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Armée de l'Air Algérienne


sukhoi33

Messages recommandés

Selon le quotidien Algérien arabophone El-Khabar pas de Su-30MKA en Algérie avant janvier 2008 :(

http://elkhabar.com/quotidien/?ida=73828&idc=30

Plus de détails :

- La raison du retard serait la demande de l'AAF pour des améliorations sur les Su-30 avec des équipements provenant d'un pays tiers 8)

- 30 T-90s et 10 avions de combat auraient été livrés par la Russie à l'Algérie durant l'exercice 2006 selon les déclarations des autorités Russes à l'ONU.

- 4 Yak-130 et un nombre indeterminé de Su-30MKA seront livrés durant le premier semestre 2008.

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11 milliards pour 28 avions? ca fait un peu cher quand meme lol cet article a du etre ecrit par un amateur ou alors il a rien comprit

ho tu sais les journaliste  =D =D

La réception se fera en 2008

Report de la livraison des avions russes

Le directeur de la compagnie russe Irkut a révélé qu’un retard va être enregistré dans la livraison des avions de type Sukhoï, leur réception se fera au premier semestre de l’année prochaine au lieu de ce qui a été convenu au départ. Cela est du aux changements apportés au modèle conformément aux exigences de la partie algérienne lors de la conclusion du marché.

Les agences de presse ont rapporté de la même source, lors de son exposé des résultats de la participation de la compagnie dans le salon international de l’aéronautique et de l’espace du Bourget que la production de la compagnie a atteint des records avec une demande dépassant les 242 avions, soit une valeur de sept milliards de dollars, estimant que l’accord conclu lors de la visite du président russe en Algérie le 10 mars 2006, est le plus grand marché, il comporte l’achat de 28 avions Sukhoï d’une valeur de 11 milliards de dollars. 

L’Algérie a indiqué qu’elle va recevoir durant le premier semestre de l’année prochaine six avions  puis quatre autres dans le second semestre de la même année, 2008, et ce une fois que l’aviation russe aura testée les nouveaux avions.

La Russie avait informé, selon l’agence Novetsi, l’ONU, dans le cadre des rapports des pays producteurs d’armes sur ses exportations militaires, durant l’année dernière, qu’elle a remis à l’Algérie deux chars de type T-90 en plus de 10 avions de combat en 2006.

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salut anzar cela fait bien longtemps :lol:

Salut mohamed j'étais de ci de là sur la toile ;)

Pour ce qui est de l'article en arabe il ne mentionne pas 11 milliards US $ pour 28 Su30MKA. Par contre il annonce 242 avions de divers modèles commandés par differents clients à Irkut pour un total de 7 miliards US $.

L'article mentionne aussi 2 Yak130 supplémentaires, passant ainsi de 14 à 16 avions commandés par l'Algérie (à plus long terme il faudra compter sur une cinquantaine de machines pour remplacer l'ensemble des L39C et ZA actuellement en service dans l'AAF).

Et effectivement comme l'a souligné SR35 : Six Su30MKA + 4 Yak130 seront livrés au premier semestre 2008 et Quatre Su30MKA pour le deuxieme semestre.

J'espère juste que l'ensemble des 28 machines seront effectivement livrées avant 2010. Par contre Mapo Mig semble tenir les délais avec 10 SMT livrés en 2006 (c'est en tout cas ce que déclare la russie à l'ONU, sachant que l'Algérie ne devait pas recevoir d'autres types d'avions à cette période :roll: )

Selon les infos qui circulent 6 à 8 SMT supplémentaire auraient déjà été reçu cette année. La moitier de la flotte des SMT est entre les mains de l'AAF en attendant les Flankers :roll:

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Salut mohamed j'étais de ci de là sur la toile ;)

Pour ce qui est de l'article en arabe il ne mentionne pas 11 milliards US $ pour 28 Su30MKA. Par contre il annonce 242 avions de divers modèles commandés par differents clients à Irkut pour un total de 7 miliards US $.

L'article mentionne aussi 2 Yak130 supplémentaires, passant ainsi de 14 à 16 avions commandés par l'Algérie (à plus long terme il faudra compter sur une cinquantaine de machines pour remplacer l'ensemble des L39C et ZA actuellement en service dans l'AAF).

Et effectivement comme l'a souligné SR35 : Six Su30MKA + 4 Yak130 seront livrés au premier semestre 2008 et Quatre Su30MKA pour le deuxieme semestre.

J'espère juste que l'ensemble des 28 machines seront effectivement livrées avant 2010. Par contre Mapo Mig semble tenir les délais avec 10 SMT livrés en 2006 (c'est en tout cas ce que déclare la russie à l'ONU, sachant que l'Algérie ne devait pas recevoir d'autres types d'avions à cette période :roll: )

Selon les infos qui circulent 6 à 8 SMT supplémentaire auraient déjà été reçu cette année. La moitier de la flotte des SMT est entre les mains de l'AAF en attendant les Flankers :roll:

salut anzar ,

alors  combien l'algerie a t'ils recu de materiel,et d'avions

de nos amis russes =D a ce jour

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j'amaine que des bonne nouvelle  =D les tengos se prénnent plain la guelle  ....une grave crise  intestine soucoup le gspc ....le chef du gspc dans touts le grand sahara et des pays limitrofe va se rendre avec touts c'est hommes et sont materielle ....

pas de base us chez nous  :cool: et enfin l'anp qui marque toujour et plus de point dans la lutte anti-terroristes ....un exélent travaille de leur parte :cool:

Le quotidien « La Croix » évoque les succès de l’armée algérienne face au GSPC

Par la croix le 03/07/2007

Lu Dans la presse étrangère. Dans son édition du lundi 2 juillet, le quotidien français « La Croix » revient sur les derniers succès de l’armée algérienne face aux terroristes du GSPC. Un article que « toutsurlalgerie.com » vous propose de lire.

Le ministre de l’intérieur algérien, Nourredine Zerhouni, n’en menait pas large depuis le double attentat qui avait frappé, le 11 avril 2007, le Palais du gouvernement et un commissariat près de l’aéroport d’Alger. Mais les derniers succès de la lutte antiterroriste lui ont redonné des couleurs.

Dimanche 1er juillet près d’Alger, le ministre a fait le point devant la presse, 80 jours après la terrible double attaque kamikaze qui a fait 32 morts et plus de 100 blessés. « Les forces de sécurité et de l’armée populaire nationale (ANP) ont marqué des points très importants dans la lutte antiterroriste ces derniers temps, a-t-il affirmé. L’essentiel du groupe qui a conduit les attentats d’Alger a été démantelé. Douze éléments ont été neutralisés à Khémis El Khechna (sud-est d’Alger) la semaine dernière. »

C’était une annonce attendue par la population de la capitale. Une quarantaine de terroristes avaient été tués dans sept wilayas (département) depuis deux mois, mais le risque d’une nouvelle salve d’attentats dans Alger était toujours redouté.               

                 

« L’attaque d’Alger a cassé une sorte d’accord tacite »

En réalité, le pronostic de H’mida El Ayachi, journaliste spécialiste de l’islamisme et de ses mouvements armés, ébauché au lendemain du 11 avril, se sera vérifié : « L’attaque d’Alger a cassé une sorte d’accord tacite. Le GSPC (Groupe salafiste pour la prédication et le combat) opérait surtout en dehors des villes et ciblait des éléments des forces de sécurité. Cela ne perturbait pas beaucoup l’ordre des choses. L’armée faisait de temps à autre une opération de ratissage dans les maquis, mais sans grande obligation de résultat. Tout a changé lorsqu’un symbole de pouvoir a été frappé. »

L’ANP a mobilisé de gros moyens. Pour la première fois depuis le début de l’insurrection islamiste en 1992, des maquis de Kabylie, fief du GSPC, ont été occupés en permanence. Les accrochages se sont multipliés et des mouvements de repli des groupes armés interceptés.                                                 

Le GSPC divisé

C’est ainsi qu’est tombé la semaine dernière à Béjaia l’un des deux plus proches lieutenants de Droudkal, l’émir national du GSPC, artisan de sa récente mutation en filiale d’Al-Qaida au Maghreb. La nouvelle géopolitique de l’islamisme armé est en outre apparue : plusieurs Tunisiens et des Libyens ont été neutralisés parmi les groupes de l’Est de l’Algérie.

Cette internationalisation du recrutement était toujours restée marginale au plus fort de l’offensive islamiste armée en Algérie au milieu des années 1990. « La doctrine dominante du GIA – groupe islamiste armé – a été celle de la Jazara, courant pour l’autonomie de l’islamisme algérien dans le cadre de l’Etat-nation, face à la mouvance internationaliste », rappelle H’mida Layachi.

C’est pour cela que le passage formel du GSPC dans la mouvance d’Al Qaida a provoqué une grave crise en son sein. Le fondateur du GSPC, l’émir Hassan Hattab, s’est retiré de l’organisation lorsque le courant favorable à « la franchise » Al-Qaida a pris le dessus. La décision de prendre pour cible le palais du gouvernement, sans doute suggéré à partir de la zone tribale du Pakistan, a accéléré la décantation dans les rangs du GPSC.

« Les citoyens se sont remis à nous aider dans notre travail. Leurs renseignements et leur vigilance sont pour beaucoup dans les progrès actuels », reconnaît le ministre de l’intérieur. Les défections se sont multipliées depuis la radicalisation terroriste de l’hiver-printemps dernier. En outre, la politique de la réconciliation et l’offre d’amnistie du gouvernement tiennent toujours. Le président Bouteflika et son premier ministre Abdelaziz Belkhadem le rappellent à volonté.

« Pas de bases militaires étrangères sur le sol national »

Conséquence, le grand chef du GSPC dans le Sahara, Mokhtar Benmokhtar est, selon des sources crédibles, entré en pourparlers avec les autorités militaires en vue d’une reddition. Un événement de taille s’il advenait. Mokhtar Benmokhtar est le pivot logistique de toute activité terroriste dans le Sahara algérien et dans les régions limitrophes. Il est responsable de la remontée des armes vers le nord, ainsi que de l’acheminement vers le Mali des 31 touristes européens libéré contre une caution en 2003.

[glow=red,2,300]

Les États-Unis s’étaient faits pressants, le dernier semestre, auprès de l’Algérie pour savoir si elle était prête « à aider à l’implantation » de l’Africom, projet militaro-administratif américain de lutte contre le terrorisme dans les pays africains du Sahel. Alger a répondu « pas de bases militaires étrangères sur le sol national ». Et le gouvernement s’est activé pour faire le ménage contre le nouvel Al-Qaida [/glow]

Amine KADI (à Alger), La Croix

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Algérie : Bouteflika trace la feuille de route

En Algérie, le président de la République Abdelaziz Bouteflika a, lors d’un discours bilan prononcé jeudi devant les cadres de l’ANP à l’occasion du 45ème anniversaire de l’indépendance nationale;

Je touche de gros intérêts à travers mes paroles, mais je le dis quand même. » Le Président a insisté sur les efforts qui sont déployés dans la formation, dans la perspective de la professionnalisation des forces de notre armée et de ses services, avant d’indiquer que l’ANP, qui assure la défense du pays, ne saurait rester en marge de la société. Elle doit harmonieusement intégrer sa professionnalisation et sa loyauté sans faille dans la vie de la communauté nationale. « Elle doit acquérir la compétence requise pour la mise en œuvre d’armes de haute technologie et la gestion d’équipements sophistiqués », a-t-il dit en ajoutant que cela exige un haut niveau de connaissances techniques, lesquelles doivent être parfaitement maîtrisées à l’entraînement et au combat

A l’occasion du 5 Juillet, le président de la République a exprimé à la jeunesse, dont c’est également la fête, la confiance de la nation

La défense nationale dépend de cette compétence acquise et scrupuleusement entretenue. Bouteflika a invité l'ANP à ne pas tomber dans la routine afin que «nos unités [ ] soient toujours prêtes moralement, physiquement et techniquement» à toute éventualité. Enfin, Bouteflika a déclaré : «Par ailleurs, j'entends, en ma qualité de chef suprême des Forces armées, que la lutte contre les résidus terroristes redouble d'intensité. Les agressions criminelles perpétrées récemment à Alger et ailleurs ont rappelé la nécessité absolue de ne point baisser la garde.»

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Algérie : une ambition de puissance régionale

LE MONDE | 09.07.07 | 15h47 

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vec ses réserves de change en augmentation constante grâce à la hausse du cours des hydrocarbures (90 milliards de dollars fin juin, soit 66 milliards d'euros), l'Algérie est courtisée comme jamais.

Américains, Russes, Européens, pays du Golfe et Asiatiques s'y bousculent pour tenter de rafler de fabuleux marchés. Après un long isolement dû à la "décennie de sang" (1992-2000), Alger a fini par retrouver sa place dans le concert des nations. Tout à leur traque du terrorisme international après les attentats du 11-Septembre 2001, les grandes puissances ont choisi d'oublier les atteintes aux droits de l'homme commises par les forces de sécurité algériennes dans leur chasse aux islamistes au cours des années 1990.

L'embargo de fait sur les ventes d'armes, plus ou moins appliqué par les Etats-Unis, l'Union européenne - la France en tête - et la Russie, semble loin à présent. L'Algérie n'a plus de mal à se procurer les armements qu'elle réclamait à cor et à cri, au motif qu'il lui est impossible de rétablir la sécurité sur l'ensemble de son territoire, notamment sur son immense frontière sud, avec un matériel obsolète. La voilà en train de se doter des moyens de devenir "la" puissance régionale, pourvue d'une défense à la mesure de sa dimension géographique, et de son statut de cinquième pays producteur mondial de gaz et de treizième producteur de pétrole. Un leadership qui ne manque pas d'inquiéter ses voisins, le Maroc surtout, mais aussi la Libye.

En matière de ventes d'armes, la visite à Alger du président russe Vladimir Poutine, en mars 2006, a constitué un tournant. Un contrat d'un montant d'environ 6,3 milliards de dollars a été finalisé à cette occasion. Moscou a conclu la vente de plusieurs dizaines d'avions de chasse et de combat, de batteries de défense antiaérienne dernier cri, de centaines de chars de combat, et de deux sous-marins. La livraison de ce matériel devrait s'étaler sur quatre ans.

Dans le "deal" conclu en 2006 avec le président Poutine, l'Algérie a obtenu l'effacement de sa dette auprès de la Russie. Un passif estimé à 4,7 milliards de dollars et qui représentait 25 % de la dette extérieure algérienne. Mais il ne s'agissait que de la première partie du "contrat du siècle" réalisé par la Russie avec Alger. A en croire la presse russe, un autre marché est en cours de négociation depuis mars, pour une valeur de 7 milliards de dollars : des chasseurs-bombardiers Soukhoï supplémentaires, des Mig 29, des chars et des systèmes antiaériens Pantsir. Egalement à l'ordre du jour : une frégate porte-hélicoptères - une première - et la construction de navires. Si ce second contrat est conclu, le montant global des ventes d'armes russes à l'Algérie s'élèvera donc à presque 14 milliards de dollars. Alger deviendrait ainsi le premier client de Moscou pour les ventes d'armes, dépassant l'Inde, la Chine et le Venezuela.

A l'époque de l'Union soviétique, la coopération entre Moscou et Alger dans le domaine militaire était importante - l'armée algérienne est d'ailleurs essentiellement équipée de matériel de l'ex-URSS - mais jamais, depuis l'époque soviétique, Moscou n'avait réalisé une opération d'une telle ampleur.

L'autre volet de la coopération algéro-russe concerne le gaz. En août 2006, le russe Gazprom et la Sonatrach ont conclu un accord concernant la prospection et l'extraction de gaz en Algérie, ainsi que la modernisation du réseau algérien de gazoducs. Selon le mensuel Arabies, les deux compagnies, fournisseurs incontournables du marché mondial, envisagent d'agir de concert pour préserver leurs intérêts. Cette entente préoccupe de nombreux pays européens, qui redoutent de voir apparaître une "OPEP du gaz".

Soucieuse de garder son indépendance, l'Algérie veille, quant à elle, à diversifier ses partenaires, tant sur le plan économique que politique. Les Etats-Unis ne manquent pas l'occasion, depuis deux ans, de souligner son "rôle important" à l'échelle régionale. Lutte antiterroriste, manoeuvres militaires conjointes, échanges de visites de haut rang, signature, le 9 juin à Alger, d'un protocole d'accord sur le nucléaire civil... Washington et Alger coopèrent activement.

Mais c'est dans le domaine énergétique que les Américains pèsent le plus. Ils sont le premier pays investisseur étranger en Algérie, avec 369 millions de dollars investis en 2006, essentiellement dans le secteur pétrolier. Ils sont aussi le premier client de l'Algérie (14 milliards de dollars d'achats, exclusivement des hydrocarbures).

Lors d'une visite aux Etats-Unis en 2006, Mohamed Bedjaoui, alors chef de la diplomatie algérienne, a lancé : "Face aux Etats-Unis, la France n'a pas le même poids en Algérie." Une petite phrase due en partie au froid qui caractérisait alors les relations franco-algériennes en raison de la polémique sur les "bienfaits" de la colonisation. Car, quoi qu'en disent les responsables algériens, les Français n'ont pas "laissé passer leur chance".

Si elle ne joue pas encore dans la même cour que les Etats-Unis et la Russie, la France est en train de rattraper le temps perdu. Elle reste le premier fournisseur de l'Algérie (4,3 milliards de dollars d'exportations en 2006, soit 20 % du marché) et devance toujours des pays comme l'Italie et la Chine.

Fait plus nouveau : depuis six ans, ses investissements en Algérie croissent de façon vertigineuse. En 2000, ils n'étaient que de 49 millions de dollars. En 2005, ils sont passés à 140 millions de dollars et en 2006, à 294 millions. La France est ainsi le second investisseur en Algérie, tous secteurs confondus (mais le premier investisseur, hors hydrocarbures), juste derrière les Etats-Unis, mais avant l'Espagne et l'Egypte.

De leur côté, les pays du Golfe, comme le Koweït, se montrent intéressés par des secteurs tels que les télécoms, la pétrochimie, l'hôtellerie, les services. Ces investissements directs étrangers (IDE) sont essentiels à l'Algérie pour lui permettre de faire décoller son économie, hors hydrocarbures, et régler son problème de chômage (75 % des inactifs ont moins de 30 ans).

Objet de toutes les convoitises, l'ancienne colonie française se sait promise à un bel avenir. Ses réserves de pétrole la placent au 3e rang des pays producteurs d'Afrique (après le Nigeria et la Libye). D'où, sans doute, l'empressement et la sollicitude des Etats-Unis...

Florence Beaugé

Article paru dans l'édition du 10.07.07.

Je sais les amis rien de plus que l'on sait déjà mais bon ca fait du bien de faire de tps à autre des petites synthèses........oh zut encore des 0 je dois vous laisser les amis

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et voila ça sent le nuclear contre l'energie  =D =D

Première visite du président Sarkozy au Maghreb

LE MONDE | 09.07.07 |

C'est à l'Algérie que le président Sarkozy a réservé sa première visite hors d'Europe. Le chef de l'Etat effectue, les 10 et 11 juillet, une brève tournée maghrébine qui le conduira, après Alger, à Tunis. Relations bilatérales, émigration, visas, mais surtout projet de création d'une "Union méditerranéenne" qui aurait pour vocation, dit-on à l'Elysée, de "résoudre les problèmes de sécurité" et de promouvoir "les libertés et le développement". Tels sont les principaux sujets à l'ordre du jour.

Programmée pour mercredi après-midi, l'étape au Maroc de M. Sarkozy a finalement été reportée à octobre, à la demande de Rabat, officiellement pour des raisons de calendrier. En réalité, le royaume chérifien a estimé "un peu cavalier" d'être visité après Alger et Tunis, et pour quelques heures seulement. "On ne traite pas la fidélité de cette manière", commente un familier du souverain marocain, sans vouloir faire de cet incident "une affaire d'Etat". Ce report n'a, en tout cas, "pas de lien", précise-t-on à Rabat, avec la "mise en état d'alerte maximum" des forces de sécurité marocaines, annoncée vendredi, pour contrer une "menace terroriste avérée".

Nicolas Sarkozy est accompagné par le ministre des affaires étrangères, Bernard Kouchner, et la secrétaire d'Etat aux affaires étrangères et aux droits de l'homme, Rama Yade. A son arrivée à Alger, mardi matin, il devait avoir un entretien puis un déjeuner avec le président Abdelaziz Bouteflika à la résidence d'Etat de Zeralda, en banlieue d'Alger, avant de s'envoler dans l'après-midi pour Tunis.

A l'Elysée, on souligne que l'intérêt de Nicolas Sarkozy pour le Maghreb "est ancien", et que le président a effectué de nombreuses visites dans la région à l'époque où il était ministre. C'est en novembre 2006 que M. Sarkozy s'était rendu pour la dernière fois à Alger. Il y avait été reçu davantage comme candidat à la présidence de la République française que comme ministre de l'intérieur.

Si le chef de l'Etat français est attendu avec bienveillance à Alger, ses hôtes font néanmoins preuve d'une prudente expectative. Ils soulignent que le président Sarkozy est "un interlocuteur nouveau" pour eux et que sa visite sera l'occasion "de clarifier certains points".

L'Union méditerranéenne ? "Nous ignorons ce qu'il y a dedans et sommes curieux de l'apprendre. Pour l'instant, ce projet ne nous paraît pas très clair", indique-t-on dans l'entourage du président Bouteflika, en s'avouant échaudé par "les résultats mitigés" du processus de Barcelone.

La question des visas risque de faire figure de test à Alger. D'un côté, l'Algérie est reconnaissante au président français d'avoir plaidé et obtenu la suppression de la consultation européenne préalable pour les demandeurs de visas français, à l'époque où il était ministre de l'intérieur. Cette mesure rallongeait considérablement les délais d'attente pour les Algériens et était ressentie comme humiliante, puisque ni le Maroc ni la Tunisie n'y étaient soumis.

D'un autre côté, Alger s'inquiète de la politique du nouveau locataire de l'Elysée en matière d'immigration, de circulation des personnes et de regroupement familial. Les nouvelles restrictions annoncées irritent. "S'il y a un jour un partenariat d'exception, il doit trouver son expression dans sa dimension humaine. C'est fondamental pour nous. C'est même plus important que les autres grands volets de notre coopération, énergétique et scientifique, par exemple", déclare fermement un proche du président Bouteflika.

Du traité d'amitié entre la France et l'Algérie, il ne sera sans doute pas question à Alger. Des deux côtés, on admet que ce projet lancé par Jacques Chirac en 2003 "n'est pas d'actualité". Est-il mort ? Non, plutôt "mis en sommeil", répond-on à Alger, où l'on espère pouvoir être bientôt en mesure de faire la part entre le candidat Sarkozy et le président de la République française.

Certaines contradictions mériteraient en effet explication. "Je ne suis pas favorable à un traité d'amitié avec l'Algérie", affirmait ainsi M. Sarkozy, le 16 avril, au Comité de liaison des associations de rapatriés. Cinq jours plus tard, le 21 avril, le même annonçait, dans un entretien au journal algérien arabophone Djazaïr News : "Je signerai le traité d'amitié (...). L'Algérie appartient aux Algériens (...). Je condamne sans réserve le système colonial. Entre l'Algérie et la France, c'est une histoire d'amour. Le problème réside dans la manière de l'exprimer et de le prouver."

Florence Beaugé et Philippe Ridet

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3212,36-933269@51-933402,0.html

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le déba de france 24 sur la visite de sarko en algerie ..ça vos un coup d'oel ;)

http://www.france24.com/france24Public/fr/debats/Debat-FRANCE-24.html

Visite de Nicolas Sarkozy : le point de vue du journal « Le Monde »

Par le monde le 11/07/2007

Dans son édition datée de jeudi 12 juillet, le célèbre quotidien français « Le Monde » publie un éditorial consacré à la tournée maghrébine de Nicolas Sarkozy. Un texte que « toutsurlalgerie.com » vous propose de lire. 

Dès son premier voyage présidentiel au sud de la Méditerranée, Nicolas Sarkozy s'est heurté aux obstacles maghrébins. Les Marocains lui ont fait comprendre qu'ils n'entendaient pas être traités à la sauvette et visités en quelques heures, comme leurs voisins et rivaux algériens. Le chef de l'Etat voulait pourtant donner le coup d'envoi d'une nouvelle politique méditerranéenne qui se distingue, au moins implicitement, de l'action de son prédécesseur. Il n'y est parvenu qu'en partie.

En Algérie, il a tiré un trait définitif sur le traité d'amitié cher à Jacques Chirac. Le texte, calqué sur le traité d'amitié et de coopération de 1963 entre la France et l'Allemagne, était prêt depuis des mois. Sa conclusion a buté sur l'exigence d'Alger d'une "repentance" française pour les crimes commis pendant la guerre d'Algérie. La preuve de l'amitié, ce ne sont pas les excuses, mais les projets d'avenir, a dit en substance M. Sarkozy au président Bouteflika. Et l'avenir, c'est l'"Union méditerranéenne", dont les Algériens attendent avec intérêt de connaître la substance.

Même écoute "enthousiaste" à Tunis, de la part du président Ben Ali. Là, M. Sarkozy a mis ses pas dans ceux de son prédécesseur en restant très discret sur les violations des droits de l'homme dans un pays qu'il voit cheminer vers la démocratie. La Tunisie est avant tout considérée comme une alliée dans la lutte contre le terrorisme. Paris et Tunis vont renforcer la coopération de leurs services de sécurité, et, en ce qui concerne les "services", M. Ben Ali est imbattable.

Pour sa première sortie internationale, la secrétaire d'Etat aux droits de l'homme, Rama Yade, a gardé un profil bas. Elle était visiblement mal préparée à un voyage inopiné, mais elle a promis de se rattraper en recevant la présidente tunisienne de la Fédération internationale des droits de l'homme... à Paris.

Cette brève escapade maghrébine illustre la difficulté de mener cette "diplomatie des droits de l'homme" dont Nicolas Sarkozy semble partager l'ambition avec son ministre des affaires étrangères, Bernard Kouchner. A plusieurs reprises pendant la campagne et depuis son élection, le président de la République a mis en avant le respect des droits de l'homme comme l'un des critères de la politique internationale. Il avait même exprimé ses réticences à serrer la main des dirigeants étrangers qui n'en font pas grand cas.

Mais la diplomatie a ses exigences. De l'autre côté de la Méditerranée, les partenaires potentiels de la France ne sont pas tous, loin de là, des parangons de vertu démocratique. Et c'est avec eux qu'il faut traiter pour faire progresser cette communauté méditerranéenne que la France appelle aujourd'hui de ses voeux. Dans l'espoir très téméraire qu'elle produira aussi des changements politiques. 

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Le quotidien « La Croix » évoque les succès de l’armée algérienne face au GSPC

Par la croix le 03/07/2007

Lu Dans la presse étrangère. Dans son édition du lundi 2 juillet, le quotidien français « La Croix » revient sur les derniers succès de l’armée algérienne face aux terroristes du GSPC. Un article que « toutsurlalgerie.com » vous propose de lire.

Le ministre de l’intérieur algérien, Nourredine Zerhouni, n’en menait pas large depuis le double attentat qui avait frappé, le 11 avril 2007, le Palais du gouvernement et un commissariat près de l’aéroport d’Alger. Mais les derniers succès de la lutte antiterroriste lui ont redonné des couleurs.

Dimanche 1er juillet près d’Alger, le ministre a fait le point devant la presse, 80 jours après la terrible double attaque kamikaze qui a fait 32 morts et plus de 100 blessés. « Les forces de sécurité et de l’armée populaire nationale (ANP) ont marqué des points très importants dans la lutte antiterroriste ces derniers temps, a-t-il affirmé. L’essentiel du groupe qui a conduit les attentats d’Alger a été démantelé. Douze éléments ont été neutralisés à Khémis El Khechna (sud-est d’Alger) la semaine dernière. »

C’était une annonce attendue par la population de la capitale. Une quarantaine de terroristes avaient été tués dans sept wilayas (département) depuis deux mois, mais le risque d’une nouvelle salve d’attentats dans Alger était toujours redouté.                 

                   

« L’attaque d’Alger a cassé une sorte d’accord tacite »

En réalité, le pronostic de H’mida El Ayachi, journaliste spécialiste de l’islamisme et de ses mouvements armés, ébauché au lendemain du 11 avril, se sera vérifié : « L’attaque d’Alger a cassé une sorte d’accord tacite. Le GSPC (Groupe salafiste pour la prédication et le combat) opérait surtout en dehors des villes et ciblait des éléments des forces de sécurité. Cela ne perturbait pas beaucoup l’ordre des choses. L’armée faisait de temps à autre une opération de ratissage dans les maquis, mais sans grande obligation de résultat. Tout a changé lorsqu’un symbole de pouvoir a été frappé. »

L’ANP a mobilisé de gros moyens. Pour la première fois depuis le début de l’insurrection islamiste en 1992, des maquis de Kabylie, fief du GSPC, ont été occupés en permanence. Les accrochages se sont multipliés et des mouvements de repli des groupes armés interceptés.                                                    

Le GSPC divisé

C’est ainsi qu’est tombé la semaine dernière à Béjaia l’un des deux plus proches lieutenants de Droudkal, l’émir national du GSPC, artisan de sa récente mutation en filiale d’Al-Qaida au Maghreb. La nouvelle géopolitique de l’islamisme armé est en outre apparue : plusieurs Tunisiens et des Libyens ont été neutralisés parmi les groupes de l’Est de l’Algérie.

Cette internationalisation du recrutement était toujours restée marginale au plus fort de l’offensive islamiste armée en Algérie au milieu des années 1990. « La doctrine dominante du GIA – groupe islamiste armé – a été celle de la Jazara, courant pour l’autonomie de l’islamisme algérien dans le cadre de l’Etat-nation, face à la mouvance internationaliste », rappelle H’mida Layachi.

C’est pour cela que le passage formel du GSPC dans la mouvance d’Al Qaida a provoqué une grave crise en son sein. Le fondateur du GSPC, l’émir Hassan Hattab, s’est retiré de l’organisation lorsque le courant favorable à « la franchise » Al-Qaida a pris le dessus. La décision de prendre pour cible le palais du gouvernement, sans doute suggéré à partir de la zone tribale du Pakistan, a accéléré la décantation dans les rangs du GPSC.

« Les citoyens se sont remis à nous aider dans notre travail. Leurs renseignements et leur vigilance sont pour beaucoup dans les progrès actuels », reconnaît le ministre de l’intérieur. Les défections se sont multipliées depuis la radicalisation terroriste de l’hiver-printemps dernier. En outre, la politique de la réconciliation et l’offre d’amnistie du gouvernement tiennent toujours. Le président Bouteflika et son premier ministre Abdelaziz Belkhadem le rappellent à volonté.

« Pas de bases militaires étrangères sur le sol national »

Conséquence, le grand chef du GSPC dans le Sahara, Mokhtar Benmokhtar est, selon des sources crédibles, entré en pourparlers avec les autorités militaires en vue d’une reddition. Un événement de taille s’il advenait. Mokhtar Benmokhtar est le pivot logistique de toute activité terroriste dans le Sahara algérien et dans les régions limitrophes. Il est responsable de la remontée des armes vers le nord, ainsi que de l’acheminement vers le Mali des 31 touristes européens libéré contre une caution en 2003.

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Les États-Unis s’étaient faits pressants, le dernier semestre, auprès de l’Algérie pour savoir si elle était prête « à aider à l’implantation » de l’Africom, projet militaro-administratif américain de lutte contre le terrorisme dans les pays africains du Sahel. Alger a répondu « pas de bases militaires étrangères sur le sol national ». Et le gouvernement s’est activé pour faire le ménage contre le nouvel Al-Qaida [/glow]

Amine KADI (à Alger), La Croix

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Par contre sur des véhicules non protègés c'est une connerie que de mettre les bancs face à face ; le système dos à dos (les soldats font face à la route)  est, à mon avis, plus efficace , ça permet de mieux surveiller et de dégager plus rapidement en cas d'embuscade....

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Par contre sur des véhicules non protègés c'est une connerie que de mettre les bancs face à face ; le système dos à dos (les soldats font face à la route)  est, à mon avis, plus efficace , ça permet de mieux surveiller et de dégager plus rapidement en cas d'embuscade....

oui oui la plus par des camion transport des troupes ont le système dos à dos généralment sof dans des convoi importent comme sur la 2e photos ..chaque camion peut transporté en virent 20 soldats ..les terroriste ne s'attaque qu'au convoi de ravitaillement moin nembre ...et les embuscades sont trés rare ces dernier années mais part contre les mine artisanal déclenché par telephone a distence sont plus fréquente et avec se jenre d'attaque le système dos à dos ne ser a rien puisque c'est tout le camion qui saute ...

c'est quoi comme vehicule sur la quatrième photo ? =)

un bmp-1
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oui oui la plus par des camion transport des troupes ont le système dos à dos généralment sof dans des convoi importent comme sur la 2e photos ..chaque camion peut transporté en virent 20 soldats ..les terroriste ne s'attaque qu'au convoi de ravitaillement moin nembre ...et les embuscades sont trés rare ces dernier années mais part contre les mine artisanal déclenché par telephone a distence sont plus fréquente et avec se jenre d'attaque le système dos à dos ne ser a rien puisque c'est tout le camion qui saute ...

un bmp-1

les terroriste ne s'attaque qu'au convoi de ravitaillement moin nembre

Sans vouloir faire le casse pied, par mp je te passe un liens et tu vois clairement le contraire de ce que tu dis. Des même camions sur la photo avec pleins de soldat derrière se fessais attaquer...
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