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Energies renouvelables : projets et conséquences


alexandreVBCI

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Aprés si on applique la politique ,de "j'en coupe 1 j'en plante 2"

 

Avec la mortalité prévois au moins ça, voir plus avec certaine essence sur des stations difficiles. De tout façon en France des plans de gestion rigoureux sont obligatoire pour exploiter toute surface de plus de 25ha. C'est à dire qu'on ne peut pas couper le moindre arbre sans déposer un dossier au Centre Régional de la Propriété Forestière local. Les petits surfaces peuvent adhérer à une charte de bonne pratique, c'est obligatoire si le propriétaire veut bénéficier d'aide diverse. 

 

@AlexandreVBCI: le document de l'ADEME s'appuie sur le rapport de l'IFN/IRSTEA et prend bien en compte le problème de la restitution aux sols de minéraux sur les terrains sensibles. Ce rapport est bétonné. 

Modifié par Karg se
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Si nos batteries actuelles sont bien pratiques, et tendent à devenir toujours plus performantes, elles souffrent pourtant d’un problème très handicapant. Plus elles réalisent de cycles charge/décharge, moins elles sont capables d’emmagasiner d’énergie. Des chercheurs pourraient avoir trouvé la solution: des batteries qui se réparent d’elles-mêmes.

 

Suite : http://www.gizmodo.fr/2013/11/19/futures-batteries-pourraient-plus-user.html

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Il y a énormément de recherches sur les batteries. et beaucoup d'annonces sur des découvertes théoriques. Il faudra sans doute des années pour que des solutions pratiques réellement révolutionnaires soient à la disposition du public. En même temps, le gaspillage d'énergie n'est plus acceptable et les besoins dans le domaine des batteries explosent avec les appareils mobiles, les véhicules électriques, etc... c'est un secteur d'avenir qui attire l'investissement et les chercheurs.  

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Alos oui et non ,deja pouquoi exploté a fond le bois ? Pouquoi a fond ?! Ensuite vu que dans pratiquement toute les région de france il y a du bois ,ou tout du moin la posibilité de le faire poussé ,le transport sera la ,mais sur des trajet court. Aprés si on applique la politique ,de "j'en coupe 1 j'en plante 2"

 

    La replantation en France ça se fait beaucoup chez ceux qui exploitent futaies et pinèdes (en taillis de bois de chauffage on replante pas, on laisse les souches rejaillir de pousses) mais ce sont souvent des espèces qui concernent peu le bois de chauffage mais + le bois de planches/mobilier/construction et d'industrie papetière

 

    Mais bon, on replante pas pour de l'amélioration environnementale, on replante car l'exploitant applique simplement une stratégie du meilleur moyen d'avoir a nouveau des arbres exploitables au même endroit coupé a ras pour dans 20 ans pour les premiers (25-30 ans pour les autres)

 

    Le bois de chauffage traditionnellement on préfère exploiter des taillis en sous bois, ça repousse encore + vite que de la replantation car ça repart d'une souche active qui offre son réseau racinaire pour plusieurs pousses, pousses qui deviennent l'équivalant de plusieurs arbres moyens sur une souche, jusqu'a ce que la souche soit trop affaiblie et la on avise mais des souches affaiblies ça peut mettre le siècle pour nécessiter de changer ^^ et c'est surtout + simple a exploiter pour les concernés qui sont + souvent des agriculteurs qui ont leur taillis familliaux transmis : N'étant souvent pas des grans pros du bois, le taillis simplifie vraiment tout pour eux : Rien a surveiller, tu coupes, tu laisses repartir tu t'en occupes pas ... Tu repasses dans 10 ans quand les pousses de souches feront 20cm de diamètre : Parfait pour faire des buches ...

 

   En France pour moi replanter dans une stratégie d'amélioration environnementale, n'aurait de sens que si on appliquait des stratégies d'éclaircies avec une filière de pépiniéristes fournissant des arbrisseaux d'espèces qu'on voudrait permettre de regagner un peu de terrain car peu présente du fait des siècles d'exploitation et coupe raser qui ont amené a ne faire pousser que les espèces efficaces ...  Si c'est pour replanter de la faible diversité bof ...

 

   Sinon y a les modèles nordiques mais c'est différend (Pays baltes nordiques, Canada ...) qui eux exploitent des forêts nationales en concessions, de la forêt quasi a l'état naturel tellement les surfaces sont grandes et en continu ... Et on exigence pour conserver leurs concessions de replanter des espèces bien précises et avec une densité au sol bien précise, ou le sol en lui même abrite pas mal de graines d'espèces faiblement commerciale :  On replante les espèces a bon intérêts commercial mais comme le sol en même temps est capable de refaire partir naturellement et immédiatement les espèces faibles : Les 2 sont reconstitués a la fois, ce ne serait pas possible en France vu que les espèces pauvrement commerciale (ou pas du tout) ne sont plus vraiment présente : Le sol n'a aucune graines a laisser repartir d'elles même

 

   Si on veut leur retour dans le biotope ça passera hélas par des campagnes d'élevage d'arbrisseaux de ces espèces d'abord soit des couts ... Et bon culturellement les exploitants eux n'acceptent que de replanter ce qui dans leur tête va permettre de couper dans 25 ans ...

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Moi je ne crois plus en aucune annonce sur les batteries. Tout les 15 jours on invente un système révolutionnaire ...

 

Le fait qu'il y est beaucoup de piste et d'annonce montre qu'il y a un effort de recherche et des voix de recherche prometteuse. C'est très positif. 

 

 La replantation en France ça se fait beaucoup chez ceux qui exploitent futaies et pinèdes

 

Source? Les plantations sont en chute libre, il n'y a que les Landes qui tiennent encore. Les couts sont énorme, le retour sur investissement nul à cause du faible court du bois, c'est la cata complète. 

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elle a des idées

 

 

 

 

Une Canadienne a développé un procédé efficace pour transformer l'électricité en air comprimé. De quoi démultiplier le rendement du solaire et de l'éolien.

 

http://www.lepoint.fr/environnement/danielle-fong-meilleure-amie-des-energies-renouvelables-26-11-2013-1762109_1927.php

 

Le magazine Forbes la présentait fin 2011 comme celle qui pourrait sauver le monde. Deux ans plus tard, l'intéressée ne dément pas. Danielle Fong pensait d'abord consacrer sa vie à la recherche sur la fusion nucléaire, "une réponse éternelle à nos problèmes d'énergie". Mais la Canadienne s'est vite rendu compte que cette énergie verrait au mieux le jour dans un futur lointain. "Trop tard en tout cas pour faire la différence dans la lutte contre le changement climatique", selon elle. Aussi a-t-elle préféré abandonner son doctorat à Princeton - commencé à 17 ans - pour apporter une réponse urgente à un problème de plus en plus pressant.

 

Elle quitte alors sa Nouvelle-Écosse natale et se tourne, comme n'importe quel entrepreneur à la recherche de soutiens moraux et financiers, vers la Silicon Valley. C'est là qu'elle teste ses idées, recueille des conseils auprès des stars du milieu et fonde LightSail Energy en 2008, dont elle prend la direction scientifique. Son offre ? Pas de réacteur nucléaire nouvelle génération donc, mais un ingénieux système qui convertit les surplus d'électricité sous la forme d'air comprimé pour être réutilisé plus tard, en fonction de la demande.

 

Un peu d'eau, beaucoup d'air

 

En soi, un tel procédé n'a rien d'original et souffre d'un inconvénient majeur : le dégagement de chaleur lors du processus de compression, inévitable selon une loi de la thermodynamique. En feuilletant un livre de sciences physiques vieux d'un siècle, elle trouve les clés du problème. Au moment de la compression de l'air dans un tuyau, il suffit d'y vaporiser la quantité d'eau adéquate. Le liquide absorbe la chaleur et limite alors l'élévation de la température à quelques degrés. L'eau chaude, récupérée par des valves, peut être réinjectée dans les tuyaux lors de la phase de décompression ou rejoindre un circuit de chauffage classique.

 

Un aller et retour dans ce système (électricité-air comprimé-électricité) se fait avec une perte minimale d'énergie, de l'ordre de 30 % (contre 65 % avec les procédés de compression classique), ce qui le rend si prometteur. Les énergies de flux pourraient de fait constituer de véritables "batteries d'air" pour pallier leur intermittence - la nuit pour le solaire ou en cas d'absence de vent pour l'éolien. "La combinaison de notre système de stockage avec les énergies renouvelables va, très bientôt j'espère, devenir compétitive face aux énergies fossiles, dont le prix ne peut que s'envoler", détaille Steve Crane, P-DG et cofondateur de LightSail Energy.

"Prochain General Electric"

 

La solution offre tous les avantages : abondant et gratuit partout sur la planète, l'air peut se stocker dans des conteneurs à bas coût, dont la durée de vie de plusieurs décennies excède tout ce qui se fait actuellement en matière de stockage d'énergie. La taille et le nombre des conteneurs seraient personnalisables selon les besoins, à raison de 50 litres d'air pour 1 kWh de courant. "Je ne suis certainement pas la seule à avoir eu l'idée", admet Danielle Fong. "Mais innover, c'est un état d'esprit. D'ailleurs, beaucoup pensaient cela impossible à réaliser, entre les problèmes supposés de corrosion, voire d'explosion."

 

Mais le prototype en main, les mauvaises langues se taisent et les investisseurs délient les cordons de leur bourse. Le business angel indo-américain Vinod Khosla avec son

fonds Khosla Ventures flaire d'abord le bon coup. Puis Bill Gates, Peter Thiel (co-créateur de PayPal) et Total suivent. L'entreprise, qui compte désormais une trentaine d'employés, a levé plus de 30 millions d'euros pour son dernier tour de table au début de l'année. Vu le pedigree des investisseurs, c'est peu dire que la jeune pousse californienne suscite un véritable engouement. "Nous comptons être le prochain General Electric", parie sans sourciller Steve Crane.

 

Rendez-vous en 2020

 

Le président de Total est d'ailleurs un des plus grands admirateurs de LightSail et, surtout, de la jeune femme. Lors d'une conférence organisée pour les employés du géant français dans un hôtel parisien, lundi soir, Christophe de Margerie l'a désignée comme "un modèle pour nous tous". "Elle a l'intelligence, les compétences et quelque chose que je n'ai plus, la jeunesse", a lancé le patron leader du CAC 40. Une quasi-passation de pouvoirs ! Tout pourtant les éloigne : le style, le sexe, l'âge, mais aussi et surtout l'époque. Lui a vécu le boom de l'or noir et des émissions à effet de serre, il assume être, en partie, la cause du problème. Elle veut gérer les conséquences et être une partie de la solution. Il a le pétrole, elle a les idées.

 

Danielle Fong se donne encore quelques années avant que son système de stockage ne réalise une vraie percée dans le secteur et produise les bouleversements qu'elle appelle de ses voeux : montée en flèche des énergies renouvelables, déconcentration des réseaux électriques, sécurité énergétique partout sur le globe. "D'ici 2020, je pense que nous aurons surpassé la plupart des obstacles et aurons démarré une production industrielle." Elle aura alors 32 ans. 

Modifié par zx
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"50 litres d'air pour 1 kWh de courant" Délire, c'est 3kwh par m3.

C'est cool, c'est ce que bouffe un radiateur pendant une heure. Donc en cas d'arrêt des éoliennes en plein hiver, le volume d'air à stocker pour 5 jour sans vent ça donne quoi? 24m3 de réservoir à haute pression. Facile. Le coût sera faramineux car il faudra construire une capacité de stockage énorme et l'utiliser très peu, quelques centaines d'heures par an. Déconcentrer le réseau? Débile, ce genre d'équipement prendra de la place, fera du bruit, il faudra forcément le concentrer en dehors des zones d'habitations. D'autant plus qu'il faudra relier les réseaux ENR dans tout les sens pour arriver à ne pas trop en demander à ce système. De toute façon en France le potentiel éolienne ne dépasse pas 20 à 30% de nos besoins annuels, sauf à recouvrir le pays ce qui est grotesque, tant qu'au solaire il reste hors de prix. 

Je ne crois pas une seconde au rendement annoncé: 

https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=3&ved=0CEEQFjAC&url=http%3A%2F%2Fwww.ecolo.org%2Fdocuments%2Fdocuments_in_french%2FAir-comprime-Mathis-Comby-2012.doc&ei=ALWVUrGzB-zBywOTo4HgAQ&usg=AFQjCNHu3dPgsph85y8_idMUOb9Wd5BH5Q&sig2=M8fhoBFaGbpvJItjgLNf_w&bvm=bv.57155469,d.bGQ

En réalité le rendement dépassera difficilement 55%. 

 

Tout ces projets nous éloignes d'une solution à la crise des GES: nous avons besoin d'une source d'énergie moins coûteuse que les énergies fossiles, c'est ça le problème. Le fait que TOTAL soutien ce projet indique clairement qu'il s'agit d'une fausse promesse visant à éloigner l'opinion publique de la seule solution.

Modifié par Karg se
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elle a des idées

 

 

 

 

Une Canadienne a développé un procédé efficace pour transformer l'électricité en air comprimé. De quoi démultiplier le rendement du solaire et de l'éolien.

Je comprends qu'on aurait alors des équipements sous pression (ESP) un peu partout. Avec les risques de fuite, qui impliquent une baisse du rendement, mais ça, c'est pas pris en compte dans les calculs, et les surcoûts sur l'entretien des capacités sous pression. Car une bombonne s’entretient si on ne veut pas qu'elle explose, et plus l’usage est fait à grande échelle plus le risque d'accident augmente : mauvais entretient, mauvais branchement, air de faible qualité contenant de l'eau (oh, on injecte de l'eau) qui corrode l’intérieur des bonbonnes qui finisse par exploser, etc etc.

 

Bref, l'article est largement incomplet, mais j'ai l'impression que l'étude aussi.

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Elle n'annonce qu'un rendement, ça n'implique en rien un cout de stockage. D'autre part ça ne change rien au fait que l'électricité éolien est cher, au moins 80 euro par MWh, et que ça ne s'arrangera pas car les meilleurs sites sont déjà équipés (cf mon lien vers manicore: plus on en met, moins elles sont rentables). Si on admet ces 1kw/h pour 50l, pour faire 100km avec une voiture classique il faudrait 1.25m3 de réservoir. C'est du délire. Ce genre de système permet d'encaisser des sauts de production instantané, pas de gérer la fluence des ENR qui elle s'exprime à court, moyen et long terme. 

 

A mon sens ce n'est ni une solution pour le stockage de grand volume d'électricité (pour moi c'est une chimère), ni le stockage à haute densité pour le transport (sur cette problématique par contre il existe des vrais pistes crédibles). 

Modifié par Karg se
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 ¨¨Procédé qui n'a au final rien de vraiment différent du pompage turbinage, les rendements (et donc pertes nettes) y doivent y être très similaire ...

 

 Déja que pour la voiture a air comprimé ils ont du mal a imposer commercialement le concept ...

 

   Et quand justement en plus l'auteur préconise pour de l'utilisation de réseau déconcentrée (que des petites unités) c'est la que tout s'effondre pour moi ... Le pompage turbinage ça ne se fait qu'a partir de certaines échelles du fait des pertes il faut que ça ait une utilité macro, donc en réseau décentré non ...

 

  Le problème c'est que pompage turbinage tu as juste a avoir un lac permettant une hauteur de colonne d'eau + système hydraulique pour produire l'énergie d'ou pourquoi y a que le macro qui marche bien d'ailleurs ... L'air comprimé il te faut des cuves et de la régulation, des moto-compresseurs et + ils sont petits + y en a + tu perds ... Bref pas cohérent pour du micro réseau ...

 

    A la limite ce qui pourrait bien marcher c'est de trouver une cavité étanche de grande taille dans le sol type mine de sel verticale comme les réserves de carburant stratégiques de la France qui utilisent ce procédé qui va très bien et très étanche dans la roche ...

 

   Une grande cavité de ce type pas trop loin de la production éolienne, et avec des moto-compresseurs de grande puissance étudiés pour le moins de perte possible (le moindre % = des mégawatts sur l'année donc ça joue ... D'ou pourquoi il ne faut pas du micro mais du macro ... Macro tu as toujours bien moins de pertes a comparé du micro ou tu multiplies les pertes joules de partout ...)  des grands groupes moto-compresseurs qui mettent en pression une cavité vide du sous sol étanche et une grande turbine qui produit du jus quand on relache la pression a la demande

 

   Pourquoi le micro multiplies les pertes ? Car vous aurez une multitude de moto-compresseurs qui ont chacun leur pertes propres bien supérieures a une grosse machine de grande échelle qui aura été étudiées pour perdre le moins possible et qui sera soit unique ou a 2-3 exemplaires max pour une grande cuve (naturelle c'est le mieux) mais aussi parce que pressurisé dans pleins de cuves en réseau :  Vous provoquez une immense perte joule sur les parois de ses cuves en pressurisant qui fait partie des pertes :

 

 + Vous avez de petites cuves, + vous multiplier la surface de pertes joules ... Moins vous avez de cuve mais une très grande cuve unique concentrant TOUT : Vous avez optimisé la surface de perte joule sur les parois car la surface de pression dans la grande cuve sera bien moindre qu'avec des milliers de petites cuves ...

 

   En micro réseau vous multipliez pour rien les pertes qui n'auraient pas lieu a cette échelle sur du macro qui a ses pertes lui aussi mais maitrisées ... Proposer cela en micro est une aberration une fausse bonne idée ...

 

   Mais en macro en trouvant une cavité naturelle étanche de très grand volume ou il lui suffit d'un chapeau étanche : La y a moyen de faire quelque chose d'aussi intéressant que du pompage turbinage de lac en colline ou de barrage en macro : Soit avec le moins de pertes possibles du fait qu'on cencentre le potentiel de perte

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Les réacteur nuke et centrale thermique produisent énormément de chaleur sous forme de perte d'energie. N'est-il pas possible de récupérer toutes cette chaleur pour nous chauffer et pour tout applications néssicitant de la chaleur.

 

Ainsi plus besoin d'importer du charbon/pétrole/gaz naturel qui polluent et plus besoin de radiateurs electriques inneficients.

 

On voit bien que la solution du probléme de l'energie et du chauffage dans le monde peut etre entierrement régler via RSF (ou fusion) + récupération de la chaleur produit par les RSF(ou fusion).

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Les réacteur nuke et centrale thermique produisent énormément de chaleur sous forme de perte d'energie. N'est-il pas possible de récupérer toutes cette chaleur pour nous chauffer et pour tout applications néssicitant de la chaleur.

 

Ainsi plus besoin d'importer du charbon/pétrole/gaz naturel qui polluent et plus besoin de radiateurs electriques inneficients.

 

On voit bien que la solution du probléme de l'energie et du chauffage dans le monde peut etre entierrement régler via RSF (ou fusion) + récupération de la chaleur produit par les RSF(ou fusion).

La cogénération nucléaire existe déjà

http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/10/29/et-si-on-testait-le-chauffage-nucleaire_3504725_3244.html

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  • 2 weeks later...

@Stormshadow, AlexandreVBCI: 90% de cette puissance installé repose sur la synergie entre le dumping chinois qui subventionne la production de panneau solaire (ça qui n'a pas empêché SunTech de faire faillite et d'être en cours de renflouage publique) et les états occidentaux qui imposaient des tarifs de rachat très généreux (en chute libre). Je doute fortement que cette croissance continu durant la prochaine décennie, surtout aussi vite. Et gaspillant de l'argent on peut faire exploser la production de telle ou telle source d'énergie, mais au final si le coût de production est trop élevé et que la production est trop fluente, ce n'est qu'agitation et gaspillage. 

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Le solaire spatiale permettrait de résoudre les probléme d'intermittenses vu que dans l'espace, l'energie solaire est disponible 24/24, 7/7.

Vu qu'il n'y a pas de nuage, et beaucoup d'espace surtout :)

Le petit souci c'est la transmission de la puissance par micro-onde ... c'est pas super rassurant :lol:

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J'ai peur que cette politique de subvention qui a provoqué une installation massive de panneau finalement rudimentaire et couteux en éléments rares ne soit un boulet qui va handicaper le solaire à long terme. C'est certain que si on arrive à un très bon rendement (>50) avec des panneaux quasi gratuit, on pourra se lancer dans des projets "loufoques" de stockage de l'énergie: même si ça démultiplie le prix, l'électricité sera quasi gratuite.

 

Le petit souci c'est la transmission de la puissance par micro-onde ... c'est pas super rassurant

 

Faut voir ce que permettent les nano tube, mais j'aime bien l'idée d'un ascenceur spatial qui en prime nous relie à des stations solaires en orbite. Si on perd le câble on aura l'air con.

Modifié par Karg se
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