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L'Iran va t-elle être envahie???


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Prét de la cible :?: Cela dépent qu'elle est leur mission et qu'elle est leur équipements. S'ils sont la juste pour bien vérifier les coordonnées GPS de telle ou telle batiment ou s'ils doivent l'illuminer avec un laser pour guider une bombe. Dans le dernier cas, c'est plus difficile car il faut trouver un terrain dégager et si possible en hauteur de la cible pour le faire. J'ai lut que certains lasers de ce type avaient une portée de 3 ou 4 kms.

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Tout d'abord ,les CCT sont des forces spéciales ,formées ,entraînées à la discrétion ,à l'infiltration ,à l'extraction ,au HALO HAHO,à l'incursion derrière les lignes ,leurs instructions est spéciales et spécifiques ,certains CCT sont déjà des ex navy seals ,des rangers ,des marines RECON...en sommes ,ils ont le savoir faire et le l'art de la survie. Quand ils guident une bombes de 250 kg ou un missile ,tu as tout intérêt à déguerpir rapidement et de ne pas rester sur zone. :lol:

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Tout d'abord ,les CCT sont des forces spéciales ,formées ,entraînées à la discrétion ,à l'infiltration ,à l'extraction ,au HALO HAHO,à l'incursion derrière les lignes ,leurs instructions est spéciales et spécifiques ,certains CCT sont déjà des ex navy seals ,des rangers ,des marines RECON...en sommes ,ils ont le savoir faire et le l'art de la survie.

Avec les surveillance que font les iraniens de leur teritoire ca m'etonnerai que des types arrivent a faire ce genre d'infiltration.

Les britanniques ont déja essayé l'année derniere par voie maritime et ils se sont fais attrapé comme des lapins.

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Les britanniques ont déja essayé l'année derniere par voie maritime et ils se sont fais attrapé comme des lapins.

ils sont allé en territoir iranien sans le vouloir ( d'apres eux), il n'y avait pas de limite entre l'irak et l'iran et les soldats sont allé un peut trop loin avec leur bateau

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La tension s'apaise entre Téhéran et Londres La marine iranienne a arraisonné lundi trois petits navires britanniques qu’elle accuse d’avoir pénétré dans ses eaux territoriales. Ces embarcations naviguaient sur le Chatt-el-Arab, cette voie d’eau, large de 1,6 kilomètre et longue de quelque 200 kilomètres, dans laquelle se jettent le Tigre et l’Euphrate et au milieu de laquelle passe la frontière -contestée par le régime de Saddam Hussein- qui sépare l’Irak et l’Iran. Huit membres d’équipage, tous Britanniques, ont été arrêtés et Téhéran, qui affirme qu’ils ont reconnu eux-même être entrés dans les eaux iraniennes, menaçait de les poursuivre en justice. Toutefois, après les excuses des soldats diffusés mardi soir par une télévision iranienne, le gouvernement de Téhéran envisage leur libération «si leur interrogatoire démontre qu'ils n'avaient pas d'intentions malveillantes». ils ont été relaché donc l'iran en a deduit qu'il ni avait rien de grave

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L'Union européenne a durci sa position envers Téhéran, exigeant désormais de l'Iran le démantèlement de ses installations d'enrichissement d'uranium comme preuve que son programme nucléaire est pacifique, selon des rapports confidentiels communiqués mercredi à l'AFP.

Lors d'une rencontre à huis-clos à Genève le 17 janvier, l'Allemagne, la France et la Grande-Bretagne (UE3) ont déclaré à l'Iran que "seuls l'arrêt total des activités d'enrichissement et le démantèlement des installations pouvaient apporter aux pays de l'UE3 la garantie objective que le programme nucléaire iranien est pacifique", selon un procès-verbal des pourparlers lu à l'AFP par un diplomate.

Mais les Britanniques, Français et Allemands, qui espèrent obtenir un accord à long terme par lequel les Iraniens renonceraient à toute ambition nucléaire militaire en échange d'avantages commerciaux, exigent désormais une "garantie objective" et n'"accorderont aucune faveur à l'Iran tant qu'il n'y aura pas d'avancée au sein du groupe de travail", selon ce diplomate.

A Genève, Téhéran a fait valoir qu'il lui faudrait produire 7.000 mégawatts de courant électrique d'ici 2021 et qu'il lui faudrait pour cela recourir à l'énergie nucléaire, selon ce diplomate.

Mais cet argument a été rejeté par la troïka européenne, qui estime que l'Iran dispose de réserves pétrolières lui permettant de produire de l'électricité en quantité suffisante et meilleur marché qu'avec le nucléaire, a-t-il ajouté.

L'UE3, qui ne voit pas d'objection à ce que l'Iran achète du combustible déjà enrichi, a en conséquence estimé que "l'arrêt et le démantèlement de volets sensibles du programme nucléaire (iranien) était souhaitable", selon un autre rapport de la réunion, divulgué par un second diplomate.

Téhéran a alors proposé de se limiter à la production d'uranium trop faiblement enrichi pour pouvoir être utilisé à des fins militaires, sous un contrôle renforcé de l'Agence internationale de l'énergie atomique. "Les Européens ont dit non", a affirmé le premier diplomate.

L'UE3 a également rejeté la demande de l'Iran de conserver 20 centrifugeuses "à des fins de recherche", a-t-il ajouté.

D'après un autre diplomate, les Européens s'interrogent aussi sur la volonté iranienne d'avancer très rapidement en matière nucléaire.

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Voici une analyse sur l'Iran par MedIntelligence fait en 2000, avant les derniéres élections qui ont les réformateurs se faire mettre à la porte par la justice au mains des conservateurs :

Iran

Tout comme pour l'Arabie saoudite, l'évolution intérieure de l'Iran sera déterminante quant à la stabilité dans la région. Alors que les législatives du printemps dernier ont porté une majorité de réformistes au Parlement, il faut s'interroger sur le pouvoir réél du président Khatami. Le Tribunal de la presse aux mains des conservateurs a pratiquement banni la publication de journaux réformistes en dépit d'une motion des députés, et en juillet dernier des restrictions d'eau sur fond de détérioration constante du niveau de vie ont amené des manifestations de rue que la police a hésité à disperser. En fait, M. Khatami est coincé entre les conservateurs qui, de fait, conservent les rênes du pays et l'aspiration du peuple, plus particulièrement des jeunes, à la démocratie. Une évaluation des services turcs de renseignement, établie après l'arrestation en mai dernier de plusieurs membres du groupe terroriste iranien basé en Turquie, Les combattants de Jérusalem, considère que Muhammad Khatami n'est pas maître de la situation intérieure, ce qui a permis au Premier ministre Ecevit d'affirmer publiquement à la télévision : "J'ai certain doute, comme tout le monde d'ailleurs, de la capacité de M. Khatami à contrôler son pays. M. Khatami est un homme politique moderne. Nous sommes cependant conscient de la balance des forces en Iran".

Alliée à Israël, la Turquie n'est pas pro-arabe, comme l'Iran d'ailleurs, dont elle n'est pas à priori l'ennemi mais la rivale. Elle cherche à étendre son influence en Asie centrale et dans le Caucase et constitue donc une menace à terme pour le monde persique. l'Iran ne peut déstabiliser sa concurrente, proche de l'Occident, membre de l'Otan et principale force capable de maintenir la balance des forces dans la région, qu'en exploitant ses faiblesses internes et plus particulièrement en s'appuyant sur le courant islamiste turc. En outre, son alliance stratégique avec Damas lui permet d'intervenir dans les affaires du Croissant fertile. Son soutien au Hezbollah en est une manifestation. Le rapprochement qui a été tenté avec l'Irak permettrait de consolider une sorte d'arc du refus, refus d'Israël bien entendu, mais aussi de l'influence américaine au Moyen-Orient. Malheureusement, la carte de Bagdad n'est pas facile à jouer : il y a d'abord le contentieux des Moujahidin du peuple qui opèrent à partir du territoire irakien ; ensuite il y a le traditionnel antagonisme entre l'Irak et la Syrie.

Deuxième volet de la politique iranienne, le recul de l'influence américaine dans le Golfe. Téhéran soutient en effet que la stabilité de la zone serait mieux assurée s'il n'y avait pas de présence étrangère. Faut-il alors considérer le rapprochement avec Riyad comme stratégique, ou simplement destiné à faire baisser la garde aux Américains ? Le maintien de la position iranienne sur les îles Tomb et Moussa ferait plutôt pencher en faveur de la deuxième hypothèse, encore que l'armée iranienne peine à se relever du conflit avec l'Irak, en raison notamment du double containment imposé par l'Administration Clinton.

Si l'on excepte l'Irak dont il est difficile d'évaluer la capacité opérationnelle de ses forces, l'armée iranienne est la plus puissante de la région avec ses quelques 500 000 hommes sous les armes. Mais elle n'a pu en raison de l'embargo moderniser son matériel. Ainsi, sur les 1400 chars de bataille de son parc, elle ne dispose que de 200 T-72 et son aviation est encore équipée de F-4, F-5 surannés et de quelques SU-24. Sa marine qui, outre quelques bâtiments légers, comporte deux destroyers de classe Sumner, 3 frégates de classe Vosper et 2 sous-marins diesel de classe Kilo, sans doute désarmés, n'est pas en mesure de rivaliser avec les navires de la Vème flotte américaine dont le QG est basé à Bahreïn. Encore moins, la marine iranienne ne serait en mesure de bloquer le détroit d'Ormuz.

En fait, Téhéran a concentré ses moyens limités sur la production d'armes de destruction massive. Le missile Shahab-3 , d'une portée de 1 300 à 1 500 km est maintenant une réalité. En juillet dernier, le Corps des gardes de la révolution islamique a formé cinq nouvelles unités de missiles qui annoncent leur déploiement opérationnel. Quant au Shahab-4 en cours d'expérimentation, sa portée de 3 à 4 000 km lui permettra d'atteindre l'Europe méridionale, donc à fortiori la Turquie. Parallèlement, avec l'aide de la Russie, Téhéran a relancé l'achèvement d'un réacteur nucléaire et envisage une coopération avec l'Inde pour construire une seconde centrale. Les experts de la CIA estiment que l'Iran est d'ores et déjà capable de produire une bombe nucléaire rustique. L'Iran est alors en passe de devenir la deuxième puissance nucléaire du Moyen-Orient mais cet armement a-t-il un caractère offensif ou dissuasif ? Face aux 200 têtes nucléaires d'Israël qui devrait, si ce n'est déjà fait, disposer d'une capacité de deuxième frappe, les bombes rustiques de l'Iran ne devraient avoir, dans un futur proche du moins, n'avoir qu'un caractère dissuasif. Il n'empêche que l'étendue du territoire iranien, le caractère policier du régime, favorisent la dissémination des sites de lancement des Shehab, si bien que Téhéran pourrait aussi disposer d'une capacité de deuxième frappe. On assisterait alors au Moyen-Orient à une situation analogue à l'équilibre de la terreur, manière guerre froide, ou Inde / Pakistan. Et dans cette hypothèse, la stabilité de la région serait d'autant moins assurée que Téhéran dispose aussi d'une autre capacité de nuisance.

Cette nuisance, c'est le terrorisme. Alors qu'il souhaite pleinement réintégrer son pays dans la communauté internationale, M. Khatami est loin d'avoir éradiqué le terrorisme d'Etat. Rappelons qu'au début de l'année, l'Iran était accusé par les Etats-Unis d'avoir cédé au Hezbollah des missiles qui avaient été livrés lors de l'Irangate. Le démenti des autorités de Téhéran le13 février ne donnait le change à personne car comment le Parti de Dieu se serait-il procuré ce matériel ! En mai, Ankara démontrait la collusion de l'Iran avec le groupe des Combattants de Jérusalem alors que nombre d'informations convergent, qui établissent les liens entre les islamistes iraniens, le Hamas et le Djihad palestiniens. Et maintenant, de sources israéliennes, Téhéran accélèrerait la livraison de katioukas au Hezbollah. Quel intérêt pour l'Iran dans tout cela ? Sortir de son isolement et devenir un interlocuteur incontournable dans la région. Une bombinette et un peu d'argent pour financer le plastic et les kalachnikovs de quelques groupes terroristes suffisent. Mais cela suffit aussi à déclencher un véritable conflit. Membres de l'Otan, les Turcs n'ont pas d'autonomie quant au déclenchement d'une guerre préventive, mais les Israéliens ont montré dans le passé - 1967 ou Osiris - qu'ils savent s'affranchir de leurs tuteurs et n'hésitent jamais à prévenir une menace quand ils estiment, à tort ou à raison, que leur sacro-sainte sécurité est en jeu. C'est peut-être là que se trouve le véritable danger au Moyen-Orient.

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Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei a adressé samedi une mise en garde aux Européens, les enjoignant de faire preuve de "sérieux" dans leurs négociations sur le nucléaire avec l'Iran, sous peine de voir la République islamique reconsidérer sa décision de coopérer avec eux.

"Les Européens qui sont en train de négocier avec l'Iran doivent savoir qu'ils ont affaire à une grande nation civilisée (...) Si les responsables iraniens sentent que les Européens ne font pas preuve de sérieux dans ces négociations, le cours des choses changera", a déclaré M. Khamenei, le numéro un du régime, cité par les médias iraniens.

"Nous sommes sérieux dans nos négociations avec les Européens. En conséquence, les Européens doivent être sérieux et montrer qu'ils cherchent véritablement une solution, mais malheureusement cela n'a pas été le cas jusqu'à présent", a-t-il ajouté.

"Ce n'est pas en temporisant que l'on empêchera l'Iran d'accéder finalement à la technologie nucléaire, puisque cela est de son intérêt national", a averti M. Khamenei.

Cité dans la presse iranienne de jeudi, le porte-parole des Affaires étrangères iraniennes avait nié que les négociations nucléaires avec l'Allemagne, la France et la Grande-Bretagne fussent dans l'impasse.

La veille, l'AFP avait appris que, selon des rapports confidentiels, l'UE avait durci sa position envers l'Iran, exigeant lors d'une rencontre à huis clos à Genève le 17 janvier, que ce pays démantèle ses installations d'enrichissement d'uranium afin de prouver que son programme nucléaire est pacifique.

Depuis plus d'un an, l'avancée de ce programme inquiète la communauté internationale, Etats-Unis et Israël en tête. Ces deux derniers pays accusent Téhéran de vouloir se doter de la bombe atomique sous couvert d'un programme civil.

L'Iran, qui réfute ces accusations, a annoncé la suspension de son programme d'enrichissement d'uranium dans le cadre de négociations menées depuis mi-décembre par les trois grands pays de l'UE pour trouver une issue à la crise.

"Les Européens savent que l'Iran n'abandonnera en aucun cas l'enrichissement (de l'uranium) à des fins pacifiques", a déclaré de son côté à l'agence Mehr (proche des conservateurs) Hassan Rohani, le responsable du dossier nucléaire iranien, qui supervise les négociations avec Paris, Londres et Berlin.

La République islamique revendique le droit de continuer à enrichir l'uranium à des fins civiles, arguant qu'elle y est autorisée par le Traité de non-prolifération (TNP), dont elle est signataire.

Comme M. Khamenei et plusieurs autres responsables iraniens, M. Rohani a redit que Téhéran n'était pas à disposée à négocier éternellement avec les Européens.

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Les Etats-Unis ont informé l'Union européenne que l'Iran avait effectué des travaux sur des centrifugeuses pouvant servir à fabriquer des armes nucléaires, qui seraient en contravention avec une suspension de l'enrichissement d'uranium acceptée par Téhéran, ont indiqué jeudi des diplomates à Vienne.

Le sous-secrétaire d'Etat américain chargé du contrôle des armements et de la sécurité internationale, John Bolton, a informé le 28 janvier la France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne (UE3) de travaux d'"entretien" effectués sur la tuyauterie de centrifugeuses à l'unité d'enrichissement de Natanz, dans le sud de l'Iran, a indiqué à l'AFP un diplomate occidental.

Dans une lettre aux directeurs politiques des ministères des Affaires étrangères de l'UE3, M. Bolton affirme en outre que l'Iran avait travaillé sur la conversion d'uranium, la première étape de l'enrichissement, dans une unité à Ispahan sans en informer l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), a ajouté ce diplomate.

Pour enrichir de l'uranium, du minérai d'uranium est progressivement transformé en tétrafluorure d'uranium (UF4) et en hexafluorure d'uranium gazeux (UF6). Ces gaz sont ensuite introduits dans des centrifugeuses pour produire de l'uranium enrichi pouvant servir, indifférement, de combustible pour des centrales nculéaires civiles ou à la fabrication d'armes atomiques.

Les Etats-Unis accusent l'Iran de fabriquer l'arme atomique sous couvert d'un programme nucléaire civil, ce que Téhéran dément catégoriquement.

Selon un diplomate occidental, Washington "est inquiet parce que l'Iran n'a jamais informé l'AIEA des tunnels (de conversion) à Ispahan avant le début de leur construction et par des activités suspectes à Natanz".

Dans sa lettre, M. Bolton affirme que "l'Iran a engagé des activités de construction (à Ispahan) qui aurait dû faire l'objet d'une notification préalable à l'AIEA".

Les travaux d'entretien effectués sur les centrifugeuses pourraient apparaître comme bénins, a indiqué le diplomate. Mais ils peuvent être vus comme s'inscrivant dans le cycle d'enrichissement, a-t-il ajouté. "Nous serions intéressés par votre interprétation de ces activités", écrit notamment M. Bolton à l'UE3.

En novembre, la république islamique avait accepté la suspension de toutes ses activités liées d'enrichissement ou au retraitement d'uranium contre une promesse de l'UE3 d'une coopération technologique et commerciale.

:arrow: Il n'y a pas un seul jour ,où un article ne sort accusant les Iraniens de mauvaises coopérations ,de tricheries ,de fausses déclarations et de rapport de situation.

Les USA avaient bombardé l'Irak pour moins que cela ,le discours de Bush ,ses conseillers ,les opposants aux régimes iraniens ,Jacques Chirac qui se dit vigilant et exigeant sur ce dossier.

Il se trame quelques choses ,d'ici là à dire que l'Iran va être envahie ? Il n'y a qu'un pas que souhaiteraient des néocons et consorts va-t-en guerre.

WAIT AND SEE

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Téhéran avertit qu'une frappe militaire américaine ne détruira pas ses installations nucléaires

TEHERAN (AP) - Le principal négociateur nucléaire iranien a déclaré mardi que Téhéran voulait régler ses problèmes avec les Etats-Unis mais a averti qu'une frappe militaire américaine ne détruirait pas ses installations nucléaires.

"Nous recherchons pas la tension avec les Etats-Unis", a souligné à la télévision d'Etat iranienne Hasan Rowhani, le secrétaire du puissant Conseil suprême de sécurité nationale. "Nous cherchons à régler nos différends avec l'Amérique mais ce sont les Américains qui ne veulent pas que ces problèmes soient résolus".

"Il n'existe pas de problème dans le monde aujourd'hui qui ne puisse être réglé", a martelé Hasan Rowhani avant d'affirmer qu'une frappe américaine serait vouée à l'échec.

"La technologie nucléaire de l'Iran est entre les mains de ses scientifiques et d'ateliers disséminés à travers tout le pays. Tous ont la capacité de fabriquer des centrifugeuses. Par conséquent, l'Amérique ne pourra pas détruire les installations nucléaires et les mines par une simple frappe militaire", a encore dit Hasan Rowhani. AP

Je pense que des frappes aériennes ne seront pas efficaces et ne detruiront qu'une partie des installations car les installations sensibles enfouies en profondeur et qu'il existe sans doute des installlations secretes dont les americains n'ont pas la connaissance.

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Le Premier ministre britannique Tony Blair s'est déclaré persuadé mardi que "l'Iran soutient le terrorisme", confiant toutefois son espoir que le pays "aide" à "faire progresser" la situation au Proche-Orient.

M. Blair a appelé par ailleurs à nouveau Téhéran à "remplir ses obligations" en matière nucléaire.

"Il n'y a aucun doute" sur le soutien de Téhéran au terrorisme, a insisté M. Blair devant une commission de la chambre des Communes, faisant ainsi écho aux affirmations récentes de l'administration américaine.

Mais, a-t-il ajouté, "j'espère vraiment que si nous pouvons faire des progrès au Proche-Orient, l'Iran réalisera qu'il a une obligation d'aider (ce processus) et pas de l'entraver".

:arrow: "Je pense que c'est un bon signe que l'Europe et les Etats-Unis travaillent ensemble, a expliqué le Premier ministre. Je pense que c'est un bon signe que la France et l'Allemagne, avec lesquels nous étions en désaccord sur l'Irak, travaillent très étroitement avec nous au sujet de l'Iran".

"L'Iran, a précisé Tony Blair, a reçu un ensemble d'obligations qu'il doit remplir. J'espère qu'il les remplira".

Une nouvelle réunion était prévue mardi à Genève entre les Iraniens d'une part et des représentants français, allemands et britanniques.

Les Européens, soutenus par les Etats-Unis, veulent que l'Iran mette fin définitivement à son programme d'enrichissement d'uranium.

Le pays a accepté une suspension provisoire mais refuse d'aller plus loin, arguant que son programme nucléaire est exclusivement civil

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L'iran cherche a se faire des amis !! Aujourd'hui 10 fevrier, kour de l'an de l'annee du coq en chine, (coup de bol que ce ne soit pas celle du cochon) supplement special de 8 pages dans ''China Daily" avec les voeux chaleureux de l'ambassadeur d'iran en Chine, une presentation complete de l'Iran avec son patrimoine reigieux, culturelles, ethnographiques et au diverses religions, sa cuisine. ses stations de ski,et ses plages avec son secteur touristiques en plein devellopement, sa technologies de pointes, ses 1700 journaux, son secteur petrolier et gazier, plus les pages de pub des entreprises chinoises presente ou souhaitent se presenter en Iran pour y installer des derricks ou des metros ( copies de chez Alstom ) et plein de truc du genre, les liens d'amities entre la chine et l'iran sont eternelle bref, faut pas irriter l'iran et son grand frere chinois

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Khatami promet le "feu de l'enfer" au "Grand Satan"

Le président iranien, Mohammad Khatami, a promis "le feu de l'enfer" à ceux qui oseraient envahir son pays. Sous la neige, il prononçait un discours devant plusieurs dizaines de milliers de personnes venues fêter le 26e anniversaire de la révolution islamique.

"Le peuple iranien est uni contre toute menace ou attaque", a déclaré le président Khatami, jeudi 10 février, devant la foule ayant bravé la tempête de neige qui sévit depuis plusieurs jours sur Téhéran pour assister aux festivités. "Tout envahisseur découvrira que l'Iran sera pour lui le feu de l'enfer", a-t-il ajouté.

Pour l'anniversaire de la révolution de 1979, les autorités avaient exhorté les Iraniens à assister en masse, malgré le froid et la neige, aux manifestations officielles pour montrer au monde l'unité de la population iranienne face à la pression internationale qu'à fait naître le programme nucléaire de Téhéran. Les médias officiels ont également exhorté les habitants de Téhéran à "sortir de leurs maisons pour répondre aux menaces américaines", insistant sur le fait qu'il y aurait sur place secouristes et boissons chaudes.

Suite et source ici : http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3218,36-397651,0.html

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Ah, les bonne vieilles manisfestations populaires :lol:

Plus sérieuresement :arrow:

Révélations sur une vente d'armes à l'Iran

Vienne : Maurin Picard

[10 février 2005]

Par une coïncidence des plus fâcheuses, l'Autriche se retrouve impliquée dans une affaire de vente d'armes à l'Iran, au moment même où Condoleezza Rice, en visite à Bruxelles, reproche aux Européens leur manque de fermeté envers Téhéran.

Selon le quotidien économique Wirtschaftsblatt, la société d'armement Steyr Mannlicher aurait vendu au régime iranien 800 fusils de haute précision, de type Steyr 50 SH, pour un montant qui reste inconnu. Ce modèle, dit «antisniper», est équipé d'une lunette de visée et possède un calibre (12,7 x 99 mm) qui lui permet également de percer les aciers les plus épais, jusqu'à une distance de 1,5 km. Une véritable «arme fatale».

Les premiers exemplaires auraient été embarqués il y a dix jours sur des vols Iran Air, au départ de l'aéroport Vienne-Schwechat. La cargaison totale doit être livrée avant l'été, conformément au délai d'autorisation d'exportation délivré par les douanes autrichiennes.

Dans sa déclaration d'importation, l'Iran stipule pour sa part que les fusils seront affectés à ses unités de police en charge de la surveillance des frontières et de la lutte antidrogue.

L'argument paraît crédible, et légitime. Le pourtour méridional et désertique du pays sert de voie de passage au trafic de drogue en provenance d'Afghanistan et du Pakistan. Les forces de sécurité iraniennes, mal équipées, affrontent quasiment tous les jours des trafiquants supérieurement armés. Ce que peuvent difficilement ignorer les Etats-Unis.

Malgré tout, le moment ne pouvait pas être plus mal choisi pour une telle transaction. L'Union européenne est engagée dans de délicates négociations avec l'Iran pour espérer mettre un terme à ses prétentions en matière nucléaire. Elle cherche à montrer sa fermeté à l'égard d'un régime qui n'a pas joué cartes sur table depuis vingt ans et soutient des groupes terroristes, ainsi que la résistance chiite en Irak.

C'est bien là que le bât blesse, pour Washington. Et si ces fusils ultraperformants se retrouvaient entre les mains des insurgés irakiens ? Le président de Steyr Mannlicher, Wolfgang Fürlinger, reconnaît avoir été «soumis à forte pression» de la part des Etats-Unis pour que le contrat soit annulé, mais n'en a pas tenu compte.

Mais il n'est pas le seul responsable. Le 12 novembre dernier, selon le Wirtschaftsblatt, le gouvernement autrichien, habituellement prudent sur les ventes d'armes à l'étranger, aurait délivré une licence d'exportation en bonne et due forme à Steyr Mannlicher, après avoir reçu copie du certificat de «destinataire final» signé par l'Iran. Téhéran s'engageant par là même à ne pas réexpédier les armes vers un autre utilisateur et à les conserver sur son territoire. Cette garantie pourrait s'avérer fort mince lorsque Vienne devra rendre des comptes à ses homologues européens cueillis à froid.

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Bizarre, je ne trouve rien sous Steyr 50 SH comme arme sur Google et sur le site de la société Steyr :? Quelqu'un à des infos sur cette arme :?:

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Washington utiliserait des drones pour espionner le nucléaire iranien

Les Etats-Unis utilisent des avions de surveillance téléguidés, des drones, depuis l'an dernier pour survoler l'Iran à la recherche de preuves de l'existence d'un programme d'armement nucléaire, mais aussi pour tester la défense aérienne, selon le "Washington Post" de dimanche.

Le journal, qui cite trois responsables américains, affirme que les avions utilisent radar, vidéo et photo ainsi que des philtres capables de détecter des traces d'activité nucléaire afin de recueillir des informations que les satellites ne peuvent obtenir.

Des responsables iraniens, européens et américains non identifiés précisent que le gouvernement de Téhéran a officiellement protesté contre ces incursions auprès d'intermédiaires suisses, en l'absence de relations diplomatiques avec Washington.

D'après le "Washington Post", un responsable américain a reconnu que des drones étaient utilisés mais affirmé que l'Iran s'était surtout plaint de survols habités, que les Etats-Unis ont niés. Le "Post" ajoute que des responsables américains ont confirmé le déploiement de drones sur les frontières iraniennes du nord et de l'ouest, d'abord en avril 2004 puis à nouveau en décembre et en janvier.

Les drones ont été repérés pour la première fois fin décembre par des dizaines de civils iraniens vivant sur les bords de la mer Caspienne et à la frontière avec l'Irak. Selon le "Post" qui cite un haut responsable iranien non identifié, Téhéran a préféré ne pas attaquer les drones plutôt que de révéler ses capacités de défense aérienne, ce qui, selon le journal américain, montre que l'Iran ne s'attend pas à être attaqué dans l'immédiat.

Dans le même temps, le gouvernement du président américain George Bush intensifiait sa pression pour obtenir de l'Iran qu'il se soumette à des contrôles de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA, dépendant des Nations unies).

Les Etats-Unis, qui accusent l'Iran de fabriquer des armes nucléaires sous le couvert d'un programme de production d'électricité à but civil, s'en remettent pour l'heure à la France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne, qui tentent d'obtenir des garanties de Téhéran

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Le commandant de l'armée de l'air israélienne, le général Eliezer Shkedi, a affirmé lundi que son pays devait être prêt à lancer une attaque aérienne contre les installations nucléaires iraniennes, a indiqué la radio militaire.

"Israël doit être prêt à mener une attaque contre les installations nucléaires en Iran", a affirmé le général, dont les propos ont été cités par la radio.

Le chef de l'armée de l'air s'est toutefois refusé de préciser si Israël était en mesure de mener seul une telle attaque, comme cela avait été le cas en 1981 lorsque l'aviation israélienne avait détruit une centrale nucléaire près de Bagdad.

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Impossible Israel ne pourra rien faire sans les usa.

Et surtout les missiles iraniens qui risquent de tomber par centaine sur les villes israeliennes, donc israel y reflichera 2 fois avant d'y aller.

Mieux que les mots ,les images ,je vais te faire une petite confidence ,les pilotes israéliens ne sont pas des manchots ,ils sont parfois supérieurs aux US.

Image IPB

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L'Iran n'a pas de centaines de sites industrielles ou missiles balistisque longue porter mais des dizaines ;) Voir la liste des installations déja mis quelques part, et cela est en effet un casse téte car on ne peut étre sur de démolir toutes les installations :? De toute façons, tout les experts vous diront que des raids peuvent ralentir fortement un programme mais ne le stopperont pas tant que le régime décide de le continuer :? Le mieux est d'aider l'opposition interne et de négocier avec elle si le pouvoir en place ne le veut pas 8)

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