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debonneguerre

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  • 2 weeks later...

http://bfmbusiness.bfmtv.com/mediaplayer/video/philippe-bacchade-vs-serge-nacgrier-12-la-hausse-du-cac-40-va-t-elle-durera-1802-448606.html

 

"Le marché monte, le marché monte le marché monte"... =D  Philippe Béchade en grande forme. Excellent! :happy:

 

Marrant le raisonnement du Bull (contradicteur de béchade) :

QE => retour à la confiance => CAC qui décolle... et les résultats d'entreprises aident aussi (là on se marre un peu sur le "aussi"), même pas une allusion à la baisse du pétrole et des matières premières.

On voit bien que le marché se fout de la crise grecque, de la guerre en Ukraine ou du contexte déflationniste, tant que le robinet du QE est ouvert, en avant guingamp pour les 5000!!!

 

Toutefois les menaces sur ce contexte haussier sont multitudes! 

Faut pas oublier l'extrême volatilité de fin 2014, ça peut baisser de 10% en 2 semaines et reprendre 15% sur la semaine qui suit.

La bourse c'est nawak, on a senti un frémissement autour de la Grèce avec l'accord obtenu vendredi soir préparez vous à de nouvelles sueurs froides en juin, tout ce beans pour 6 mois de répit, franchement!!

Finalement la plus grande menace qui pèse sur les marchés c'est que les traders deviennent des gens raisonnables  :rolleyes:

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http://bfmbusiness.bfmtv.com/mediaplayer/video/philippe-bacchade-vs-serge-nacgrier-12-la-hausse-du-cac-40-va-t-elle-durera-1802-448606.html

 

"Le marché monte, le marché monte le marché monte"... =D  Philippe Béchade en grande forme.

 

Marrant le raisonnement du Bull (contradicteur de béchade) :

QE => retour à la confiance => CAC qui décolle... et les résultats d'entreprises aident aussi (là on se marre un peu sur le "aussi"), même pas une allusion à la baisse du pétrole et des matières premières.

On voit bien que le marché se fout de la crise grecque, de la guerre en Ukraine ou du contexte déflationniste, tant que le robinet du QE est ouvert, en avant guingamp pour les 5000!!!

 

Assez drôle aussi Serge Négrier quand il dit à plusieurs reprises "achetez maintenant, si vous n'achetez pas vous ne gagnerez jamais d'argent". Pour lui c'est en achetant quand le marché monte monte monte que l'on gagne de l'argent. On suit le mouvement, on achète de manière indifférenciée (ou on vend, à d'autres périodes) et on fait son beurre au passage.

 

Quand Philippe Béchade rappelle avec raison qu'il a été bien seul à conseiller d'acheter des actions Peugeot fin 2013 quand elles étaient à 5 euros alors qu'elles sont maintenant à 14. Pour lui c'est en étudiant les réalités économiques et industrielles sur le fond puis en faisant des choix raisonnés même s'ils sont minoritaires qu'on peut vraiment générer une plus-value.

 

La différence entre eux n'est pas fondamentalement entre un optimiste et un pessimiste. Il se trouve que Béchade analyse les situations réelles qui le mènent à des conclusions pessimistes, tandis que Négrier repère le mouvement du marché qui le mène à des conclusions optimistes.

 

Non les principales différences sont :

 

- Analyse des situations économiques réelles <> Lecture des indices du marché

 

- Moyen terme, une ou plusieurs années <> Court terme, quelques mois tout au plus jusqu'à la fin de l'année pour l'évaluation du résultat du gestionnaire, déterminant pour le calcul de sa prime

 

- Prise de responsabilité individuelle par le gestionnaire "j'ai conseillé d'acheter XYZ j'aurai du mal à le cacher si XYZ va dans les choux" <> Confort de la meute "c'est tout le marché qui s'est cassé la gueule chef, moi j'pouvais pas l'savoir pis d'abord tout le monde avait acheté quand ça montait pas seulement moi z'allez pas mettre tout le monde dehors quand même"

 

- Recherche en premier lieu du gain pour l'investisseur, impensable si l'on n'achète pas bas pour revendre haut, d'où pari sur l'avenir et risque incontournable <> Sécurisation du gain pour l'intermédiaire financier car que le marché monte ou baisse, les frais de gestion continuent de rentrer coco !

 

 

 

J'ai aussi beaucoup aimé la chronique de Béchade hier sur la Chronique Agora  :D

 

 

Le CAC entame sa sixième semaine de hausse sur une série de sept depuis début janvier pour un gain cumulé très voisin de 20% — du jamais vu depuis novembre/décembre 1999.

Sur 10 semaines, le gain est tout aussi époustouflant et s’établit à 24% depuis le 16 décembre. C’est la plus forte hausse du CAC 40 en moins de trois mois depuis mars/avril/mai 2009.

Des hausses de 25% n’avaient été observées jusqu’à présent qu’à la suite de chutes abyssales de -50% à -60% en quelques mois. Jamais sur une extension de phase haussière long terme… à une seule et unique exception remarquable : les mois de novembre et décembre 1999.

(...)

Pour le Nasdaq, les 1% de rendement ne sont obtenus que grâce aux profits d’Apple, Google et Intel. Sans ces trois-là, le reste des constituants du Composite ne vous rapporte guère plus de 0,9% en moyenne.

Pour le S&P 500, le rendement global ressort très légèrement inférieur à 2% (mais une fois encore, Apple, Google, Intel et IBM, Merck et Exxon-Mobil faussent le calcul) — ce qui correspond clairement à un plancher historique.

Voilà donc la très bonne nouvelle : le CAC4 0 offre plus de 2,6% à 2,8% de rendement (selon différents modes de calcul plus ou moins hédonistes)… Donc, même au zénith absolu et avec une croissance zéro en France et de 1% en Europe, il n’est pas cher !

Bon, c’est vrai, plus d’un tiers des valeurs du CAC 40 cotent au-delà des records de septembre 2000 ou juin 2007 — bien qu’elles gagnent moins d’argent ou connaîtront une croissance moins forte qu’à l’époque… — mais par rapport aux valeurs du S&P, elles semblent presque bon marché.

(...)

Acheter des actions à 30 fois les profits à Wall Street parce qu’il n’y a pas d’autre choix, cela peut paraître idiot… mais si vous trouvez leurs équivalents à 25 fois en Europe, alors c’est une bonne affaire, non ?

Et quand des T-Bonds US ne rapportent plus que 2,15% (tiens… c’est supérieur au rendement du S&P), il n’y a pas à hésiter une seconde face à Total ou EDF qui offriront cette année une rémunération de 5,3%, ou GDF Suez et ses 5,4%.

(...)

Parce qu’il faut bien faire quelque chose de tout cet argent sorti de nulle part mais dont chaque brasseur d’argent connait l’unique destination : la bulle financière globale orchestrée par les banques centrales, pour le plus grand bonheur des "1%" qui détiennent 50% de la richesse mondiale.

Ce qui est manifestement encore très insuffisant… puisque ces mêmes banques centrales se sont lancées dans une fuite en avant jamais vue de 16 baisses de taux et autres quantitative easing depuis le 1er janvier.

Un rythme de deux initiatives monétaires par semaine démontre sans équivoque que la crise est derrière nous… tellement "derrière" qu’on peut même sentir son souffle brûlant sur notre nuque !

En attendant que la crise plante ses crocs, faites comme si de rien n’était : achetez, achetez tout — surtout ce qui est hors de prix. Comme le veut un célèbre dicton de Michel Audiard dont Goldman Sachs a fait sa maxime cardinale : "quand les bornes sont franchies, y’a plus de limite".

 

:lol: ! En très grand forme, le Philippe !

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  • 4 weeks later...

Il y avait sur France 2 hier un reportage sur les prêts étudiants aux États-Unis. C'est un véritable piège que beaucoup traînent sur 30 ans voire sur toute une vie, avec parfois des cas dramatiques.

 

Il y avait notamment le cas d'une jeune-fille dont les parents avaient emprunté pour que leur fille puisse devenir infirmière. Elle a obtenu son diplôme mais est décédée peu après d'une maladie foudroyante. Les parents n'en restaient pas moins obligés de payer... lettres de relance menaçantes à l'appui.

 

080514_Student_Loan_525.jpg

 

Les frais d'inscription aux États-Unis sont délirants et je me demande pourquoi est-ce si cher ? Qu'est-ce qui justifie de tels tarifs ?

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Ça arrive à de nombreux parents qui paient les études de leurs enfants. Il n'y a rien d'exceptionnel sinon à jouer sur l'affecte.

 

Tout à fait. L'important est de s'assurer qu'il ne puisse jamais y avoir de promotion sociale. Que chacun reste à sa place, n'est-ce pas.

  • Upvote (+1) 1
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Il y avait notamment le cas d'une jeune-fille dont les parents avaient emprunté pour que leur fille puisse devenir infirmière. Elle a obtenu son diplôme mais est décédée peu après d'une maladie foudroyante. Les parents n'en restaient pas moins obligés de payer... lettres de relance menaçantes à l'appui.

 

J'ai du mal à comprendre comment de tels emprunts peuvent être contractés sans prendre en même temps une assurance sur la vie:blink:  :wacko:

 

En France, un emprunt immobilier est assorti obligatoirement d'une telle assurance. En cas de décès prématuré ou d'incapacité permanente et définitive à travailler, l'assurance rembourse le reste de l'emprunt.

 

S'il n'y a aucune obligation de ce genre concernant les prêts étudiants, c'est peut-être là que se situe le premier malaise...

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J'ai du mal à comprendre comment de tels emprunts peuvent être contractés sans prendre en même temps une assurance sur la vie ?

 

Justement, il n'y a pas d'assurance en cas de décès sur ce genre de prêt.

 

En cas de décès comme ici ce sont les parents qui héritent du prêt de leur fille décédée.

 

C'est vraiment malsain.

 

Ça arrive à de nombreux parents qui paient les études de leurs enfants. Il n'y a rien d'exceptionnel sinon à jouer sur l'affecte.

 

Ce n'est pas parce que ça arrive souvent et que ça n'a rien d'exceptionnel qu'il ne faut pas s'en formaliser.

Modifié par Kiriyama
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S'il n'y a aucune obligation de ce genre concernant les prêts étudiants, c'est peut-être là que se situe le premier malaise...

Bien au contraire les prets étudiants ne sont proposés qu'avec une caution solidaire. En gros les parents empruntent aussi avec leur enfants.

Il faut savoir que les assurances invalidité/décès emprunteurs coutent chères, et quelle sont rarement proposées en dehors des gros emprunt immobilier. Il faut souvent les réclamé et les payer.

Hors on ne peut souscrire une assurance a crédit. Donc des le début du crédit il faut payer les prime d'assurance, sans période de franchise.

Evidement quand tu emprunte pour payer tes 5 ans d'études, et que le lendemain on te réclame déjà des "remboursements" ça fait un peu bizarre.

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En fait les étudiants, après avoir terminé leurs études, ont 6 mois avant de devoir commencer à rembourser.

 

D'ailleurs, pour ceux qui ne remboursent pas assez vite, leur dette augmente en fait, du fait des intérêts.

 

En tout cas l'histoire de Lisa Mason j'avais halluciné. C'est vrai que légalement les parents doivent payer mais je trouve que dans ces cas-là la dette devrait être annulée. Les règlements devraient être amendés.

Modifié par Kiriyama
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En fait les étudiants, après avoir terminé leurs études, ont 6 mois avant de devoir commencer à rembourser.

Ca dépend du contrat souscrit, la période de franchise peu etre plus courte voir nulle, ou plus longue. La franchise peu aussi etre partiel, seulement sur le capital par exemple.

 

D'ailleurs, pour ceux qui ne remboursent pas assez vite, leur dette augmente en fait, du fait des intérêts.

Oui puisqu'il paye les interet courant sur toute la dette pendant plusieurs année sans rembourser de capital.

 

En tout cas l'histoire de Lisa Mason j'avais halluciné. C'est vrai que légalement les parents doivent payer mais je trouve que dans ces cas-là la dette devrait être annulée. Les règlements devraient être amendés.

Et qui paye la différence? toi?

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Donc toi... Pour que la banque te verse un intérêt elle doit faire un profit ailleurs... en prêtant. Ou alors elle va spéculer avec ce qui lui reste pour compenser la perte engendrée parce que tu souhaite lui ordonner. Ou alors tu acceptes de ne plus percevoir l'intérêt voir même d'essuyer une perte du capital déposé ? 

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La banque.

 

Si la banque accepte ce risque dans le contrat ... elle va le faire payer aux clients en augmenter les couts du crédit. En gros en imposant une assurance décès obligatoire... Pourquoi pas ... mais ça va renchérir de beaucoup les crédits étudiants.

 

Et encore il faut savoir que les assurances invalidité/décès ne couvre pas tous les risques loin de là, tout un tas d'activité ou de risque sont exclus, tu te retrouveras forcément avec des cas de décès sans prise en charge du crédit. Regardes ton contrat "d'assurance emprunteur" pour ton crédit immobilier tu vas te faire des cheveux blanc.

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Si la banque accepte ce risque dans le contrat ... elle va le faire payer aux clients en augmenter les couts du crédit. En gros en imposant une assurance décès obligatoire... Pourquoi pas ... mais ça va renchérir de beaucoup les crédits étudiants.

 

Et encore il faut savoir que les assurances invalidité/décès ne couvre pas tous les risques loin de là, tout un tas d'activité ou de risque sont exclus, tu te retrouveras forcément avec des cas de décès sans prise en charge du crédit. Regardes ton contrat "d'assurance emprunteur" pour ton crédit immobilier tu vas te faire des cheveux blanc.

 

Ça m'étonnerait beaucoup qu'une clause d'assurance décès obligatoire renchérisse beaucoup les coût des prêts étudiants : la mortalité des étudiants doit être si faible que le risque à mutualiser doit être microscopique, y compris si on inclut la période de remboursement de ces fameux prêts pendant laquelle les emprunteurs ne sont plus étudiants.

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Ça m'étonnerait beaucoup qu'une clause d'assurance décès obligatoire renchérisse beaucoup les coût des prêts étudiants : la mortalité des étudiants doit être si faible que le risque à mutualiser doit être microscopique, y compris si on inclut la période de remboursement de ces fameux prêts pendant laquelle les emprunteurs ne sont plus étudiants.

La mortalité des 19-25 est supérieure à la mortalité des tranches d'ages supérieures ou inférieures (sauf les extremes qui incluent la mortalité infantile et les pathologies liées à la vieillesse)

Tout simplement parceque les comportements à risques sont plus nombreux (alcool au volant, sports à risque, psychotropes etc etc...)

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La mortalité des 19-25 est supérieure à la mortalité des tranches d'ages supérieures ou inférieures (sauf les extremes qui incluent la mortalité infantile et les pathologies liées à la vieillesse)

Tout simplement parceque les comportements à risques sont plus nombreux (alcool au volant, sports à risque, psychotropes etc etc...)

 

Ce n'est quand meme pas clair-clair ni significatif, si ?

 

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A priori on aurait pu penser qu'après l'age moyen du mariage on se conduit plus tranquillement. Mais qu'est ce qu'il peut bien leur arriver aux americains après 35 ans pour qu'ils se mettent à décéder plus ? :huh:

En tous cas merci pour le graphique.

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Ça m'étonnerait beaucoup qu'une clause d'assurance décès obligatoire renchérisse beaucoup les coût des prêts étudiants : la mortalité des étudiants doit être si faible que le risque à mutualiser doit être microscopique, y compris si on inclut la période de remboursement de ces fameux prêts pendant laquelle les emprunteurs ne sont plus étudiants.

 

Suffit de demander a ton préteur le prix a payer pour l'option assurance emprunteur, cette assurance est vendu en option sur presque tous les contrats. Le GROOOOOOOOOOOOOOS  souci c'est que ces une prime d'assurance et qu'il est interdit de s'assurer a crédit, donc il faut payer cette prime des le début du crédit alors que l'étudiant n'a pas beaucoup de revenu... ca impose donc de suremprunter pour compenser.

 

Et comme tu le souligne le risque invalidité deces et vécu comme faiblement occurent donc l'espérance est mesuré comme faible d'autant que les montant des crédits sont pas pharaonique.

 

"Malheureusement" comme peut de gens souscrive a ce risque il reste mutualisé, soit par des personne aisé, soit par des personnes a risques ... donc cher.

 

Accessoirement les taux de mortalité sont grosso modo homogène de 20 a 40 ans donc les assurances sont aussi chere sur cette fourchette. Ca augmente ensuite linéairement jusqu’à un seuil des 65 ans ... c'est d'ailleurs pour ca qu'on ne peut plus s'assurer décès invalidité au delà de 60/65 ans.

 

Ce qui est tres intéressant c'est la dichotomie homme femme de 20 a 40 ans ... la mortalité des hommes des 3 fois plus élevé a 20 ans et encore deux fois plus élevé a 40 ans, elle reste ensuite 50% plus élevé jusqu'a 80 ans.

 

Pour un étudiant il faut compter un cout annuel de 0.2% du capital garantie. Mais c'est très variable en fonction du profil de risque. En gros pour 5 ans d'étude et un remboursement rapide ca représente entre 2 et 5% du montant emprunté.

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