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Obama va faire une annonce à la nation: Oussama est mort.


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parait que des chinook était en soutient...

et on parle plutot de 3 hélico au minimum...et le corps a fait un stop par l'Astan avant de partir sur un PA

EDIT: j'ai oublier d'appuyer sur le bouton pour poster..donc grillé par ROB1 et vula ;)

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Il y avait deux Chinooks en stand-by, qui sont sans doute intervenus.

C'est dans la version officiel

2 MH60, dont un crashé, avec en backup 2 CH47, backup qui a priori étaient la très tôt selon les témoin pakistanais, peut etre meme déjà là au moment du hard landing, et là de maniere quasi certaine au moment des explosions - porte d'entrée etc. -, les témoins parle a ce moment de quatre hélico.

Pour le nombre d'opérateur on parle de 20 a 25 qui ont débarqué, soit ~12 par MH60, mais de 79 participant en tout ... ca doit inclure les équipages des divers aéronef et autre personnel en soutien.

L'article de wiki est pas mal et tres détaillé. http://en.wikipedia.org/wiki/Death_of_Osama_bin_Laden#Execution_of_the_operation

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2 MH60, dont un crashé, avec en backup 2 CH47, backup qui a priori étaient la très tôt selon les témoin pakistanais, peut etre meme déjà là au moment du hard landing, et là de maniere quasi certaine au moment des explosions - porte d'entrée etc. -, les témoins parle a ce moment de quatre hélico.

Quel interet de risquer de comprometre leurs hélicos furtif alors que les chinhook sont détectables ?

Le silence pour l'approche finale uniquement ?

Dans l'article Wikipedia ils parlent de système a imagerie hyperspectrale remplaçant les traditionnelles NVG des pilotes et opérateurs, on a des détails sur ce genre d'équipement ?

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Quel interet de risquer de comprometre leurs hélicos furtif alors que les chinhook sont détectables ?

Le silence pour l'approche finale uniquement ?

Dans l'article Wikipedia ils parlent de système a imagerie hyperspectrale remplaçant les traditionnelles NVG des pilotes et opérateurs, on a des détails sur ce genre d'équipement ?

Je pense que ces systeme son plutot utilisé depuis les aéronef par les observateurs comme les boule IR ... a priori l'objectif c'est le décamouflage, de maniere a mettre en défaut les moyen de dissimuler des truc sous des écran de tissu de fumée etc. le machin derriere apparaissant forcement dans un des spectres de toute la large bande du senseur.

C'est pas Predator - le "monstre" - qui a un systeme comme ca?

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Quel interet de risquer de comprometre leurs hélicos furtif alors que les chinhook sont détectables ?

Le silence pour l'approche finale uniquement ?

La réussite de ce genre d'action repose sur la surprise.

Cet élément, à lui seul, peut décider de tout.

Imaginons que la cible ait été alertée un peu trop tôt. Il aurait pu prendre la fuite ou se dissimuler. Sils lui sont tombés dessus dans son lit, je dis "Très fort".

Après, quand on maitrise l'environnement d'une telle cible, on peut le duper. Ainsi, imaginons que l'on fasse survoler des hélicoptères régulièrement la nuit à heure fixe. La première fois, il y a méfiance. Puis, les jours qui suivent, accoutumance. Jusqu'au jour où là les aéronefs ne sont plus de passage.

J'aurai une question aux pros de l'aviation:

Imaginons que la furtivité d'un hélicoptère de nuit repose sur la signature accoustique. Le kit pourrait-il donner le même son qu'un MI-8 local? Quoi de plus furtif qu'un hélicoptère local?

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Bonne remarque

Cependant, le Pakistan a t il profusion d helicos et gros budget "heures de vol"?

J en doute mais je pose la question

Pt etre que l helico imitait le bruit d un ane, ce serait plus malin.

"On a entendu arriver un ane, puis 10 minutes apres y avait 80 seals.

Ils ont du repartir sur leur ane"

Je sors.

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J'aurai une question aux pros de l'aviation:

imaginons que la furtivité d'un hélicoptère de nuit repose sur la signature accoustique. Le kit pourrait-il donner le même son qu'un MI-8 local?

aucune idée mais i c'est possible ça pourrait s'utiliser pour nos bateaux aussi.. en changeant la cavitation des hélices.. pas mal pour s'infiltrer dans un dispositif adverse..
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Dans la vidéo présentant BL devant sa tv il tient sa télécommande de la main droite, n'était il pas gaucher dans toutes les autres vidéo ?

Ca ne prouve rien, il m'arrive de prendre ma télécommande de la main gauche (je suis droitier) pour 1000 raisons....C'est déjà arrivé à tout le monde ici.  O0

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OBL à fait des progrès en "journalisme !

s'il avait tenu sa zapette de l'autre main , il aurait fait écran avec son bras !

c'est que c'était un vrai comédien ce gus ! au combat visiblement il ne connaissait que le mot Djiad pour enfumer les "artistes" qui venaient à ses castings de bombes humaines , mais en télé il va finir par nous "manquer" au journal des guignols.

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Je sais pas si ça a déjà été posté, mais voici un article qui montre le travail remarquable réalisé par la CIA sur cette affaire.

Death of Osama bin Laden: Phone call pointed U.S. to compound — and to ‘the pacer’

By Bob Woodward, Published: May 6

It seemed an innocuous, catch-up phone call. Last year Abu Ahmed al-Kuwaiti, the pseudonym for a Pakistani known to U.S. intelligence as the main courier for Osama bin Laden, took a call from an old friend.

Where have you been? inquired the friend. We’ve missed you. What’s going on in your life? And what are you doing now?

Kuwaiti’s response was vague but heavy with portent: “I’m back with the people I was with before.”

There was a pause, as if the friend knew that Kuwaiti’s words meant he had returned to bin Laden’s inner circle, and was perhaps at the side of the al-Qaeda leader himself.

The friend replied, “May God facilitate.”

When U.S. intelligence officials learned of this exchange, they knew they had reached a key moment in their decade-long search for al-Qaeda’s founder. The call led them to the unusual, high-walled compound in Abbottabad, a city 35 miles north of Pakistan’s capital.

“This is where you start the movie about the hunt for bin Laden,” said one U.S. official briefed on the intelligence-gathering leading up to the raid on the compound early Monday.

The exchange and several other pieces of information, other officials said, gave President Obama the confidence to launch a politically risky mission to capture or kill bin Laden, a decision he took despite dissension among his key national security advisers and varying estimates of the likelihood that bin Laden was in the compound. The officials would speak about the collection of intelligence and White House decision making only on the condition that they not be named.

U.S. intelligence agencies had been searching for Kuwaiti for at least four years; the call with the friend gave them the number of the courier’s cellphone. Using a vast number of human and technical sources, they tracked Kuwaiti to the compound.

The main three-story building, which had no telephone lines or Internet service, was impenetrable to eavesdropping technology deployed by the National Security Agency.

U.S. officials were stunned to realize that whenever Kuwaiti or others left the compound to make a call, they drove some 90 minutes away before even placing a battery in a cellphone. Turning on the phone made it susceptible to the kind of electronic surveillance that the residents of the compound clearly wished to avoid.

As intelligence officials scrutinized images of the compound, they saw that a man emerged most days to stroll the grounds of the courtyard for an hour or two. The man walked back and forth, day after day, and soon analysts began calling him “the pacer.” The imagery never provided a clear view of his face.

Intelligence officials were reluctant to bring in other means of technical or human surveillance that might offer a positive identification but would risk detection by those in the compound. The pacer never left the compound. His routine suggested he was not just a shut-in but almost a prisoner.

Was the pacer bin Laden? A decoy? A hoax? A setup?

Bin Laden was at least 6-foot-4, and the pacer seemed to have the gait of a tall man. The White House asked the National Geospatial-Intelligence Agency, which provides and analyzes satellite imagery, to determine the pacer’s height. The agency said the man’s height was somewhere between 5-foot-8 and 6-foot-8, according to one official.

Another official said the agency provided a narrower range for the pacer’s height, but the estimate was still of limited reliability because of the lack of information about the size of the building’s windows or the thickness of the compound’s walls, which would have served as reference points.

In one White House meeting, CIA Director Leon E. Panetta told Obama and other top national security officials that the general rule in gathering intelligence was to keep going until a target such as the Abbottabad compound ran dry.

Panetta said that point had been reached, arguing that those tracking the compound were seeing the pacer nearly every day but could not conclude with certainty that it was bin Laden, officials said. Panetta noted that there was no signals intelligence available and contended that it was too risky to send in a human spy or move any closer with electronic devices.

The Washington Post reported Friday that the agency established a safe house in Abbottabad for a small team that monitored the compound in the months leading up to the raid.

The decision

Obama and his advisers debated the options, officials said. One option was to fire a missile from a Predator or Reaper aerial drone. Such a strike would be low-risk, but if the result was a direct hit, the pacer might be vaporized and officials would never be certain they had killed bin Laden. If the drone attack missed, as had happened in attacks on high-value targets, bin Laden or whoever was living in the compound would flee and the United States would have to start the hunt from scratch.

Panetta designated Navy Vice Adm. William H. McRaven, who had headed the Joint Special Operations Command (JSOC) for nearly three years, to devise a boots-on-the ground plan for the special forces that became known as “the McRaven option.”

McRaven had increased the intensity of Special Operations raids, especially in Afghanistan. During his first two years as head of JSOC, the “jackpot rate” — when the strikes got their intended target — jumped from 35 percent to more than 80 percent.

His decision to assign the operation to the Navy SEALs, a Special Operations unit with extensive experience in raids on high-value targets, was critical. SEALs have a tradition of moving in and out fast, often killing everyone they encounter at a target site. Most members of the SEAL team in the bin Laden raid had been deployed to war zones a dozen or more times.

A “pattern of life” study of the compound by intelligence agencies showed that about a dozen women and children periodically frequented it.

Specific orders were issued to the SEALs not to shoot the women or children unless they were clearly threatening or had weapons. (During the mission, one woman was killed and a wife of bin Laden was shot in the leg.) Bin Laden was to be captured, one official said, if he “conspicuously surrendered.”

The longer such raids take, the greater the risk to the SEALs. One senior official said the general philosophy of the SEALs is: “If you see it, shoot it. It is a house full of bad guys.”

Several assessments concluded there was a 60 to 80 percent chance that bin Laden was in the compound. Michael Leiter, the head of the National Counterterrorism Center, was much more conservative. During one White House meeting, he put the probability at about 40 percent.

When a participant suggested that was a low chance of success, Leiter said, “Yes, but what we’ve got is 38 percent better than we have ever had before.”

The assault

Officials said Obama’s national security advisers were not unanimous in recommending he go ahead with the McRaven option. The president approved the raid at 8:20 a.m. Friday.

During the assault, one of the Black Hawk helicopters stalled, but the pilot was able to land safely. The hard landing, which disabled the helicopter, forced the SEALs to abandon a plan to have one team rope down from a Blackhawk and come into the main building from the roof. Instead, both teams assaulted the compound from the ground.

The White House initially said bin Laden was shot and killed because he was engaged in a firefight and resisted. Later, White House press secretary Jay Carney said bin Laden was not armed, but Carney insisted he resisted in some form. He and others have declined to specify the exact nature of his alleged resistance, though there reportedly were weapons in the room where bin Laden was killed.

A senior Special Operations official said that SEALs would avoid providing more details about the raid, to prevent the disclosure of methods central to their success. The individuals who took part in the raid, the official said, would not grant interviews and had signed nondisclosure agreements about their classified work.

“They are interested in closing ranks and getting on with business,” he said.

SEALs scooped up dozens of thumb drives and several computer hard drives that are now being scrutinized for information about al-Qaeda, especially an address, location or cellphone number for Ayman al-Zawahiri, bin Laden’s second in command.

But officials said the delicate process of sifting this intelligence bonanza is made more challenging because of worries that using the wrong passwords could trigger a pre-planned erasure of digital information.

In the White House Situation Room on Sunday night, the president and his national security team watched a soundless video feed of the raid.

When bin Laden’s corpse was laid out, one of the Navy SEALs was asked to stretch out next to it to compare heights. The SEAL was 6 feet tall. The body was several inches taller.

After the information was relayed to Obama, he turned to his advisers and said: “We donated a $60 million helicopter to this operation. Could we not afford to buy a tape measure?”

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Les fils de Ben Laden menacent de poursuivre Obama en justice

"Il est humainement et religieusement inacceptable de disposer d'une personne de ce niveau et de cette importance pour les siens, en jetant son corps à la mer d'une manière humiliante pour sa famille et ses adeptes et qui porte préjudice aux sentiments de centaines de millions de musulmans", ajoute Omar Ben Laden.

"En tant que fils d'Oussama Ben Laden, nous nous réservons le droit de poursuivre (les responsables de) ce crime devant la justice américaine et internationale pour s'enquérir du sort de notre père disparu", poursuit-il.

Tout en dénonçant l'opération de commandos américains menée avec l'intention de "tuer et non pas d'arrêter" Oussama Ben Laden au Pakistan, il souligne que "ni le président américain, ni son administration n'ont présenté de preuves" sur la mort de son père.

http://www.elwatan.com/depeches/les-fils-de-ben-laden-menacent-de-poursuivre-obama-en-justice-10-05-2011-123938_167.php

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il y a des mots difficilement associables avec OBL comme justice,humainement,inacceptable...

il est important de se rappeler que OBL était finalement qu'un tueur de masse par guignols interposés.

franchement si Clinton avait eu une paire aussi grosse qu'Obama , le problème OBL serait réglé depuis longtemps.

finalement OBL a rejoint Allah ( s'il veut bien d'un tueur de Musulmans notamment ) et c'est la place qui revient à ce genre de clown du Djiad ( peu courageux pour attaquer des civils désarmés et pacifique )

madrid, londres, nyc, casablanca, tanzanie, etc....le fils de ben laden doit se faire oublié car sa famille est une honte internationale.son père un criminel tout cours sans aucune excuses.

contrairement à ce que certains aurait voulu qu'on retiennent.OBL n'a jamais osé attaquer de front les forces US ou autres , il tuait des civils comme demontration de sa lâcheté.

lever le doigt en criant "Djiad , Djiad " c'est bon pour les idiots en rêve d'éternité qui n'ont jamais compris que détruire et plus facile que de construire. OBL à détruire le monde Musulman , il la d'une certaine manière discrédité en utilisant ces symboles pour sa cause mafieuse.

oui OBL était un simple assassin de masse et un mafieux , reste à trouver ceux qui en arrière fond ont utiliser ce pauvre type. dans des buts étatiques pas très charitables.

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bah s'il tombe en perte de portance de 10 mètre de haut c'est pas non plus plus dur qu'un space mountain.

Surtout que c'est une perte "partielle" de portance ... tout fonctionne bien, sauf que l'air entrant par le haut du rotor a déjà une vitesse ce qui réduit sérieusement l'efficacité du rotor et donc ca porte plus autant, mais ca se trouve le pilote a pu gérer en se posant viril mais sans trop gros bobo. Selon l'histoire dont on dispose les passagers de l'helicoptere crashé on poursuivi leur assaut ... d'un coté il avait pas vraiment le choix mais ca laisse supposer que la plupart de l'équipe était a peine blessée au pire. On voit d’ailleurs dans les restes de l'helo que le rotor principal a l'air d'etre resté solidaire sans avoir battu outre mesure les environ ou projeté des morceau a grand vitesse.

bah s'il tombe en perte de portance de 10 mètre de haut c'est pas non plus plus dur qu'un space mountain.

Effectivement les corde lisse ça s'utilise pas de très haut, parce que c'est encombrant déjà et surtout  parce que c'est dangereux.

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Peut on m'expliquer quand un hélicoptère se crash, ça ne fait ni blessés ni victimes. Les US ont parlé de zéro injured ou dead parmis les assaillants, les SEALS ont beau être costauds c'est monumental quand même  :happy: :oops:

ils avaient peut être déjà rippé hors de l'helico , comme la expliquer un intervenant plus haut , on voit la corde...seul les pilotes ont du subir le coup au fesses ! mais les sieges doivent être costauds

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