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L'Algérie


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5 à 10 milliards de dollars pour construire un méga complexe pétrochimique à Skikda
 

 

Le ministre de l’Energie et des Mines, Youcef Yousfi a annoncé, jeudi, qu’un méga complexe pétrochimique d’une capacité de production annuelle de 3 millions de tonnes sera construit à Skikda pour remplacer le complexe des matières plastiques.

Le projet en question nécessitant un investissement de 5 à 10 milliards de dollars permettra à l’Algérie d’avoir son plus grand complexe.

S’exprimant en marge d’une visite d’inspection dans la wilaya de Skikda, il a indiqué que les travaux de construction devraient être entamés d’ici début 2015 au plus tard.

Ce complexe produira notamment du plastique et du caoutchouc, a précisé le ministre, soulignant que les contrats relatifs à sa réalisation seront conclus prochainement.

Selon le ministre, l’usine de matières plastiques de Skikda a été fermée car “elle présentait des risques”. Yousfi a également affirmé que le groupe Sonatrach a aussi décidé de fermer le complexe des matières plastiques de Skikda pour absence de rentabilité.

Yousfi a, par ailleurs, indiqué que la remise en production du méga train de GNL de Skikda après 10 ans d’arrêt suite à un incident permettra de “renforcer les capacités d’exportation du groupe Sonatrach”.

 

 

http://www.algerie1.com/actualite/5-a-10-milliards-de-dollars-pour-construire-un-mega-complexe-petrochimique-a-skikda/

 

Profitons de notre Soleil :D

 

 

Sidi Bel-Abbès : Une centrale photovoltaïque pour
le
sud de la wilaya

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Le
sud de la wilaya de Sidi Bel-Abbès sera doté, avant l’été, d’une centrale photovoltaïque d’une capacité de 15.000 MW, a indiqué la directrice de l’énergie
et
des mines de la wilaya de Sidi Bel-Abbès. Selon la même source,
le
choix du terrain devant abriter
le
projet a été localisé sur
le
territoire de la commune de Dhaya, distante de quelque 90 km au sud du chef-lieu de wilaya. Ce projet, a-t-elle rappelé, fait partie d’un programme du ministère de tutelle prévoyant la construction, à travers
le
territoire national, de dizaines de centrales photovoltaïques
par
une firme allemande. Ce programme inclut la réalisation, à travers
le
pays, d’ici à 2020, d’une soixantaine de centrales solaires photovoltaïques
et
solaires thermiques, de fermes éoliennes
et
de centrales hybrides. Dans ce cadre, la directrice de l’énergie
et
des mines a affirmé que cette énergie répond parfaitement aux besoins des localités isolée
et
dont
le
raccordement au réseau électrique est très coûteux. Pour cette année, fera-t-elle observer,
il
sera procédé à la distribution de kits solaires au profit de quelque 40 familles nomades dans la daïra de Ras El Ma. Avec un important nombre d’heures d’ensoleillement
par
an
, Sidi Bel-Abbès est une région qui possède de fortes potentialités dans
le
domaine de l’énergie solaire grâce à son unité Enie. L’objectif du projet de cette station est de permettre aux populations rurales
et
celles implantées
en
zones éparses de bénéficier de l’énergie électrique pour l’utilisation de certains appareils tels que
le
téléphone mobile, la télévision, la radio
et
l’éclairage.
Le
sud de Sidi Bel-Abbès , notamment les régions de Merhoum
et
Ras El Ma, a bénéficié,
en
2006, de deux projets d’alimentation
en
énergie solaire au profit des maisons enclavées. S’agissant du raccordement au
gaz
, la directrice de l’énergie
et
des mines a souligné qu’un programme visant
le
raccordement de plus de 12.000 foyers est
en
cours. Les régions ciblées sont, entre autres, Ben Badis, Tabia
et
Sidi Ali Boussidi.
Le
coût de
ces
opérationsest estimé, selon la même source, à environ 264 milliards de centimes.
Par
ailleurs, 17 cités résidentielles seront également alimentées
en
gaz
pour une autorisation de programme de 294 milliards de centimes.
Le
taux de couverture
en
gaz
de ville à travers la wilaya de Sidi Bel-Abbès est de 67%.

http://www.horizons-dz.com/?Une-central ... aique-pour

 

 

 

Entretien avec le candidat Mohand Tahar Yala« Je suis Algérien avant d’être militaire »

 

 

Vous avez annoncé votre candidature à Ouargla. Pourquoi avoir choisi cette ville, loin d’Alger ?

J’ai choisi cette ville afin que tout le monde comprenne que l’Algérie n’est pas uniquement Alger. Ouargla est un carrefour stratégique et historique. Ouargla représente également le poumon de l’Algérie.

Quels sont les axes de votre programme ?

Pour commencer, je propose une transition qui construit un État de citoyenneté, un État de droit où tous les Algériens seront égaux en droits et en devoirs. Actuellement, nous nous trouvons dans un tournant décisif de notre histoire. Face à cette situation, nous avons le choix de laisser faire les choses, ce qui mènera au chaos, ou de maîtriser la situation en préparant tous les éléments de cette transition de manière active et intelligente.

Vous êtes un général à la retraite. Votre candidature ne risque-t-elle pas de créer une confusion dans un pays où le rôle de l’armée en politique est toujours un sujet très sensible ?

Je ne sais pas pourquoi, en Algérie, lorsqu’un militaire réfléchit à des questions politiques ayant trait aux intérêts de son pays, il se heurte à un rejet. Quand un pays est en crise, ce sont les militaires qui doivent être les premiers à redresser la situation. On a tout fait, depuis 1962, pour que l’Algérien déteste l’État, ceux qui le représentent et tous ceux qui portent une casquette ! Ce qui m’intéresse c’est le pays, l’Algérie. Je suis Algérien avant d’être militaire.

Comment comptez-vous convaincre l’opinion publique que vous avez basculé dans l’opposition, après une carrière militaire de haut niveau ?

Je ne suis pas dans l’opposition. Je suis opposé à la médiocrité et au système qui nous ont menés à cette situation après cinquante ans d’indépendance. Alors que nous avons tous les moyens de faire de l’Algérie un pays dont ses jeunes seront fiers et qu’ils ne fuiront pas.

Quelle est la réalité du poids de l’armée sur la scène politique algérienne ?

Le rôle du militaire est défini par la Constitution. Pendant ma carrière militaire, on ne m’a jamais imposé de voter en faveur d’un candidat. Il y a vingt ans, l’armée avait ce poids qu’on lui attribuait. L’armée avait un poids indirect qui s’exerçait sur les dirigeants du pays. Ce centre de décisions a été dilué ou phagocyté. L’armée n’intervient pas dans le débat. Son rôle est de garantir la sécurité du pays. Pour avoir une influence directe, il faudrait qu’elle fasse un coup d’État, ce qu’elle ne peut plus faire.

Comment interprétez-vous les derniers changements opérés au sein de l’armée ?

On a beaucoup communiqué autour de ces changements. Ces changements concernent plus la communication que des modifications réelles et ce pour banaliser les derniers événements relatifs à la corruption … C’est plus une guerre de communication qu’autre chose. Une guerre entre ceux dont la mission est de limiter les dégâts des scandales de corruption, et ceux qui préfèrent garder le pouvoir, quel que soit le prix à payer et à faire payer au pays.

Pensez-vous que Bouteflika ira à la présidentielle d’avril 2014 ?

Il faudrait lui poser la question, mais je crois qu’il ne s’est jamais adressé aux journalistes algériens ! Son état de santé ne lui permet pas d’assurer sa fonction.

Des partis politiques ont opté pour le boycott. Pensez-vous que les conditions sont réunies pour une élection transparente ?

Non, les conditions ne sont pas réunies. Il faudra lutter pour les réaliser. Le boycott participe et contribue à la favorisation des élections qui ne sont pas propres. On baisse les bras.

Qui est votre principal adversaire ?

Tous ceux, qui ont comme objectif de mettre en place une nouvelle gouvernance, on pourra faire un chemin ensemble. Nous avons un projet de société, nous ne sommes pas pour les demi-mesures et les replâtrages. Mon programme est une transition pour un État de citoyenneté. Les lois doivent être les mêmes pour tout le monde. Il faut trouver tous les éléments qui puissent agir en faveur du rassemblement.

 

http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/4368-entretien-avec-le-candidat-mohand-tahar-yala-je-suis-algerien-avant-d-etre-militaire

Modifié par Oshkosh
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Échec et mat.

 

 

 

MISES A LA RETRAIRE D’UNE CENTAINE D’OFFICIERS : les medias officiels restent muets

 

Algérie Express - Détails Publié le jeudi 6 février 2014 - 13:00

Écrit par Ali Graichi

 

A la mi-journée de ce jeudi, les medias officiels sont restés muets sur l’information donnée mercredi par le quotidien arabophone El Khabar et reprise par Algérie Express de la mise à la retraite du général Toufik, responsable du DRS et d’une centaine d’officiers issus de l’armée, de la gendarmerie et des services spéciaux. Ni l’APS ni les organes audio-visuels publics n’ont relayé une information qui a fait le tour des salons algérois en une fraction de seconde.

 

L’annonce est pourtant d’importance pour la nature même du système politique algérien. Pour certains habitués du sérail, Bouteflika a fait donner l’annonce la veille d’un week-end pour enrayer les éventuelles ripostes de gradés visés par la décision.

 

Cependant, le mutisme des organes de presse d’Etat, dont les services spéciaux ont de tout temps contrôlé les rédactions, est interprété par les tenants de la formule militariste « qui garanti la stabilité du pays » comme un signe de résistance des officiers mis en cause. Comme souvent à Alger l’argument est aussitôt repris à rebrousse poils par ceux qui attendent l’évacuation définitive des services spéciaux des affaires politiques. Ces derniers répliquent que le clan présidentiel laisse mijoter pour mieux débusquer les éventuels factieux.

 

Dans les médias privés, plutôt acquis au DRS, la veillée d’armée du week-end sera longue et les téléphones n’arrêtent pas de sonner.

 

L’Algérie vit probablement les heures les plus décisives de son histoire politique depuis l’indépendance.

 

Ali Graichi

 

 

Département du Renseignement et de la Sécurité

 

 

...

Modifié par Gravity
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A la verite personne (ou presque) n en sait rien, ca en devient grotesque. J'accorde très peu de crédit aux fables sur "rab edzair", le DRS c'est comme tout les services secrets du monde entier, ca renseigne ca magouille ca barbouze à l'interieur et parfois à l'exterieur, pas la peine de se faire des films, enfin à moins d'avoir une ligne directe avec Hollywood comme la CIA.

On en arrive presque a oublier que la (supposee) plus grosse purge dans l armee algerienne ait ete realisee par un president au bout de 15 ans alors qu il est incapable d articuler deux phrases ou de tenir un stylo (enfin jusqu'à preuve du contraire). C'est un theatre d'ombres, la transparence n'est vraiment pas le fort des algériens.

Modifié par amarito
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Belaiz à Ghardaïa : “le dispositif de sécurité sera multiplié pour restaurer définitivement l’ordre et le calme”

 

 

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Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Tayeb Belaïz, s’est déplacé ce jeudi à Ghardaia en compagnie des généraux-majors Abdelghani Hamel (DGSN) et Ahmed Bousteilla (Gendarmerie nationale) au lendemain des derniers affrontements de mardi et mercredi et qui se sont prolongés jusqu’à jeudi.

Sur place, Belaïz a affirmé que l’État était “déterminé” à appliquer les lois de la République dans “toute leur rigueur”, contre quiconque “portera atteinte” à la sécurité de l’individu et des ses biens. S’exprimant à l’issue d’une rencontre avec les autorités et élus de Ghardaïa, consacrée aux évènements qu’a connus la région, le ministre a souligné que “la loi sera appliquée pour rétablir l’ordre, dans le strict respect des lois de la République”.

M. Belaïz a annoncé la création à compter de ce jeudi à Ghardaïa d’un “centre opérationnel” de sécurité, cogéré par la Gendarmerie et la Sûreté nationales, dans le but de rétablir l’ordre et mettre fin aux échauffourées. “L’Etat va agir avec rigueur et équité, conformément aux décisions de justice, contre les personnes malveillantes et les fauteurs de troubles”, a-t-il souligné.

Évoquant les décisions prises avec les responsables de la sécurité, le ministre de l’Intérieur a précisé que le dispositif de sécurité dans la région de Ghardaïa sera “multiplié par trois, voire par quatre, pour restaurer définitivement l’ordre et le calme”. “Toutes les rues, les quartiers, les communes de la wilaya de Ghardaïa seront sécurisés”, a affirmé le ministre.

Un imposant dispositif de sécurité, composé de brigades antiémeutes de la police, appuyées par des unités de la Gendarmerie nationale, a été mobilisé pour faire cesser les heurts et sécuriser les différents quartiers de Ghardaïa

 

 

http://www.algerie1.com/actualite/belaiz-a-ghardaia-le-dispositif-de-securite-sera-multiplie-par-4-pour-restaurer-definitivement-lordre-et-le-calme/

Modifié par Oshkosh
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Situation à Ghardaïa : calme relatif et climat toujours tendu
 

 

Un calme relatif régnait, ce vendredi 7 février, à Ghardaïa où des violences ont fait deux nouvelles victimes au cours des trois derniers jours. « Nous n’avons enregistré aucun affrontement pour l’instant », indique à TSA, Khodir Babaz, de la Cellule de coordination et de suivi des événements de Ghardaïa.

« C’est le calme actuellement mais tout le monde est sur le qui-vive et le climat reste tendu », ajoute, Bouamer Bouhafs, un notable arabe malékite de Ghardaïa et président de la fondation des Chaâmbas. Alors que M. Babaz parle de plus de 132 maisons et commerces appartenant à des Mozabites brûlés au cours de ces trois derniers jours, M. Bouhafs assure que deux quartiers habités majoritairement par des Arabes ont été incendiés : Mermed et Bougdemma.

Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Tayeb Belaïz, le patron de la DGSN et celui de la gendarmerie nationale se sont déplacés, hier jeudi, à Ghardaïa. Parmi les décisions annoncées par le ministre, la création d’un centre opérationnel de sécurité à Ghardaïa cogéré par la gendarmerie et la sûreté nationale. Son objectif : rétablir l’ordre et mettre fin aux échauffourées dans la ville de Ghardaïa (lire).

« Le ministre a accusé beaucoup de retard pour venir à Ghardaïa. Fallait-il qu’il y ait quatre morts et que la haine s’enracine pour qu’il vienne », regrette Khodir Babaz. Bouamer Bouhafs souligne l’importance de l’implantation des forces de sécurité dans les quartiers mozabites. « Dès le début des évènements, les forces de sécurité n’étaient implantées que dans les quartiers arabes », affirme-t-il. 

 

 

http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/4958-situation-a-ghardaia-calme-relatif-et-climat-toujours-tendu

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???  ???  ???

 

 

en espérant qu'il n’envoie pas plus de renfort pour tabasser ceux qui se font tuer en plus!

 

http://www.youtube.com/watch?v=GVfZBHFkJUQ#t=12

Modifié par SU-30 MKA
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c'est filmé par des militants pour la paix mozabites, ils l'ont fait pour montrer à la face du monde ce qu'il ce passe, c'est le cinquième meurtre depuis moins de trois mois et ce sans que les forces de l'ordre face leur job. 

Modifié par SU-30 MKA
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Dans ce sens-là je comprends. Par contre alors il faudrait faire le ménage dans les forces de l'ordre locale alors. :o

le probleme c pas dans l'efficacité de la police mais dans les instruction ferme donner aux unité anti émeute de ne pas utiliser la force pendant des manif pendant le printemps arabe, ce qui les a grandement géné dans la gestions des emeute de ghardaya

un article traduis avec google translate pour mieux vous eclairer sur la situation

 

Arrêtez de 30 personnes jeudi et vendredi

La police a arrêté dans la ville de Ghardaïa , le jeudi et le vendredi , de 30 personnes tout en essayant de briser les affrontements dans plusieurs quartiers Pegrdaah . La source a déclaré la sécurité de l'Etat de Ghardaïa Le nombre total de détenus a augmenté dans les 3 jours à plus de 50 personnes , essentiellement des jeunes , que la police réservés couteaux et des cocktails Molotov sur un certain nombre d'entre eux .
 
 Ont commencé les nouvelles unités de se propager à travers les rues de Ghardaia et quartiers clés pour soutenir les troupes , et la paralysie continue en témoignent les installations vitales à Ghardaia avec le boycott continue des administrations publiques et une grève des commerçants , révélant les chefs des comités de quartier, qui ont été témoins de violence grave au cours des derniers jours que le résultat de la violence cette fois plus lourds , deux morts où il est tombé et a blessé plus de 100 autres , plus de 30 d'entre eux étaient des grèves des poignards et des épées de couteau , ont été vandalisés plus de 100 entre un magasin et une maison d'habitation .
Et identifié les intérêts de l' identification médico-légale tué à Ghardaia quatrième , et il s'agit d'un jeune homme dans la trentaine nommé Bashir Mehdi Ben Belkacem , a été soumis à plusieurs coups de couteau avec des couteaux en plus de la déformation de ses fonctions.
L'enquête de police a abouti à la sécurité juridique de l'état de Ghardaia arrêter incitation suspect via Facebook après la découverte d'informations privées et de suivi atteint plusieurs jours .
Le juge d'instruction a ordonné la deuxième chambre de la Cour de Ghardaïa soumettant un ordinateur à l'examen de l'intérêt de la police scientifique compétent pour " Hatonav " dans la capitale , pour s'assurer de la possibilité de son utilisation dans la publication de documents inflammatoire par Facebook .
Dans le même cadre , la source a confirmé l'intérêt de la police judiciaire , la sécurité de l'Etat de Ghardaïa , la recherche d'armes de blanc a commencé jeudi dernier , en attendant d' obtenir plus d'informations sur l'existence d'ateliers secrets pour fabriquer des épées et des poignards , et ajoute notre source de poursuivre les propriétaires d'armes blanches n'a pas besoin ordres des autorités , mais au cœur des intérêts de sécurité importantes , après que le groupe a été en mesure d'indiquer la gendarmerie de l'arrestation de trois titulaires d'épées vendredi .
Fonctionnement démocratique de la foule entravé la résolution traite des affrontements à Ghardaïa
D'autre part , il a noté , ministre de l'Intérieur Tayeb Belaiz en introduisant à l'état de Ghardaïa , avant-hier par source bien informée , l'incapacité des unités anti -émeute pour faire face aux affrontements qui ont eu lieu au cours des dernières semaines entre les Arabes et Almizabeyen , et a décidé de permettre à la police anti- émeute en utilisant de nouveaux moyens plus pouvoir assiéger la violence .
Et effectuer permis et le ministre de l'Intérieur et des collectivités locales Taib Belaiz de Ghardaïa , dans lequel il dit: « l'Etat agira avec fermeté et équité et conformément aux décisions de justice contre les méchants et les émeutiers ", soulignant que " l'Etat est déterminé à appliquer les lois de la République strictement contre tout compromis la sécurité des personnes et des biens , " expression explicite pour permettre aux unités anti -émeute en utilisant des moyens plus de force face à la violence posée par les groupes de masqué décrites par les méchants et les émeutiers .
Il a informé source a déclaré ministre de l'Intérieur a souligné lors de son entretien avec les dirigeants des unités d'intervention de la police que les éléments de ces unités n'ont pas été en mesure de s'adresser à des groupes de masqué qui portent des couteaux en public , en raison de précédentes instructions reçues par les dirigeants de ces unités et des éléments , qui stipule en 2011 immédiatement après le déclenchement " printemps arabe " , la nécessité de rester à l'écart autant que possible sur l'utilisation de la violence contre les foules ou les manifestants , où il était l'expression de l'action comme le " fonctionnement démocratique des foules » , c'est-à- unités anti -émeutes de la Direction générale de la sécurité nationale a changé sa façon d'intervention contre les foules ou dispersés à fonctionne seulement.
Il a révélé un responsable de la police qui a demandé à ne pas être identifié , que le modèle des unités de formation de la République de sécurité omis un point essentiel pendant les longues années qui traitent des altercations et la violence entre les groupes de citoyens , où ils confrontés à la police d'une part la formation et les moyens de grandes difficultés dans le contrôle de la situation , en plus de la nature de la certains quartiers de ruelles étroites qui contient une largeur n'excédant pas deux mètres ou mètre et demi et la difficulté de l'intervention dans ces zones.
Le ministre décide de donner plus de pouvoirs aux unités d'intervention de la police et libéré des contraintes de la directive sur le « fonctionnement démocratique des foules » , après avoir été inculpé pour les unités d'intervention de la police à Ghardaïa au cours des dernières semaines de défaut dans le visage de la violence entre les citoyens de la ville et est parfois accusé de complicité , et a décidé de la Direction générale de la sécurité série nationale de sanctions directe représentés dans Off 3 cadres de la police et des transports a contraint plus de 40 policiers de Ghardaia et à d'autres sites dans l'action disciplinaire , et a reçu les éléments des unités d'intervention de la gendarmerie nationale acceptables à une classe de citoyens en raison de leur efficacité dans l'intervention , et malgré le fait que la ville de Ghardaïa est la zone Urban peut ne pas être en conformité avec la réglementation applicable à intervenir là où les unités subordonnées de la gendarmerie nationale , sauf en cas d'extrême nécessité , les unités de la gendarmerie sont intervenus dans plusieurs régions de Ghardaïa , mais cette catégorie de citoyens a demandé l'intervention directe de la gendarmerie nationale à Ghardaïa , qui a soulevé de nombreuses questions sur les raisons l'incapacité des unités de police et de la capacité des unités de la gendarmerie , mais l'un des chefs de groupe de la République de sécurité ont confirmé deux très importants sont les instructions de conduite paralysent la capacité de la police face à des groupes de masqué , parce que le flic est exposé à une amende maximale en cas de dommages aux civils ont été grièvement blessés , et c'est peut-être ce qui a conduit le suicide d'un policier et une tentative de suicide dernière , en plus de la police et de la gendarmerie lors de l'intervention de devenir la cible de deux côtés , et pas d'un côté , et le porte-parole a déclaré que les événements de Ghardaia prouvé méthodes d'intervention inefficaces actuellement utilisés , qui sont limités à l'utilisation de gaz lacrymogène lors de disperser les manifestants , ou des balles en caoutchouc dans le cas de légitime défense

 

.
Modifié par Aliaska
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Un avion militaire de transport de troupes, un Hercule C130, s'est écrasé ce mardi matin dans la région d'Oum El Bouaghi.

 
L'avion transportait principalement des familles de militaires en provenance du Tamanrasset. L'avion transportait plus de 100 personnes et devait atterrir à l'aéroport de Constantine. Les mauvaises conditions météorologiques, avec des rafales de vent et des chutes de neige, seraient à l'origine de cette catastrophe.
On ne sait pas encore s'il y'a des survivants. D'importants moyens militaires et civils sont mobilisés pour l'opération de recherche et de sauvetage.

El Watan

 

 

Paix a leurs âmes innocentes  icon_sal.gif Courage aux familles 

Modifié par FARSOLDIER
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