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Si l'industrie veut se prendre en main pourquoi pas mais la ralonge de 3G€ pour A6 est plutot salée!!!

 

Et dans les satellites les industriels continuent de demander des fonds public et il a fallu batailler pour qu'ils acceptent de financer une partie comme sur pleiade.

 

Malheuresement pour eux nous ne sommes pas au USA, le double financement doit devenir la régle meme si Tom Enders y est opposé.

 

Au final nous aurons peut etre de nouveaux entrants plus dynamique sauf si l'objectif des industriels est d'empecher cela en phagocytant la DLA du CNES.

En effet ca serait bien de voir de nouveaux entrants pour dynamiser et mettre la pression sur les industriels européen. Malheureusement c'est un truc qui manque pas mal en Europe. On ne motive pas suffisamment les startup.

 

Pour A6 il va falloir débourser le fric pour A6, on pas encore trop le choix. L'autre option pourrait être de le faire a l’américaine et d'acheter a l'avance X lancements.

Pour le futur on peut espérer que les choses seront différentes.

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Ces histoires de financements me font penser à un truc et poser une question. Y a t il u n risque de voir le européens trainés un jour par Space X ou autre devant un tribunal de l'OMC à cause de leur financement d'A6, comme naguère Boeing contre Airbus ?

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 Pour remporter ces dits appels d'offres, il faut juste être + menteur et malhonnête que les autres : Et c'est dans la poche !

 

Tes a priori, tes arguments de comptoir et tes généralités discréditent complètement ton discours.

J'ai lâché ton post. Je viens chercher ici de l'info, pas de la propagande risible.

Edited by artyparis
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Ces histoires de financements me font penser à un truc et poser une question. Y a t il u n risque de voir le européens trainés un jour par Space X ou autre devant un tribunal de l'OMC à cause de leur financement d'A6, comme naguère Boeing contre Airbus ?

Bonne question. Je pense pas que le spatial rentre dans les domaines géré par l'OMC ?

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Tes a priori, tes arguments de comptoir et tes généralités discréditent complètement ton discours.

J'ai lâché ton post. Je viens chercher ici de l'info, pas de la propagande risible.

 

 

         Me rappel pas avoir demandé qu'on le porte a bout de bras ... Pour le reste, c'est un forum ici, hormis les sections annoncées comme tels "info only" le débat, les avis, les critiques, les piques ironiques ect sont il me semble le coeur de ce qu'est un forum ! Tout ce que tu fais ici, c'est simplement dire "c'est nul les gens pensent pas comme moi"

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Nouvel article avec quelques précisions :

http://www.spacenews.com/article/launch-report/41978esa%E2%80%99s-ariane-6-cost-estimate-rises-with-addition-of-new-launch-pad

 

A6.2 : 65 millions d'euros par lancement

A6.4 : 85 millions d'euros par lancement

 

Pour avoir ces prix il faut au moins 9 lancements par ans.

 

4Md€ au total dont 700 Millions d'euros pour un nouveau site de lancement.

Ce qui fait 3.3Md€ pour le lanceur lui même avec un Vulcain 2 modifie ().

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humm,  nein nein nein nein

 

on a raté un truc quelque part, ah ! oui ! les allemands :)

 

http://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/0203806595999-ariane-6-la-negociation-entre-paris-et-berlin-entre-dans-le-dur-1046661.php?xtor=RSS42

 

Ariane 6 : la négociation entre Paris et Berlin entre dans le dur

 

Berlin refuse de sacrifier Ariane 5 ME pour un projet jugé trop risqué à ce stade. Est-ce un « nein » définitif ? Tout dépendra du rôle dévolu à OHB, estime-t-on en France où l’on veut croire qu’Ariane 6 verra bien le jour en 2020.

 

Pour Berlin, Ariane 6 en 2020, c’est « nein ». C’est ce qui ressort de la prise de position de Brigitte Zypries, la secrétaire d’Etat au ministère de l’Economie et coordinatrice des questions d’aéronautique et d’espace au gouvernement fédéral. Au lendemain d’une rencontre avec les ministres des Etat membres de l’Agence spatiale européenne, l’ESA, celle-ci a déclaré que le projet Ariane 5 Me doit être maintenu, et que pour la suite, il fallait approfondir la réflexion.

 

Un peu interpellé par cette prise de position, les intervenants du dossier en France préfèrent voir une posture de négociation qui, comme souvent en matière d’Espace, se terminera à la fin de la prochaine conférence ministérielle de l’ESA, le 2 décembre prochain à Luxembourg. « C’est leur position d’aujourd’hui. Je serai surpris que ce soit leur position définitive », explique l’un d’entre eux aux « Echos ».

 

Premier argument en faveur de cette thèse : culturellement, les Allemands détestent deux choses, les changements de cap et les dossiers qui n’ont pas été étudiés jusqu’au moindre détail. De ce point de vue, ils sont servis. Non seulement la configuration d’Ariane 6 a été complètement changée, mais en plus celle qui fait l’unanimité des industriels, des agences spatiales (y compris le DLR, c’est à dire le Cnes allemand), et des industriels n’a pas trois mois d’existence !

 

Dans ce contexte, personne ne peut reprocher aux décideurs politiques à Berlin de se méfier, tant l’histoire des grands projets aéronautiques et spatiaux est jonchée de catastrophes : faire Ariane 6 en cinq ans, c’est incontestablement risqué, même si les deux principaux industriels - Airbus et Safran - sont prêts à s’engager sur des coûts et les délais, à condition qu’on leur laisse la pleine autorité de conception du futur lanceur.

 

L’autre argument qui explique la position de Berlin ne sera jamais mis sur la table officiellement. D’un point de vue industriel, la partie allemande d’Ariane repose beaucoup sur Airbus. Mais pas seulement, puisque OHB est un acteur majeur pour la construction des propulseurs. Le soucis, c’est que si OHB conserve sa charge de travail avec Ariane 5 ME, ce n’est plus le cas avec Ariane 6, puisque les propulseurs envisagés reposent sur une technologie différente maîtrisée par l’Italie pour son lanceur Vega.

 

Si l’Allemagne s’accroche à Ariane 5 ME c’est donc aussi pour protéger son champion OHB. La solution ? Donner à l’entreprise un rôle important sur Ariane 6. Airbus et Safran l’ont bien compris et en discutent avec l’intéressé à qui ils ont fait des propositions, selon nos informations. « OHB ne veut pas d’un rôle de sous-traitant lambda », confirme-t-on en France.

 

Dernier argument avancé, Berlin cherche à monnayer son ralliement à Ariane 6 en 2020 contre un engagement de la France d’augmenter sa participation financière à la station spatiale internationale lors de conférence ministérielle du 2 décembre. Ariane contre la station internationale, rien que du grand classique en matière de marchandage franco-allemand !

 

Si tous ses arguments se confirment, la négociation va donc entrer dans le dur entre la France et l’Allemagne, et il reste trois mois pour la boucler. Mais sinon ? Les temps vont devenir plus difficiles pour Ariane. Concurrencé par l’Américain SpaceX avec sa fusée Falcon 9 sur le marché des satellites de petits et moyens tonnage, le lanceur européen a réussi à s’en sortir jusque là en baissant ses prix. Qu’en sera-t-il sur pour le lancement des gros satellites quand la fusée Falcon Heavy va décoller pour la première fois l’année prochaine ? Ariane 5 ME sera une réponse, mais imparfait

 

 

 

Edited by zx
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Si l’Allemagne s’accroche à Ariane 5 ME c’est donc aussi pour protéger son champion OHB. La solution ? Donner à l’entreprise un rôle important sur Ariane 6. Airbus et Safran l’ont bien compris et en discutent avec l’intéressé à qui ils ont fait des propositions

Ah! Donner des responsabilités à l'industrie, ça veut juste dire que c'est à eux de faire le retour géographique au lieu que ce soit fait directement par l'ESA! On n'est pas près d'être compétitifs, si en plus les Allemands en profitent pour avantager OHB.

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Si ! à la condition que le lanceur devienne fiable, cela reste à démontrer. le programme angara est intéressant, il reste un programme militaire pour l'instant. la version lourde est planifiée pour être lancer à la fin de l'année, a tous le coups ça devrait glisser sur 2015.

 

Mais à ce compte la, il y a aussi les autres concurrents US, chinois ,  l'inde, les japonais,etc..,  qui veulent bouffer la part d'ariane espace, je pense qu'il faudrait

enrichir la gamme lanceur avec d'autres, mais pas sous forme de dépendance comme on l'a fait avec soyouz.

 

starsem achète des lanceurs pour le compte de l'opérateur arianespace et ses services, à voir si on peut développer ca comme du business puis que c'est l'objectif à la mode. alors pourquoi pas, du falcon 9, du pslv/gslv, du soyouz,  etc.. par exemple, à commencer par l'inde puisqu'il veulent faire de l'export, si leur lanceur est viable pour ca.

Edited by zx
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On fait une fixette sur Space X au niveau de la concurrence mais un lanceur comme Angara avec une modularité extrême et à terme une capacité à faire du sur mesure, n'est pas de nature a être bien plus dangereux pour A6 ?

 

Angara, pour le moment il n'y a que 3 retours (positifs) sur la techno du premier étage, et encore, c'est en prenant les lanceurs sud koréens en compte.

 

A voir. D'un autre côté, c'est développé sur les mêmes bases que la techno Space X si je ne me trompe pas (pour l'aspect propulsion).

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Ce que je trouve intéressant avec Angara c'est le concept d'avoir suffisamment de variantes pour coller à la demande des clients qui exige de plus n plus du sur mesure en terme de tonnage et d'orbite, et à moindre cout.

 

Si les russes mène bien leur coup, ils risquent bien de rééditer l'exploit de Semiorka et Proton de lanceur à la fois très fiables avec les plus bas prix du marché.

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Ce que je trouve intéressant avec Angara c'est le concept d'avoir suffisamment de variantes pour coller à la demande des clients qui exige de plus n plus du sur mesure en terme de tonnage et d'orbite, et à moindre cout.

 

Si les russes mène bien leur coup, ils risquent bien de rééditer l'exploit de Semiorka et Proton de lanceur à la fois très fiables avec les plus bas prix du marché.

Proton ? C'est pas le lanceur qui a rencontre un échec par ans depuis 5 ans ? ^-^

J'aurais plutôt prit Soyuz comme exemple au niveau prix est fiabilité.

 

Si les russes ont offert de prix bas pendant une certaine époque, je suis pas sur que les choses continuent dans ce sens. Arianespace a visiblement eu des soucis pour négocier un prix correct pour ses Soyuz et quand on voit le prix de lancement des astronautes par rapport a ce qui est prévu sur les futur capsules US il n'y a pas de réel avantage financier.

 

Pour Angara le lanceur est très oriente sur l'orbite basse au niveau des performances. Pour envoyer un satellite lourd (~6t) en orbite géostationnaire il va falloir attendre la version 7 si elle est un jours développé, et presque chaque version a un dernier étage différent. Du coup faudra voir les prix et la fiabilité qu'ils arrivent a tenir dans la pratique avec ce genre de solutions. Perso je parierais pas trop dessus a court terme.

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On va dire que c'est juste un coup de pompe pour Proton O0 . je préfère en garder le souvenir de la belle époque soviétique (enfin, "belle époque" façon de parler...) et fait référence à cette période niveau fiabilité.

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Pour Angara le lanceur est très oriente sur l'orbite basse au niveau des performances. Pour envoyer un satellite lourd (~6t) en orbite géostationnaire il va falloir attendre la version 7 si elle est un jours développé, et presque chaque version a un dernier étage différent. Du coup faudra voir les prix et la fiabilité qu'ils arrivent a tenir dans la pratique avec ce genre de solutions. Perso je parierais pas trop dessus a court terme.

 

Et quand on sait que c'est généralement sur les derniers étages que les fusées russes foirent ...

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Le programme Galileo a été décidé en 2000 mais il est resté au point mort jusqu'en 2005, date à partir de laquelle l'ESA a été chargée du dossier par la Commission européenne ; les choix industriels ont été faits, les quatre premiers satellites ont été confiés à Astrium (devenu depuis Airbus Defence & Space) et Thales Alenia Space et c'est OHB-System, effectivement, qui a remporté les contrats pour les 22 satellites suivants.

 

C'est complétement honteux lorsque l'on voit les résultats, d'avoir donné ça aux allemands qui se montrent finalement peu capable, alors que les italiens et français sont très bon à ce jeu là -_-

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  • 4 weeks later...

Space X propose des lanceurs peut-etre un peu trop low-cost pour etre honnete, ca on le sait, en plus c'est quand meme con de balancer les investissements realises pour ariane 5 ME pour s'orienter vers un nouveau lanceur qu'il va falloir valider de A a Z avec tous les risques que cela comporte. A mon avis on va exactement dans la direction ou les americains veulent nous pousser: prendre des risques, perdre de l'argent, du temps et de l'energie pour rester "competitif" alors qu'on a deja une solution eprouvee et dont la fiabilite est notre principale argument pour rester sur le marche.

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