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Opérations au Mali


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Le Mali consentira "des sacrifices" pour que son armée, sous-équipée et mise à rude épreuve en 2012 par des groupes islamistes dans le Nord, puisse assurer ses missions, a déclaré dimanche 22 septembre son président Ibrahim Boubacar Keïta, jurant que "rien ne sera de trop" pour cet objectif.

Le Mali a besoin d'"une armée mieux équipée, une armée à hauteur de souhait, une armée formée pour les missions auxquelles elle va être appelée", a déclaré M. Keïta à la télévision publique malienne ORTM, s'exprimant après la célébration officielle du 53e anniversaire de l'indépendance du pays.

 

http://www.lemonde.fr/afrique/article/2013/09/23/mali-le-president-fait-de-l-equipement-de-l-armee-une-priorite-absolue_3482538_3212.html

 

Des accusations d'abus sexuel, notamment à Gao, et de «mauvaise conduite», ont été portées contre des Casques bleus déployés dans le cadre de la Minusma, la mission de l'ONU au Mali, selon un document de presse de l'ONU.

 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/09/24/97001-20130924FILWWW00696-maliaccusations-contre-des-casques-bleus.php

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http://www.calameo.com/read/00055811518cd27420334

Sommaire du N° d'octobre de Défense Nationale consacré à la politique africaine de la France avec une large place faite à l'intervention au Mali.

 

http://gadebate.un.org/sites/default/files/gastatements/68/ML_fr.pdf

 

Discours du président malien à l'ONU aujourd'hui.

Modifié par Wallaby
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Des hommes armés ont lancé, dimanche 29 septembre, une attaque en fin de journée contre les troupes gouvernementales maliennes dans le centre de la ville de Kidal, au nord du pays.

 

D'après des responsables au gouvernorat de Kidal, chef-lieu de région situé à plus de 1 500 km de Bamako, l'armée a échangé des tirs pendant près de deux heures avec les assaillants. L'armée contrôlait la ville où les tirs n'étaient plus entendus aux environs de 20 heures locales (22 heures à Paris).

Les tirs ont fait un nombre indéterminé de blessés, a indiqué un des responsables sous couvert d'anonymat, qui n'était pas immédiatement en mesure d'apporter des précisions. "Les tirs ont cessé. L'armée malienne contrôle ses positions", a déclaré la même source, évoquant un renfort des soldats de l'opération militaire française Serval et de la mission de l'ONU au Mali, la Minusma, autour de la mairie de Kidal, où réside le gouverneur de la ville. Elle a toutefois précisé que les militaires français et africains "ne sont pas intervenus lors des échanges de tirs".

Kidal est un fief du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA), rébellion touareg ayant déclenché en janvier 2012 une offensive contre l'armée malienne dans le Nord qui a ouvert la voie à la crise la plus grave de l'histoire du pays.

 

http://www.lemonde.fr/afrique/article/2013/09/29/mali-attaque-contre-l-armee-a-kidal_3486845_3212.html#xtor=AL-32280515

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Le nouveau President malien devrait profiter de l'elan crée autour de son election pour briser la glace avec les opposants armés du nord ,se contenter de repeter l'integreté des frontiere ne va pas sauver grand chose et même les 3 milliards d'Euro recolter ,les donateurs vont trouver pretexte dans l'insecurité pour ne pas debloquer l'argent promis .!

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Affaire politique ou crapuleuse ?

 

Pour la deuxième journée consécutive, des combats ont opposé lundi à Kidal, dans le nord-est du Mali, soldats maliens et rebelles touareg, qui ont pris fin après l'intervention des casques bleus de l'ONU.

Selon des habitants, des échanges nourris de coups de feu ont été entendus à partir de 07H00 (locales et GMT) dans les environs d'une banque située en plein centre-ville, poussant ses riverains à se calfeutrer chez eux.

Les tirs ont baissé d'intensité à partir de 09H00, pour cesser en début d'après-midi. Une source militaire africaine membre de la Minusma (mission de l'ONU au MAli), a indiqué à l'AFP que le cessez-le-feu avait été obtenu sur intervention de la Minusma.

"Les tirs ont cessé. La Minusma est arrivée à obtenir le calme pour le moment. Elle va prendre le contrôle de la banque et l'armée malienne a accepté de quitter les lieux", a expliqué cette source.

De même source, les deux camps, qui avaient reçu des renforts, ont accepté de retourner dans leur base, également à la demande de la Minusma.

 

http://fr.news.yahoo.com/mali-aqmi-revendique-lattaque-suicide-tombouctou-111245417.html

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Le Mali est un laboratoire de plus de la lutte occidentale contre les mouvances Islamistes, je pense que le pouvoir en place en est conscient. Je me demande quelles pourraient être les méthodes qui fonctionneraient pour rétablir un état fort, et éliminer les mouvances islamiques (probablement en passant par l'éducation du peuple, et la réponse à ses besoins de base, qu'ils soient physiques ou spirituels. C'est un exercice intellectuel intéressant, et je me demande si nos dirigeants peu à peu ne devraient pas penser à en trouver une mouture pour nous, en France... Ou le vivre ensemble a du stinger dans la voilure. (ou du plomb dans l'aile quoi :x)

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Afghanistan, Mali, laboratoires tactiques de la combativité-par Sébastien Chenebeau
 
2013ECPA006G016_221.JPG
Audace, surprise, volonté, rusticité, agressivité sont en grande partie Le socle de la victoire au Mali. Mais elle n'a été rendu possible que par l'assimilation des leçons des années de guerre en Afghanistan. Cet article met en lien les deux théâtres et trace les pistes pour maintenir le niveau de préparation optimal des forces françaises.
 
1. Un point de départ : l'Afghanistan
 
La part prise dans les combats par l'Armée française en Afghanistan a particulièrement augmenté à partir de 2008 quand le premier GTIA a été déployé en Kapisa sous commandement américain. Le 8èmeRPIMa inaugurait une nouvelle ère après deux décennies d'interposition et de règlement express de crises africaines. L'évacuation de ressortissants et  les missions sous chapitres 6 et 7 de l'ONU étaient la norme. Or la tournure de la crise afghane changeait radicalement la donne. La coalition faisait face à un adversaire déterminé, habitué au combat et prônant la résistance à un envahisseur. L'armée française n'était pas prête à reprendre immédiatement le combat ni à faire de la contre-insurrection.
 
C'est finalement un combat complexe et éprouvant qui a été mené là-bas. L'éloignement n'a pas facilité l'accomplissement des missions confiées par le commandement américain ni le soutien en demi-teinte de l'opinion publique française. Un paradoxe est rapidement apparu, celui de remplir une mission tactique en première approche assez simple (neutraliser les résistances en Kapisa) tout en ménageant une volonté politique floue et des objectifs stratégiques aux contours mal définis (la France avait une volonté propre mais n'était qu'un pion du dispositif général de la FIAS). Ce défi peut sembler surmontable mais la résistance opiniâtre des insurgés et même leur renforcement mandat après mandat ne plaidaient pas pour une victoire tactique. La mission n'a finalement pas été pleinement remplie sur le terrain et le départ des troupes françaises de Kapisa a sonné le repli, en cours, des autres contingents. 
 
La guerre en Kapisa se résume pour le contingent français une succession de micro-succès tactiques. Si les troupes françaises ne tenaient pas le terrain, elles ont toujours pris le dessus sur les insurgés dans les combats. Les raisons de l'accomplissement partiel de la mission sont donc ailleurs, il n'y a pas de faillite tactique. La physionomie asymétrique de la guerre, la résistance populaire, le soutien transnational à l'insurrection, l'observation de règles d'engagement différentes entre les belligérants, la faiblesse du gouvernement officiel afghan, les luttes intestines ethniques et religieuses, l'éloignement des bases sont autant de facteurs qui contrecarrent les résultats.
 
En dépit de ce tableau un peu noir que je dresse, tout n'a pas été perdu.
 
Les Armées ont consenti un effort considérable pour se préparer à cette difficile mission de guerre. Et c'est essentiellement au niveau tactique que l'on tire aujourd'hui les bénéfices d'une préparation opérationnelle longue et méticuleuse s'appuyant sur l'expérience des autres nations, principalement les Américains et les Britanniques, et sur l'exemple des jeunes "anciens" d'Afghanistan. Les six mois consentis à chaque bataillon pour se préparer ont permis à chaque unité d'aller dans le détail du combat qu'elle allait mener. Le tir a été remis au centre de toutes les préoccupations et de nouvelles armes ont été acquises. La manœuvre contre un adversaire évanescent et utilisant tous les moyens y compris la population a été travaillée. La coordination interarmes et interarmées a été confirmée et répétée dans les camps de manœuvres. Et surtout, la cohésion et la camaraderie ont été réaffirmées comme un facteur de succès et d'acceptation des pertes. Car l'acceptation des pertes avait été laissée de côté dans les dernières opérations. Il y en eut mais si peu et souvent par accident. Or, en Afghanistan, il s'agissait de pertes au combat dans des duels recherchés et consentis. 
 
Tout ce corpus d'entraînement a payé dans les vallées afghanes. La tactique a été renouvelée mais pas changée, les vieux schémas de la manœuvre sortent confortés de l'épreuve du feu. Les matériels, eux, n'ont pratiquement pas changé mais leur emploi a été adapté pour en tirer le meilleur parti. La chaîne de commandement tactique s'est rôdée rapidement pour se concentrer sur l'essentiel mais aussi intégrer les nouveautés (des appuis en plus grand nombre et variés, la prise en compte de l'environnement opérationnel, le partage du renseignement). Les PC sont bien des machines à produire et donner des ordres pour battre l'adversaire.
 
Enfin deux ans après, un imaginaire commun de la guerre en Afghanistan commence à apparaître. La fierté d'avoir combattu là-bas avec ses copains, pour sa compagnie et son régiment, fait oublier les mauvais moments passés sous le feu et transcende le sacrifice de ceux qui sont tombés au combat.
 
2. Au mali, le retour sur investissement.

la suite ici :

http://lavoiedelepee.blogspot.fr/2013/10/afghanistan-mali-laboratoires-tactiques.html?spref=fb

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Je partage les conclusions de l'auteur mais

- pour avoir suivi l'évolution de l'ordre de bataille de Serval, le 16°BC n'a pas été de la parti lors de l'offensive terrestre. La compagnie de marche du 21°RIMa est entré dans Gao sans qu'il y ait eu réellement d'affrontement, donc génial qu'il soit passé au CENZUB avant, mais en l’occurrence ça a pas fait grande différence. 

- autre aspect délaissé par l'article, l'importance de l'ABL. Les blindés du REC et du RHP prépositionner au Tchad et CI ont ouvert la voie au reste (sans prendre en compte l'action des FS). L'appuie des 1ier RIMa et RICM au profit des GTIA 3(blindé) et TAP au cours de la bataille de l'Adrar des Ifoghas  ne doit pas être non plus négligé. L'action de l'EAE du 1ier RIMa autour de Tombouctou est des plus intéressante: un petit nombre d'homme (une centaine) mais très mobile, en terme de rapport coût/efficacité, ils ont fait fort.

- et les DLA ! L'avenir (et le passé d'ailleurs...) de l'Armée française en Afrique, ce sont ces DLA. Pas spécialement des FS, juste quelques sous-off et de rares officiers, loin du gros des forces française mais fournissant une expertise qu'ils sont les seuls à avoir sur ce continent.

- et j'oubliais l'ALAT évidemment...

Modifié par TimTR
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Je partage les conclusions de l'auteur mais

- pour avoir suivi l'évolution de l'ordre de bataille de Serval, le 16°BC n'a pas été de la parti lors de l'offensive terrestre. La compagnie de marche du 21°RIMa est entré dans Gao sans qu'il y ait eu réellement d'affrontement, donc génial qu'il soit passé au CENZUB avant, mais en l’occurrence ça a pas fait grande différence. 

- autre aspect délaissé par l'article, l'importance de l'ABL. Les blindés du REC et du RHP prépositionner au Tchad et CI ont ouvert la voie au reste (sans prendre en compte l'action des FS). L'appuie des 1ier RIMa et RICM au profit des GTIA 3(blindé) et TAP au cours de la bataille de l'Adrar des Ifoghas  ne doit pas être non plus négligé. L'action de l'EAE du 1ier RIMa autour de Tombouctou est des plus intéressante: un petit nombre d'homme (une centaine) mais très mobile, en terme de rapport coût/efficacité, ils ont fait fort.

- et les DLA ! L'avenir (et le passé d'ailleurs...) de l'Armée française en Afrique, ce sont ces DLA. Pas spécialement des FS, juste quelques sous-off et de rares officiers, loin du gros des forces française mais fournissant une expertise qu'ils sont les seuls à avoir sur ce continent.

effectivement ,j'allais précisé qu'il y avait une erreur sur le 16°BC .

 

je l'ai fait auprès du Colonel Goya en premier .

 

j'aime beaucoup le complément que tu apportes par rapport à se lien .

 

voir les commentaires en dessous de l'article qui permette de précisé pas mal de choses .

Modifié par gibbs
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En effet, certains commentaires apportent des précisions. Je crois qu'il serait temps que quelqu'un commence à écrire un livre centré sur l'offensive française, à la manière de Not a good day to die, je crois qu'il y a vraiment de quoi faire.

Je viens de tomber sur ça en passant: 

http://aalevaucluse.pagesperso-orange.fr/Bulletins/REC%20INFO%20Juillet%202013.pdf

Le journal du 1ier REC qui récapitule l'activité du GTIA désert au cours de l'été.

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Visite du ministre de la défense Belge à la Mission européenne d’entraînement au Mali (EUTM Mali). Le Ministre s’est tout d’abord rendu à l’état-major principal de la mission, à Bamako, où il a pu s’entretenir avec le général Guibert, commandant de la mission.

Il s’est ensuite rendu au camp d’entraînement de Koulikoro.

 

http://www.eutmmali.eu/

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Il semblerait que les mutins de Kati ont été désarmés par des soldats maliens de Mopti appuyés par des soldats Fr

le comité de suivi de Sanogo aurait été dissous dans la foulée, ils vont peut être enfin se débarasser de lui

(sources : twitter..)

 

EDIT :

Bon en fait c'est pas tout à fait aussi simple, en tout cas c'est complètement flou

http://www.malijet.com/a_la_une_du_mali/83172-les-mutins-gardent-leurs-positions-avec-des-brdm-a-kati.html

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Mali : le début des nouveaux ennemis

La récente nomination de nouveaux chefs de guerre pour la branche d'al-Qaida au Maghreb islamique a provoqué des remous dans le conflit.

 

http://www.lepoint.fr/editos-du-point/mireille-duteil/mali-le-debut-des-nouveaux-ennemis-03-10-2013-1738601_239.php

La journaliste charge le MNLA sans expliquer qu'à Bamako le procureur général s'opposait à la libération de prisonniers qui semblait avoir été négociée et approuvée par le Mali : http://www.malijet.com/a_la_une_du_mali/82937-daniel-tessougué-%3A-«-tant-que-je-resterai-procureur-général%2C-auc.html

Modifié par Wallaby
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Il semblerait que les mutins de Kati ont été désarmés par des soldats maliens de Mopti appuyés par des soldats Fr

le comité de suivi de Sanogo aurait été dissous dans la foulée, ils vont peut être enfin se débarasser de lui

(sources : twitter..)

 

EDIT :

Bon en fait c'est pas tout à fait aussi simple, en tout cas c'est complètement flou

http://www.malijet.com/a_la_une_du_mali/83172-les-mutins-gardent-leurs-positions-avec-des-brdm-a-kati.html

 

http://journaldumali.com/article.php?aid=7149&utm_source=pochon&utm_medium=twitter

 

 

Oui les masques tombent sur les raisons de la mutinerie manquée de la garnison de Kati du lundi dernier. Des militaires avaient tiré des coups de feu, saccagé les locaux du comité de réforme et de suivi de l’armée avant de blesser et enlevé momentanément le colonel Mohamed Diallo. Ces incidents malheureux et honteux seraient orchestrés par le capitaine Amadou Konaré et le colonel Youssouf Traoré, tous deux membres de l’ex-junte. Le premier est introuvable pendant que le deuxième est aux arrêts depuis hier matin vers 11 heures après s’être caché depuis le lundi.

 

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  • © Guineeinter

    Sanogo et Konaré, les deux complices au temps du Coup d'Etat

Que voulaient ces deux officiers ?

Selon nos informations, le capitaine Amadou Konaré, ancien numéro deux de l’ex-junte n’était plus en odeur de sainteté avec le désormais général Sanogo depuis belle lurette. Il n’aurait pas digéré le fait de n’être pas promu général ou à défaut colonel-major. Quant au colonel Youssouf Traoré, récemment au centre d’une tentative d’empoisonnement du général Sanogo, en veut à Amadou Haya Sanogo depuis le retour à l’ordre constitutionnel. Un retour, selon nos sources, qui n’a jamais été du goût du colonel Traoré. Ce sont pour toutes ces raisons que les deux officiers mécontents ont manipulé des militaires, tout aussi mécontents de ne pas bouger en grade, de semer le trouble. Ce qui a occasionné les mouvements du lundi dernier avec la blessure du colonel Mohamed Diallo.

Aux dernières nouvelles, l’officier supérieur touché au pied à été évacué hier en direction de la France. Les militaires impliqués dans les mouvements seront, nous indiquent-on, recherchés arrêtés et traduits devant la justice.

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