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Armée de l'Air Algérienne


sukhoi33

Messages recommandés

Cette nouvelle a été posté sur le WAFF, je l'ai reprise ici sachant que l'un de vous aurait vite une information pour la confirmer ou l'infirmer.  ^-^

tu plaisente c'était  la panique général  :O :O , l'annulation du contra des mig-29smt est une chose  mais se lui des su-30mka en est une autre  :lol: :lol: :lol:

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un petit reportage sur Ecole d'application des troupes speciales EATS /a BISKRA

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Ecole d'application des troupes spéciales

Dans les conflits modernes et la conduite des opérations, les troupes spéciales, constituées d'unités légères,faciles à déployer dans des conditions de combat difficiles et parfaitement entraînées, représentent, aujourd'hui, un atout majeur.

Leurs capacités à assurer, en toutes circonstances, et en tout lieu, les missions de combat qui leur incombent sont essentiellement tributaires des niveaux et qualité de la formation et de la préparation des hommes composant cette arme d'élite.

Toutes les qualités physiques et mentales sont, de ce fait, requises pour avoir l'honneur de servir au sein de ces unités qui se caractérisent par leur haut niveau de disponibilité opérationnelle. C'est pourquoi, El Djeich a mis, grâce à ce reportage, le curseur sur l'École d'application des troupes spéciales de Biskra en 4e région militaire, une école qui a à sa charge la formation des officiers, sous-officiers d'activé et contractuels dans les différentes branches qui sont les para-commandos, la reconnaissance et police militaire. En outre, l'école de Biskra assure également des sessions de perfectionnement et d'application au profit des officiers des troupes spéciales et la formation d’instructeurs parachutistes et en arts martiaux.

Elle dispense aussi des cours de perfectionnement aux sous-officiers par des stages de BMP1 et de BMP2.

A son plan de charge figure aussi l'organisation de sessions spéciales de saut en parachute au profil des élèves-officiers d'active de 5ème année,

de tronc commun "de Cherchell, des sous-officiers au profil des différente écoles de formation de l’ANP.la formation s’articule en grande partie sur la condition physique, aussi le recrutement dès candidats se fait sur la base de critères déterminés et de normes rigoureuses dont un examen profond de l'état de santé physique et mental et des tests physiques.

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Recrutement des critères rigoureux

Le médecin-chef de l'école, affirme : --Aux examens médicaux primaires, la nouvelle recrue, outre une bonne condition physique,

doit mesurer au moins 175 cm pour un poids de plus de 60 kg. Elie doit ensuite se soumettre à des tests psychotechniques approfondis afin de déterminer ses prédispositions à la vie militaire, les raisons qui l'ont conduite à choisir la carrière militaire, ses phobies

Après les tests psychotechniques, les candidats au recrutement sont soumis aux tests physiques afin d'évaluer eur aptitudes physiques à travers une épreuve de vitessse que le candidat doit parcourir en un temps déterminé.

" La dernière phase" est celle de la sélection finale, où le candidat doit subir des examens médicaux.

A cet effet, une commission médicalise spécialisée composes de médecin spécialiste en cardiologie, Ophtalmologie ORL.

Ces consultation permettent de savoir si l'élément est apte physiquement et psychiquement à servir au sein des troupes spéciales.

Le largage priorité de la formation.

L'idée d'un débarquement de troupes par les airs constitue une grande partie des préoccupations des armées des pays développés.

Dans ce but, elles préparent leurs forces à accrocher l'ennemi dès son débarquement. Ces forces, transportées par des avions,

sont rapidement déployées sur le théâtre des opérations. Parachutées derrière les lignes ennemies ou sur ses flancs, elles peuvent

constituer l'élément de surprise.

L'historique du parachutisme au sein de l'ANP remonte au 8 mai 1973 avec la réussite du premier saut d'instruction à bord d'un avion F-27

à Biskra. Depuis, l'école a poursuivi la formation de parachutistes et de parachutistes instructeurs. La première promotion est sortie

en 1974. Aujourd'hui, l'école représente un maillon important dans le système de formation des différentes forces de l'ANP en consacrant des sessions d'instruction au profit des éléments des différentes unités de formation des forces aériennes, terrestres et navales.

Le pliage du parachute et la vérification de son parfait état de fonctionnement est une étape importante dans le cursus de formation.

Elle a lieu à la place de pliage de l'école sous la supervision d'instructeur expérimentés. Ces instructeurs contrôlent rigoureusement chaque geste des stagiaires, auxquels ils dispensent des conseils durant toutes les phases de l'opération qui exige concentration, précision et vérification à tout moment.

Une fois l'opération du pliage du parachute maîtrisée, l'élève passe aux entraînements au sol où il apprend comment sauter d'un avion,

ce qu'il doit faire une fois dans les airs et comment atterrir. Cette phase obligatoire doit se faire 24 heures avant chaque saut. Selon le lieutenant-colonel directeur de l'enseignement à l'école « chaque saut qu'effectué le stagiaire nécessite 13 heures d'entraînement », ce qui démontre l'importance du facteur entraînement dans la formation et la qualification des parachutistes.

De par la formation qu'elle assure, l'École d'application des troupes spéciales est devenue la destination pour les éléments de toutes les écoles de formation. Pour être à la hauteur de sa mission, l'école œuvre, en permanence, à réunir toutes les conditions nécessaires pour assurer une formation de qualité et de haut niveau. Les élèves de l'école exécutent des sauts sur une hauteur de 600 m en utilisant des parachutes d'entraînement et de combat de type T-IOB et un autre de réserve de type T-10R, de fabrication américaine, conçus selon les normes internationales fixées par l'Otan et utilisés par tous les pays du monde pour l'entraînement de leurs troupes.

Ils s'ouvrent automatiquement juste après la sortie du parachutiste de l'avion dont la vitesse de vol est de 180 km/h lors des sauts d'entraînement.

Les élèves effectuant des sauts obtiennent des diplômes et insignes comme le certificat normal après le huitième saut, le brevet du

parachutiste du premier degré après 30 sauts, le brevet du parachutiste entraîneur après 60 sauts et un stage de 6 mois. Par ailleurs,

les élèves stagiaires des autres écoles de formation peuvent, après la session de formation, effectuer des sauts et obtenir, après quatre sauts, le brevet d'aptitude au saut accompagné de l'insigne de l'école.

D'où vient le parachute ?:para:

L'histoire du parachute est intimement liée au savant italien Leonardo Doguisht qui, après de nombreuses expériences, est arrivé au résultat que l'homme pouvait sauter de n'importe quelle altitude à l'aide d'un bout de tissu confectionné de manière à amortir

le choc dynamique, lui permettant ainsi d'atterrir en douceur.

Le premier parachute adéquat a été conçu en 1916, en France, il avait une superficie de 2, 60 m2 et une vitesse de descente de 2,5m/s.

Le recours à l'aviation dans les opérations de combat, le transport aérien et le développement des moyens de largage ont permis l'adoption de nouvelles formes connues dans le jargon de la tactique militaire sous le nom d'assaut aérien ou d'assaut vertical et qui ont donné naissance à une nouvelle branche au sein des forces armées : les forces aéroportées.

Des techniques modernes

Afin d'assurer l'intégrité des parachutistes, l'école porte un grand intérêt aux parachutes tous types confondus:

d'entraînement, de combat, de reconnaissance et sportif et ce, à travers le service des parachutes qui prend en charge toutes les opérations de maintenance régulière et périodique des parachutes. Four cela, le service dispose d'équipements modernes lui permettant d'opérer les vérifications et contrôles d'usage (résistance à la charge, rigidité, solidité...).

Le service dispose également d'aires de dépôt de parachutes répondant aux normes de stockage, à une température n'excédant pas les 20°.

La durée de vie d'un parachute est de 12 ans ou 300 sauts. Chaque parachute a un carnet technique sur lequel sont répertoriées toutes les données sur l'emploi de ce parachute, de la date de remise du fabricant jusqu'au dernier saut. On y trouve également des informations sur le numéro de série, la date du pliage; le nom de celui qui l'a plié, sa signature, l'état du para-chute, la signature de l'entraîneur, la date du saut, le type de l'avion , la hauteur, la signature du parachutiste ainsi que les différentes réparations. En cas de perte

du carnet technique, le parachute sera strictement interdit d'utilisation.

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Bon à savoir  :study: :

En 1963 été créé, à Skikda, le Centre d'instruction des commandos. Ce centre sera transféré en 1971 à Biskra et prendra l'appellation

de Centre de formation des forces aéroportées. Des volontaires, officiers, sous-officiers et djounoud, ont rejoint le centre,

nombre d'officiers et de sous-officiers ont été envoyés en ex-URSS pour suivre des stages de spécialisation.

L'instruction a débuté en janvier 1975 sous la supervision de cadres algériens et avec l'assistance d'experts soviétiques.

Le premier saut au centre a été exécuté le 8 mai 1973. Le centre a été inauguré le 7 juin 1974 par feu le président Houari Boumediene :hadarat: et la première promotion du centre est sortie le 5 juillet 1974... En 1975, après le réaménagement des régions militaires,

le centre a été rattaché au territoire de la 4e RM. En 1976 il prend le nom de Centre d'instruction des forces aéroportées

et une section de parachutisme sportif prend part, pour la première fois, à une compétition internationale officielle dans la discipline.

La même année, le centre devient l'Ecole des forces aéroportées et il a été procédé à la création du 16e bataillon aéroporté. En 1991,

avec la restructuration des forces armées, l'école devient l'Ecole d'application des troupes spéciales.

Une formation scientifique de haut niveau

La formation à l'EATS a été renforcée en 2001 par de nouvelles salles pédagogiques spécialisées dans l'enseignement de l'informatique.

Cette technique qui favorise l'introduction de l'enseignement assisté par ordinateur (EAO) a été un facteur qui a contribué à une meilleure assimilation des cours par les élèves stagiaires.

En outre, le service informatique œuvre à l'ouverture d'un site interne dont l'avancée est estimée à 60% et qui aura pour objectifs de «permettant aux stagiaires, à des fins de révision, de consulter tous (es contenus des cours suivis dans toutes les matières militaires afin de mieux préparer leurs examens», affirme le lieutenant qui ajoute qu'outre son apport pédagogique,

ce site constituera également « une référence en faisant connaître l'école, ses structures, ses missions et ses différentes activités ».

L'école dispose aussi d'un laboratoire de langues équipé des moyens audio-visuels d'enseignement les plus modernes pour l'apprentissage de l'anglais au profit des éléments des différentes sessions, comme il dispense des sessions spéciales au profit des éléments des troupes

spéciales qui se traduisent par des cours intensifs destinés à leur apprendre la terminologie militaire. Compte tenu de la nature de la mission de combat, le parachutiste qui est largué derrière les lignes ennemies doit pouvoir s'adapter à toutes les situations.

Dans cette optique, des salles dites "salles de cohabitation" ont été construites dans l'enceinte de l'école pour permettre aux stagiaires de passer de la théorie à la pratique. Dans ces salles, ils peuvent s'entraîner à certaines techniques de savoir-faire

leur permettant de survivre dans des conditions extrêmes. Ils apprennent ainsi à utiliser leurs équipements de campagne, réaliser une tente à l'aide de leur parachute, apprendre les différentes méthodes pour allumer un feu, sélectionner des plantes pour leur nourriture

:arrow: (il existe des plantes qui permettent au combattant de résister pendant 6 mois dans des conditions difficiles), chercher de l'eau et la traiter si elle est polluée, apprendre à pêcher et à se nourrir à l'aide d'insectes. L'école compte également des salles pour l'apprentissage des méthodes classiques de pose de pièges où l'élève apprend tout sur les explosifs et les techniques permettant de les éviter et de les neutraliser.

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Le gueuksoul specialite de l’élite 

Après avoir suivi une formation de tronc-commun à l'École des sous-officiers d'activé à Khenchela/5e RM, les élément des troupes spéciales rejoignent, pour leur deuxième année, l'École d'application des troupes spéciales. Une commission spéciale est chargée de leur faire

passer des tests afin de choisir les meilleurs d'entre eux pour suivre une formation de gueuksoul, une discipline originaire de Corée et qui repose essentiellement sur la maîtrise des arts martiaux.

Queuksoul signifie «terre enflammée-».

Après 4 années de formation rigoureuse, ces éléments sont promus instructeurs dans cette discipline, et obtiennent le certificat militaire professionnel du 2eme degré. Les éléments qui, pour cause d'accident ou de résultats insuffisants, n'ont pu passer en quatrième année, reçoivent pour leur part le certificat militaire professionnel du 1 er degré. Et parce que le sport est le meilleur moyen pour consolider la condition physique et

les capacités de résistance chez le militaire, le programme de formation à l'École d'application des troupes spéciales consacre une grande partie du volume d'enseignement aux activités sportives qui reposent essentiellement sur les plus connus des arts martiaux. Selon le commandant la compagnie du gueuksoul et de la section sport « le volume horaire pour ta pratique des disciplines sportives de combat est de 4 heure quotidiennement auxquelles il faudrait ajouter des séances de rattrapage dans 'après- midi dans toutes ces disciplines .la formation au sein de la section du gueuksoul repose sur

le combat individuel au corps-à-corps à l'arme blanche ou sans arme blanche, l'intervention collective et individuelle par l'utilisation d'armes à feu et d'explosifs. Les éléments du gueuksoul ont de grandes capacités de résistance, fruit d'une longue et intensive

préparation et d'entraînement qui allie l'effort physique à la concentration mentale et qui confèrent à leur corps l'aptitude à résister dans les conditions les plus extrêmes. Ces hommes sont ainsi en mesure d'effectuer, avec tout leur équipement, un parcours de marche commando de plus de 100 km.

Un entraînement continu

Le gueuksoul est un ensemble d'arts martiaux nécessitant un entraînement continu fondé sur des bases scientifiques englobant l'aspect physique (avec tous les sports de combat alliant force physique, souplesse, concentration, rapidité d'exécution) et la préparation

psychologique. La maîtrise psychologique est l'un des prin-cipes fondamentaux du combattant du gueuksoul, c'est ce qui explique toute la rigueur exigée dans la préparation et l'entraînement de ce dernier.

Partant, et au travers de ses structures d'entraînement psychologique, l'école assure aux éléments une préparation qui leur permet d'accomplir des missions de combat dans les conditions les plus difficiles aux quelles il pourrait faire face sur le terrain.

Cette préparation s'effectue sur un parcours jalonné d'une série d'obstacles artificiels, posés de façon étudiée et qui permettent au combattant de chercher comment s'adapter à toutes les situations tactiques aux quelles il pourrait se trouver confronté et ce, quelque soit leur degré de sa gravité.

Avec les éléves officiers de l’AMIA

Notre visite à l'École d'application des troupes spéciales a coïncidé avec la tenue d'une session spéciale de perfectionnement des parachutistes. Notre curiosité nous a conduits à la base militaire de Biskra, où nous avons assisté aux différentes procédures

de contrôle (supervisées par le directeur de l'enseignement de l'école) d'élèves-officiers d'activé de troisième année

de la formation Fondarnentale de l'Amia qui s'apprêtaient à embarquer à bord d'un avion de type Hercule C-130 pour effectuer leur baptême

de l'air. Mous avons eu la chance de partager avec eux ces moments inoubliables. Les élèves officiers d'activé de l'Amia suivent

une formation de parachutisme et sont encadrés par des entraîneurs engagés par le bureau des troupes spéciales au niveau de

l'annexe Abane-Ramdane. Leur séjour à l'École d'application des troupes spéciales a valeur de stage au cours duquel ils suivent

des cours théoriques ainsi que des activités pratiques intensives au niveau du terrain de sauls de l'école.

La session de perfectionnement de parachutisme est une phase obligatoire pour les élèves-officiers d'activé de la formation fondamentale de l'Amia qu'ils doivent passer au terme de leur cursus de formation et qui leur permet d'obtenir le diplôme d'aptitude en parachutisme, accompagné d'un insigne (après 4 sauts) ainsi que le diplôme de para-commando (après avoir satisfait à différents tests et épreuves comme le saut à partir d'un véhicule en marche et la marche commandos). De la piste d'atterrissage, nous avons pu observer le groupe de parachutistes dans le ciel en formation exécutent des figures tout en entonnant des chants patriotiques dont les échos nous parvenaient de plus en plus fort à mesure qu'ils s'approchaient de la terre ferme. A l'issue du saut, nous nous sommes rapprochés de l’elève-officier qui, tout à sa joie d'avoir accompli ce saut, nous dira : « J'ai ressenti

une formidable sensation lors de ce saut, noua avons réussi à notre première tentative parce que nous étions animés de courage

et d'enthousiasme. Ce résultat est le fruit d'un entraînement intense et de l'application des recommandations de nos instructeurs, »

Pour nombre de parachutistes que nous avons interrogés à l'école, le premier saut constitue un défi du fait que, contrairement à ce que

l'on peut penser, ce saut, bien que n'excluant pas la sensation de peur chez le parachutiste débutant fait naître en lui la volonté de

faire face aux dangers éventuels. Cette sensation se répète à chaque saut pour le parachutiste débutant qui est en général inconscient des dangers dans la mesure où il est placé dans d'excellentes conditions.

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hé bien oui c'est vrai mais le probléme c'est qu'on a toujours tout mélanger sur se sujet pour les 129 dernier page  :lol: :lol:

le probléme c'est que la plus part des article sur les contra d'armement parle du materiel pour l'armée de terre ,la marine ,et l'armée de l'air !!

donc ou poste ?

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Par exemple pour l'affaire des chars ci dessus, un passage dans la section armée de terre est de rigueur. Je ne vais pas disséquer les 130 pages pour bien mettre tout ça au clair mais bon quand il y a clairement un sujet abordé, à vous de le coller dans la section qui lui convient.

Si une news aborde les différentes armes et bien il suffit de la poster dans les armes en question, toute ou partie en surlignant par exemple le passage intéressant. ;)

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l'algerie achete de nouveau drone sud africains

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L'Afrique du Sud remporte ses premiers gros contrats d’armements avec l’Algérie

Par samir allam le 07/04/2008 à 11:27

L'Algérie poursuit la modernisation de son armée, avec l'acquisition de six nouveaux drones auprès de l'Afrique du Sud. Selon des informations recueillies par toutsurlalgerie.com auprès de sources de défense, les Sud-Africains étaient pour ce projet notamment en concurrence avec le groupe français d'électronique de défense Thalès et le géant franco-allemand EADS.

Le choix des systèmes de drones sud-africains, au-delà de la qualité du matériel proposé jugé aussi performant que les systèmes européens ou américains, pourrait également avoir été dicté par des considérations diplomatiques.

L'Afrique du Sud soutient en effet la position algérienne sur le dossier du Sahara occidental. Il est l'un des rares grands pays à reconnaître la République arabe sahraoui et se montre favorable à un référendum d'autodétermination au Sahara. Récemment, l'ambassadeur d'Afrique du Sud au Sahara avait même assisté aux festivités du 32ème anniversaire de la République arabe sahraoui, provoquant le mécontentement de Rabat. Une attitude qui n’est adoptée par aucune puissance occidentale, France et Etats-Unis en tête.

Dans ce contexte, l'Afrique du Sud semble bien partie pour profiter pleinement des prochains contrats que compte passer l'Algérie dans le domaine militaire. Selon nos sources, les Sud-Africains seraient notamment bien placés pour vendre à la marine algérienne des frégates. L'Algérie vient de lancer un appel d'offre pour l'acquisition de 4 frégates de 3000 à 4000 tonnes, un projet dont le montant est supérieur au milliard de dollars. Il intéresse plusieurs grands pays européens : la France, l'Allemagne, l'Espagne et la Grande-Bretagne.

Les Américains et les Russes semblent en retrait par rapport à ce projet qui devrait permettre de donner un coup d'accélérateur à la modernisation de la marine algérienne, jugée parmi les moins performantes de la région Méditerranée.

TSA

http://toutsurlalgerie.com/algerie-armement-contrat-avec-afrique-du-sud-3149.html

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;) Merci, scorpion-rouge, pour les scans des revues que tu as posté, j'essaie toujours d'en avoir pour les lires mais sans pouvoir le faire aussi souvent que je le veuille; mais je regrettes qu'il y ai peu, ou pas du tout, de photos du matériel de l'AAF pour mettre en valeur les articles de la revue "Forces Aériennes". Je te pries, mon cher ami, d'en poster aussi souvent que tu peux, et je t'en remercies d'avance.  =) =) =)

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salut,

il y a du nouveau.

Lutte anti-incendie Alger veut acheter d'autres avions russes

........

La nouveauté est l'annonce par une source officielle russe de négociations entre l'Algérie et la Russie pour la livraison d'avions amphibies spécialisés dans la lutte anti-incendie. L'annonce a été faite hier vendredi en Sardaigne par le ministre russe des Situations d'urgence, Sergueï Choïgou, en marge des exercices anti-incendies européens «Fire-4», auxquels participe la Russie.

Selon le même responsable, l'Algérie est intéressée par l'acquisition de six appareils de type Be-200, dont on dit beaucoup de bien en matière de lutte contre les incendies de forêts notamment.

........

Selon le ministre russe, plusieurs pays seraient intéressés par ce type d'hydravion, la Grèce notamment, mais également l'Algérie. «L'Algérie souhaite notamment acheter six appareils de ce type», a affirmé le ministre russe des Situations d'urgence. L'information, annoncée vendredi en Sardaigne (sud de l'Italie), court cependant depuis le mois de décembre dernier lorsque le même responsable russe avait affirmé que plusieurs pays voulaient acquérir ce type d'appareil dans la lutte contre les incendies de forêts. Si le contrat d'achat par l'Algérie d'appareils russes de lutte contre les incendies est mené à son terme, le ministre russe ayant déjà annoncé qu'un premier contrat a été signé sans mentionner qui de la Grèce ou de l'Algérie a remporté le premier «lot» (Athènes ayant demandé sept appareils), il constituera, en fait, une sorte de «régénération» des relations entre les deux pays en matière de livraison d'aéronefs, militaires et civils. Mais également la prédominance des constructeurs russes au détriment des grands constructeurs occidentaux, qu'ils soient américains, européens ou canadiens.

.................

Et, dans le cas du Be-200, qui serait plus performant que les fameux «canadairs», Alger innove en voulant acquérir des hydravions russes pour mieux lutter contre les incendies de forêts. Le ministre russe des Situations d'urgence n'a pas révélé, enfin, le prix d'un Be-200.

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  • 2 weeks later...
  • 2 weeks later...

photo prise hier par Rio35 et T800

Il s'agit d'un ravitaillement en vol de 02 Su-30MKA avec deux Camo diffèrent ! un Gris et l'autre bleu

Exercice avec la participation de 03 Midas et plusieurs MKA  8)

Le Gris est Peut être le MKR ??? Mystère

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Voici une vidéo a ma dispo depuis pas mal de temps, mais pas posté sur les forums car je pensais qu'il ne s'agissait pas de MKA, avec les Photos qui confirment l'existence de SU-30MKA Gris, ca prouve que la vidéo est bien en rapport avec les MKA durant la livraison du 28 Mars 2008

(Info Russe)

Первые экспортные поставки Су-30 МК. "Сушки" улетают в Алжир   

The first exports of Su-30 MK. "Drying" fly away to Algeria

http://rutube.ru/tracks/571822.html?v=27f013eb42f24312e6b7c96dc294109e

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