zx Posté(e) le 30 juillet 2017 Share Posté(e) le 30 juillet 2017 L'Australie déjoue une attaque terroriste visant un avion http://www.lefigaro.fr/international/2017/07/30/01003-20170730ARTFIG00025-l-australie-dejoue-une-attaque-terroriste-visant-un-avion.php 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 14 août 2017 Share Posté(e) le 14 août 2017 En accompagnement d'une série d'articles sur Les nouvelles routes de la Soie Chinoises ( fil Chine ), un article du Monde de Dim - Lun 13 - 14 / 08/ 2017: "La tentation chinoise de l’Australie. Le port stratégique de Darwin appartient à une entreprise chinoise et accueille des soldats américains : c’est le symbole du dilemme qui se pose à Canberra. Son principal partenaire commercial, la Chine, est aussi le rival le plus sérieux de son allié historique, les Etats-Unis". "Aucun pays sur terre ,'a tiré davantage profit que l'Australie de la rapide croissance et de la rapide industrialisation de la Chine". Mais la communauté chinoise australienne ( 1 million de personnes ) pourrait être une belle tête de pont: espionnée sinon bichonnée par la Chine. L'Australie exporte vers la Chine: Fer, Charbon, viande, lait, vin: pour 1/3 de ses exportations. Mais aussi vers La Corée du Sud et le Japon. La Chine exporte vers l'Australie: investissements ( rang 2 après les USA, agriculture, infrastructures ), étudiants chinois vers les universités . L'empreinte chinoise sur l'Australie est conséquente. Et Trump n'aide pas à un retour aux relations privilégiées d'antant avec les USA... au contraire c'est le constat d'un dépendance passée excessive En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/international/article/2017/08/11/la-tentation-chinoise-de-l-australie_5171379_3210.html#0hJbLChxpR1AAFHf.99 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 2 novembre 2017 Share Posté(e) le 2 novembre 2017 http://www.20minutes.fr/planete/2161795-20171102-ascension-uluru-rocher-plus-celebre-australie-interdite-2019 (2 novembre 2017) L'ascension d'Uluru, le rocher le plus célèbre d'Australie, sera interdite en 2019. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rogue0 Posté(e) le 5 novembre 2017 Share Posté(e) le 5 novembre 2017 La bulle immobilière australienne est en train de se dégonfler, pour l'instant en douceur. Le marché immobilier australien a connu une croissance continue depuis 55 ans (bull market), mais était devenu largement spéculatif (avec l'explosion des investisseurs chinois notamment), et commençait à rentrer dans le territoire des subprimes. Le gouvernement a mis en place des restrictions sur le crédits et l'achat par les étrangers. Résultat immédiat : baisse des prix depuis juin Ca sera une bonne, parce qu'on commençait à murmurer les mots fatidiques comme subprime, plus cher que Londres et NY, et que ça allait bientôt rejoindre le niveau de Hong-Kong... https://www.bloomberg.com/news/articles/2017-11-01/australia-s-housing-boom-is-over-as-prices-flatline-ubs-says https://www.corelogic.com.au/news/growth-conditions-remain-flat-national-basis-while-sydney-values-fall#.Wfl897p2uUk https://www.bloomberg.com/news/articles/2017-01-22/hong-kong-tops-survey-of-world-s-least-affordable-home-market 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 13 novembre 2017 Share Posté(e) le 13 novembre 2017 Quote Les autorités papouasiennes ont augmenté la pression lundi pour forcer des centaines de réfugiés à quitter un camp de rétention australien qui vient d'être fermé, en perçant leurs réserves d'eau et en renforçant les effectifs de police à proximité. Objet de vives critiques des organisations de défense des droits de l'homme, le camp de l'île de Manus, ouvert par Canberra en Papouasie-Nouvelle-Guinée pour détenir et traiter les dossiers de demandeurs d'asile, a été officiellement fermé le 31 octobre, ayant été jugé anticonstitutionnel par la Cour suprême locale. Mais environ 600 hommes s'y sont barricadés, alors même que l'eau et l'électricité ont été coupés. Les migrants ont été priés de se rendre dans trois centres de "transition", et plus d'une centaine ont accepté cette solution. Mais la grande majorité disent craindre pour leur sécurité en raison de l'hostilité de certains habitants. Détenus à Manus depuis plus de quatre ans, la plupart disent surtout qu'ils refusent de "quitter une prison pour une autre prison". Le réfugié iranien Behrouz Boochani, un "porte-parole" des demandeurs d'asile, a affirmé que les services papouasiens de l'Immigration avaient comblé des puits et percé des réservoirs dans lesquels les réfugiés collectaient l'eau de pluie. "L'Immigration perce des trous dans les réservoirs où nous récupérions l'eau de pluie. Ils ont déjà démoli nos abris", a-t-il dit lundi dans un tweet. "Trois voitures d'escadrons mobiles de la police, six bus de l'Immigration et deux camions sont devant le portail de la prison", a encore relaté ce journaliste kurde. "Les réfugiés sont très inquiets. Ils pourraient attaquer n'importe quand." Les réfugiés demandent à pouvoir s'installer dans un pays tiers. Dimanche, le ministre papouasien de l'Immigration Petrus Thomas avait donné 24 heures aux réfugiés pour sortir du camp, sans dire toutefois si ses services utiliseraient la force une fois cet ultimatum expiré. "Je m'attends à ce que le reste des résidents du (camp) désaffecté aillent dans la nouvelle installation lundi, afin que leurs besoins de base, comme la nourriture, l'eau, les soins médicaux, la sécurité soient satisfaits", a-t-il dit. L'Australie comme la Papouasie affirment que les trois centres de "transition" répondent à tous les besoins. Mais Behrouz Boochani a affirmé dimanche que les réfugiés qui y avaient emménagé se plaignaient des conditions de détention. Canberra mène une politique extrêmement dure vis-à-vis des migrants qui tentent de gagner ses côtes, en les reléguant sur Manus ou dans le micro-État insulaire de Nauru. L'Australie n'accepte aucun boat-people sur son sol, même ceux qui remplissent les critères du droit d'asile. La Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern a proposé d'accueillir 150 réfugiés. Une offre qui a été rejetée par son homologue australien Malcolm Turnbull. (©AFP / 13 novembre 2017 07h55) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rogue0 Posté(e) le 18 décembre 2017 Share Posté(e) le 18 décembre 2017 Comme pleins d'autres pays catholiques (USA, Allemagne, Italie, etc, la France c'était plutôt avant ...), l'Australie connait une énorme série de scandale de pédophilie dans les institutions religieuses. La pratique était quasi institutionnelle (40% dans un ordre...), et couverte par la hiérarchie.http://www.lemonde.fr/international/article/2017/12/15/l-australie-prend-la-mesure-de-la-tragedie-nationale-qu-est-la-pedophilie_5230542_3210.html "Bizarrement", ce n'est pas l'église australienne qui prépare les indemnités, mais l'état australien Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DrWho Posté(e) le 18 décembre 2017 Share Posté(e) le 18 décembre 2017 Petite précision: les états catholiques ne sont pas plus touchés par la pédophilie que d'autres non catholiques, c'est juste que la comptabilité des faits est "mieux faite" très souvent.... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 25 décembre 2017 Share Posté(e) le 25 décembre 2017 Un article du Figaro indique que l'Australie veut se protéger du soft power chinois, mais il réservé aux abonnés. Quelqu'un l'a lu en entier ? : http://www.lefigaro.fr/international/2017/12/25/01003-20171225ARTFIG00082-l-australie-dit-stop-aux-interferences-du-geant-chinois.php Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rogue0 Posté(e) le 25 décembre 2017 Share Posté(e) le 25 décembre 2017 (modifié) Il y a 2 heures, collectionneur a dit : Un article du Figaro indique que l'Australie veut se protéger du soft power chinois, mais il réservé aux abonnés. Quelqu'un l'a lu en entier ? : http://www.lefigaro.fr/international/2017/12/25/01003-20171225ARTFIG00082-l-australie-dit-stop-aux-interferences-du-geant-chinois.php Ah zut, je voulais poster dessus le mois dernier, et le brouillon est resté coincé. J'ai déjà parlé ailleurs des efforts d'influence chinois en Nouvelle Zélande (influence "soft", qui reste dans les "limites" acceptables). Révélation https://www.wilsoncenter.org/sites/default/files/for_website_magicweaponsanne-mariesbradyseptember2017.pdf Pour l'Australie, les efforts ont été plus (trop?) flagrants, et les autorités se sont rebiffé (surtout le contre-espionnage ASIO) depuis 2015. Pour résumer la situation (et les sources suivantes), l'Australie avait 4 points importants de vulnérabilité à l'influence étrangère: Révélation (mode Captain obvious ON) Important fournisseur de matières premières, dont la Chine est le client n°1 (même si c'est en baisse depuis quelques années) Pays développé en expansion, cherchant à attirer les investissements étrangers sans trop s'inquiéter de leur origine : là encore, les Chinois étaient des investisseurs majeurs dans la bulle immobilière (qui vient d'amorcer sa décrue). Pays démocratique, avec des lois de financement politique opaques, et un cadre légal flou concernant les influences étrangères ... et la définition de la trahison. Estimation du CFR : 80% des financements étrangers des partis australiens venaient de donateurs chinois. Pays d'accueil pour les étudiants étrangers. Là encore, les 150 000+ étudiants chinois forment 30% des étudiants, et une part significative des revenus des universités (frais de scolarité gonflés) : ceux qui n'ont pas pu étudier aux USA ou au Canada. C'est le 3ème "produit d'export" australien, juste derrière le fer et le charbon. Il y a eu un retour de flamme, car certains agissements commençaient à être trop voyants (même s'ils n'étaient pas illégaux avec les lois en vigueur). Par exemple, des parlementaires pris : à accepter de grosses donations chinoises. Révélation 880k$ AUD pour l'ancien ministre du commerce. 400k$ AUD pour un parlementaire (400 k$ AUD, bon, ça c'est commun pour des politiciens ... et le prix de la corruption en Chine est sans doute bien plus élevé). ( et l'entourage de Bill Clinton a fait pire sans doute vers 1992) à modifier leur position / discours pour défendre les intérêts chinois (bref, la contrepartie du chèque) : Révélation ne pas parler de WW2, mais de féliciter les chinois pour l'anniversaire de la victoire dans la “Chinese People’s War of Resistance Against Japanese Aggression and the World Anti-Fascist War”. Tenter d'empêcher son propre parti de rencontrer des dissidents à HK. Plus sérieusement, contredire la position du gouvernement australien sur les Spratley et la Mer de Chine, et défendre la position chinoise (devant les donateurs chinois). http://www.abc.net.au/news/2017-11-29/sam-dastyari-secret-south-china-sea-recordings/9198044 Et surtout, prévenir leur contact chinois qu'ils étaient sur écoute par le contre espionnage. Révélation https://www.theguardian.com/australia-news/2017/nov/29/sam-dastyaris-loyalty-to-australia-questioned-after-he-tipped-off-chinese-donorhttp://www.smh.com.au/federal-politics/political-news/labor-senator-sam-dastyari-warned-wealthy-chinese-donor-huang-xiangmo-his-phone-was-bugged-20171127-gzu14c.html C'est la goutte d'eau de trop. ça mord sur la trahison. Le reste, c'est de la simple corruption. D'autres exemples qui ont fait les titres des journaux. Des professeurs d'université australienne qui se font réprimander/suspendre pour des critiques (réelles ou perçues) de la Chine (après des polémiques postées par des élèves sur des réseaux sociaux chinois).Exemples: faire un écriteau "Interdit de tricher" en anglais et en chinois. Ou pour avoir utilisé une carte ne montrant pas les territoires revendiqués par la Chine (frontière indienne, Taiwan, etc). Certaines polémiques sont sans doute spontanées (par de jeunes nationalistes), pour d'autres, c'est moins sûr.https://www.nytimes.com/2017/11/15/world/australia/china-students-censorship.html Des procès (ou pressions supposées) pour faire changer des publications / papiers de recherchehttps://www.nytimes.com/2017/11/20/world/australia/china-australia-book-influence.html En conséquence, le gouvernement australien présente un projet de loi pour mieux encadrer les agents d'influence étranger (sur le modèle FARA américain). Et il fait le grand écart, pour fermer poliment la porte aux agents chinois, sans perdre cet important client, et en essayant d'éviter une vague de chasse aux sorcières / sinophobie... Mais en l'utilisant si besoin pour faire élire ses candidats ... Bref, ce que j'appelle avoir le beurre et l'argent du beurre. Ledit projet de loi est plutôt mal pris par les autorités chinoises : https://www.theguardian.com/australia-news/2017/dec/06/chinese-influence-on-australia-is-fabricated-by-media-china-claimshttps://www.lowyinstitute.org/the-interpreter/mistrust-australia-growing-chinahttps://www.nytimes.com/2017/12/06/world/australia/china-foreign-influence.html Mon avis personnel : ils ont eu la main un peu trop lourde. Encore quelques années de plus à subir les vexations de Trump et voir le devenir du programme One Belt One Road, et l'Australie aurait pu être "finlandisée" comme la Nouvelle Zélande. Là, c'est trop tôt. La minorité chinoise pèse "juste" 5.6% de la population : pas assez pour peser comme vote ethnique, mais assez visible pour faire les boucs émissaires... Sources complémentaires Révélation Analyse posée du CFR (council on foreign relations): https://www.cfr.org/expert-brief/australia-new-zealand-face-chinas-influence les reportages qui ont fait éclater l'affaire au grand jour (fairfax media) http://www.abc.net.au/4corners/power-and-influence-promo/8579844 http://www.abc.net.au/news/2017-06-05/asio-china-spy-raid/8589094 Modifié le 25 décembre 2017 par rogue0 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 25 décembre 2017 Share Posté(e) le 25 décembre 2017 @rogue0 Et bien, la, c'est vraiment du ''post'' de qualité :) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 24 février 2018 Share Posté(e) le 24 février 2018 Tiens. Encore un scandale sexuel qui coûte son poste à un responsable politique. Le premier ministre adjoint australien contraint à la démission et maintenant interdiction pour les ministres d'avoir des maîtresses parmi leurs équipes Même pour les célibataires ? Cela devient vraiment du puritanisme de pacotille... : https://www.ouest-france.fr/monde/australie-accuse-de-harcelement-le-premier-ministre-adjoint-annonce-sa-demission-5584190 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Wallaby Posté(e) le 26 avril 2018 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 26 avril 2018 (modifié) http://parlinfo.aph.gov.au/parlInfo/search/display/display.w3p;db=COMMITTEES;id=committees/commjnt/1e36c2f4-7e55-46ed-ab03-e9bd81f4cdb8/0004;query=Id:"committees/commjnt/1e36c2f4-7e55-46ed-ab03-e9bd81f4cdb8/0000" 31 janvier 2018 Commission du renseignement et de la sécurité Audition de Clive Hamilton, auteur du livre "Silent Invasion". Notre mémoire détaille donc une campagne très sophistiquée menée par le Parti communiste chinois pour influencer et infiltrer les institutions australiennes, depuis les parlements et les universités jusqu'aux médias, aux milieux d'affaires et aux organisations culturelles. Son objectif ultime est d'éloigner l'Australie de notre alliance avec les États-Unis et de faire de l'Australie une nation qui respecte les souhaits de Pékin. Basé sur la meilleure analyse internationale, notre mémoire montre que le Parti communiste chinois dispose d'une structure élaborée d'agences conçues pour mettre en œuvre sa stratégie. Ces agences du parti ont un réseau de liens avec des organisations et des individus en Australie, et c'est à travers eux que Pékin exerce son influence. Au cours des 10 ou 15 dernières années, des efforts intensifs ont été déployés pour faire en sorte que toutes les associations ethniques chinoises importantes en Australie, y compris les médias en langue chinoise, adoptent une position politique pro-Pékin, et cette campagne a été couronnée de succès. Au centre du réseau que nous décrivons, il y a le Département du travail du Front uni. Notre mémoire expose en détail son rôle en Australie pour la première fois. Lorsqu'il se concentre sur la communauté chinoise australienne, le travail du Département du travail du front uni comporte de l'intimidation et de la coercition, ainsi que de la persuasion. En conséquence, une grande partie de la communauté chinoise australienne vit avec une peur constante de bas niveau. Ces citoyens australiens sont privés de leur droit démocratique de participer librement à la vie publique de la nation, et je pense que nous devons prendre des mesures pour les libérer de la peur avec laquelle ils vivent et leur permettre de jouir des droits dont jouissent les autres Australiens. C'est ce que le projet de loi vise, entre autres choses. Ces dernières années, Pékin a réorienté l'attention du Département du travail du Front uni vers l'Australie, cultivant des amis et des sympathisants dans toute la gamme des institutions. En fait, certaines de ces institutions ont présenté des mémoires à la présente enquête - certaines demandant des exemptions à ses dispositions. Le train de mesures législatives sur l'ingérence étrangère présenté par le gouvernement Turnbull est indispensable à mon avis si nous voulons commencer à repousser les opérations d'influence clandestine de la Chine populaire. Sans cela, nous sommes en grande partie sans défense. Pourquoi la Chine populaire a-t-elle mis au point ce mécanisme élaboré d'ingérence étrangère - pas seulement en Australie ; exactement le même genre de questions se posent au Canada, en Nouvelle-Zélande, aux États-Unis et, bien sûr, dans toute l'Asie du Sud-Est. Ces derniers temps, et en particulier sous le président Xi Jinping, la Chine se considère comme la puissance hégémonique émergente. C'est un État totalitaire qui exerce un contrôle exceptionnellement étroit sur sa population intérieure, et il prévoit d'étendre son influence dans le monde entier, en particulier dans la région indo-pacifique. Elle a une longue histoire d'opérations du Front uni - il a vu le jour, en fait, dans les années 1930. L'objectif est essentiellement de pacifier d'autres nations, en particulier dans la région indo-pacifique, afin que la Chine puisse devenir la puissance hégémonique, et d'évincer ou même de chasser les États-Unis de cette région et de les remplacer. L'Australie est particulièrement importante parce qu'il ressort des déclarations publiques des représentants de la Chine populaire, mais surtout des documents confidentiels, que l'Australie est considérée comme le maillon faible de l'alliance occidentale. Cette stratégie a été formulée en 2004. Nous le savons grâce au témoignage du transfuge Chen Yonglin, qui est une source d'information extrêmement importante mais, bien sûr, pas la seule. Et depuis lors, nous avons vu une campagne de plus en plus sophistiquée et une pression croissante s'appliquer à l'Australie, exploitant, en particulier, nos relations économiques avec la République populaire de Chine comme un moyen de nous libérer de l'alliance américaine. Une chose que la plupart des gens ne comprennent pas, c'est que les investissements des entreprises chinoises en Australie ont souvent un objectif stratégique aussi bien que commercial. S'il est dans l'intérêt de la Chine populaire et du gouvernement de Pékin qu'une société chinoise investissant en Australie accomplisse une tâche politique ou stratégique, alors ils sont obligés de la faire. On ne discute pas avec Pékin. Le genre de séparation que nous avons dans les démocraties occidentales entre les opérations de l'industrie privée et les préoccupations du gouvernement ne s'applique pas en Chine populaire. Ainsi, maintenant que nous avons permis à des entreprises chinoises de prendre possession d'une partie importante de nos actifs d'électricité, je pense que nous nous sommes exposés à un risque important. C'est pourquoi le gouvernement, par l'intermédiaire du Foreign Investment Review Board, examine de beaucoup plus près ces investissements. J'ai parlé à un assez grand nombre de sino-australiens, y compris certains très critiques à l'égard du Parti communiste chinois ou, plus particulièrement, très critiques à l'égard de l'influence du Parti communiste chinois en Australie, parce qu'ils sont venus ici pour échapper à son influence. Certains d'entre eux m'ont raconté comment ils siégeaient à l'exécutif de diverses organisations professionnelles chinoises et ils ont découvert que soudainement, de nulle part, tout un tas de personnes se sont jointes et lors de la réunion suivante, ils ont été éliminés par un vote et l'organisation est passée d'une position neutre, apolitique ou critique à l'égard du parti communiste chinois, à une position pro-Pékin. Cela s'est produit à maintes reprises dans la communauté chinoise australienne. Nulle part ils [les représentants des universités] n'ont mentionné que le professeur associé Feng Chongyi de l'University of Technology Sydney a été kidnappé par les autorités chinoises alors qu'il faisait des recherches en Chine pendant une semaine et détenu parce que le Parti Communiste chinois n'aimait pas ce qu'il écrivait en Australie. Nulle part ils n'ont mentionné qu'il y a des chercheurs dans les universités australiennes qui travaillent main dans la main avec des scientifiques des universités de l'Armée populaire de libération sur des recherches directement liées au programme militaire de la Chine. Il s'agit là de graves intrusions dans la liberté académique et la liberté d'expression sur les campus australiens et pourtant, les universités se plaignaient simplement de la façon dont ces restrictions [prévues dans le projet de loi] pourraient affecter leurs opérations - et la principale opération étant de recevoir des torrents d'or d'étudiants étrangers, en grande partie d'étudiants chinois. Je pense donc que les universités australiennes ont vraiment perdu le fil de l'intrigue au cours de la dernière décennie et ne comprennent pas vraiment ce que signifie la liberté académique et qu'elles ne sont certainement pas disposées à mettre en péril leurs torrents d'or afin de les protéger. [Les instituts Confucius] C'est un peu gênant pour les universités. Je pense qu'il y a 14 d'entre elles et six du Groupe des Huit [ https://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_des_Huit_(Australie) ]qui ont des instituts Confucius. Comme je l'ai expliqué en détail dans l'annexe au mémoire, il y a des organisations universitaires aux États-Unis et au Canada qui ont écrit des critiques dévastatrices sur le rôle des instituts Confucius dans les universités en Amérique du Nord et qui ont souligné toutes les preuves montrant qu'il s'agit essentiellement d'agences du Parti communiste chinois qui exerce son influence culturelle et intellectuelle dans les universités australiennes et pourtant les universités sont disposées à accepter l'argent, malgré tous les conseils des principales organisations indépendantes qui se sont penchées sur la question. Tant que les universités australiennes accueillent des instituts Confucius, nous avons vraiment un problème parce que les agences du Parti communiste chinois, comme je pense que nous les citons si ce n'est pas dans le mémoire alors certainement dans l'annexe, ont clairement indiqué que les instituts Confucius font partie de la structure de propagande à l'étranger du Parti communiste chinois. C'est ce qu'ils ont dit et pourtant nous les accueillons sur les campus australiens. Les universités qui les accueillent ne veulent vraiment pas en parler. Même si la loi permettra des actions en justice, ce qui sera important, je pense qu'il y a un plus grand avantage à en retirer, qui est d'informer le public australien sur les types de dangers et d'influence, parce que ce n'est pas comme la guerre froide et l'espionnage soviétique. Ce n'est pas du tout comme ça. C'est nouveau, et nous sommes tous aux prises avec ça. Il s'agit d'un nouveau type d'ingérence et d'influence, et je pense que seule une réponse sociale plus large, qui comprend le dialogue avec la communauté sino-australienne - ce qui est absolument crucial - permettra à cette législation d'agir beaucoup plus efficacement que des poursuites judiciaires spécifiques. Je pense que nous devons changer notre compréhension de ce qu'est la Chine populaire, en particulier sous le président Xi Jinping. C'est, comme je l'ai dit, une puissance hégémonique montante qui exercera ses leviers économiques et autres sans pitié. Donc, bien sûr, nous avons besoin d'un dialogue et d'une diplomatie continus, mais nous devons aussi aborder la question en gardant les yeux grands ouverts sur le type de pouvoir qu'elle représente. Je sais que certains députés qui cherchaient à se faire réélire ou à se faire élire ont été vraiment surpris de la manière dont soudainement, il y a eu une campagne très efficace utilisant les médias sociaux en langue chinoise pour mobiliser les Sino-Australiens dans ces électorats. Certains des experts chinois à qui j'ai parlé croient qu'il est trop tard. Dans leur évaluation, le Parti communiste chinois et ses ramifications se sont implantés si profondément dans le sol des institutions australiennes que nous ne pouvons plus en extraire leurs racines. D'autres soutiennent que nous pouvons le faire, mais que le processus prendrait 10 ans. Cela me semble juste, mais cela dépend en premier lieu de la volonté des Australiens de débarrasser notre société de l'influence du Parti Communiste Chinois. Aujourd'hui, si vous comprenez suffisamment les dangers pour sentir que nous devons commencer à prendre des mesures pour retrouver notre indépendance, continuez à le faire, malgré les inévitables représailles. Notre naïveté et notre complaisance sont les atouts les plus forts de Pékin - les boy-scouts face à Don Corleone. Mais, une fois que les Australiens de toutes origines ethniques comprendront le danger, nous pourrons commencer à protéger nos libertés du nouveau totalitarisme. Modifié le 26 avril 2018 par Wallaby 5 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 3 mai 2018 Share Posté(e) le 3 mai 2018 http://www.opex360.com/2018/05/02/france-laustralie-approfondir-cooperation-militaire/ "...activité chinoise concerne aussi la France, via la Nouvelle-Calédonie et la Polynésie française. D’où la volonté de Paris et de Canberra de « réhausser leur partenariat stratégique. » Ce 2 mai, le président Macron et le Premier ministre Turnbull ont donc signé plusieurs accords devant marquer cette volonté commine d’établir un « partenariat plus approfondi » dans le cadre d’un « nouvel axe indo-pacifique ». « Notre priorité partagée c’est de construire cet axe indo-pacifique fort pour garantir à la fois nos intérêts économiques et de sécurité et pour promouvoir, dans une région clé pour les équilibres mondiaux, la paix et la stabilité », a ajouté M. Macron, avant d’assurer que « le dialogue trilatéral Australie-Inde-France a vocation a jouer un rôle central. » Dans le domaine militaire, Paris et Canberra ont donc signé un « accord bilatéral relatif à la fourniture de soutien logistique mutuel entre les forces armées françaises et les forces de défense australiennes. » il est aussi question d’organiser, chaque année, un « symposium » intéressant l’industrie de l’armement franco-australienne dans le cadre d’une « d’une initiative plus large entre les deux nations. » 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Algerino Posté(e) le 18 mai 2018 Share Posté(e) le 18 mai 2018 Voici un article de fond sur les enjeux de la coopération franco-australienne: http://nemrod-ecds.com/?p=1853 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 22 mai 2018 Share Posté(e) le 22 mai 2018 26 octobre 2017 44:14 : Linda Jakobson : En Australie, nous n'avons qu'un seul député, Matt Thistelthwaite, qui étudie pour parler couramment le mandarin. Nous ne voyons toujours pas de locuteurs de mandarin à la tête d'une entreprise de l'ASX100, ni aux plus hauts niveaux de gouvernement. Dieu merci, nous avons un secrétaire du ministère des Affaires étrangères et du Commerce international et un président de l'Office d'examen des investissements étrangers qui ont tous deux été affectés en République populaire de Chine. C'est certainement un début, mais ce n'est qu'en comblant le sérieux manque de connaissances de la Chine que l'Australie pourra vraiment commencer à naviguer dans la montée en puissance de la Chine et dans l'ordre mondial. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Phacochère Posté(e) le 16 juin 2018 Share Posté(e) le 16 juin 2018 Brusque montée de tension entre la France et l’Australie. Cette dernière s’apprêterait provoquer la défense française. ALLEZ LA FRANCE !!! #FOOTIX 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rogue0 Posté(e) le 21 juin 2018 Share Posté(e) le 21 juin 2018 L'institut Lowry a publié son sondage traditionnel (18ème rapport annuel) sur les australiens, et leur perception du monde (et des menaces). https://www.lowyinstitute.org/publications/2018-lowy-institute-poll Je n'ai pas lu tout le document (de 40 pages https://www.lowyinstitute.org/sites/default/files/LOWY_2018-PollReport_LR_0.pdf) Cependant, les australiens semblent assez confiants et assez stables. 3 changements notables selon le résumé: L'alliance avec les USA reste largement soutenue, même s'il y a eu une grosse pointe de méfiance (36% des personnes interrogées considèrent les USA de Trump comme une menace critique à 10 ans ... à égalité avec la Chine) La méfiance anti immigré aurait encore grimpé (l'Australie ayant depuis très longtemps des gros flux de boat people, et une politique dure à ce sujet) Malgré les affaires d'influence / ingérence chinoise largement publicisées en 2017, le principal sujet d'inquiétude envers la Chine concerne plutôt l'(excès) des investissements chinois (72%), plutôt que la crainte d'ingérence étrangère dans la institutions / élections australiennes (41%). Révélation Le 26/04/2018 à 13:07, Wallaby a dit : http://parlinfo.aph.gov.au/parlInfo/search/display/display.w3p;db=COMMITTEES;id=committees/commjnt/1e36c2f4-7e55-46ed-ab03-e9bd81f4cdb8/0004;query=Id:"committees/commjnt/1e36c2f4-7e55-46ed-ab03-e9bd81f4cdb8/0000" 31 janvier 2018 Commission du renseignement et de la sécurité Audition de Clive Hamilton, auteur du livre "Silent Invasion". Notre mémoire détaille donc une campagne très sophistiquée menée par le Parti communiste chinois pour influencer et infiltrer les institutions australiennes, depuis les parlements et les universités jusqu'aux médias, aux milieux d'affaires et aux organisations culturelles. Son objectif ultime est d'éloigner l'Australie de notre alliance avec les États-Unis et de faire de l'Australie une nation qui respecte les souhaits de Pékin. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 23 juin 2018 Share Posté(e) le 23 juin 2018 https://www.sbs.com.au/news/china-shunned-australia-s-trade-minister-during-recent-visit-senate-hears (31 mai 2018) Le secrétaire au commerce s'est vu refuser une entrevue avec son homologue chinois. Les producteurs de vins australiens ont des problèmes pour faire dédouaner leurs produits en Chine. Durant le G20, Wang Li a dit à Julie Bishop : "Si la partie australienne souhaite que la relation bilatérale revienne sur la bonne voie et réalise un développement sain et durable, elle doit abandonner la pensée traditionnelle et enlever ses lunettes colorées". 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rogue0 Posté(e) le 30 juillet 2018 Share Posté(e) le 30 juillet 2018 L'Australie étend son programme d'aide au développement, et aux infrastructures pour ses "voisins" du Pacifique. https://www.scmp.com/week-asia/geopolitics/article/2157169/china-real-reason-australias-pumping-cash-pacific L'objectif est clair : ne pas laisser le champ libre à Pékin, très actif dans la région pour Belt & Road (cf Vanuatu). Les "voisins" ont du coup la possibilité de faire jouer la concurrence (un peu comme entre Taipei et Pékin) C'est vrai que pour l'instant, les USA sous Trump n'ont pas de réponse claire pour contrer l'initiative Belt & Road. Certains alliés (Japon, Australie) continuent à jouer la carotte ( cad sortir le portefeuille pour financer leurs projets), et le Japon a porté à bout de bras la zone de libre échange ex-TPP (abandonné par les USA) Mais la présidence Trump semble plutôt porté sur le désengagement de tout engagement à l'étranger (et sur le bâton...) Donc, à moins de faire pression sur les BRICS, bloquer les flux de capitaux chinois, ou favoriser des "regime change", ou faire des blocus, je ne vois pas trop de contre mesure efficace au plan chinois... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 24 août 2018 Share Posté(e) le 24 août 2018 https://www.bbc.com/news/world-australia-45242806 (20 août 2018) Sous pression, Malcolm Turnbull abandonne son projet de politique climatique. Le projet initial aurait fixé dans la législation australienne l'engagement de réduire les émissions de 26 %, sur la base des niveaux de 2005, d'ici 2030. https://www.lesechos.fr/monde/asie-pacifique/0302157098960-australie-scott-morrison-devient-premier-ministre-apres-un-nouveau-putsch-2199779.php (24 août 2018) Scott Morrison, ex ministre des finances, devient le nouveau Premier ministre. Malcolm Turnbull a été "poussé vers la sortie par l'aile dure de son parti". 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 20 septembre 2018 Share Posté(e) le 20 septembre 2018 Quelqu'un a vu passer ça? https://edition.cnn.com/2018/09/19/australia/australia-strawberry-sabotage-needles-intl/index.html http://www.businessinsider.fr/us/australian-store-woolworths-stops-selling-needles-people-hiding-them-in-fruit-2018-9 https://www.heraldsun.com.au/news/scott-morrison-slams-cowardly-grub-responsible-for-strawberry-contamination-and-ups-jail-time/news-story/89100f542be3487afe3796f32d3ac9a0 Apparemment, depuis un moment, les Australiens trouvent des aiguilles métalliques dans leurs fraises (et, il semblerait, d'autres fruits: pommes, manges, bananes), et ce dans tous les Etats du pays. L'industrie du secteur, qui pèse 160 millions de dollars/an, a été durement frappée, avec des prix chutant, à certains endroits, sous les coûts de production, et d'autres maraîchages pourraient suivre. L'impact se ressent aussi sur les exportations dans tout l'est et le sud asiatique, et jusqu'au MO. Des mesures ont déjà été prises, comme le passage au détecteur de métal de centaines de milliers de barquettes de fraises, ce qui, outre l'accroissement des coûts que cela implique, n'est pas forcément en soi tout-à-fait rassurant, étant donné que les auteurs de tels actes pourraient très bien passer à des matières moins détectables, mais pas moins dangereuses (on se souvient par exemple du Viet Cong infestant les restaus de Saïgon pour mettre des fibres de bambous dans les soupes servies aux ricains). Je note la chose parce qu'outre les probables conséquences économiques et sociales, c'est le genre de trucs qui me frappe comme un de ces désormais multiples outils terroristes "low cost", une de ces innombrables "cibles molles" et vulnérabilités de nombreuses sociétés (pas que les ouvertes; et les sociétés moins riches y seraient encore plus vulnérables). Qu'on se rende compte que cela ne prend pas grand-monde et des coûts dérisoires pour infliger de tels dégâts à diverses industries. Avec un peu d'imagination, ça peut aller bien plus loin que juste des produits agricoles. Même s'il est très possible qu'il ne s'agisse là que de "blagues" puantes d'une bande de connards sans conscience (des gens ont avalé ces trucs), le phénomène, et sa médiatisation, dans le monde actuel, deviennent potentiellement des trucs contagieux, des objectifs à reproduire et améliorer pour certains groupes, islamistes, ou écolos radicaux (peut-être impliqués dans cette histoire?). En l'occurrence, au moins une personne a été arrêtée, et il semblerait que dans cette histoire, il s'agisse bien de gens faisant une "blague" (on se demande combien de temps ça prend de faire ça); mais l'idée a de la publicité maintenant, avec une vraie étude de cas sur l'impact économique, politique et médiatique, voire social (perte de confiance dans les produits les plus basiques du quotidien?). L'impact de quelques aiguilles peut être dévastateur, et là, il semble y avoir plus que quelques cas (au moins une centaine recensés); quid d'une telle arme? Y'a t-il suffisamment de parades? Et des parades qui ne fassent pas exploser les coûts? Grâce à Internet, combien de temps avant que ces trucs arrivent aussi chez nous? L'affaire dure depuis plusieurs semaines, et semble avoir accru en intensité, et pas que sur le plan médiatique ou politique (nombre de cas). Les gens peuvent, avec le temps et l'effort de communication adéquat, prendre comme habitude systématique de découper leurs fruits et légumes (sniff: croquer une pomme devient un sport extrême?), on peut avoir plus de contrôles.... Mais qui dit que ce genre de méthodes, si l'idée est là, s'arrêtent aux aiguilles? d'autres trucs peuvent être foutus dans des cultures difficiles à surveiller vu les surfaces impliquées, pas forcément des objets d'ailleurs (substances diverses). Et il n'est pas besoin de le faire sur un très grand nombre d'items pour induire panique et crises. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shorr kan Posté(e) le 20 novembre 2018 Share Posté(e) le 20 novembre 2018 L'un des grands mystères de la science vient d’être résolu ! https://www.theguardian.com/science/2018/nov/18/scientists-unravel-secret-of-cube-shaped-wombat-faeces Révélation Of all the many mysteries that surround the common wombat, it is hard to find one as baffling as its ability – broadly acknowledged as unique in the natural world – to produce faeces shaped like cubes. / Parmi les nombreux mystères qui entourent le wombat commun, il est difficile d’en trouver un aussi déroutant que son habileté - largement reconnue comme unique dans le monde naturel - de produire des matières fécales ayant la forme de cubes. Les fèces La face du monde va changer après ça 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Carl Posté(e) le 20 novembre 2018 Share Posté(e) le 20 novembre 2018 (modifié) Il y a 1 heure, Shorr kan a dit : L'un des grands mystères de la science vient d’être résolu ! https://www.theguardian.com/science/2018/nov/18/scientists-unravel-secret-of-cube-shaped-wombat-faeces Révéler le texte masqué Of all the many mysteries that surround the common wombat, it is hard to find one as baffling as its ability – broadly acknowledged as unique in the natural world – to produce faeces shaped like cubes. / Parmi les nombreux mystères qui entourent le wombat commun, il est difficile d’en trouver un aussi déroutant que son habileté - largement reconnue comme unique dans le monde naturel - de produire des matières fécales ayant la forme de cubes. Les fèces La face du monde va changer après ça Les australiens peuvent être fiers. Encore une bestiole unique au monde dans leur pays, et pour une fois pas pour le nombre d'humains pouvant être tués avec une dose de venin, pour la douleur de la morsure, ou pour l'originalité de la nuisance. Pour le wombat, tu noteras aussi l'habitat aride et la digestion de 2 semaines. Ces pauvres bêtes, en plus de se protéger de leurs prédateurs en bloquant l'entrée de leur terrier avec leur fesses, passent littéralement leur vie à "chier des briques" bien sèches et bien carrées . Ouch ! ( "Moquez-vous, je m'en fout, je remercie quand même mère nature ou le grand farceur dans le ciel, vaut mieux chier des briques qu'être conscient de sa courte existence et de devoir vivre en société avec des tocards !" Modifié le 20 novembre 2018 par Carl 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 31 janvier 2019 Share Posté(e) le 31 janvier 2019 https://phys.org/news/2019-01-australia-river-agency-pilloried-mass.html (31 janvier 2019) L'autorité qui supervise le plus grand réseau fluvial d'Australie a été accusée de "mauvaise administration", de "négligence grave" et d'avoir ignoré la science climatique jeudi, alors que ses voies navigables étaient recouvertes de centaines de milliers de poissons morts. Une enquête menée par le radiodiffuseur national ABC en 2017 a révélé que des milliards de litres destinés aux débits environnementaux étaient utilisés pour irriguer des terres agricoles en Nouvelle-Galles du Sud. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 7 février 2019 Share Posté(e) le 7 février 2019 Un milliardaire chinois qui était un peu trop généreux avec les politiciens australiens déclaré persona non grata en Australie : http://www.lefigaro.fr/international/2019/02/07/01003-20190207ARTFIG00135-huang-xiangmo-ce-milliardaire-chinois-dont-l-australie-ne-veut-plus.php# 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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