Philippe Top-Force Posté(e) le 8 mars 2006 Share Posté(e) le 8 mars 2006 Rafale : bel avion français, cherche clients désespérément. Le Rafale est-il un avion maudit ? A-t-il vocation à devenir le Concorde des avions de combat ? La comparaison fait grincer des dents chez Dassault, mais les échecs répétés à l'exportation de l'avion-phare de l'industrie aérienne de défense française apportent de l'eau au moulin des Cassandre. Pour ceux-ci, la France a - une nouvelle fois ? - construit un superbe appareil, très polyvalent et surpassant sur le plan technologique bien de ses concurrents, mais cher et très... français. Avec flegme, Charles Edelstenne, PDG de Dassault Aviation, assure qu'il faut raison garder et répète qu'aucun client n'achète un avion qui n'est pas en service dans son pays d'origine. Le général Eric Rouzeaud, chef du Centre d'expérimentations aériennes militaires (CEAM), de Mont-de-Marsan, en convient : "Le fait qu'un avion soit opérationnel représente forcément une consolidation du produit que l'on veut vendre." Faut-il donc attendre que les 294 Rafale dont l'Etat a prévu de doter l'armée de l'air et la marine soient livrés et deviennent à l'étranger les VRP du savoir-faire made in France pour que cet avion, destiné à être le fer de lance des forces françaises jusqu'en... 2040 ou 2045, soit pris au sérieux et acheté ? Alors il faudra du temps : la marine a déjà reçu 10 appareils, en attend 2 de plus en 2006, 7 en 2007 et 7 autres en 2008. L'armée de l'air, elle, teste 14 appareils à Mont-de-Marsan, et elle disposera de son premier escadron autonome à Saint-Dizier, au cours de l'été. Patience ? Certes, mais après un double échec en 2002, en Corée du Sud et aux Pays-Bas, un troisième à Singapour en septembre 2005, et des perspectives très incertaines en Arabie saoudite, force est de constater que les partisans du Rafale ne se précipitent pas sur leur carnet de chèques. De Riyad, le président Chirac est revenu très confiant sur l'excellence des relations franco-saoudiennes, mais... les poches vides. Et pour cause, fulminent les industriels du secteur : ce voyage a été mal préparé par l'Elysée, et le président s'est montré étonnamment discret pour défendre les chances du Rafale. Or, en décembre, à l'occasion d'un voyage à Riyad du ministre britannique de la défense, John Reid, le royaume avait signé avec Londres un protocole d'accord portant sur la vente d'avions de combat Eurofighter Typhoon, construit en coopération par la Grande-Bretagne, l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne. Nul ne sait encore combien d'exemplaires du principal concurrent européen du Rafale vont équiper les forces aériennes saoudiennes, mais l'accord stipulerait que la Grande-Bretagne va reprendre plus de 200 avions de combat d'ancienne génération équipant la RSAF, la force aérienne saoudienne. Et qu'une partie de la facture sera réglée en pétrole et en livraison de divers armements. Un troc ? Non : une étroite, ancienne et surtout très pragmatique coopération entre Londres et Riyad depuis la signature, en 1988, de l'important contrat d'armement Al-Yamamah. Pourquoi le Rafale ne se vend pas ? Voilà sans doute une partie de la réponse. Officiellement, le marché saoudien - environ 96 appareils - reste ouvert. Si l'Eurofighter confirme son avantage en Arabie saoudite, Dassault sera battu, pour la première fois, par un concurrent européen. Symboliquement, la France apparaîtra alors complètement isolée sur la scène internationale, et il sera bien difficile de remonter la pente. CAVALIER SEUL Pourtant, sur le plan technique, "le Rafale a toutes les qualités d'un avion de combat de 4e génération, il n'a pas à rougir face à ses concurrents", souligne le général Rouzeaud. Sans doute. Mais dans la compétition acharnée que se livrent aujourd'hui trois avions de combat, il fait au mieux figure d'outsider. Le français Rafale et l'européen Eurofighter ont déjà plus de vingt ans d'âge, contrairement à l'américain F-35, aussi appelé Joint Strike Fighter (JSF), dont le constructeur, Lockheed Martin, a été choisi en octobre 2001. C'est en 1983 que cinq pays européens décident de définir ensemble un avion de combat et de confier à Dassault la maîtrise d'oeuvre du projet. Deux ans plus tard, en 1985, la France reprend pourtant son autonomie. Raisons invoquées : nos partenaires veulent un avion de défense aérienne, avec l'attaque au sol comme mission secondaire, alors que Paris souhaite se doter d'un avion polyvalent. Raisons plus discrètes : le motoriste national Snecma a peu de chances de supplanter le britannique Rolls Royce pour le choix des moteurs. Le cavalier seul français s'engage donc, lentement. Au gré des atermoiements budgétaires, le programme prendra dix ans de retard : la mise en service des Rafale, prévue en 1996, aura lieu en 2006. En 1996, dans un rapport parlementaire, le député UDF Olivier Darrason avait lancé un cri d'alarme. "Il y a fort à craindre que nous soyons en train de faire perdre à l'aéronautique française l'une des plus belles chances de son histoire", écrivait-il. Aujourd'hui président de la Compagnie européenne d'intelligence stratégique (CEIS), il veut encore croire à l'avenir de l'avion : "L'Etat a gagné la bataille budgétaire, et le Rafale s'est imposé technologiquement face à ses concurrents. Il reste à remporter la bataille politique en trouvant un pays qui ait envie d'afficher son indépendance technologique face aux Etats-Unis." Lors du marché perdu de Singapour, la principale raison avancée était financière. Reste que Singapour ne souhaitait pas a priori mécontenter Washington. Comment enrayer cette spirale négative ? Jamais, rappellent les spécialistes, Dassault n'a emporté un appel d'offres, ses contrats ayant toujours été négociés de gré à gré. Chez Dassault on minimise ces déconvenues. "Nous avons entre quinze ans et dix-sept ans de production de Rafale pour l'armée française, soulignait récemment Charles Edelstenne. Pendant toute cette période, la chaîne sera en activité et pourra répondre aux demandes des clients." Si le politique prime sur l'économique, l'isolement de la France en Europe depuis le référendum n'arrange pas les choses. En outre, l'échéance de l'élection présidentielle ajoute un facteur d'incertitude. Avant d'acheter français, les acheteurs potentiels veulent connaître la nouvelle donne politique, après le départ de Jacques Chirac. Article paru sur le journal le Monde. 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Kiriyama Posté(e) le 8 mars 2006 Share Posté(e) le 8 mars 2006 Le Concorde des avions de combat C'est vrai que le Rafale en endosse de plus en plus le costume.... :? Sinon, comment ça c'est passé en Arabie Saoudite? Parce que si Dassaut se plante encore là.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TMor Posté(e) le 8 mars 2006 Share Posté(e) le 8 mars 2006 Américains et anglais, de toutes façon, feront absolument tout pour bloquer notre engin. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité ZedroS Posté(e) le 8 mars 2006 Share Posté(e) le 8 mars 2006 ""Un troc ? Non : une étroite, ancienne et surtout très pragmatique coopération entre Londres et Riyad depuis la signature, en 1988, de l'important contrat d'armement Al-Yamamah. Pourquoi le Rafale ne se vend pas ? Voilà sans doute une partie de la réponse. Officiellement, le marché saoudien - environ 96 appareils - reste ouvert. Si l'Eurofighter confirme son avantage en Arabie saoudite, Dassault sera battu, pour la première fois, par un concurrent européen. Symboliquement, la France apparaîtra alors complètement isolée sur la scène internationale, et il sera bien difficile de remonter la pente. CAVALIER SEUL """ Parce que le rafale sera pas vendu chez les arabes, la france sera isolée? ce mec est un con, Dassault a vendu plus de mirages que les autres de tornados, et la france n'a pas les arabes comme client sur le mirage, ça ne leurs a pas enpeché d'etre la piece central du conflit irakien, et au liban, et aujourdhui de l'iran!, de la taxe sur les billets d'avion pour les pays pauvres, du succé de la loi de L'unesco sur les bien culturels, le nucleaire indien ou Bush qui etait contre suit les conseil de chirac, etc etc etc.... avec le premier contingent OTAN sur le terrain, je crois que la france non seulement a muselée les americains mais est la piece maitresse sur les decisions pour inpliquer l'Otan dans les conflits, d'ailleur Bush telephone a chirac quand il faut savoir quand envoyer des troupes au darfour ou au congo, il appelle pas Blair ou Putin! c'est tres drole la distortion qu'il y a dans ce pays, avec les gauchistes "declinistes" et les autres liberaux qui sont pret a refaire l'histoire, la realité elle est là! Aujourdhui la france a la base de donnée la plus complete dans la lutte al quaida, et les français donnent des conferences partout meme aux states pour instruire les ricains , et Chirac a l'upper hand sur tout ce qu'il se passe actuellement dans le monde, Bush a completement changé sa politique d'isolement, les pays de l'est qui etait la "nouvelle europe" est au rebut, les anglais bein, ils font comme d'ab, confirme ce que Bush dit comme le reste d'ailleur! les erreurs en irak ont clairement montrées que il faut jamais se mettre la france dans le dos, meme les ricains en font l'experience! Mais bien sûr... D'ailleurs la France est tellement indispensable que personne ne partirait en guerre sans elle, c'est bien connu... Et Chirac est reconnu pour sa grande clairvoyance politique, son don pour la diplomatie et son parcours exemplaire au service de la France et des habitants de notre bonne vieille Terre. lol J'dis pas pour autant que tout est noir en France, loin de là, mais franchement la terre n'a pas changé sa course pour le pays de Molière... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fonck Posté(e) le 8 mars 2006 Share Posté(e) le 8 mars 2006 Elle a change sa course pour personne. Quand a vendre le Rafale apres seulement deux ans de mise en service actif, et paniquer (ou se rejouir comme les concurents) ca fait peut si on considere que le 2000 peut encore se vendre apres tout ce temps... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité ZedroS Posté(e) le 8 mars 2006 Share Posté(e) le 8 mars 2006 Elle a change sa course pour personne. Si si, madame soleil ;) lol Et, au pire, je ne suis pas sûr qu'une petite guerre nucléaire (ou un météore) ne puisse pas altérer la course de notre bonne vieille planète. Comme quoi nous sommes peu de choses ;) lol Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
littleboy Posté(e) le 8 mars 2006 Share Posté(e) le 8 mars 2006 "Le Concorde des avions de combat" Le mot est lâché... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fonck Posté(e) le 8 mars 2006 Share Posté(e) le 8 mars 2006 Avec une difference: Concorde etait Franco-Britanique. Ca leur ferait plaisir en fait ils en revent de voir Dassault et l'inductrie aerospaciale Francaise se casser la gueule. Ils ecrivent que c'est le dernier avion de Dassault depuis le Mirage F-1... Un fantasme tres Anglo-americain on peut comprendre pourquoi. Surtout que techniquement c'est le seul concurent serieux au F-35. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stratege Posté(e) le 8 mars 2006 Share Posté(e) le 8 mars 2006 Ce n'est en rien un Concorde puisque la rationalité économique est là. Le programme est viable avec 300 avions et il le serait meme avec la moitié.Question de maintien de la compétence chèrement acquise et rapidemment perdue sans développements, et donc de l'indépendance nationale sans laquelle l'armée n'aurait guère de sens aujourd hui hors le fait d'etre des supplétifs de l'OTAN. Il est clair que le Rafale a beaucoup souffert de l'obsolescence prématurée de son radar faute de financements suffisants pour avoir une antenne AESA dès 2008. Mias rien n'est perdu si les financement sont trouvés. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chris. Posté(e) le 8 mars 2006 Share Posté(e) le 8 mars 2006 bah au pire je suis sur que les argentins voudront dans quelques années des Rafale (ou des vieux SEM). Après ce qu'a fait le couple Super Etendard Exocet. :lol: Il faut juste leur laisser le temps de se remettre en force économiquement et en attendant entretenir des bonnes relations avec. Tanpis pour les anglais, ça leur apprendra à dénigrer le Rafale. :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fonck Posté(e) le 8 mars 2006 Share Posté(e) le 8 mars 2006 Il est clair que le Rafale a beaucoup souffert de l'obsolescence prématurée de son radar faute de financements suffisants pour avoir une antenne AESA dès 2008. C'est un enssemble de boites noire dont les composant ne sont plus produits, ce phenomeme a touche tous les avions au temps de developement long meme le F-22. Pour Rafale c'est un cadeau des dieux, ils sont en nombre top limite pour empecher un retofit pour des raisons de prix. Comme la cellule est aerodynamiquement la plus avancee qu'il y ait le reste ne demande qu'a etre tremis au gout du jour. C'est sur ces bases que la DGA et le GIE sont tombes d'accord. Rafale est le seule concurent serieux du F-35 dans le future. Je ne m'en fais pas trop pour la vente a l'export avant cinq ou six ans... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
littleboy Posté(e) le 8 mars 2006 Share Posté(e) le 8 mars 2006 Ce n'est en rien un Concorde puisque la rationalité économique est là. Le programme est viable avec 300 avions et il le serait meme avec la moitié. D'accord, d'accord, mais force est de constater que jusqu'ici Dassault était expert pour vendre ses appareils et là on peut pas franchement dire que ça soit une réussite mondiale :rolleyes: Après ne nous faisons pas trop de souci pour Dassault, ils ne sont pas trop à plaindre en matière de trésorerie :P Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fonck Posté(e) le 8 mars 2006 Share Posté(e) le 8 mars 2006 "D'accord, d'accord, mais force est de constater que jusqu'ici Dassault était expert pour vendre ses appareils et là on peut pas franchement dire que ça soit une réussite mondiale" Faut voir dans quelle conditions il a ete jete dans le marche. De plus les M-F1 etaient seulement intermediares on devrait se rendre compe qu'en fait le "vrai" Rafale est toujors au CEAM pas encore en service actif. Le marche des avions de combat est tres deprime, ca joue dans les mains des US et d'une certaine facon D'Eurofighter aussi. Patiente il ve se vendre..... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kovy Posté(e) le 8 mars 2006 Share Posté(e) le 8 mars 2006 Pour la place de concorde des avions de combat, les américains sont loin devant avec leur F-22. $64 milliard de dépensé pour seulement 180 avions...c'est le champion toute catégorie :twisted: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chris. Posté(e) le 8 mars 2006 Share Posté(e) le 8 mars 2006 euh je peux aussi proposer le B-2, à 1M$ pièce ou le Xb-70 qui valait son poids en or. :lol: enfin c'est des bombardiers Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 9 mars 2006 Auteur Share Posté(e) le 9 mars 2006 euh je peux aussi proposer le B-2, à 1M$ pièce ou le Xb-70 qui valait son poids en or. :lol: enfin c'est des bombardiers B-2 A spirit : Estimation du coût unitaire ,développement compris évalué à 2,2 Md$ ,Chris il te manquait 1 Md$ :lol: L'offre à l'exportation du Rafale devient limité en ce moment ,l'Inde en prévision. Celle du F-22A à 130M$ fly away semble aussi restreinte. Imaginer le(a) futur(e) président(e) vendre le Rafale. :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ghostrider Posté(e) le 9 mars 2006 Share Posté(e) le 9 mars 2006 plus précisément le F-22A coute entre 130M et 170M en fly away. Le prix globla comten à 345M. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Romain Posté(e) le 9 mars 2006 Share Posté(e) le 9 mars 2006 En meme temps ce n'est que le debut du Rafale comme Fonck l'a tres bien dit. Le premier M2000 a été vendu combien de tps apres sa sortie ? Il faut laisser au temps le temps ;) et puis ca ne me gène pas énormement que l'on garde l'exclusivité du Rafale (peut etre pour le porte monnaie de dassault et de l'etat) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fonck Posté(e) le 10 mars 2006 Share Posté(e) le 10 mars 2006 La vente a l'export peut vraiment etre utile pour l'enssemble de l'industreie Francaise, Le GIE Rafale n'est pas seulement compose de Dassault mais Thales/SAFRAN etc. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 10 mars 2006 Auteur Share Posté(e) le 10 mars 2006 La vente a l'export peut vraiment etre utile pour l'enssemble de l'industreie Francaise, Le GIE Rafale n'est pas seulement compose de Dassault mais Thales/SAFRAN etc. Le Rafale n'est qu'un vecteur ,n'oublie pas la vente des missiles avec MBDA France ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fonck Posté(e) le 10 mars 2006 Share Posté(e) le 10 mars 2006 C'est vrai mais MBDA est international Rafale est purement Francais malgres les parts de EADS dans Dassault. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LBP Posté(e) le 10 mars 2006 Share Posté(e) le 10 mars 2006 En meme temps ce n'est que le debut du Rafale comme Fonck l'a tres bien dit. Le premier M2000 a été vendu combien de tps apres sa sortie ? Entré en service en 1984 dans l'ADA Le premier client à l'exportation de l'appareil de Dassault Bréguet a été l'Égypte et de qui a commandé 16 Mirage 2000EM et quatre Mirage 2000BM au cours du mois de janvier 1982. Les quatre premiers de ces avions, équipé du réacteur M53-P2, ont atterri à Cairo West en juin 1982.* * vérifier Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fonck Posté(e) le 10 mars 2006 Share Posté(e) le 10 mars 2006 C'est tout de meme pas la regle... En general; les etat major des pays clients ne croient vraiment dans la viabilitee d'un programme que si les armees du pays producteur en ont passe la commande. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 10 mars 2006 Auteur Share Posté(e) le 10 mars 2006 C'est tout de meme pas la regle... En general; les etat major des pays clients ne croient vraiment dans la viabilitee d'un programme que si les armees du pays producteur en ont passe la commande. La régle était de mise mais cela à changer. La Russie vends des armes que son armée n'a pas encore en service. On essaye de vendre le Rafale alors que les escadrons AdA ne sont pas OP. Pire les US veulent vendre le F35 alors qu'il était de "papier" Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fonck Posté(e) le 10 mars 2006 Share Posté(e) le 10 mars 2006 Je ne crois pas que ca s'applique a des technologies aussi avancees. Tu ne peut pas honetement comparer Mig 29 et Rafale. Le Rafale definitif n'ewst meme pas encore en service pourquoi un client voudrait prendree le risque d'essuyer les platres quand l'armee de l'air et la marine peuvent le faire sans risque??? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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