Born to sail Posté(e) le 30 juillet 2017 Share Posté(e) le 30 juillet 2017 Le 27/07/2017 à 23:20, Boule75 a dit : Ils pourraient (tenter de) fusionner. Mais tout ça fait plein de raisons contre Fincantieri, et pas grand chose de positif quant à une alliance avec Damen (ou autre mais qui ?). Damen était une des pistes proposées pour la reprise de STX avec un autre pack d'actionnaires. Damen a repris les chàntiers de réparation navale de Brest et il me semble que ca se passe bien. Damen est plus petit que Naval Group dans le domaine militaire, mais plus imposant dans le domaine civil, dans l'éventualité ( c'est moi qui le suggère) d'une prise de contrôle majoritaire de Naval Group dans STX l'association des deux entités pourrait faire un Groupe homogène. proximite géographique des chantiers constructeurs thales qui est en grande partie néerlandais est un gros actionnaire de Naval Group si je ne me trompe Dassault est actionnaire majoritaire de Thales pour moi leur catalogue de navires militaires se complètes : ils font des TCD et des PR , nous des BPC et des sous-marins, certes nos frégates sont concurrentes par le passe le programme CMT c'était plutôt bien passé notre allié commun la Belgique en profiterais il faudrait peut-être que Naval Group abandonne la réalisation de systèmes de combat au profit de son concurrent direct Thales qui est aussi son actionnaire a l'issue on pourrait peut-être fédéré dles chantiers Danois et Allemands plus tard ceux de Scandinavie voila mes arguments se valent ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Born to sail Posté(e) le 31 juillet 2017 Share Posté(e) le 31 juillet 2017 Et j'ajouterai que Naval Group pourrai être le leader de cette nouvelle compagnie ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eau tarie Posté(e) le 31 juillet 2017 Share Posté(e) le 31 juillet 2017 Il y a 14 heures, Born to sail a dit : (...) il faudrait peut-être que Naval Group abandonne la réalisation de systèmes de combat au profit de son concurrent direct Thales qui est aussi son actionnaire (...) Tu rêves ? C'est leur plus value numéro 1. A la limite, il y a des pays qui n'aiment pas trop les design de coque Français , mais qui sont près à acheter DCNS quand même grâce au fait que le système de combat est très réputée. C'est là que DCNS investi le plus de moyen humain à juste titre. Presque n'importe quel chantier dans le monde avec une bonne supervision et une bonne spec. est capable de faire une coque de Frégatte. Par contre les systèmes navires + de combat....pas pareil là. Donc AUCUNE chance qu'ils abandonnent, sauf à aller plus loin dans la fusion Thales / Naval Group. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
capmat Posté(e) le 31 juillet 2017 Share Posté(e) le 31 juillet 2017 (modifié) Il y a 19 heures, Born to sail a dit : voila mes arguments se valent ? Il me semble qu'il y a plusieurs années que nous discutons avec les Italiens sur un projet naval "Européen". Mais pouvoir reprendre 66% de STX France pour 79 millions d'euros, c'est une opportunité en or massif pour Fincantieri. Bon, suite à négociations sous le précédant gouvernement le partage se répartit a 48% pour Fincantieri, 7% pour la "Fondation" (Italienne) et 14% pour Naval Group. Donc Italie 55% et Français 45%. Sous le nouveau gouvernement un partage à 50-50 est proposé avec pilotage "industriel" de STX offert à Fincantieri. Bien entendu, si pilotage industriel offert sur l'activité "civile", il doit bien y avoir une contre partie quelque part ? A l'évidence, nous manquons d'informations sur la position des pièces sur l'échiquier. Modifié le 31 juillet 2017 par capmat Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Born to sail Posté(e) le 31 juillet 2017 Share Posté(e) le 31 juillet 2017 Il y a 3 heures, Eau tarie a dit : Donc AUCUNE chance qu'ils abandonnent, sauf à aller plus loin dans la fusion Thales / Naval Group. Justement voilà le pourquoi du changement de nom : c'est pour préparer le prochain ! Thalès Naval Group / TNG ce sera toujours mieux que Fincantieri Naval Group Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 31 juillet 2017 Share Posté(e) le 31 juillet 2017 On se retrouve, à travers STX et la proposition du gouvernement français sur une mise en place d'un EURO-NAVAL-BUS ou Mer-Bus alliant militaire et civil ... mise en place à priori, sans "programme" visible, sauf passés ... On suppose que les programmes vont suivre ( lesquels potentiellement ? ) Alors que Airbus - et EADS avant - ou MBDA - il y avait justement des programmes en cours ! Cet Euro-Naval-Bus sans programme : c'est un peu aussi le cas de KNDS .... Structures et Fusions d'abord => Programmes ensuite ! ?? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
capmat Posté(e) le 31 juillet 2017 Share Posté(e) le 31 juillet 2017 il y a 30 minutes, Bechar06 a dit : On se retrouve, à travers STX et la proposition du gouvernement français sur une mise en place d'un EURO-NAVAL-BUS ou Mer-Bus alliant militaire et civil ... mise en place à priori, sans "programme" visible, sauf passés ... On suppose que les programmes vont suivre ( lesquels potentiellement ? ) Alors que Airbus - et EADS avant - ou MBDA - il y avait justement des programmes en cours ! Cet Euro-Naval-Bus sans programme : c'est un peu aussi le cas de KNDS .... Structures et Fusions d'abord => Programmes ensuite ! ?? Il faudrait pouvoir comparer ce qui est comparable. Dans le secteur aérien, les constructeurs d'avions ont des centaines d'interlocuteurs que sont leur clients. Leurs besoins sont assez semblables et il est facile d'identifier les créneaux dominants, tant dans le moyen que dans le long courrier. On peut parler de programme car il s'agit de séries pouvant atteindre plusieurs milliers d'unités. En Europe, la construction navale civile se concentre sur les paquebots, une même série se déclinera avec des variantes, mais les séries maximales plafonnent à 12 unités. Difficile de parler de programme. Les clients de paquebots dans le monde concernent au plus une vingtaine de compagnies, mais derrière lesquelles se dissimulent trois groupes financiers. Quand nous voyons un paquebots, nous voyons un navire dont l'image est associée a un constructeur. En réalité, sous l'ascension de la croisière se dissimulent des intentions cachées : les paquebots sont des universités de la mondialisation. Les passagers y développent a leur insu des réflexes de consommateurs hors de leur circuit d'habitudes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Julien Posté(e) le 31 juillet 2017 Share Posté(e) le 31 juillet 2017 Le 27/07/2017 à 16:07, Ciders a dit : J'ai lu aussi mais ce chiffre me paraît très inférieur à ce qu'on pouvait attendre d'un chantier avec un carnet de commandes plein pour les années à venir. Cette activité est non rentable. STX France ne vaut pas grand chose d'un point de vue comptable. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 31 juillet 2017 Share Posté(e) le 31 juillet 2017 il y a 1 minute, Julien a dit : Cette activité est non rentable. STX France ne vaut pas grand chose d'un point de vue comptable. Ça reste dingue quand même ... Il fait vivre une région entière, représente le fleuron du naval françaiset ne coute rien. Rien que le cout de l'outil industriel doit être est très élevé pourtant ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Julien Posté(e) le 31 juillet 2017 Share Posté(e) le 31 juillet 2017 il y a 1 minute, clem200 a dit : Ça reste dingue quand même ... Il fait vivre une région entière, représente le fleuron du naval françaiset ne coute rien. Rien que le cout de l'outil industriel doit être est très élevé pourtant ... Mais du point de vue d'un investisseur la valeur est soit dans les profits futurs (ils sont nuls ou très très faible dans le meilleur de cas), soit dans d'autres considérations comme une marque, des brevets, où que sais-je d'autre mais là pour le coup on ne voit pas trop. Du coup en effet il y a un contraste saisissant entre la valeur comptable et le nombre de familles que cette activité fait vivre, et avec la valeur du produit fini. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Born to sail Posté(e) le 31 juillet 2017 Share Posté(e) le 31 juillet 2017 Juste comme çà : les bénéfices de Naval Group sur l'exercice 2016 et par anticipation 2017, lui permettrait de s'offrir les 66% du capital a vendre de STX. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 31 juillet 2017 Share Posté(e) le 31 juillet 2017 Il y a 2 heures, Julien a dit : Cette activité est non rentable. STX France ne vaut pas grand chose d'un point de vue comptable. Pour l'Etat français (sécurité sociale et Assedic comprise), et d'un strict point de vue comptable, l'entreprise vaut largement ces 88 m€... Hors tout aspect stratégique. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gargouille Posté(e) le 31 juillet 2017 Share Posté(e) le 31 juillet 2017 STX se diversifie aussi dans les énergies en mer. Il y a aucune raison pour les vendre à des étrangers, par contre en faire rentrer dans le capitale là c'est autre chose. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 31 juillet 2017 Share Posté(e) le 31 juillet 2017 il y a 25 minutes, gargouille a dit : STX se diversifie aussi dans les énergies en mer. Il y a aucune raison pour les vendre à des étrangers, par contre en faire rentrer dans le capitale là c'est autre chose. Dans le cas d'espèce c'est un coréen qui vend à un italien Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gargouille Posté(e) le 31 juillet 2017 Share Posté(e) le 31 juillet 2017 il y a 1 minute, Fusilier a dit : Dans le cas d'espèce c'est un coréen qui vend à un italien Avec notre autorisation, si l'acheteur ne nous plait pas on peut acheter le bien. Et c'est ce qui se passe. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 31 juillet 2017 Share Posté(e) le 31 juillet 2017 il y a 2 minutes, gargouille a dit : Avec notre autorisation, si l'acheteur ne nous plait pas on peut acheter le bien. Et c'est ce qui se passe. Bien entendu. Mais, ce n'est pas la qualité d'étranger qui préside au choix, plutôt un doute sur les intentions réelles ou supposées de l’acheteur. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gargouille Posté(e) le 31 juillet 2017 Share Posté(e) le 31 juillet 2017 Il y a 1 heure, Fusilier a dit : Bien entendu. Mais, ce n'est pas la qualité d'étranger qui préside au choix, plutôt un doute sur les intentions réelles ou supposées de l’acheteur. Oui mais pas que. Bref on a la possibilité de revenir sur une connerie, il doit être possible tout en ayant une entreprise bien gérée de rendre le chantier à dominance française. Avec le 33% de l'état, plus la participation du personnel qui pourrait être légèrement augmentée, plus la participation groupé des région, département et le ville, plus Naval group plus d'autres entreprises françaises on peut arriver à plus de 50%. Reste à faire le montage avec intelligence pour garder une entreprise viable et bien gérer avec plus d’atouts qu'avant. Il avait été évoqué le piste Damen, il faut voir voir un échange d'action pas qu'une vente. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 31 juillet 2017 Share Posté(e) le 31 juillet 2017 1 hour ago, gargouille said: Bref on a la possibilité de revenir sur une connerie, il doit être possible tout en ayant une entreprise bien gérée de rendre le chantier à dominance française. C'est justement ce que l'actionnaire italien ne souhaite pas ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Born to sail Posté(e) le 2 août 2017 Share Posté(e) le 2 août 2017 (modifié) Je suis pour un Airbus Naval mais pas a n'importe quel prix ! Fincantieri est un Géant militaro-civil, s'il achète dans un premier temps STX puis s'associe a Naval Group, il sera majoritaire a chaque fois car il grossit de plus en plus. Alors ne mettent pas la charrue avant les boeufs. Faisans un grand groupe français en faisant que Naval Group est une grosse participation dans les Chantiers de l'Atlantique, avec un partenariat d'actionnaire entre la région, l'état et les sous traitants et un actionnaire étranger comme Damen qui avait il me semble déjà montrer son intérêt. Je ne suis pas favorable a ce que les clients rentre au capital, car ils voudront surement que le groupe fasse encore moins de marge pour que leurs commandes leurs coutent encore moins cher. Puis dans un second temps on fait comme avec Nexter et KMW on crée une société commune a 50/50 : KNDS et on s'intègre doucement sans faire de conneries. On propose aux allemands, danois, espagnols, norvégiens et suédois de rejoindre l'entité. Et là on aura une base saine. Les italiens ont les boules, normal quand une affaire en or te passe sous le nez ! mais on ne peut pas gagner a chaque fois... Modifié le 2 août 2017 par Born to sail Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gargouille Posté(e) le 2 août 2017 Share Posté(e) le 2 août 2017 (modifié) Il y a 2 heures, Born to sail a dit : Je suis pour un Airbus Naval mais pas a n'importe quel prix ! Fincantieri est un Géant militaro-civil, s'il achète dans un premier temps STX puis s'associe a Naval Group, il sera majoritaire a chaque fois car il grossit de plus en plus. Alors ne mettent pas la charrue avant les boeufs. Faisans un grand groupe français en faisant que Naval Group est une grosse participation dans les Chantiers de l'Atlantique, avec un partenariat d'actionnaire entre la région, l'état et les sous traitants et un actionnaire étranger comme Damen qui avait il me semble déjà montrer son intérêt. Je ne suis pas favorable a ce que les clients rentre au capital, car ils voudront surement que le groupe fasse encore moins de marge pour que leurs commandes leurs coutent encore moins cher. Puis dans un second temps on fait comme avec Nexter et KMW on crée une société commune a 50/50 : KNDS et on s'intègre doucement sans faire de conneries. On propose aux allemands, danois, espagnols, norvégiens et suédois de rejoindre l'entité. Et là on aura une base saine. Les italiens ont les boules, normal quand une affaire en or te passe sous le nez ! mais on ne peut pas gagner a chaque fois... Je suis assez d'accord. Pour STX en plus de l'état, Navalgroup, le personnel, les région-département-ville et un groupement d'entreprises en lien avec le chantier ont peut être au dessus des 50%. Il faut une alliance équilibrée dans ce futur "Merbus" Modifié le 2 août 2017 par gargouille Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
capmat Posté(e) le 2 août 2017 Share Posté(e) le 2 août 2017 Il y a 2 heures, Born to sail a dit : Je suis pour un Airbus Naval mais pas a n'importe quel prix ! Initialement le nom "Airbus" correspondait au programme d'un Avion, l'Airbus A300 autour duquel les Français et les Allemands ont collaboré puis les compagnies nationale Air France et Lufthansa ont été mis en devoir de commander l'avion pour son lancement commercial qui fut au début laborieux à cause de la dominance écrasante des constructeurs Américains. A cette occasion les "Européens" ont imposé le concept de gros porteur bi-moteur. Puis est arrivé l'Airbus A320 qui imposait une véritable révolution dans l'interaction pilote-avion. Là aussi il a fallu réussir a s'imposer contre les habitudes et les idées reçus. Les compagnies nationales ont encore obéi aux ordres pour imposer le produit. Ce n'est qu'après le lancement du nom Airbus que Français et Allemands ont décidé de développer une structure commune sous le nom d'EADS. Les Français avais 37%, les Allemands 37%, BAE ( Anglais ) a décidé de rejoindre titre privé le groupe à hauteur de 20% et dans les 6% restant les Espagnoles sont entré initialement à 3,5% pour ensuite combler les 2,5% restant. Maintenant EADS est devenu Airbus Group, intégrant les avions de ligne, les hélicoptères, l'Espace et une part importante du secteur militaire. Airbus est un géant parvenu au premier rang mondial. Il est difficile de trouver un parallèle entre l'aventure "Airbus" et le secteur naval Européen. Dans le secteur civil, les chantiers Européens se concentrent sur les paquebots. Dans les compagnies exploitant des paquebots les Italiens ont deux opérateurs Majeurs : MSC et Costa. Les Français n'en ont pas. La masse de Fincantieri représente plus de deux fois celle de STX dans le carnet de commande actuel. Alors pour discuter à 50-50 sur un projet Européen, il faut mettre d'autres éléments dans la balance. Bon, on peut ajouter le secteur militaire, mais il me semble qu'il va falloir se mettre d'accord sur la valorisation des acquits. La encore, je ne suis pas sûr que nous parvenions aisément a une estimation partagée de 50-50. Pour trouver un accord, la dead line fixée à Septembre me paraît un peu courte, mais je ne suis pas au fait du dossier. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Born to sail Posté(e) le 2 août 2017 Share Posté(e) le 2 août 2017 Il y a 1 heure, capmat a dit : Pour trouver un accord, la dead line fixée à Septembre me paraît un peu courte, mais je ne suis pas au fait du dossier. c'est la même solution, proposer de monter une nouvelle société de toute pièce, pour créer un MerBUS Group ou SeaBUS Group ou NavalBUS Group, a parité d'action entre les fondateurs et ceux voulant rejoindre se payent ce qu'il peuvent ! Mais le rachat de 66% des parts ou "seulement" 48 + 7% ne profitait qu'a Fincantieri et Les Chantiers de l'Atlantique se faisaient bouffer puis serait venu le tour de Naval Group, pour preuve on ne se bat même plus pour un design de pétrolier ravitailleur... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
capmat Posté(e) le 2 août 2017 Share Posté(e) le 2 août 2017 il y a 11 minutes, Born to sail a dit : c'est la même solution, proposer de monter une nouvelle société de toute pièce, pour créer un MerBUS Group ou SeaBUS Group ou NavalBUS Group, a parité d'action entre les fondateurs et ceux voulant rejoindre se payent ce qu'il peuvent ! Mais le rachat de 66% des parts ou "seulement" 48 + 7% ne profitait qu'a Fincantieri et Les Chantiers de l'Atlantique se faisaient bouffer puis serait venu le tour de Naval Group, pour preuve on ne se bat même plus pour un design de pétrolier ravitailleur... Bien sûr, ici on bavarde, mais j'ai l'impression que trop d'aspects du dossier nous échappent et je suis dans la même incompréhension que vous dans la trop bonne affaire apparente du dossier en faveur des Italiens. Il doit bien y avoir un loup quelque part. Mais le temps est venu d'abattre ses cartes pour que chacun montre son jeux. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 2 août 2017 Share Posté(e) le 2 août 2017 D'ailleurs on peut se demander si cette concomitance d’évènements ; - Changement de nom DCNS par un plus neutre ; « Naval Group » - Interventionnisme étatique sur STX avec proposition d’une alliance militaire FINC/Naval Group N’obéit pas à une stratégie préméditée en vue de la création d’un ENG ( Européan Naval Group) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 2 août 2017 Share Posté(e) le 2 août 2017 Il y a 3 heures, capmat a dit : Il est difficile de trouver un parallèle entre l'aventure "Airbus" et le secteur naval Européen. Dans le secteur civil, les chantiers Européens se concentrent sur les paquebots. Dans les compagnies exploitant des paquebots les Italiens ont deux opérateurs Majeurs : MSC et Costa. Les Français n'en ont pas. La masse de Fincantieri représente plus de deux fois celle de STX dans le carnet de commande actuel. Alors pour discuter à 50-50 sur un projet Européen, il faut mettre d'autres éléments dans la balance. Bon, on peut ajouter le secteur militaire, mais il me semble qu'il va falloir se mettre d'accord sur la valorisation des acquits. La encore, je ne suis pas sûr que nous parvenions aisément a une estimation partagée de 50-50. Pour trouver un accord, la dead line fixée à Septembre me paraît un peu courte, mais je ne suis pas au fait du dossier. Oui, ça laisse un peu songeur. Tu oublies quand même le volet "énergies marines renouvelables", je pense aux hydroliennes et aux éoliennes flottantes, qui pourraient apporter un potentiel de croissance qui reste à déterminer, mais sur lesquelles les italiens ne sont pas, à ma connaissance. Je ne sais pas en quoi il y a de fortes spécificités, ni quel est le potentiel du marché au juste, ni si DCNS apporte l'essentiel de la valeur ajoutée sur ces produits, s'il y a des brevets, etc, mais il faudrait l'évaluer. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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