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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française


Philippe Top-Force

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L'un des meilleurs reportages que j'ai pu voir sur les sous-marins avec un photographe et son beau-fils (ingénieur du son) qui avait embarqué sur la Perle en 2005 pour un cycle complet entrainement/déploiement (dont exercices en Ecosse avec l'OTAN, puis repérage du grand Nord).

Episode 1 - Les Hommes à l'épreuve (1/2)

Episode 1- Les Hommes à l'épreuve (2/2)

Episode 2 - Le Bateau aveugle (1/2)

Episode 2 - Le Bateau aveugle (2/2)

Episode 3 - Le Temps immobile (1/2)

Episode 3 - Le Temps immobile (2/2)

Episode 4 - Le Guerre virtuelle (1/2)

Episode 4 - Le Guerre virtuelle (2/2)

Episode 5 - Le dernier Rivage (1/2)

Episode 5 - Le dernier Rivage (2/2)

Cette chaine a beaucoup de reportages sympas, et le nom de la chaine semble indiquer un petit désaccord avec Dailymotion héhé.

 

 

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Le 15/06/2020 à 11:01, clem200 a dit :

Tu penses que l'on est parti pour combien de semaines/mois études pour juger ? 

 

Le 15/06/2020 à 12:21, ARMEN56 a dit :

décision rapide

plus précisément

« On attend les données d’expertise sur les matériaux. La ministre souhaite avoir une idée des options à soumettre au président de la République avant la fin du mois de juillet », indique son cabinet, lundi 15 juin. »

https://www.la-croix.com/France/Incendie-sous-marin-Perle-limpact-sera-majeur-operations-marine-2020-06-16-1201100033

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Une prolongation du Casabianca était envisagée en 2019 : http://www.opex360.com/2019/01/09/la-marine-nationale-songerait-a-prolonger-un-second-sous-marin-nucleaire-dattaque-de-type-rubis/

Citation

 

Mais lors de son audition, l’amiral Prazuck a livré un détail qui n’a pas été relevé sur le moment. « Nous allons continuer à faire des choix, comme celui de prolonger certains SNA de type Rubis ou certains patrouilleurs, parce que nous en avons besoin pour mener nos opérations », avait-il dit en octobre. Donc, l’emploi du pluriel laissait supposer que le SNA Rubis ne serait pas le seul de sa classe à être prolongé… alors que, selon la Loi de programmation militaire 2019-25, quatre nouveaux SNA de type Barracuda devront avoir été livrés d’ici 2025.

Ce que vient de confirmer le site spécialisé Mer & Marine, selon qui la « Marine nationale étudie actuellement l’extension de la durée de vie […] du Casabianca, pour lequel il est envisagé un arrêt technique supplémentaire lui permettant de rester en service deux ans à deux ans et demi après la date prévue pour son désarmement. »

Entré en service en 1987, le Casabianca a connu son dernier arrêt technique majeur en 2011. Il pourrait donc imiter le Rubis pour tenir la distance jusqu’à l’arrivée du Duguay-Trouin, le second SNA de type Barracuda, dont la livraison était initialement attendue en 2021. Entre-temps, le Saphir, entré en service en 1984, sera désarmé cette année. Du moins c’est ce que prévoient les plans annoncés par le ministère des Armées en juillet dernier.

Ensuite, l’arrivée de deux SNA de type Barracuda, à savoir le « Tourville » [en 2023] et le « De Grasse » [en 2025] permettra le retrait des SNA Rubis, Casabianca et Émeraude. Le désarmement des deux derniers exemplaires de la classe Rubis, à savoir SNA « Améthyste » et « Perle », qui sont les plus récents, devrait avoir lieu en 2027 et en 2030.

 

 

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Il y a 18 heures, ARMEN56 a dit :

 

plus précisément

« On attend les données d’expertise sur les matériaux. La ministre souhaite avoir une idée des options à soumettre au président de la République avant la fin du mois de juillet », indique son cabinet, lundi 15 juin. »

https://www.la-croix.com/France/Incendie-sous-marin-Perle-limpact-sera-majeur-operations-marine-2020-06-16-1201100033

Avant la fin du mois de juillet !

C'est donc l'Amiral Rogel qui lui conseillera la décision la plus difficile de toute sa brillante carrière juste avant son départ et elle sera d'une façon ou d'une autre, lourde de conséquences immédiates et futures pour notre outils de défense le plus utile, discret et puissant au combat si besoin.

Pourquoi ?

L'incendie de la Perle en IPER, peut aller jusqu'à l'arrêt définitif de tous les SNA et de sérieux retard sur les Suffren pour être certain qu'il n'ont pas le même talon d'Achille, mais manifestement cela échappe aux journalistes, responsables politiques et autres philosophes conseillers coûteux, sauf la ministre peut-être, surement déjà briffée et qui semblait très déstabilisée à Toulon.

En effet, si ce type d'incendie s'avère possible en mer ( moyens de lutte incendie très insuffisant en mer comparé aux moyens disponibles à quai ) La sûreté et la sécurité des bâtiments  est engagée, ce qui engage la sûreté nucléaire, et donc le retour à quai et l'arrêt immédiat des chaufferie, suivie du déchargement des cœurs. Pas sur que les moyens techniques soit suffisant pour la piscine de stockage avec les modifications Suffren. Les moyens ont déjà été amélioré suite à l'accident mortel survenu sur la machine de l'Emeraude, mais ils restent très insuffisants, même si une stricte discipline d'entrainement à bord et en école à feux est respectée. L'image de la France pour l'export et les contrats en court risque d'être catastrophique pour la filière sous-marin.

L'amiral Rogel se souvient certainement d'un exercice sécurité sur le Casabianca qu'il commandait ou des quartiers-maître atomiciens facétieux et trouvant les entrainement sécurité particulièrement nul et chiant, ont décidé de prendre le commandant en second à son propre jeu et de le tester ! ( pas certain qu'il l'ait  su pour le test à l'époque... ), au bout d'une heure de lutte fictive contre le sinistre, il ne restait plus d'autre choix que de faire abandonner le bateaux ( en condamnant le personnel de la zone arrière dont le dernier ordre à été d'empoisonner le réacteur ). L'évacuation en revêtant les combinaisons de sauvetages prévus pour une autre utilisation, s'est avérée quasi impossible pour plus d'une vingtaine de personne par le panneau passerelle et pas certain que le radio ai pu communiquer dans un incendie réel puisque le PC radio était à la source de l'incendie fictif avec un court-circuit destructif théoriquement impossible sur le groupe 400 hertz force.

A l'époque, ce n'était qu'un exercice à quai, et suivant la qualité des officiers entraîneurs, l'entrainement était plus ou moins réaliste, mais n'allaient pas plus loin que l'extinction incendie à tous les coup. Je fessai parti des gens à bord, qui avait été directement mis face à un sinistre brutal et pas prévu par les manuels et l'entrainement, cela sans avertissement. Le commandant en second et le patron torpilleur avaient été confrontés à une explosion batterie mortelle. Nous étions donc particulièrement motivés et conscient de notre situation fragile. Le principal problème de cet exercice, c'est qu'il n'était pas réaliste sur le plan température, certains peut entraînés au rôle de pompiers lourds étaient à la limite du coup de chaleur rien qu'avec les tenues et le port du matériel ou des victimes choisies bien grasses. Cet exercice n'a pas à ma connaissance servi de Retex et il était très dérangeant. Le commandant en second que nous avions  poussé à la limite de ses connaissances a relevé le défi et est devenu excellent en terme de sécurité et connaissance du bâtiment. Devenu commandant du Rubis, il a été président de la commission d’enquête technique sur l'accident de l’émeraude. tout les SNA ont été rappelé à quai le temps de l’enquête. Il s'est écoulé plusieurs semaines avant que les instance de sûreté nucléaire nous autorise à reprendre la mer. certains avec dérogation d'autre après remplacement indispensable et immédiat de tuyauterie d'eau de mer et dans l'attente de modification plus lourde obligatoires... Nous souhaitions un collecteur incendie, mais... Cet exercice incendie sans victimes  met en évidence que nous étions peut être très en dessous de la réalité. C'est la commission de sûreté nucléaire qui en décidera et je pense que la situation RH va devenir périlleuse quelle que soit sa décision.

La question flotte mixte classique et nucléaire va se reposer pour l'appui des SNLE au départ et à l'arrivée, malgré la faible valeur offensive d'un classique, en interdiction de zone sans menace aérienne, c'est toujours aussi utile que les canots  manquants du Titanic. C'est à vérifier, mais il me semble qu'il nous restait deux 800 tonnes à l'époque de l’émeraude qui ont assuré le travail.

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il y a 5 minutes, g4lly a dit :

Quel rapport entre un incendie d'une coque vide en travaux ... et d'un sous marin opérationnel en immersion?!

Aucun à priori ...

Une étude de sûreté nucléaire qui ne tient plus la route pour les risque pris en compte et leurs conséquences potentielles

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Il y a 3 heures, vno a dit :

En effet, si ce type d'incendie s'avère possible en mer ( moyens de lutte incendie très insuffisant en mer comparé aux moyens disponibles à quai ) La sûreté et la sécurité des bâtiments  est engagée, ce qui engage la sûreté nucléaire, et donc le retour à quai et l'arrêt immédiat des chaufferie, suivie du déchargement des cœurs. Pas sur que les moyens techniques soit suffisant pour la piscine de stockage avec les modifications Suffren. Les moyens ont déjà été amélioré suite à l'accident mortel survenu sur la machine de l'Emeraude, mais ils restent très insuffisants, même si une stricte discipline d'entrainement à bord et en école à feux est respectée. L'image de la France pour l'export et les contrats en court risque d'être catastrophique pour la filière sous-marin.

Ce qui est bien, c'est que le message livre lui même la réponse. C'est en gras.

Il ne se donc passera rien, puisqu’un tel incendie ne peut pas être initié en mer. Fin du raisonnement.

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il y a 35 minutes, true_cricket a dit :

Ce qui est bien, c'est que le message livre lui même la réponse. C'est en gras.

Il ne se donc passera rien, puisqu’un tel incendie ne peut pas être initié en mer. Fin du raisonnement.

C'est sur, c'est impossible. Deux sceaux de peinture de vingt litres en plein milieu de la cafétéria comme sur les photos c'est très voyant, d'autres dans le compartiment batterie et laissés ouvert, en atteignent le point éclair sur l'éclairage batterie auraient tirés un belle flamme sur l'entrée d'air batterie en tranche torpille , en centrale ventilation et dans tout les postes. Mais dommage, pas de photos et puis c'est peut-être des sceaux pour arroser le feu, qui sait, mais sa déformation m'aurait fait penser qu'il était fermé et s'est déformé du fait de sa pression interne !

Ceux que j'ai connu qui en embarquait pour les inspections de tranche ou les laissaient à bord les cachaient soigneusement de mon temps. L'hydrogènomêtre batterie s'emballait aussitôt qu'ils ouvraient le pot. Difficile avec mon grade d'avouer au chef ou au commandant en second que l'appareil marchait parfaitement et le brûleur catalytique aussi, mais qu'il y avait inspection de tranche chez le major untel. Quelques années plus tard, c'est le major ou PM untel qui aurait du expliquer qu'il avait glissé sur une clé de purge. Il existait un manuel pour la peinture sur les SNA, mais étrangement introuvable dans la doc et sur tous les SNA. Je me suis chargé de remettre officiellement une copie de celui du chef d'escadrille à mon chef, et il n'a plus été question de peinture dans ma tranche.

Au bassin, la règle c'est le peintre (les bouteilles des soudeurs c'est pareil) qui ne quitte pas son pot de peinture même fermé et uniquement avec ventilation d'assainissement locale et surtout en horaire hors cloche pour ne pas intoxiquer les autres personnels. C'est sans doute parce qu’il n'y a plus d'arceaux métalliques dans ces manches d'assainissement qu'ils ne jonche pas le sol à côté des sceaux, je ne voit pas non plus les débris métalliques de la manche à air comprimé qui alimente le ventilateur et encore moins ce dernier. Avec les taches au plafond, je mettrai bien une petite pièce sur du blanc de primaire batterie et du gris batterie, mais bon la photo n'est pas très claire le vert cale conviendrait aussi.

Remarque je n'ai peut-être pas compris ta chute concernant le "fin de raisonnement". je dois avouer que j'ai coupé les ponts depuis longtemps et que le montant de la facture et les conséquence pour le contribuable français ne m'incline pas à l'esprit de corps sur ce coup la. 

Comme tu es un vétéran du site, conseille au webmaster de supprimer les photos, il y en a une qui peut attirer de gros emmerdes. Je ne sais pas comment le faire.

 

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8 hours ago, vno said:

L'incendie de la Perle en IPER, peut aller jusqu'à l'arrêt définitif de tous les SNA et de sérieux retard sur les Suffren pour être certain qu'il n'ont pas le même talon d'Achille

Cela me paraît très pessimiste comme scénario, même si visiblement tu as du vécu sur ces SNA. Tout simplement parce qu’un risque qui ne s’est jamais avéré, malgré 600,000+ heures de plongée, représente un risque infime.

Il faudrait démontrer qu’il y a une faiblesse de conception qui a déjà failli causer plusieurs accidents, que le vieillissement augmente exponentiellement ce risque, qu’il n’y a aucune mesure corrective possible etc...

Ce serait un peu comme le Concorde, et encore ce dernier aurait certainement pu revoler s’il y avait eu un réel besoin....

Modifié par HK
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Le 15/06/2020 à 21:06, HK a dit :

Comprendre 137 jours pour un déploiement.

 

Les SNA font 138 jours de déploiment quand ils vont en Ocean indien avec releve equipage à Fujaïrah aux Emirats

L' Equipage A fait 64 jours depuis Toulon vers Fujaïrah

L' Equipage B fait 64 Jours depuis Fujaïrah vers Toulon  

Et ils ont 6 jours d'escales en releve d'equipage et en avitaillement aux Emirats ca leur laisse le temps de prendre les consignes.  

Et 2 jours d'escales à Djibouti à l'aller et au retour pour avitaillement en vivre . (18 jours de Transit entre Toulon et Djibouti ) Apres Djibouti la mission commence vraiment pour aller renifler à droite à gauche. 

En principes chaque equipages passent maximum 70 jours sur le sous marins.

 

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Une marge de réserve d'un à deux ans par SNA prévue lors de l'extension de 10 ans de la durée de vie des Rubis.

Citation

il est vite apparu, au début des années 2000, que le calendrier ne pourrait être tenu et que la première génération de SNA devrait probablement jouer les prolongations sur une décennie supplémentaire. Les études menées à cette occasion ont démontré que ces bâtiments, bien construits et parfaitement entretenus, pouvaient structurellement voir leur durée de vie portée à 35 ans. Quant à leurs capacités opérationnelles, la plupart des grandes évolutions technologiques en termes d'informatique et de senseurs peuvent être intégrées via les programmes de modernisation...

...C'est le pari de la Marine nationale et de DCNS, qui se sont laissé par rapport au planning initial une petite marge de manoeuvre d'un à deux ans par sous-marin, au cas où les premiers Barracuda seraient en retard.

https://www.meretmarine.com/fr/content/les-sna-du-type-rubis-continuent-detre-modernises

Par ailleurs les Suffren seront livrés  tous les 2 ans avec leurs équipements déjà commandés : 

Citation

Pour les autres sous-marins de la série, le calendrier initial devrait être tenu avec des livraisons tous les deux ans selon Naval Group. Quatre unités sont prévues d’ici la fin de la LPM en 2025. Les deux derniers rejoindront la flotte française d’ici 2029. Dès que le Suffren sera sorti de la nef, l’assemblage de la coque du Duguay-Trouin débutera. En termes d’avancement, le De Grasse (4ème) en est à la phase de constitution des tronçons de coque. Les travaux sur la cuve du réacteur ont débuté pour le Rubis (5ème). Enfin, alors que la commande doit intervenir l’année prochaine, Naval Group commence les approvisionnements en matière première pour le sixième sous-marin (Casabianca).

https://quialesavoiralepouvoir.blogspot.com/2018/12/sur-le-chantier-des-sous-marins.html?m=1

Question : est-ce que moyennant finances le chantier de production pourrait être accéléré ? 

Modifié par BPCs
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Il y a 19 heures, ARMEN56 a dit :

Un compte à régler ?

Les opposants australiens aux projets « shortfine » apprécieront

C'est un accident industriel. Un permis de feu pas respecté ou un truc du genre.  

Si le batiment avait pris feu en mer ou à quai c'aurait été une autre affaire. Là en cale séché, désossé : un accident surement du à une erreur humaine.

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il y a une heure, Bon Plan a dit :

C'est un accident industriel. Un permis de feu pas respecté ou un truc du genre.  

Si le batiment avait pris feu en mer ou à quai c'aurait été une autre affaire. Là en cale séché, désossé : un accident surement du à une erreur humaine.

Moi aussi  j’ai compris qu’ il s’agissait  d’un  incendie industriel de haute intensité dans un contexte d’IPER coque vidée de l’essentiel ; je  cite l’Amiral ; grave incendie - hors normes -10 heures de lutte-plus de batteries-plus de réacteur combustible nucléaire.. , et dont on ne connait pas l’origine ; exogène ou liée à l’intrinsèque soum de ce qui restait ou malveillance …. 

A ce propos ;  “The U.S. Navy had a similar experience dealing with a fire aboard the Los Angeles class submarine USS Miami in 2012. That fire, which was also during an overhaul, lasted 12 hours and caused so much damage that the boat had to be written off. That fire was started deliberately by a dockyard worker hoping that the alarm would get him off work early”

https://www.navalnews.com/naval-news/2020/06/video-fire-breaks-out-aboard-french-navy-rubis-class-submarine-perle/

Ensuite selon mes infos  cf ci dessous, le dispositif soum en sécu-plongée  ( prévention détection extinction )  prend en compte des incendies ( élec , hydrocarbure , solides…. ) de très courte durée sur des départs de feu ( détection instantanée , présence humaine ) ; détection/arrêt de la ventilation en moins de 3 mn , extinction rapide . Sur nos soums modernes on doit avoir moins d’une centaine de détecteurs ( fumées, flammes, multi-fonction) , et suivant les locaux ;  extinction gaz inhibiteur CO2 - azote , brouillard d’eau , robinet incendie armé RIA alimentés à partir des régleurs  , extincteurs…..)

200618084341237997.png

 

Modifié par ARMEN56
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