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France et ses projets dans l'espace...


Tchetchen76

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Je croit que le titre a tous dit

Mais je voudrais savoir sa politique pour l'espace, son avenir, son budjet par rapport au autre pays, esque la france et beaucoup en retard,

Dans projets j'entant (lancement de satellite(exclusivement francais ou si il en na pas europeen ><),projet pour la lune,pour mars, ou autre chose) <merci

O0

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Ben disons que y a des idées reçues aussi ...

Corot, le 1er télescope spatial orienté dans l'étude stellaire de champ proche qui observe les étoiles et permet autant l'étude et recherche de leur exoplanète éventuelle, que l'étude des "battements" de coeur de ses étoiles (gonflements pour faire simple)

Il est entièrement français a 1 instrument prêt (belge) conçu par le CNES et universités françaises/CNRS

Puis qui a rapidement été rejoint par son homologue américain "kepler" + performant

Y a d'autres exemples, bon après corot n'est pas non plus un engin spatial majeur comme hubble, herschel, planck ect étant beaucoup + petit ! (le télescope de Corot n'étant de que 11cm de diamètre, ceci dit quand on est dans l'espace et qu'on sait d'avance que l'étude se limitera qu'a des étoiles a moins de 1000 Al : c'est suffisant en réalité)

Disons que la france pourrait être a elle seule, une puissance spatial comme le Japon l'est par exemple par la Jaxxa : elle en a les moyens technologiques propres, les techniciens et ingénieurs adaptés, une expérience spatiale propre qui remonte a loin : les années 60 et le projet de de gaule de doter la franche d'une dissuasion nucléaire :

On le voit notamment sur ariane 5, certes au niveau industriel : y a pas + européen que cette fusée ! Mais au niveau développements, bureau d'étude et compétence autour de la fusée : ben en réalité : elle est a 80% française ! Au niveau ingeneering, ariane 5 est une fusée pensée et conçue par le CNES français : pour le compte de l'ESA, et sous maitre d'ouvrage EADS

On le dénie souvent (a chaque fois qu'on parle d'ariane 5 on hurle européen, mais le fait est que son développement est massivement français est moins connu et vanté ... Et souvent carrément nié quand on évoque cette réalité sur le spatial européen ou la position française via le CNES est quand même très ... Dominatrice notamment en compétences et ingénieurie autour des lanceurs !)

Pourquoi ? Parce que la france, en europe est le seule pays européen a avoir acquis la technologie et qui la maitrise a la perfection des lanceurs a ergol solide : fruit de la volonté gaulienne, de doter la france d'une FOST (notre dissuasion nucléaire océanique) qui passait nécessairement par l'acquisition technologique de missile stratégique compact a ergol solide pour rentrer dans un sous marin et donc faire comme les USA/soviétique : pour obtenir paré a l'emploi en 1968 environ le M1 puis le missile intercontinental en silot S3 qui lui aussi provient de cette technologie (le S3 étant le missile stratégique qui fut déployé au plateau d'albion, armé d'une tête a 1 Mt a + de 3000 km de portée suffisant pour menacer moscou très clairement)

Mais idem aussi sur les moteurs vulcains : travail du CNES principalement au niveau étude, et dont la réalisation industriel fut donné a un français : pour que le CNES puisse suivre de très prêt sa réalisation "physique" indispensable si on voulait voir espérer la fusée réussir

Et la domination du CNES continu : c'est toujours et encore le CNES, qui a contrôle sur les développements en continu de la fusée : sauf, le dernier pour l'ariane 5 doté du moteur d'étage "vinci" qui lui a été doté a l'industriel (EADS) sous surveillance du CNES bien entendu (en gros vinci = moteur réallumable pour ariane 5 + augmentation de la capacité en tonnage en GTO)

Tout comme la domination du CNES se fait clairement sentir aussi pour la petite fusée VEGA, elle est développée l'agence spatiale italienne, mais en réalité le développement est sous tutelle totale du CNES : qui rattrape toute les dérives au cas ou et surtout apporte tout le soutient d'expérience nécessaire

Bon tout ça après tout c'était logique, quand l'europe a décidé de se doter de véritable lanceur fin des années 60- début 70 après le refus américain de nous lancer un satellite telecom "commercial" avec leur exigence dominatrice que ce satellite ne soit qu'expérimental et non commercial ! La france était la seule a avoir une expérience claire et direct en technologies de lanceurs a grande concentration énergétique avec son programme nucléaire ou elle a développer seule ses missiles, missiles dont on retrouve tout le savoir faire accumulé aujourd'hui dans les boosters d'ariane 5 pour arracher du sol les 700t de la fusée !

Et depuis cette domination est restée, mais s'exprime aussi en soutiens financiers a l'ESA : la france étant a 28% du budget (en domination nette donc) mais qui se voit aussi très clairement, sur les dotations supplémentaires financières qui ne comptent pas dans le budget : et qui sont les participations de l'état pour que le CNES, CNRS et les labos des universités françaises participent a de nombreux programmes spatiaux (sondes principalement) tant avec l'ESA, que la NASA mais aussi avec les russes ect : principalement dans la réalisation d'instruments pour toutes ces sondes réalisés par les divers agences spatiales mondiales jusqu'a aujourd'hui

L'ESA pourrait voler en éclat, (qui sait avec l'euro en berne et la CEE impossible a mettre d'accord tout le temps) ariane 5 pourrait parfaitement continuer a voler pour le compte français (et d'autres pays continuant a soutenir financièrement) si EADS astrium lui industriellement continuerait d'exister (ce qui est principalement nécessaire pour le réalisation des 2 étages de la fusée sur chaine)

Bon évidemment ça risque pas d'arriver, l'ESA n'étant pas spécialement un programme européen avec un cordon ombilical a la CEE mais plutot un programme européen comme le CERN et l'ESO qui vit largement indépendamment et qui survivrait très clairement a l'explosion de la CEE puisque malgré tout chaque états y a aujourd'hui trop de billes financières pour y renoncer !

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  • 2 years later...

j'aimerai bien qu'ils fassent une nouvelle mission, pour 160ME elle a bien bossée.

 

Corot, le chasseur d'exoplanètes, termine sa mission

 

http://www.futura-sciences.com/magazines/espace/infos/actu/d/astronomie-corot-chasseur-exoplanetes-termine-mission-54134/

 

French exoplanet mission ends after seven years

 

http://www.spaceflightnow.com/news/n1406/24corot/

 

Dernière télécommande pour CoRoT

 

http://www.cnes.fr/web/CNES-fr/11301-st-2014-derniere-telecommande-pour-corot.php

 

http://smsc.cnes.fr/COROT/Fr/

Modifié par zx
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  • 1 month later...

tient, on va faire des trucs avec la nasa pour fournir des accessoires au prochain rover martien. j'aurai préféré qu'on s'intéresse à exomars ou lancement de mission simple. but why not.

 

Mars : la France impliquée dans «Curiosity 2»

 

http://www.lefigaro.fr/sciences/2014/08/01/01008-20140801ARTFIG00295-mars-la-france-impliquee-dans-curiosity-2.php

Modifié par zx
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  • 1 month later...

Tiens ?  un partenariat entre le CNES et la CNSA

 

 

http://www.air-cosmos.com/2014/09/26/25648-le-satellite-franco-chinois-svom-en-phase-de-definition

 

 

C'est une coopération de longue haleine. Objet d'un protocole d'accord entre le Cnes français et l'agence spatiale chinoise CNSA depuis 2006 et d'un accord spécifique depuis le 2 août, le satellite SVOM (Space Variable Objects Monitor) entre enfin dans une phase de définition préliminaire de deux ans à l'issue d'une réunion de trois jours entre les équipes scientifiques et techniques françaises et chinoises à Shanghai.

 

Prévu pour être mis sur orbite (600 km, 30°) par un lanceur chinois en 2021, SVOM étudiera les sursauts gamma à l'aide de quatre instruments (deux fournis par la France et deux par la Chine) montés sur une plateforme chinoise. La masse au lancement devrait avoisiner 900 kg. Le segment sol sera également partagé entre les deux partenaires.

 

Le CNES assurera la maîtrise d’ouvrage de la contribution française, constituée par la caméra X et gamma Eclairs et le télescope à rayons X de basse énergie MXT (Microchannel X-ray Telescope) ainsi que le segment sol associé. La maîtrise d'œuvre reviendra au Centre spatial de Toulouse, en partanariat avec le CNRS et le CEA.

 

De son côté, la Chine fournira le spectromètre pour les sursauts gamma GRM (Gamma-Ray burst Monitor) et le télescope dans le domaine visible VT (Visible Telescope).

 

Modifié par zx
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  • 1 year later...
  • 2 months later...
  • 2 weeks later...
  • 2 months later...
  • 2 years later...

étonnant, l'esa aurait été sans doute mieux, on dispose que d'un très petit budget.

La France et la Chine poursuivent leur coopération spatiale jusqu’à la Lune

http://www.air-cosmos.com/la-france-et-la-chine-poursuivent-leur-cooperation-spatiale-jusqu-a-la-lune-121905

 

Le CNES énumère les objectifs du programme spatial franco-chinois

Le président du CNES, Jean-Yves Le Gall, a défini une série d'objectifs pour les futurs programmes spatiaux communs entre la France et la Chine.

http://www.aircosmosinternational.com/cnes-lists-franco-chinese-space-programme-goals-118071

Les points clés du plan d’action présenté par Le Gall sont les suivants:

• poursuivre la grande mission d'astrophysique commune SVOM,

• identifier une nouvelle mission d'observation de la Terre axée sur la surveillance du climat,

• établir un cadre pour l'échange de données sur les gaz à effet de serre,

• chercher des occasions de travailler ensemble à l'une des missions d'exploration planétaire de la Chine,

• poursuivre la coopération dans le domaine de l'océanographie,

• poursuivre la coopération en cours dans le domaine de la médecine spatiale,

• étudier les possibilités futures de coopération en astrophysique,

• étudier la possibilité de travailler ensemble en science des matériaux,

• développer une collaboration dans l'espace avec le monde universitaire.

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  • 2 months later...

le 15 janvier 2019.

RAPPORT D’INFORMATION

DÉPOSÉ

en application de l’article 145 du Règlement

PAR LA COMMISSION DE LA DÉFENSE NATIONALE ET DES FORCES ARMÉES

en conclusion des travaux d’une mission d’information

(1)

sur le secteur spatial de défense

ET PRÉSENTÉ PAR

MM. OLIVIER BECHT ET STÉPHANE TROMPILLE,

Député,

http://www.assemblee-nationale.fr/15/pdf/rap-info/i1574.pdf

 

 

 

Modifié par P4
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il y a 51 minutes, P4 a dit :

Je propose de distinguer la question de la DEFENSE .... des projets CIVILS  dans l'Espace  

Ainsi j'ai créé:   Armées de l'air nationales  > Europe  > Spatial Militaire France et Europe   ...

Et j'ai averti les Modos qui ont admis que les fils existants, dont celui-ci n'étaient pas assez purement Défense.

Mes remarques et leurs réponses en:   Demandes d'articles  >> Spatial Militaire Français ? Où caser ce fil ??

Sans vraiment de réponse de leur part... j'ai enlevé les "préventions à ne pas répondre " du fil que j'ai créé

Le PR Macron va très prochainement expliciter la POLITIQUE / STRATEGIE DE DEFENSE SPATIALE... Aussi ce nouveau fil me paraît opportun ... Et l'on sait bien que d'autres pays s'activent ... Russie, Chine encore + que les USA  ... Donc à l'Europe ( et par défaut ) à la France de relever les défis .... Ta référence "Assemblée nationale" en étant + que les prémisses:  MERCI !

Par ailleurs pour bien marquer le côté MILITAIRE, j'ai préféré le faire en "Armées de l'Air" en anticipation de la création d'un NOUVEAU COMMANDEMENT ESPACE ( pour faire référence à la suggestion de Fenrir, qui demeurait dans l 'Espace Engins spatiaux, de fait assez marqué "civil" ) ( Sur-titre Aviation civile et Espace )

Aussi je suggère d'alimenter désormais ce nouveau FIL Armées de l'air nationales  > Europe  > Spatial Militaire France et Europe   

Modifié par Bechar06
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Si tu lis ce rapport d'information parlementaire tu noteras, comme l'on fait les rapporteurs a quelle point en France le secteur spatial est dual avec une forte intrication des acitivitées civiles et militaires.

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Il y a 1 heure, P4 a dit :

le secteur spatial est dual

Oui j'ai vu et c'est une réalité ! Et cela explique beaucoup la situation jusqu'à présent ( et donc les fils actuels )... Je voyais bien déjà à Béchar, dans le temps, ce côté Dual des choses ! 

Excuses je l'ai négligé... N'empêche que c'est bien la partie Militaire  qui nous intéressera  sur le fil Ad'hoc, puisque c'est la dessus qu'il va il y avoir un coup d'accélérateur ou, tout au moins, que l'on sera moins timide à  "parler  applications militaires"

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Je me demande pourquoi on a pas fait une version civile dérivé  du M-51 pour nos besoins via une société "privé" , la charge utile et de 1,5-2t,  ce qui est pas mal, altitude max 1000 km, surtout avec les lanceurs low cost qui abondent. cela permettrait d'amortir les coûts de R&D du missile. le seul truc on doit industrialiser le processus pour obtenir un lanceur à bas coûts, pour l'instant c'est 120ME l'unité fait à la main, on pourrait le lancer d'une plateforme en mer comme sea launch.

ca serait un très bon lanceur  à bas coût, on pourrait installer une base backup près du centre de tir missile près de Biscarosse pour nos besoins, et ca peu attirer du monde lors des lancements

Modifié par zx
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Peut être déjà posté ailleurs mais au cas où :

http://www.opex360.com/2019/06/10/la-france-songe-a-se-doter-dune-arme-antisatellite-basee-sur-la-technologie-dite-doptique-adaptative/

Reste à savoir ce qui se fait déjà aux US / Russie / Chine dans le domaine antisatellitaire (hors missiles) et quel retard avons nous dans ce domaine.

Sujet intéressant.

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Le 16/06/2019 à 10:16, zx a dit :

Je me demande pourquoi on a pas fait une version civile dérivé  du M-51 pour nos besoins via une société "privé" , la charge utile et de 1,5-2t,  ce qui est pas mal, altitude max 1000 km, surtout avec les lanceurs low cost qui abondent. cela permettrait d'amortir les coûts de R&D du missile. le seul truc on doit industrialiser le processus pour obtenir un lanceur à bas coûts, pour l'instant c'est 120ME l'unité fait à la main, on pourrait le lancer d'une plateforme en mer comme sea launch.

ca serait un très bon lanceur  à bas coût, on pourrait installer une base backup près du centre de tir missile près de Biscarosse pour nos besoins, et ca peu attirer du monde lors des lancements

Pour le M51, il ne sera pas financièrement compétitif, il a d'autres contraintes dans son cahier des charges. (Et avec une série de 50 missiles, c'est presque autant qu'une fusée Ariane, il ne faut pas compter sur le secteur civil pour doubler la production)

Ce qu'on m'avait expliqué pour les M45 (lors de leur remplacement, donc "gratuit") c'est que la FOST (et la France) ne voulait pas prendre le risque de perdre en crédibilité à cause d'un missile qu'on considère "périmé" (vu qu'on le remplace) qui ne sera pas utilisé conformément aux procédures et avec un troisième étage (à développer, presque obligatoire pour une fusée) qui serait une source supplémentaire d'accident. Le volet confidentiel est aussi non négligeable, si on commercialise le missile, il sera assez facile de connaître ses caractéristiques (portée, charge utile, robustesse...)

On peut réutiliser la technologie, mais ce sera compliqué de réutiliser l'outil industriels du missile. 

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c'est curieux, d'habitude ils bossent avec les US.

Poursuite des accords franco-japonais sur l’exploration du système solaire

https://www.air-cosmos.com/article/poursuite-des-accords-franco-japonais-sur-lexploration-du-systme-solaire-10473

Deux accords portant sur l’exploration de Phobos et de l’astéroïde Ryugu ont été conclus le 26 juin entre le Cnes et l’Agence spatiale japonaise, à l’occasion de la visite d’État au Japon d’Emmanuel Macron.

Le premier accord porte sur la poursuite des préparatifs de la mission MMX (Martian Moons Exploration), qui vise à envoyer en 2024 une sonde vers Phobos, l'une des deux lunes de Mars, afin d'effectuer un retour d'échantillons cinq ans plus tard.

Les études de faisabilité du projet avaient été lancées en avril 2017 ; il s’agit désormais de préparer la phase de définition détaillée de la mission (phase B).

 

Le second accord concerne les échantillons récoltés sur l’astéroïde Ryugu par la sonde japonaise Hayabusa 2, et qui doivent être rapportés sur Terre en décembre 2020.

Leur analyse sera effectuée au Centre de conservation des échantillons extraterrestres de la Jaxa, au moyen de l’instrument français MicrOmega, développé par l’Institut d’astrophysique spatiale (IAS) sous la responsabilité de l’astrophysicien Jean-Pierre Bibring.

 

Les deux accords ont été signés par Jean-Yves Le Gall, président du Cnes, et Hiroshi Yamakawa, président de la Jaxa, en présence de Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, et de son homologue Masahiko Shibayama, ministre de l’Éducation, de la Culture, des Sports, de la Science et de la Technologie.

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@zx Pour Hayabusa 2, c'est prévu depuis le départ de la mission :)

http://www.cnrs.fr/sites/default/files/press_info/2019-02/CP033-2019%20-%20Hayabusa2.pdf

Une période d’analyses préliminaires au Japon sera suivie d’analyses plus détaillées par des équipes internationales.

Dans ces phases d’analyses, le CNES et le CNRS seront impliqués selon trois processus distincts:

Dans la phase d’analyses préliminaires, une vingtaine de chercheurs français du CNRS sont intégrés au sein de l’équipe pluridisciplinaire japonaise. Pas moins de 7 laboratoires –CRPG, CSNSM, IAS,IMPMC, IPAG, IPGP, UMET1-sont représentés.

MicrOmega, microscope hyperspectral développé par l’IAS permettant des analyses non destructrices et sans contact avec le matériau afin de déterminer sa texture et sa composition, sera installé dans la chambre de conservation des échantillons construite par la JAXA dans le cadre de la mission Hayabusa 2. Il sera un atout de premier plan lors de la première phase de classification et d’analyses préliminaires des échantillons après l’ouverture du conteneur deHayabusa2.

Le Laboratoire J.-L. Lagrange, le LAM et le LESIA participeront également aux analyses en télédétection.

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