sud, une superficie qui couvre une grande partie de la Terre. Mais la Nasa se veut rassurante : selon l'agence spatiale américaine, il n'y a que 0,03% de risque qu'un humain soit touché par les débris. Car il y aura bel et bien des restes solides de l'engin qui auront résisté à la traversée de l'atmosphère, et qui atteindront le sol : "Si une grande partie du satellite va se briser en de nombreux morceaux (...), tous les débris ne vont pas brûler", a expliqué la Nasa. Qui tient toutefois à préciser que jusqu'ici, "il n'y a jamais eu d'accident provoqué par un engin spatial revenant dans l'atmosphère", et qui rappelle que sur toute l'étendue terrestre susceptible de servir de point d'impact, "90% est inhabitée". Le petit plaisantin dont on guette ainsi le retour "from outer space", comme le chantait Gloria Gainor, ou selon l'expression consacrée par l'inoubliable nanar d'Edward Davis Wood Jr (l'un des plus mauvais films de science-fiction qui ait jamais été projeté sur les écrans) répond au doux patronyme d'Upper Atmosphere Research Satellite. En bon anglais : UARS, à prononcer "YOU-arz", à la façon d'un ours qui bâille. C'est un satellite de la Nasa d'une dizaine de mètres pesant près de six tonnes. Il a été mis en orbite en 1991 par la navette Discovery pour étudier la haute atmosphère. UARS a fini sa mission en 2005 et va retomber sur terre faute de carburant. Une localisation du crash 20 minutes avant l'impact En 2002, l'agence spatiale américaine avait mené un audit sur les risques induits par la retombée du satellite. Il en découle que sur les 5668 kg du mastodonte, 532 kg seulement pourraient survivre à l'entrée dans l'atmosphère. Soit 26 objets parmi lesquels on compte des roues et des batteries. "Des engins de cette taille retombent en moyenne une fois par an", relativise Mark Matney, un scientifique de la Nasa spécialiste des débris spatiaux. Le plus gros engin spatial à être retombé sur terre est la station spatiale soviétique Salyut 7 dont les débris ont arrosé une ville d'Argentine en 1991, sans faire de victime. La Nasa a prévu de communiquer sur la chute 12 heures, 6 heures et 2 heures avant l'arrivée du satellite. Mais, même deux heures avant, les ingénieurs ne pourront pas faire mieux que d'avancer une zone d'impact large de 12.000 km. Et ce n'est qu'à 20 minutes de la chute qu'ils pourront se prononcer précisément. "Cette incertitude s'explique notamment par la trajectoire vagabonde du satellite et par ses culbutes qui nous empêchent de savoir comment il va évoluer", a expliqué Mark Matney. L'agence américaine de gestion des crises (Fema) "est mobilisée" comme toutes les agences américains qui s'occupent de la sûreté publique, a indiqué la porte-parole de la Nasa Beth Dickey. La Nasa a demandé aux gens qui seraient en contact avec les débris de l'engin de ne pas les toucher. Non parce qu'ils sont toxiques ou inflammables mais parce qu'ils pourraient être coupants. Et aussi "parce que, formellement, ils appartiennent au gouvernement américain", a rappelé la porte-parole. Le satellite de la Nasa pourrait retomber sur l'Italie Info rédaction, publiée le 22 septembre 2011 7 commentaires La trajectoire du satellite (capture d'écran) La chute des morceaux du satellite à la dérive de la NASA, prévue pour le 23 septembre pourrait retomber sur l'Italie, selon des simulations informatiques réalisées par différentes agences spatiales mondiales. S'il est pour le moment trop tôt pour prévoir l'heure et l'endroit précis ou retomberont les morceaux de l'Upper Atmosphere Research Satellite (UARS), un satellite de la NASA à la dérive, des simulations informatiques réalisées par différentes agences spatiales mondiales placent l'Italie en principale ligne de mire. Le satellite devait entrer dans l'atmosphère le vendredi 23 septembre. "Si une grande partie du satellite va se briser en de nombreux morceaux en entrant dans l'atmosphère, tous les débris ne vont pas brûler", a souligné la NASA dans un communiqué. Un audit effectué en 2002 sur les risques induits par la retombée du satellite indique que sur les 5.668 kilogrammes de l'engin, 532 kilos seulement pourraient survivre à l'entrée dans l'atmosphère. Aussi, 26 composants de l'UARS devraient atteindre le sol dans un rayon de 800 kilomètres. Parmi les régions situées sur la trajectoire habituelle du satellite se trouvent l’Émilie-Romagne, la Toscane et la Ligurie. L'agence de presse italienne (ANSA) indique que ce scénario n'est pour le moment qu'une hypothèse et devra être confirmée par l’analyse de données qui arriveront ces prochaines heures. Dans le doute, la Protection civile italienne dirigée par Franco Gabrielli, s'est réunie ce matin avec l'Agence spatiale européenne italienne pour élaborer de possibles interventions. La NASA a par ailleurs demandé aux gens qui se retrouverait en contact avec les débris de l'engin de ne pas les toucher. En effet, ceux-ci peuvent s'avérer extrêmement coupants et "formellement, ils appartiennent au gouvernement américain". L'UARS est un satellite d'environ dix mètres et pesant près de six tonnes. Mis en orbite en 1991 par la navette Discovery pour étudier la haute atmosphère, il a fini sa mission en 2005 et ne peut plus se maintenir en orbite faute de carburant. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 24 septembre 2011 Share Posté(e) le 24 septembre 2011 A priori, il s'est planté au dessus du Pacifique au large de l'Amérique, mais on ne sait pas ou exactement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) le 26 septembre 2011 Share Posté(e) le 26 septembre 2011 Le Monge a participé à la traque du satellite UARS Depuis Brest, le bâtiment d'essais et de mesures Monge a participé à la poursuite du satellite UARS, qui s'est écrasé sur terre samedi matin. L'intervention du navire français avait pour objectif de valider les estimations réalisées par la NASA quant au point de chute de ce satellite de 6 tonnes, mis en orbite en 1991. Une première poursuite a été effectuée par le Monge dans la nuit du 21 au 22 septembre et deux autres poursuites sont intervenues la nuit suivante et vendredi matin. Les données acquises par les radars du BEM ont permis au CNES de recaler au plus juste la zone de point de chute avec des résultats identiques à ceux de la NASA. Celle-ci a confirmé ce week-end que UARS s'était bien écrasé sur terre samedi matin, mais on ignorait encore, hier, où exactement les débris étaient tombés. Selon les experts du centre des opérations spatiales de la base californienne de Vanderberg, UARS s'est disloqué au dessus de l'océan Pacifique. Hier, aucun dégât n'était rapporté, laissant penser que les débris sont tombés dans des zones inhabitées, très probablement en mer. Un BEM pour la dissuasion nucléaire et la surveillance de l'espace L'intervention du Monge dans la poursuite de UARS met en lumière une mission méconnue du bâtiment. Mis en service en 1992 pour remplacer l'ancien Henri Poincaré, le BEM a pour mission principale de contribuer à la crédibilité de la dissuasion française en participant aux essais en vol de tir de missiles balistiques effectués par les sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE). Mais le Monge sert également à la surveillance de l'espace. En liaison avec le CNES, qui exerce une veille spatiale permanente, le Monge est alerté quand un débris spatial risque de percuter un satellite d'intérêt national. Le Monge poursuit alors, avec ses grandes antennes, le débris et affine sa trajectoire de manière à ce que le CNES évalue le risque et au besoin prévient l'opérateur du satellite pour le déplacer. Le Monge est également activé lors de la retombée d'un objet spatial présentant un risque pour les populations. Cette mission est réalisée aussi bien en mer qu'à quai. C'est ainsi que le BEM a été activé par le Centre d'Orbitographie Opérationnelle (COO) du CNES pour poursuivre le satellite UARS, une mission qu'il a réalisé depuis sa base de Brest. Un moyen unique et très précieux Construit par les chantiers de Saint-Nazaire, le Monge est le plus grand bâtiment de la marine française après le porte-avions Charles de Gaulle. Long de 225.6 mètres pour une largeur de 24.8 mètres, le BEM affiche un déplacement de 21.040 tonnes à pleine charge. Capable d'atteindre la vitesse de 16 noeuds, il présente une autonomie considérable, soit 15.000 milles à 15 noeuds ou 23.000 milles à 9 noeuds (il peut rester 60 jours en opérations sans ravitaillement). Pour mener à bien le suivi missiles balistiques lors des tirs d'essais et la poursuite des débris spatiaux, le navire, qui est unique en Europe, dispose d'imposants moyens. Ses superstructures supportent, notamment, trois radars de trajectographie et d'analyse (deux Armor de 47 tonnes chacun avec une antenne de 10 mètres de diamètre, ainsi qu'un Normandie de 62 tonnes avec antenne de 14 mètres de diamètre), six antennes de télémesure recueillant les données émises par les missiles, une station optique munie d'une tourelle optronique réalisant des observations dans le visible et l'infrarouge, une station météo/aérologie mesurant les caractéristiques aérologiques de la zone de rentrée, ainsi qu'une une station de télé-neutralisation permettant la destruction du missile le cas échéant. Le Monge est aussi équipé du système LIDAR (Light Detection and Ranging) doté de six lasers permettant de caractériser l'atmosphère (densité, température et humidité) jusqu'à 100 kilomètres d'altitude. Armé par un équipage de 115 hommes et un groupement essais mesures composé de 78 personnels de la Marine nationale et de la Direction Générale de l'Armement, le Monge peut embarquer deux hélicoptères lourds et dispose d'un armement léger (canons de 20mm et mitrailleuses de 12.7mm). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 27 septembre 2011 Share Posté(e) le 27 septembre 2011 Avec la source : http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=117220 ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
slider69 Posté(e) le 28 septembre 2011 Share Posté(e) le 28 septembre 2011 il parait que juridiquement parlant les déchets restaient propriété de la Nasa. =) =D Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chris. Posté(e) le 2 octobre 2011 Share Posté(e) le 2 octobre 2011 Petit strip de BD sur le sujet, publié il y a environ une semaine dans un journal suisse: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Marcus Posté(e) le 2 octobre 2011 Share Posté(e) le 2 octobre 2011 il parait que juridiquement parlant les déchets restaient propriété de la Nasa. =) =D Tout a fait. Il y a des accords qui datent de l'époque héroïque de la conquête spatiale. A l'époque, les constructeurs étaient bien comptent de récupérer les morceaux. Et La Nasa a rendu un morceau d'Ariane V tombé au U.S.A. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 23 février 2012 Share Posté(e) le 23 février 2012 Pour éviter les accidents, une université suisse se propose d'envoyer un micro satellite ''calamar'' ramasser des débris en orbite : http://actu.epfl.ch/news/l-epfl-lance-un-satellite-a-la-poursuite-des-deb-2/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chris. Posté(e) le 23 février 2012 Share Posté(e) le 23 février 2012 Tiens si ça se trouve il y a des personnes que je connais qui bosseront la dessus. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 23 février 2012 Share Posté(e) le 23 février 2012 Moi j'aurais trouvé plus intélligent de ne pas désintégrer le désorbiteur en même temps. Genre donner une grosse impulsion vers la terre puis lacher le débris. Puis refaire ça encore quelques fois juqu'a épuiser le carburant embarqué. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 23 février 2012 Share Posté(e) le 23 février 2012 Le système ne concerne que les gros débris et n'est utilisable qu'une fois. C'est pas le top quand même. Même en le lançant par paquet de 10 on va pas nettoyer l'espace du jour au lendemain avec ça. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 23 février 2012 Share Posté(e) le 23 février 2012 Moi j'aurais trouvé plus intélligent de ne pas désintégrer le désorbiteur en même temps. Genre donner une grosse impulsion vers la terre puis lacher le débris. Puis refaire ça encore quelques fois juqu'a épuiser le carburant embarqué. Cleanspace est un engin "microscopique" il fait 30cm x 10cm x 10cm pas de risque qu'il y ait du carburant en rab ;) d'autant que je crois que le bidule est a propulsion électrique pour la désorbitation ... on risque pas d'avoir une belle impulsion mais plutôt un ralentissement treeeeeeeeeeeeeeeeees progressif. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chevalier Gilles Posté(e) le 9 mars 2012 Share Posté(e) le 9 mars 2012 sympa, moi j'avais pensé il y a quelques mois a un système un peu similaire mais plus gros avec une pince "sac poubelle qui compresserais les déchets et qui retomberai une fois sur terre le sac poubelle pleina propos les gas corrigez le nom de la discution svp car ca fait vraiment mal aux yeux Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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