C’est un message populaire. HK Posté(e) le 6 février C’est un message populaire. Share Posté(e) le 6 février 4 hours ago, Ronfly said: Toujours difficile de s'y retrouver dans les chiffres des financements des SNLE. Forcément le flou est plutôt la règle avec des titres de financement assez vagues. Dans l'article ils estiment à 10 Mds € par SNLE3G mais sans savoir si cela prend en compte l'armement. Il me semble qu'il parlait à une époque de 120 millions/M51. Les SNLE3G et missiles M51 sont 2 lignes budgétaires et 2 programmes séparés. Le cout prévisionnel total de chaque programme est classé secret defense donc impossible d'estimer le cout de chaque SNLE3G. On sait juste que ~15 milliards € ont été engagés sur le seul programme SNLE 3G, dont: 700 millions pour les pré-études (2016-2020) 1.9 milliards pour la phase de réalisation initiale (2021-2024), qui couvre principalement la poursuite du développement et les 1ers contrats de production (notamment TechnicAtome pour la partie réacteur, la découpe des 1eres toles chez Naval Group etc) 2.3 milliards restant à dépenser pour terminer cette phase de réalisation initiale (2025+) 10.6 milliards ont enfin été engages en 2025 pour le passage en "phase 2", sans qu'on sache si cela couvre seulement la poursuite du 1er SNLE3G ou aussi une partie des suivants... Bref on sait qu'avec ces 15 milliards on paye les études et certainement le 1er SNLE3G, mais impossible de savoir pour la suite. 2 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 7 février Share Posté(e) le 7 février Thales renforce les capacités de lutte anti-sous-marine de la Marine Nationale avec les bouées acoustiques SonoFlash. Le Groupe a signé avec la DGA - Direction générale de l'armement un contrat pour la fourniture de plusieurs centaines de SonoFlash. Larguées depuis un avion de patrouille maritime (ATL2), un hélicoptère ou bientot d'un drone, elles permettent de détecter les sous-marins. https://www.linkedin.com/posts/camille-barbier-heck-67201422_thales-renforce-les-capacités-de-lutte-activity-7290782200835260417-D8kO 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février Le 07/02/2025 à 09:56, ARMEN56 a dit : Thales renforce les capacités de lutte anti-sous-marine de la Marine Nationale avec les bouées acoustiques SonoFlash. Le Groupe a signé avec la DGA - Direction générale de l'armement un contrat pour la fourniture de plusieurs centaines de SonoFlash. Larguées depuis un avion de patrouille maritime (ATL2), un hélicoptère ou bientot d'un drone, elles permettent de détecter les sous-marins. https://www.linkedin.com/posts/camille-barbier-heck-67201422_thales-renforce-les-capacités-de-lutte-activity-7290782200835260417-D8kO SonoFlash n'est disponible qu'en un seul modèle polyvalent? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février il y a une heure, g4lly a dit : SonoFlash n'est disponible qu'en un seul modèle polyvalent? Je n’ai pas les éléments Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
KnewEdge Posté(e) le 26 février Share Posté(e) le 26 février Pour ceux que cela intéresse et en fouillant dans de vieilles K7 enregistrées quand j'étais ado, j'ai numérisé une émission de Michel Drucker qui date de 2004 et qui s’appelait "Une nuit sous les mers". Il y a des séquences reportage dans les sous-marins et interviews du personnel et leurs familles, mais aussi des moments plus "spectacle" avec des concerts et immersion de vedettes sur les navires (Mireille Darc, Dubosc...). Les concerts et interviews ont lieu depuis une des cales de la zone Missiessy où le Rubis était alors à sec. L'émission n'est pas complète mais il n'en manque probablement pas grand chose. A l'époque ce programme avait été initié par l'amiral Thierry d'Arbonneau, décédé en 2019, et qui était à ce moment-là le commandant des forces sous-marines françaises (il intervient en début d'émission). Plus tard, c'est aussi lui qui devait initier et coordonner la production de l'Encyclopédie des sous-marins français en six tomes, et dont le dernier tome est paru l'année dernière. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Phacochère Posté(e) le 26 février Share Posté(e) le 26 février Michel, si tu nous regardes! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 2 mars Share Posté(e) le 2 mars (modifié) Le 02/03/2025 à 12:13, g4lly a dit : Citation Il me semble qu'à la fois la MN et plusieurs experts sur le forum ont des doutes sur la pertinence de SSK pour la France ... je reposerait la question dans le fil approprié plus tard ! Les équipages des SNA servent de vivier à ceux de nos SNLE. Donc apprendre sur un SNA est plus propice que sur un SSK pour ensuite exceller sur un SNLE. Ensuite il y a la typologie des missions et les avantages immense de la propulsion nucléaire sur la vitesse l'autonomie la discrétion etc. J'avais oublié de poser la question ... bon j'insiste sur le fait que je pars du postulat qu'il n'est pas possible de commander 2 Suffren supplémentaires ... Je comprend bien qu'un SSK n'est pas capable d'escorter un GAN par exemple... mais en est-ce que quelques SSK ne pourraient pas apporter un peu d'air au SNA sur des missions moins demandantes ? Minage, déploiement de drones et de planeurs ? Déploiement force spéciales (16 couchettes supplémentaires) ? Escorte de bâtiments lents, par exemple un PHA ou un BRF en transit vers le GAN ? Entrainement des jeunes justement avant passage sur SNA puis passage sur SNLE ? Aussi, dans un contexte ou il va falloir plus coopérer entre européens, les 6 SNA français sont déjà très sollicités par la FOST et le GAN. Est-ce que 3-4 SSK ça ne permettrait pas de justement faire plus d'exercices avec des pays tels que la Grèce, Norvège, Pays-Bas, l'Italie … sans avoir a impliquer les précieux SNA. Un dernière question sur la protection de la FOST justement, avant l'arrivée des Rubis elle était bien assurée par des SSK ? Modifié il y a 11 heures par Titus K 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Titus K Posté(e) il y a 11 heures C’est un message populaire. Share Posté(e) il y a 11 heures (modifié) A bord du Tourville. Le sous-marin nucléaire d'attaque français a traversé Lisbonne pour rejoindre les « eaux froides » https://www.dn.pt/internacional/a-bordo-do-tourville-submarino-nuclear-de-ataque-francês-passou-por-lisboa-a-caminho-das-águas-frias Encore en phase de test, le Tourville a fait escale dans la capitale portugaise en vue d'un déploiement à long terme. DN s'est entretenu avec le capitaine de frégate Laurent sur les défis liés au commandement du navire. « On ne peut vraiment pas prendre de photos ici... à cause des armes », prévient le capitaine de frégate Laurent devant une porte située à l'avant du sous-marin nucléaire d'attaque Tourville. Nous entrons derrière le commandant et, de part et d'autre d'une étroite coursive métallique, se trouvent les torpilles incandescentes et, derrière elles et à l'intérieur de conteneurs noirs, les missiles. « Ici, nous avons les tubes de lancement des armes », indique le commandant, avant d'expliquer que la différence entre une torpille et un missile est que la première reste sous l'eau jusqu'à ce qu'elle atteigne sa cible, tandis que le missile est lancé sous l'eau, émerge et atteint une cible à la surface. À quelle distance ? « Des milliers de kilomètres, on pourrait dire des milliers », répond l'officier militaire, sans plus de précisions. Après une escale à Lisbonne en direction des « eaux froides de l'Atlantique », où il continuera à être testé, le Tourville poursuit son voyage pour être officiellement admis au service de la marine française. Il s'agit d'un navire de plus de 5 000 tonnes et de 100 mètres de long, équipé des dernières technologies de pointe. « Nous allons tester la résistance du sous-marin et de tous ses équipements », explique le capitaine de frégate Laurent (sans nom de famille, comme c'est l'usage), debout sur le pont du sous-marin, avant de nous inviter à entrer par l'écoutille pour une visite de l'intérieur. Avant cela, il nous explique que la France est dans une période de transition entre les sous-marins de la classe Rubis et les sous-marins de la classe Sufren, comme le Tourville. La dernière fois qu'un sous-marin nucléaire d'attaque français a accosté à Lisbonne, c'était il y a 11 ans - l'Améthyste, en 2014. Mais l'objectif, explique le commandant du Tourville - qui doit son nom à l'amiral Anne Hilarion de Costentin, comte de Tourville, qui s'est illustré dans des batailles navales, comme celle de Lagos en 1693, qui a opposé la flotte française à la flotte anglo-hollandaise au large de l'Algarve - est désormais de faire de la capitale portugaise une escale régulière pour les sous-marins français. Invités à visiter l'intérieur, nous descendons un étroit escalier métallique qui nous conduit par l'écoutille dans un couloir étroit et nous nous asseyons dans une petite pièce confortable - ce que le capitaine de frégate Laurent décrit comme la zone de vie du navire - où il explique que le Tourville a un équipage de 75 personnes, mais qu'il a la capacité d'accueillir quelques sous-mariniers de plus en formation. Disposant de la deuxième zone économique exclusive au monde, en grande partie grâce à ses territoires d'outre-mer, la France possède actuellement une flotte de dix sous-marins - quatre sous-marins lanceurs d'engins et six sous-marins nucléaires d'attaque, comme le Tourville. « On dit nucléaire parce qu'il a une propulsion nucléaire », précise le commandant, avant d'expliquer le type de mission dans lequel le bâtiment peut être impliqué. « Nous garantissons indirectement la dissuasion nucléaire pour ouvrir la voie aux sous-marins lanceurs d'engins, nous escortons notre porte-avions, le Charles de Gaulle, nous protégeons le groupe aérien lors des déploiements de longue durée. Nous sommes également capables de traquer et de détruire un autre sous-marin avec notre force de frappe, ainsi que des frégates ennemies. Enfin, nous sommes capables de collecter des informations, car un sous-marin est un espion, soit près des côtes grâce à nos mâts optroniques, l'équivalent des périscopes, soit grâce à nos capteurs comme le sonar, soit pour la guerre électronique ». Et, ajoute-t-il, « nous pouvons également déployer des forces spéciales, nos commandos Hubert, par l'intermédiaire du sous-marin ». Ainsi que d'attaquer à terre, « grâce aux missiles de croisière ». Ce sont ces missiles que nous verrons plus tard et dont le capitaine de frégate Laurent souligne le potentiel destructeur. « C'est extrêmement précis », précise-t-il en rappelant que le missile de croisière est “une arme politique”, c'est-à-dire que le commandant ne l'utilise que lorsqu'il reçoit un ordre du président ou en cas d'autodéfense s'il est attaqué. « C'est moi qui appuie sur le bouton, mais c'est lui qui donne l'ordre par l'intermédiaire de l'état-major général des forces armées. Un autre avantage du sous-marin est « l'effet de surprise ». Nous pouvons nous approcher très près des côtes sans être détectés ». Dans un monde de plus en plus dangereux, où les mers sont un nouveau théâtre d'affrontement entre des puissances parfois peu respectueuses du droit international, la France, affirme le capitaine de frégate Laurent, « est prête ». Et cette visite à Lisbonne a été l'occasion de renforcer la coopération avec le Portugal. « La vision que j'ai en tant que commandant de sous-marin est que le Portugal est un allié solide. Nous partageons une vision commune sur différents objectifs stratégiques », explique-t-il, soulignant que les deux pays “sont favorables au développement de l'Europe de la défense à travers l'Initiative européenne d'intervention”. Ils sont tous deux membres de l'OTAN. Et à travers ces deux organisations, nous menons des missions qui sont souvent communes ». Lors de cette escale, le commandant du Tourville assure qu'il y a également eu des échanges avec les équipages des sous-marins portugais, comme l'Arpão. Géopolitique mise à part, il ne doit pas être facile de contrôler un équipage de 75 personnes dans un espace clos, passant plusieurs jours sous l'eau, parfois dans des situations pressurisées ? « Nous avons une hiérarchie militaire, chacun connaît sa place, ses responsabilités », explique le capitaine de frégate Laurent, qui insiste sur la compétence de l'équipage. Et il assure : « Je ne dirais pas que c'est difficile, je dirais que c'est passionnant ». Pour le capitaine, il est important d'avoir un navire moderne et bien équipé, mais « commander ces 75 hommes, c'est la plus belle facette du métier ». Né près de Toulon, la ville du sud de la France où se trouve le grand port militaire de l'Arsenal, le capitaine de frégate aimait, dans son enfance, regarder les sous-marins nucléaires qui revenaient. Et il a vite compris que c'était ce qu'il voulait faire. « J'ai fait le cours, je suis entré à l'École navale, l'école des officiers de la marine française, et je me suis ensuite spécialisé comme sous-marinier », se souvient-il. Aujourd'hui, après avoir été commandant d'un sous-marin nucléaire d'attaque, son objectif est de commander un sous-marin lanceur d'engins. Bien sûr, le commandement d'un sous-marin comporte son lot de défis, comme le fait de devoir passer parfois cinq mois en mer. « Les déploiements à long terme varient entre deux mois et demi et cinq mois, avec des escales pour permettre à l'équipage de se reposer », explique le capitaine de frégate, qui admet qu'il est difficile d'être loin de sa famille, mais »nous avons un esprit d'équipe. C'est un peu comme une deuxième famille. La cohésion de l'équipe est très forte, c'est ce qui nous tient ensemble », explique ce père de quatre enfants. Mais même sous l'eau, sans téléphone ni internet, l'équipage du Tourville parvient à avoir un contact minimal avec sa famille par le biais de « Family », de courts courriels qui doivent être lus par les organisations internes pour s'assurer qu'il n'y a pas de fuites. A l'intérieur du sous-marin, l'équipage est organisé en fonction de ses tâches - diriger le navire, contrôler les sonars ou le réacteur nucléaire, etc. Pour ce faire, en temps normal, ils sont répartis en trois équipes : de 8h à 12h, de 12h à 16h et de 16h à 20h, et ainsi de suite pendant la nuit. « Lorsque nous sommes dans une zone d'opérations, nous sommes plus tendus et il n'y a alors que deux équipes avec des horaires tournants de six heures, » explique le commandant. De plus, chacun a sa fonction, qu'il s'agisse des transmissions, du réacteur nucléaire, de la santé ou de la cuisine. Le chef Claude est responsable du menu à bord. Mais que mange-t-on à bord d'un sous-marin ? « On mange très bien ! » s'exclame le commandant, assurant que « les repas sont extrêmement importants car ils influencent le moral de l'équipage ». Et de plaisanter : « Il faut que ce soit bon, sinon c'est l'un des seuls services où le commandant n'a pas à intervenir, c'est l'équipage qui s'en charge ! En effet, explique-t-il, « nous pouvons avoir de la nourriture fraîche pendant 10 ou 15 jours, puis il faut la mettre en conserve et la congeler. Mais nous avons de vrais artistes à bord ! A commencer par le chef Claude, que nous retrouverons peu après dans sa cuisine, à côté du mess où l'équipage prend ses repas. L'équipage du Tourville ne manquera pas de nourriture. Un aspect essentiel quand, comme le capitaine, on a déjà passé plus de cinq mois en mer. Mais quel a été le nombre maximum de jours d'immersion ? « Je ne peux pas le dire exactement, mais on peut dire entre 40 et 70 jours ». Et de garantir : « La seule chose qui nous limite en termes d'autonomie sur un sous-marin nucléaire, c'est le ravitaillement. En effet, la propulsion nucléaire nous permet de rester sous l'eau à une vitesse très élevée sans aucun problème. Nous ne devons pas remonter à la surface à cause du manque d'oxygène. Nous produisons notre propre oxygène à partir de l'eau. Nous créons également de l'eau. Je peux même vous dire que les deux seules limites sont la nourriture et l'équipage. Dans mon cas, l'équipage ne me limite pas, donc tout ce qui reste, c'est la nourriture », dit-il en souriant. Sur un sous-marin, bien sûr, l'inattendu peut survenir. C'est pourquoi il y a tant de redondances à bord. Dans la salle de surveillance du réacteur nucléaire et devant les écrans où il apparaît en couleurs, le commandant explique que le Tourville dispose, pour sa propulsion, de « batteries et de diesel ». C'est pour le cas où le réacteur s'arrêterait pour des raisons de sécurité et qu'il faudrait continuer à naviguer ». Dehors, dans l'un des couloirs qui longent le deuxième des trois étages du sous-marin, le capitaine de frégate montre des câbles près du plafond et des masques de l'autre côté et explique « qu'en cas d'incendie, l'oxygène est coupé, il faut donc mettre le masque et le relier à un câble d'air ». Et comme les lumières s'éteignent également, l'équipage doit utiliser des plaques métalliques surélevées placées sur le sol pour trouver l'endroit où connecter les masques. En cas d'incendie, l'oxygène est coupé et l'équipage doit mettre les masques et les connecter aux câbles d'air qui circulent dans le sous-marin Dans le même couloir, une armoire est alignée avec des dizaines de boîtes métalliques. « C'est pour le cas où notre centrale à oxygène tomberait en panne. C'est une réaction chimique qui crée de l'oxygène », explique le commandant, qui ajoute : »Nous avons toujours les moyens de continuer en mer. Un sous-marin est plein de redondances. S'il y a une panne, nous essayons de la réparer. Mais si ce n'est pas possible, nous avons toujours des alternatives. » C'est ici que s'achève la partie « visitable » du sous-marin. Au-delà d'une porte que nous ne sommes pas autorisés à franchir, se trouve la salle du réacteur nucléaire. Et derrière, toute la machinerie. En tournant à droite, on arrive à la salle de contrôle. Sur les écrans, on peut voir des schémas du sous-marin Tourville, avec des règles qui indiquent sa profondeur d'immersion, et un autre où l'on peut voir où se trouve chaque membre de l'équipage. « C'est ici que se fait la guerre, à l'aide de sonars, mais aussi de mâts optroniques, l'équivalent des périscopes », explique le capitaine de frégate Laurent. Cela signifie-t-il que lorsqu'il est assis dans son fauteuil, le commandant ne regarde plus dans le périscope en se tournant pour voir tout ce qui l'entoure ? Non, maintenant on voit tout sur ces écrans. Nous contrôlons le mât à l'aide d'un joystick et tout est filmé. Le mât monte, en quelques secondes il se retourne, capte tout et redescend. Ensuite, nous analysons tout sur les écrans ». Le capitaine de frégate Laurent a beau être un fan de Sean Connery dans le rôle du commandant Mark Ramius - « il était excellent » -, la réalité à bord du Tourville ne ressemble guère à celle du film La chasse à l'octobre rouge. Modifié il y a 10 heures par Titus K 1 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) il y a 8 heures Share Posté(e) il y a 8 heures Pour vous les cousins "Tabernacle", ce sera 12 Suffren pour le prix de 10!.... Et en prime pas de tarifs de +50%... ;););) https://actu.fr/normandie/cherbourg-en-cotentin_50129/un-sous-marin-nucleaire-barracuda-traverse-latlantique-pour-la-premiere-fois-et-fait-escale-en-mode-vrp_62357584.html ..."Un sous-marin nucléaire Barracuda traverse l’Atlantique pour la première fois et fait escale… en mode VRP Alors que le Canada s’apprête à renouveler sa flotte sous-marine, le sous-marin nucléaire d’attaque Tourville, construit par Naval Group, a fait escale en Nouvelle-Ecosse..." 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) il y a 4 heures Share Posté(e) il y a 4 heures Le 02/03/2025 à 14:43, Titus K a dit : Je comprend bien qu'un SSK n'est pas capable d'escorter un GAN par exemple... mais en est-ce que quelques SSK ne pourraient pas apporter un peu d'air au SNA sur des missions moins demandantes ? Et aussi on pense SSK mais on a aussi un programme de drone XLUUV, comment articuler tout ça? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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