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Opérations au Mali


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Le Mali doit être réhabilité à ses frontières, il faut chasser les terroristes mais aussi remettre sur la table de négociations les touaregs et l'état malien(je me demande bien lequel, l'armée, le pouvoir actuel, l'ancien président vu que c'est un shmilblik).

+1

Les Touaregs devraient avoir un statut particulier - Le nomadisme n'est pas facile à gérer c'est vrai. Mais dans tous les cas, ils doivent être respectés et pouvoir vivre de façon décente dans leur région d'origine. Si on les considère comme des géneurs, des encombrants, et qu'ils ne trouvent aucun profit à l'exploitation des ressources locales, seulement les inconvénients, s'ils n'ont aucune perspective d'existence, et doivent vivre abandonnés dans des banlieux pourris le problème persistera.

Sans doute aussi qui si on élève le niveau de richesse - ou plutôt qu'on diminue la pauvreté dans ses régions, par une répartition plus juste des richesses minérales, en n'acceptant plus la collusion de régimes gangrénés par la corruption, les trafics... et de sociétés qui exploitent les richesses qui poussent à la roue pour se faire toujours plus de fric...ça résoudrait bien des problèmes -

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C'est en arabe, en gros l'ANP a détruit un convois d'AQMI au nord du Niger qui convoyé des armes libyennes vers le Mali notamment des roquettes non guidées d'une portée de 20km, de mortiers et surtout une cargaison de SA-7. Deux terroriste méchoui ont été retrouvé les autres ont fuit à l’intérieur du Niger

http://www.elkhabar.com/ar/politique/310730.html

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Parce que il n'y a plus de Mirage F-1... =)

Mais il y a trois Mirage 2000 D au Tchad .... et un Mirage F1CR

http://www.marianne.net/blogsecretdefense/Mali-le-point-sur-engagement-militaire-francais_a811.html

Pourquoi il ne se passe rien ? Parce que Paris a fait le choix absurde de s'auto-exclure de la résolution de la crise, et s'est interdite elle-même un usage efficace de l'appui aérien ... pas très malin en effet. Et il est vrai que dans les années 80 ou 90, cette crise aurait été réglée à la source par quelques frappes aériennes et un déploiement militaire limité au sol avant que les choses empirent comme actuellement. Mais les choses ont changé, et "nous n'interviendrons pas, ce seront les Africains qui en décideront" comme l'a dit Hollande.

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C'est en arabe, en gros l'ANP a détruit un convois d'AQMI au nord du Niger qui convoyé des armes libyennes vers le Mali notamment des roquettes non guidées d'une portée de 20km, de mortiers et surtout une cargaison de SA-7. Deux terroriste méchoui ont été retrouvé les autres ont fuit à l’intérieur du Niger

http://www.elkhabar.com/ar/politique/310730.html

Bien joué !

=)

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Touaregs du Nord-Mali : une offensive éclair... mais ratée

"Nous allons prendre nos responsabilités !" Il y a quelques jours à peine, ce haut responsable du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) m’annonçait clairement la couleur. Cela se passait à Ouagadougou, au Burkina Faso, dans les salons chics de l’ex-Hôtel "Libya", rebaptisé d’urgence le "Laïco" après la chute de Khadafi.

Dans les salons alentour, les Touaregs d’Ansar Dine négociaient avec les médiateurs du président du Burkina pour essayer de trouver une solution à la crise au Nord-Mali. Défilés d’hommes du désert, en boubous bleus et chèche blanc immaculé, Burkinabés en costume sombre, cravate, émissaires de l’ONU... l’hôtel bruissait de toutes les rumeurs.

Devant un thé, un cadre du MNLA, les jeunes indépendantistes touareg, tapait du poing. La communauté internationale devait les prendre en compte ! Et pour mieux se faire entendre, le bouillant responsable annonçait que les forces du MNLA allaient montrer leur force et leur détermination à chasser les islamistes du Mujao et d’Aqmi qui occupent la région de Tombouctou à Gao.

Le résultat ne s’est pas fait attendre. Samedi dernier, un convoi du Mujao tombe dans une embuscade à 50 km d’Ansongo. La ville est située à la limite sud du territoire touareg. Et depuis quelque temps, le MNLA s’est installé à Menaka, ville frontière avec le Niger.

Prendre Ansongo, c’est ouvrir la route jusqu’à Gao. Gao est aux mains du Mujao, arabe et noir, des islamistes portés sur le trafic de drogue et la charia la plus dure, la lapidation et l’amputation des voleurs. Prendre Gao, c’est couper les islamistes en deux et démontrer à la communauté internationale que les jeunes Touaregs indépendantistes ont les moyens de régler le problème d’Aqmi.

Les combats s’engagent, ils sont violents, le Mujao perd quelques véhicules et une dizaine d’hommes. Mais la réaction est tout aussi violente. Le MNLA est stoppé net, le chef adjoint des forces du MNLA, Mechkanine, est blessé au combat et au moins une dizaine de ses hommes auraient été tués.

Chacun souffle, reprend des forces et se prépare à la suite. Le MNLA se réorganise et les islamistes du Mujao appellent Aqmi en renfort. Quand les combats reprennent, c’est le Mujao qui avance.

Plus d’espoir de prendre la ville, envolée l’idée d’encercler Gao...Plus grave : les islamistes poussent leur avantage et s’emparent de la ville de Menaka. Ce matin, l’épreuve de force semble terminée, l’offensive "éclair" aussi et se conclue par une défaite. Un épisode qui conforte ceux qui croient que les seuls touareg qui peuvent négocier en position de force sont les représentants d’Ansar Dine, chefs touareg plus âgés et plus discrets, enfermés dans les salons de l’hôtel "Libya".

http://carnetsdungrandreporter.blogs.nouvelobs.com/archive/2012/11/19/touaregs-du-nord-mali-une-offensive-eclair-mais-ratee.html
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http://www.20minutes.fr/article/1046710/ynews1046710?xtor=RSS-176

Mali: L'ONU exclut une intervention avant l'été 2013

AFRIQUE - Une telle opération nécessite des préparatifs, selon l'émissaire des Nations Unies, Romano Prodi...

L'émissaire des Nations unies pour le Sahel, l'ancien président du Conseil italien Romano Prodi, a exclu mardi lors d'une visite au Maroc toute intervention militaire d'une force internationale au Mali avant l'été prochain.

«Il a dit qu'une opération militaire dans le nord du Mali ne serait pas possible avant septembre ou octobre de l'an prochain», a déclaré un responsable du ministère marocain des Affaires étrangères. «Selon lui, toute action militaire nécessite des préparatifs et tout doit être fait pour la paix et pour éviter la guerre», a ajouté ce responsable.

L'aval de l'Union africaine

Le ministre algérien de l'Intérieur, Daho Ould Kablia, qui prône une solution politique et des négociations entre les rebelles maliens et le gouvernement de Bamako, a estimé qu'une intervention militaire dans le nord du Mali serait «une aventure» vouée à l'échec.

L'Union africaine (UA) a donné son aval il y a une semaine à un plan d'intervention au Mali pour chasser les rebelles islamistes du nord du pays. Les dirigeants de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao) se sont engagés à envoyer 3.300 soldats au Mali. Ces soldats seront notamment fournis par le Nigeria, le Niger et le Burkina Faso mais d'autres pays d'Afrique de l'Ouest et deux ou trois pays non africains pourraient également contribuer à cette force.

Lundi, des islamistes du Mouvement pour l'unicité et le djihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), lié à Al-Qaida, ont affronté des séparatistes touaregs du MNLA pour le contrôle de la ville malienne de Ménaka, près de la frontière nigérienne. Des combats entre le MNLA et le Mujao ont éclaté vendredi pour la première fois depuis que les islamistes avaient repris la capitale régionale Gao aux indépendantistes touaregs en juin.

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http://www.opex360.com/2012/11/21/nord-mali-pas-dintervention-militaire-avant-septembre-2013-selon-romano-prodi/

Romano Prodi a estimé que cette éventualité n’était pas pour tout de suite. “Tous les experts (politiques et militaires) sont d’accord pour dire qu’une intervention militaire ne pourrait avoir lieu qu’en septembre 2013″ a-t-il ainsi affirmé

Pour le moment, la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao) a préparé un concept d’opérations visant à mettre sur pied une force de 3 à 4.000 hommes

SEPTEMBRE 2013  :O

J'espère qu'ils sont pas trop pressé d'être libéré dans le nord-Mali  :P

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Même dans l'hypothèse où le feu vert onusien interviendrait sous peu et que les Européens et les Africains (le Nigeria vient d'indiquer qu'il déployera 600 hommes) se mettraient rapidement en ordre de bataille pour fournir effectifs et formateurs, il va falloir patienter avant d'assister au lancement d'une opération militaire de reconquête du Nord Mali.

La formation des troupes maliennes prendra bien six mois. C'est ce qu'a sugéré Romano Prodi, l'émissaire des Nations unies pour le Sahel. Lors d'une visite au Maroc, Prodi aurait exclu toute intervention militaire d'une force internationale au Mali "avant l'été prochain".

De l'avis d'un spécialiste français de la formation des armées africaines, effectivement, six mois "au minimum" seront nécessaires pour former les 2 600 soldats maliens prévus prévus dans le plan européen annoncé lundi.

Ce programme de formation, probalement nommé EUTM Mali, mobilisera quelque 250 militaires européens qui pourraient être déployés à l'EMIA de Koulikoro (nord-est de Bamako).

La France est en mesure d'en fournir plusieurs dizaines qui pourraient aussi oeuvrer au profit de 3 600 hommes de la CEDEAO. Ces formateurs seraient probablement soit acheminés de métropole dans le cadre de DIO (détachements d'instruction opérationnelle)  soit ponctionnées sur les élements français au Sénégal (EFS).

Les EFS (360 hommes) sont chargés de la coopération régionale afin d’accompagner la montée en puissance de la force en attente de la CEDEAO. Ces formateurs interviennent dans les domaines "formations d’état-major", "formations d’unités et de détachements" et "formations du spécialiste". Les EFS gèrent aussi les stocks RECAMP (Renforcement des capacités africaines de maintien de la paix) qui pourraient être mis à contribution dans le cadre de cette EUTM Mali.

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2012/11/21/mali-lesforces-de-la-cedeao.html

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Nord-Mali : Paris persiste à marginaliser Ançar Eddine

«S’il y a bien une leçon que nous enseigne l’accélération des négociations cette semaine à Alger, Paris et Ouagadougou, c’est que les Français et les Algériens sont sur deux voies opposées.»

Pour ce diplomate européen, il faut aller au-delà des propos diplomatiques et s’en tenir aux simples faits : pendant que Paris accueille des représentants du MNLA, Alger reçoit à nouveau une délégation du groupe islamiste nord-malien Ançar Eddine. «Paris joue la carte de l’aide aux rebelles touareg du MNLA, des encouragements pour qu’ils se constituent comme force à part entière et ne cherchent pas à s’associer à Ançar Eddine, que les Français persistent à considérer comme un groupe terroriste», explique une source au fait du dossier malien. «La France tient à la distinction entre laïcs (MNLA) et islamistes (Ançar Eddine) pour saboter la stratégie d’Alger qui veut intégrer Ançar Eddine dans le jeu politique et faire évoluer la solution politique globale», ajoute la même source.

La distinction entre groupes terroristes et mouvements islamistes touareg n’a été que récemment acceptée par Paris et presque à demi-mot. «C’est exactement, selon un diplomate, la distance qui sépare l’option militaire chère à la France du processus plus global que prône l’Algérie». Et l’enlèvement du Français (voir encadré) revendiqué hier par le Mujao, qui vient jouer les trouble-fêtes dans un processus délicat, complique la donne. Car si le président François Hollande a répété une nouvelle fois, mardi, que la France ne céderait pas aux pressions des preneurs d’otages, Paris veut toujours rester à la pointe d’une option militaire à court terme au Nord-Mali. De son côté, Alger vient d’obtenir un consensus international autour d’un plan politique plus global et étendu dans le temps (voir édito).

«L’intervention armée reste un recours ultime après l’épuisement de toutes les voies du dialogue, ce qui n’est pas encore le cas», déclarait hier au Soir d’Algérie Abdelkader Messahel, ministre délégué aux Affaires maghrébines et africaines. «L’Algérie prône une approche globale pour une solution qui, pour qu’elle soit durable, doit procéder d’une bonne analyse de la situation et d’un diagnostic juste. Nous voulons éviter la réédition de l’exemple de la crise libyenne lorsque nous avons attiré l’attention sur ses conséquences sur la sécurité et la stabilité régionales», a ajouté M. Messahel. Pour Paris, «l’établissement d’un dialogue entre les autorités de Bamako et les groupes non terroristes du Nord-Mali est urgent, au moment où le Conseil de sécurité des Nations unies, à la demande de l’Union africaine, s’apprête à autoriser le déploiement d’une force africaine», a déclaré hier le porte-parole du Quai d’Orsay, répondant à une question sur la visite de la délégation du MNLA en France.

«Conformément à la résolution 2071 du Conseil de sécurité des Nations unies, le dialogue que soutient la communauté internationale ne peut être envisagé qu’avec les groupes qui renoncent à la violence et acceptent l’intégrité territoriale du Mali», a ajouté le porte-parole français. Alger, pour sa part, met l’accent sur un autre aspect de la résolution onusienne : en détaillant les aides algériennes au Mali, M. Messahel rappelle que «l’ensemble de ces aides s’inscrit dans le cadre des résolutions 2056 et 2071 du Conseil de sécurité des Nations unies, relatives à la situation au Mali, qui ont demandé aux Etats membres à appuyer le Mali dans cette phase de transition».     

Le Mujao revendique le rapt d’un Français dans l’ouest du Mali :

Le groupe islamiste armé Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao) revendiquait le rapt d’un Français de 61 ans, mardi soir dans l’ouest du Mali. L’otage, Gilberto Rodriguez Leal, né au Portugal mais de nationalité française, a été, selon les Maliens, enlevé par au moins six hommes armés mardi vers 22h à Diéma, à l’est de Kayes, ville proche des frontières avec le Sénégal et la Mauritanie.

Selon la France, il aurait été enlevé à Nioro, un peu au nord de Diéma, près de la frontière mauritanienne. Cet enlèvement porte à treize le nombre d’otages étrangers détenus par Al Qaîda au Maghreb islamique (AQMI) et le Mujao, dont sept Français. AQMI retient en otage neuf Européens, dont six Français, enlevés en septembre 2010 et novembre 2011.

Le Mujao retient au moins trois otages algériens, dont notre consul à Gao, enlevés en avril dans le nord-est du Mali et le Français enlevé mardi. Ce mouvement terroriste avait, le 1er septembre dernier, annoncé l’exécution d’un des diplomates séquestrés, Tahar Touati, sans qu’Alger n’en ait confirmé le décès.         Ad. M. avec l’AFP

El Watan

PGM

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