Kiriyama Posté(e) le 19 octobre 2012 Share Posté(e) le 19 octobre 2012 Bonsoir,Je voulais savoir si les conditions météorologiques avaient joué un rôle dans la défaite de Napoléon à Waterloo, en 1815 ?Merci d'avance ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shorr kan Posté(e) le 19 octobre 2012 Share Posté(e) le 19 octobre 2012 Il avait plu la veille. Le terrain devenu boueux à compliqué le déploiement de l’artillerie qui s’y embourbait.Pour laisser au sol le temps de détremper, Napoléon retardera le moment de l'engagement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 19 octobre 2012 Share Posté(e) le 19 octobre 2012 Ca a été déterminant ? Parce que d'un autre côté les Prussiens étaient aussi affectés par le sol boueux. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 19 octobre 2012 Share Posté(e) le 19 octobre 2012 Le problème pour l'artillerie était certes le déploiement sur sol boueux, mais surtout l'impact des boulets et obus sur le sol: sur un sol boueux, les canons perdent une bonne partie de leur efficacité. Le côté décisif de la présence prussienne n'a pas été l'artillerie, mais simplement le fait qu'ils soient là et occupent une partie de l'attention française sur la droite dans un premier temps, puis surtout imposent un drainage énorme des réserves françaises sur l'aile droite, qui ont placé Napoléon dans une grave infériorité numérique face aux Anglo-Alliés alors qu'il était à l'attaque (et dans ces guerres, l'attaque réclame plus de monde vu qu'elle prend plus de pertes) d'une position concentrée et en partie abritée (et que pourtant il gagnait). Côté prussien, l'avantage a été de pouvoir amener un flot sans cesse croissant d'infanterie face à l'aile droite française en infériorité numérique constamment aggravée, et sans artillerie ou presque (l'artillerie était concentrée dans la grande batterie et autour d'Hougoumont pour l'essentiel, avec une petite réserve destinée à la colline du Mt St Jean, celle qui commencera à pulvériser les carrés anglais en fin d'après-midi). On peut effectivement argumenter que si Napoléon avait pu commencer en milieu de matinée, il aurait pu passer, surtout (si le plan avait été le même) si l'offensive d'Herlon, la première de la bataille, avait réussi (le fait qu'elle ait foiré a été un vrai coup de bol pour Wellington vu le rocambolesque enchaînement de micro-événements à l'avant de l'offensive). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 19 octobre 2012 Share Posté(e) le 19 octobre 2012 <Kiri pourrais tu STP éviter d'ouvrir des topics sur des sujets déjà traité; C'est pas comme ci on avait jamais parlé de Waterloo sur le forum :P; T'es un peu spécialiste du genre et ca me saoule parceque ca me donne du boulot en plus; Je fusionne> Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Berezech Posté(e) le 19 octobre 2012 Share Posté(e) le 19 octobre 2012 C'est une question de timing. Si l'attaque française avait débutée plus tôt les anglais auraient sans doute mordus la poussière et les français auraient pu s'expliquer face à face avec les prussiens. Même comme ça pas sur que ça aurait suffit :-[L'armée de Napoléon est loin de son niveau des grands jours, elle est épuisée et à peu près à parité numérique avec les prussiens même ci ces derniers débouchent d'un secteur défavorable à leur déploiement.Ceci fait, on a analysé que la situation stratégique était une impasse. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rochambeau Posté(e) le 21 octobre 2012 Share Posté(e) le 21 octobre 2012 La bataille de Waterloo (1815) Premier Empirehttp-~~-//www.youtube.com/watch?v=iKXnFQgpc7o&feature=g-all-u La bataille de Waterloo. Un jour dans l'histoire sur Canal Académie de Christophe Dickès avec Jean-Claude Damamme (journaliste). 01.01.2005 8 juin 1815. Dans le champ clos de Waterloo, Napoléon et Wellington sont face à face. Avec eux, 140 000 hommes... A quelques lieux de Bruxelles, la ville de Waterloo laisse un souvenir mélancolique pour les Français. Jean-Claude Damamme évoque la dernière bataille de l'Empereur, qui changea le sort de la France et de l'histoire européenne. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 21 octobre 2012 Share Posté(e) le 21 octobre 2012 Je suis pas réveillé, j'ai lu Vandamme :P Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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