Kiriyama Posté(e) le 24 janvier 2013 Share Posté(e) le 24 janvier 2013 1 Belge sur 7 sous le seuil de pauvreté 24/01/2012 Le taux de pauvreté est de 9,8% en Flandre et de 19,2% en Wallonie. Les familles monoparentales sont les plus touchées. Plus d'une personne sur sept (15,3%) vit sous le seuil de pauvreté en Belgique, a souligné jeudi la secrétaire d'Etat à la Lutte contre la pauvreté, Maggie De Block, à l'occasion de la présentation de l'annuaire 2013 de la pauvreté. La proportion de pauvres est de 9,8% en Flandre et 19,2% en Wallonie. Le taux était de 14,6% en janvier 2012. Le seuil de pauvreté, qui représente 60% du revenu médian, était en 2010 de 1.000 euros par mois pour une personne isolée et de 2.101 euros pour un ménage de deux adultes et deux enfants. Plus d'une personne sur sept (15,3%) vit sous ce seuil en Belgique et le taux atteint même 20,8% si l'on y ajoute les critères de la privation matérielle et de la faible intensité de travail. Les jeunes, les seniors, les familles monoparentales La pauvreté touche particulièrement les jeunes et les seniors, relève le rapport. Chez les 0-15 ans, 10,3% des Flamands et 24,1% des Wallons vivent sous le seuil. Le nombre d'étudiants ayant fait appel au revenu d'intégration a par ailleurs explosé lors des dix dernières années, passant de 3.655 en 2002 à 17.531 en 2011. La pauvreté concerne également 20,2% des plus de 65 ans et 38,5% des familles monoparentales. Pour ce type de famille, le taux atteint 54,3% en Région wallonne. Les sans emploi font aussi partie des catégories les plus vulnérables: 37,8% d'entre eux vivent sous le seuil de pauvreté. Au total, 20,8% des habitants de la Belgique vivent dans un ménage qui rencontre des difficultés à boucler ses fins de mois. Les Echos.be Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Perry Posté(e) le 25 janvier 2013 Share Posté(e) le 25 janvier 2013 A Davos, Angela Merkel a des mots très durs envers le gouvernement des "Faucons" Japonais et les accuse de manipuler (tricher avec) leurs taux de change. «Je dois admettre que je ne suis pas sans être préoccupée par le Japon en ce moment», a déclaré Mme Merkel, devant un parterre d'hommes d'affaires et de responsables politiques, réunis dans le cadre du 43ème Forum économique mondial (WEF). Elle a expliqué qu'il y avait au sein du G20, le groupe des vingt économies les plus puissantes de la planète «davantage de conscience» sur la question des «manipulations des taux de change». «La chine a réagi très favorablement et a répondu à nos demandes avec un certain changement de politique», a-t-elle assuré, avant d'exprimer sa préoccupation vis-à-vis du Japon. Le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble avait lui aussi exprimé la semaine derniere sa préoccupation à l'égard de la politique du nouveau gouvernement japonais. Un vice-ministre japonais des Finances a toutefois nié jeudi une manipulation monétaire de la part de son gouvernement visant à faire baisser le yen, rejetant les critiques extérieures sur les risques d'une guerre monétaire internationale. «Le Japon n'a nullement l'intention de provoquer une dévaluation compétitive du yen», a déclaré Takehiko Nakao dans un entretien accordé au Wall Street Journal. http://www.20minutes.fr/economie/1086709-angela-merkel-dit-preoccupee-politique-monetaire-japon Royal Canadian Mint limite les quantités de Silver Maple Leaf coin à la vente : De MaxKeiser : The US and Canada are supposed to be superpowers on the global level. Of course, the US has had hegemony over much of the planet since World War II, while Canada has enjoyed stability, resources. It has been the theater to no industrial-age world wars. Mexico has been ravaged by poverty over time, US invasion and undermining by the Mexican mafia supported by mainline financials. Yet, whilst the US Mint and the Royal Canadian Mint have recently announced shortages in their staple 1 oz. silver coins, Mexico has run into no supply issues. This morning the Royal Canadian Mint began allocating and limiting the quantity of sales of the popular Silver Maple Leaf .999. The silver shortage now spans North America, as both dealers and wholesalers are will have to deal with backlogs of not only Silver Eagles, but also Silver Maple Leafs. Les Suisses s'y mettent : "Où est passé notre or ?!?" : De MaxKeiser : There’s an initiative in Switzerland demanding to know where the Swiss Gold is. They have already 90,000 signatures. You can read about it here: http://www.20min.ch/finance/news/story/Gold-Initiative-bereitet-der-SNB-Kopfzerbrechen-12181140 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Perry Posté(e) le 25 janvier 2013 Share Posté(e) le 25 janvier 2013 Marc Fiorentino - Les Français aux Anglais : "L'Europe : tu l'aimes ou tu la quittes"... Pendant ce temps-là, les nouvelles économiques sont tout simplement dra-ma-tiques... L'Iphone-5, les gens sont finalement moins cons que prévu. Ils se sont rendu compte que c'est un produit bidon. lOI_WjJnSLo Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 25 janvier 2013 Share Posté(e) le 25 janvier 2013 Les conséquences économiques d’un yen faible observées de près par Taipei Vendredi 25 janvier 2013 Le Premier ministre Sean Chen [陳冲] a demandé hier au ministère de l’Economie d’être vigilant quant aux conséquences possibles de la dépréciation du yen japonais sur l’activité des entreprises taiwanaises. Celles qui importent des biens japonais devraient bénéficier de la tendance actuelle mais les exportations taiwanaises pourraient au contraire en pâtir, a-t-il souligné lors de la réunion hebdomadaire du Cabinet. Le ministère devrait négocier avec les entreprises importatrices pour qu’elles répercutent la baisse des prix résultant d’un taux de change plus favorable, a-t-il expliqué. Dans le même temps, les entreprises exportatrices sont incités à améliorer leur couverture aux risques de change. Il faut que la Banque centrale observe de près les fluctuations monétaires des pays en situation de concurrence directe avec Taiwan sur les marchés d’exportation et adopter les mesures nécessaires pour maintenir la compétitivité du pays et la stabilité des prix, a encore appelé de ses vœux le Premier ministre. Lors d’une autre réunion tenue le même jour, le ministre de l’Economie, Shih Yen-shiang [施顏祥], a toutefois relativisé l’impact immédiat de l’affaiblissement du yen pour l’économie taiwanaise, tout en indiquant que ses services observeront avec attention l’évolution des parités monétaires avec la Corée du Sud, la Chine et les pays membres de l’Association des nations d’Asie du Sud-Est (ASEAN). Shinzo Abe, le nouveau Premier ministre japonais a récemment annoncé un programme de relance économique de 20,2 billions de yens et relevé le niveau d’inflation souhaitée. Ces annonces ont entraîné une dépréciation du yen sur les marchés de change, la monnaie nippone s’échangeant hier à 88,62 yens pour un dollar américain. TaiwanInfo.tw Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 25 janvier 2013 Share Posté(e) le 25 janvier 2013 (Reuters) - La Commission européenne a dévoilé vendredi la conclusion d'un partenariat avec Hewlett-Packard, Telefonica et huit autres entreprises technologiques et des télécoms visant à combler 700.000 emplois vacants dans la haute technologie.http://fr.news.yahoo.com/un-pacte-lue-pour-combler-700-000-emplois-144552708--finance.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Perry Posté(e) le 26 janvier 2013 Share Posté(e) le 26 janvier 2013 BFMTV - "Les Experts" du 25/01 : NOf45OxAa0o SD7fRMDS25E -R2p4V8L4yY mu7Pgsv3muM Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 27 janvier 2013 Auteur Share Posté(e) le 27 janvier 2013 Michel Sapin évoque un État totalement en faillite http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013/01/27/20002-20130127ARTFIG00150-michel-sapin-evoque-un-etat-totalement-en-faillite.php « Il y a un État, mais c'est un État totalement en faillite. » Le diagnostic, dressé par le ministre du Travail, Michel Sapin, ce dimanche sur Radio J, n'est pas nouveau. Sous la présidence de Nicolas Sarkozy, François Fillon, quelques mois après son arrivée à la tête du gouvernement, avait usé des mêmes mots lors d'une visite en Corse. Un même constat alarmant plaidant pour des mesures d'économies. «C'est la raison pour laquelle il a fallu mettre en place des programmes de réduction des déficits et aucune sirène ne doit nous détourner de cet objectif», s'est justifié Michel Sapin, répondant là aux critiques de la gauche qui s'élèvent contre l'objectif de ramener le déficit public sous les 3 % du PIB à la fin de l'année. L'opposition est également venue ce dimanche de Michel Rocard, ancien premier ministre et figure d'une gauche modérée tendance sociale-démocrate, qui a critiqué dans Le Journal du dimanchece calendrier trop serré, arguant que la consommation, moteur clé pour la croissance française, est en panne à cause du chômage et du manque d'investissements. Sur le front de l'emploi, le ministre du Travail estime que le chiffre moins mauvais de décembre (plus 300 demandeurs d'emploi par rapport à novembre) «pouvait être le signe d'une activité économique pas aussi dégradée que ce que l'on dit». Et d'insister: «Nous ne sommes pas dans un écroulement» de l'économie comme le disaient certains mais «dans une atonie», jugeant que les licenciements retenus jusqu'à la présidentielle et ouverts massivement en septembre et octobre se tarissaient. Il s'agit maintenant de «redonner de la vigueur à l'économie française dans une Europe stabilisée et dans un monde qui commence à aller mieux en termes de croissance économique», a encore insisté le ministre. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 28 janvier 2013 Auteur Share Posté(e) le 28 janvier 2013 Monte Paschi : la plus vieille banque du monde ébranlée La découverte de pertes de trading dans l'établissement de Sienne se mue en scandale politique, quelques semaines avant les prochaines élections parlementaires italiennes. Il n'aura fallu que quelques jours pour ruiner les cinq siècles de vénérable réputation de Banca Monte dei Paschi di Siena (BMPS). Au cœur d'un scandale financier aux teintes très politiques, la plus ancienne banque du monde pourrait à terme perdre son indépendance. L'institution toscane est menacée par la découverte de pertes de trading de plusieurs centaines de millions d'euros. Les positions à l'origine de ces pertes, révélées par la presse italienne la semaine dernière, ont été prises entre 2008 et 2009. Les nouveaux dirigeants de BMPS auraient «trouvé» ces contrats de dérivés explosifs fin 2012 en passant les comptes de la banque à la paille de fer. Le silence de la direction précédente de la banque, de ses régulateurs ou des politiques qui ont donné leur feu vert à un premier sauvetage public de l'institution en 2009 n'en finissent pas d'étonner. La Banque d'Italie, l'autorité des marchés, la coalition de gauche du pays, qui tient la ville de Sienne, et jusqu'à Mario Draghi, le président de la Banque centrale européenne (BCE), sont sommés de s'expliquer. Nationalisation possible À Sienne, les habitants peinent à encaisser le choc. Leur brillante cité a prospéré depuis le XVe siècle sur les dividendes de l'institution, qu'ils détiennent encore à 35% via une fondation charitable. Vendredi, les Siennois sont ainsi venus par centaines exprimer leur désarroi et leur colère lors de l'assemblée générale des actionnaires de l'établissement. Des cris de «honte» ou «voleurs» ont ponctué les interventions des dirigeants, qui venaient demander à l'assemblée la validation du nouveau plan de sauvetage de BMPS par l'État, qui passe par un prêt public de 3,9 milliards d'euros. La suite : http://www.lefigaro.fr/societes/2013/01/27/20005-20130127ARTFIG00223-monte-paschi-la-descente-aux-enfers-de-la-plus-vieille-banque-du-monde.php Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 28 janvier 2013 Auteur Share Posté(e) le 28 janvier 2013 Par les temps qui courent, je trouve pas mal de glisser ceci : Le turnover a un cout. Pourquoi est-il moins coûteux de payer plus ses employés ? LE CERCLE. On pense souvent que les entreprises qui paient le moins leurs employés bénéficient d’un avantage en termes de coût. Paradoxalement, c’est peut-être le contraire… Aux États-Unis, la chaîne de distribution Wal-Mart (et son enseigne "low cost" Sam’s Club) est connue pour ses prix bas. Sa stratégie s’appuie notamment sur le versement de salaires peu élevés. Les avantages tels que l’assurance santé sont également réduits à la portion congrue. Costco, une entreprise au positionnement similaire, a opté pour une politique beaucoup plus généreuse vis-à-vis de ses employés. Une étude réalisée par Wayne Cascio montre qu’elle s’avère finalement moins coûteuse que celle de Sam’s Club… La suite : http://lecercle.lesechos.fr/entreprises-marches/management/rh/221163301/pourquoi-est-moins-couteux-payer-plus-employes Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 29 janvier 2013 Share Posté(e) le 29 janvier 2013 LEAP / Europe2020 de mi-janvier Toujours intéressant à lire, avec cette fois une réflexion sur les raisons du ralentissement de l'évolution de la crise dans les quatre dernières années, et leurs arguments pour penser que la crise ré-accélérera d'ici la mi-2013. Mais nous avions sous-estimé la durée de la période de décantation que nous traversons depuis plus de quatre ans, période durant laquelle tous les acteurs de la crise ont œuvré à un but commun, gagner du temps : les Etats-Unis, en faisant tout pour empêcher l’apparition de solutions alternatives au dollar, malgré la situation catastrophique de tous ses fondamentaux systémiques, pour empêcher ses créanciers de les lâcher (décrédibilisation des autres monnaies y compris désormais le Yen, acharnement contre les tentatives de déconnecter le pétrole du dollar, etc…) ; le reste du monde, en mettant en place d’habiles stratégies consistant à la fois à maintenir son assistance vers les Etats-Unis pour éviter un effondrement brutal dont il serait le premier à souffrir, et à bâtir en même temps des solutions alternatives et de découplage. (...) Alors que l’accord sur le plafond de la dette en 2011 réglait la question pour 18 mois [13], celui sur la fiscal cliff ne reporte le problème que de 2 mois. Alors qu’on a senti les effets de QE1 pendant un an, QE3 n’a eu d’effet que quelques semaines [14]. Avec en outre l’agenda chargé des négociations à venir, on le voit, le tempo accélère significativement, signe que le précipice approche et la nervosité des acteurs avec. La suite sur le lien... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 29 janvier 2013 Share Posté(e) le 29 janvier 2013 Pas moins de 4,5 millions de m2 d'immobilier d'entreprise ou de commerce seront vacants en Ile-de-France d'ici un an. C'est particulièrement notable dans les communes de la première couronne de Paris qui ont clairement privilégié le bureau sur le logement, en raison des retombées fiscales et pour des questions d'image", explique Jean-Michel Ciuch président d'Immogroup Consulting, qui a publié fin décembre 2012 une étude au titre sans équivoque "Le scandale de l'immobilier d'entreprise dans un contexte de crise du logement".Preuve de ce déséquilibre, les prix de vente ont plongé de 20 % dans le bureau entre 2007 et 2012, quand ils ont flambé de 15% dans l'habitation neuf, rappelle M.Ciuch.Dans la seule capitale 1,4 million de mètres carrés étaient vides à fin juin 2012. "D'un côté la Mairie nous dit manquer de foncier pour bâtir du logement social, de l'autre elle permet la construction de bureaux dont une grande partie ne trouve pas preneur", déplore Malika Rahoui, du collectif Mal-logés en colère. Or certains immeubles risquent de rester vide longtemps.Suite :http://www.lemonde.fr/immobilier/article/2013/01/29/des-bureaux-qui-restent-vides-sur-fond-de-crise-du-logement_1823806_1306281.html#xtor=AL-32280515 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Perry Posté(e) le 29 janvier 2013 Share Posté(e) le 29 janvier 2013 Le modèle social Français en faillite ? Le C' dans l'air du 29/01/2013 : http://www.france5.fr/c-dans-l-air/economie/le-modele-social-francais-en-faillite-38156 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Perry Posté(e) le 30 janvier 2013 Share Posté(e) le 30 janvier 2013 Excellente émission des Experts aujourd'hui : Charles Gave, Alain Madelin et Jean-Pierre Petit. AMSCjKqtZiQ W-d_-JAGuts V51YXDh2V_w r54f67LrNbc Avec un podcast de l'émission : http://podcast.bfmbusiness.com/channel78/20130129_experts_1.mp3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Perry Posté(e) le 30 janvier 2013 Share Posté(e) le 30 janvier 2013 Bill Bonner - Les classes moyennes et l'inflation. ▪ Nous continuons notre série sur la classe moyenne — qui a été frappée bien plus durement que quiconque le réalise. Si vous faites partie de la classe moyenne, vous êtes comme les soldats de Custer à la bataille de Little Big Horn : ils étaient dans une situation bien plus dangereuse qu’ils le pensaient… Notre conseil : sortez pendant qu’il en est encore temps. Il était confortable de faire partie de la classe moyenne durant les années d’après-guerre. Logement, emploi, voitures, télévisions… tout ça était accessible. Mais depuis trois décennies environ… être dans la classe moyenne n’a rien rapporté. Récemment, c’est devenu désastreux — encore plus désastreux même que ce que nous imaginions. Voici une chose que nous avons mis du temps à réaliser. Pendant de nombreuses années, les critiques se sont plaint de la manière dont les autorités américaines mesuraient l’inflation des prix à la consommation. Selon ces critiques, les autorités la sous-estimaient. Nous pensions que les critiques avaient probablement raison, mais nous n’avons pas vu les implications assez rapidement. C’était juste une question technique, pensions-nous. Certes, les autorités trichaient de manière à maintenir au plancher les ajustements à opérer sur les allocations retraite, santé, etc. Mais ça ne semblait pas une si grosse affaire. Nous avons changé d’avis. Parce qu’au cours de la période de 20 ans qui s’est écoulée depuis qu’ils ont commencé à trafiquer les chiffres, la différence cumulée est gigantesque. ▪ La vérité derrière les statistiques officielles Les sites Chapwood Finances et Shadowstats (de John Williams) ont tous deux examiné l’inflation des prix à la consommation de manière claire et directe — sans tout tordre et fausser. Ils suivent simplement le prix des mêmes choses au cours du temps. Qu’ont-ils découvert ? Que le taux d’inflation US se monte à cinq fois environ ce qu’affirment les autorités. Les prix à la consommation grimpent d’environ 10% par an actuellement. Réfléchissez au fait que ce petit tour de passe-passe dure depuis 20 ans au moins. Vous voyez maintenant que notre compréhension de ce qui s’est passé au cours des deux dernières décennies est en grande partie illusoire. Au lieu de stagner… les salaires de la plupart des gens — y compris les diplômés — chutent à pic depuis au moins deux décennies. Des milliers de milliards de dollars d’investissements — dans les actions et l’immobilier — que les gens pensaient profitables ont en fait perdu de l’argent sur une base ajustée à l’inflation. Les obligations — dans lesquelles les gens plaçaient leur argent précisément pour le mettre à l’abri — perdent en réalité de la valeur réelle au rythme de 10% environ par an. Investissez dans les obligations aujourd’hui et, sauf changement radical des conditions économiques, votre argent aura été divisé par deux d’ici quelques années. La pauvre classe moyenne a payé des prix bien plus élevés… tandis que ses revenus et ses actifs ont chuté ! http://la-chronique-agora.com/inflation-classe-moyenne/ La Chine et la doctrine de Monroe par Addison Wiggin. ▪ La guerre entre les Etats-Unis et la Chine… En voilà une pensée déplaisante… à moins d’être une entreprise dans la défense. La menace d’une guerre pourrait suffire à augmenter la croissance des bénéfices de l’industrie de la défense sur plusieurs années. Nous n’aborderions pas ce sujet macabre — qui consiste à rentrer dans une danse de la mort version marché financier — si les pontes de Washington comprenaient que la Chine est simplement en train de mettre en oeuvre sa propre version de la doctrine de Monroe. Si vous ne vous souvenez plus de cette doctrine, en voici un petit rappel : en 1823, le président James Monroe a fait savoir aux puissances européennes que les Etats-Unis interviendraient pour mettre fin à toute ingérence de leur part en Amérique latine. C’était un signal très fort sur le thème “tenez-vous éloignés de notre pré carré”. Certes, le message était plus subtil que cela ; un Thomas Jefferson vieillissant félicita Monroe pour avoir réussi “une entente cordiale avec l’Angleterre”. En effet, cette doctrine était un accord tacite entre les Etats-Unis et la Grande-Bretagne. Les Etats-Unis profitaient de la flotte britannique, la Royal Navy, dont les navires patrouillaient dans les eaux autour de l’Amérique latine, empêchant les puissances continentales européennes de s’approcher des pays américains. A l’origine, la doctrine de Monroe avait pour but de tenir éloignés les Européens. La doctrine de Monroe à la chinoise a pour but d’empêcher les Etats-Unis de s’approcher encore plus qu’ils ne le sont déjà. “Les pays du Bassin Pacifique ont longtemps été les plus grands partenaires commerciaux des Etats-Unis et Washington déploie plus de 320 000 militaires dans la région, dont 60% de sa marine”, écrit Conn Hallinan, du think tank Foreign Policy in Focus. “Le drapeau américain flotte sur des bases au Japon, aux Philippines, en Corée du Sud, en Malaisie, en Thaïlande, dans les Iles Marshall, Guam et Wake”. La 7e flotte américaine navigue régulièrement près des côtes chinoises, à la limite des 12 miles des eaux internationales. Pas étonnant que les dirigeants chinois aient le sentiment — à tort ou à raison — d’être encerclés. “La Chine a clairement fait savoir qu’elle ne tolèrera pas la menace envers sa sécurité que représente la présence militaire étrangère à ses portes, lorsque ces forces étrangères sont engagées dans des activités conçues pour explorer les défenses chinoises et pour trouver un moyen de les pénétrer”, écrit notre ami Chas Freeman, ancien diplomate américain qui était l’interprète du président Nixon lors de sa visite révolutionnaire en Chine “rouge” en 1972. “Il n’y a aucune raison de supposer que la Chine est moins sérieuse à ce propos que nous-mêmes le serions si nous devions faire face à des opérations maritimes et aériennes toutes autant provocantes le long de nos frontières”. ▪ Les îles Senkaku ne sont pas le seul point de dispute C’est ainsi que les Chinois revendiquent leur domination sur les îles Senkaku, très disputées. “La Chine considère ces îles comme faisant partie de son périmètre défensif”, explique Hallinan, “ce qui est un point de vue compréhensible au vu de l’histoire du pays. La Chine a été la victime de l’invasion et de l’exploitation par des puissances coloniales, dont le Japon, qui remonte à la première Guerre de l’opium en 1839″. La Chine insiste également sur le fait de contrôler dans son bon droit une série d’îles du sud de la mer de Chine — de riches zones de pêche et sources potentielles de pétrole et de gaz. Ces îles, comme les Spratlys et Paracels, sont également revendiquées par… une liste entière de nations : le Vietnam, la Malaisie, Taïwan, le sultanat de Brunei et les Philippines. Et peut-être les Kardashian aussi, pour ce que nous en savons… En outre, la Chine a… - Mis en service son premier porte-avion – Mis au point un avion de chasse furtif appelé J-20 – Augmenté ses dépenses de défense de plus de 10% par an depuis ces 10 dernières années (même si le budget de la défense de Pékin ne représente encore qu’un cinquième de celui de Washington). Une réponse raisonnable de la part des Etats-Unis serait : “regardez, la Chine met en place sa propre doctrine de Monroe. Ils veulent établir leur propre pré carré. En même temps, nous avons 16 400 milliards de dollars de dettes dont 11 000 milliards à la Chine. Pourquoi nous endetter encore plus pour garder 60% de notre marine stationnée dans le Bassin Pacifique ? Peut-être devrions-nous reconsidérer cette notion de ‘lac américain’.” Au lieu de cela, le gouvernement américain double la mise. “Avec la fin de la guerre en Irak et le début du retrait d’Afghanistan, les Etats-Unis sont à un moment pivot”, a écrit en novembre 2011 la secrétaire d’Etat Hillary Clinton dans le magazine Foreign Policy. “L’une des tâches les plus importantes de la gouvernance américaine au cours de la prochaine décennie sera d’augmenter ses investissements dans la région Asie-Pacifique, entre autres dans les domaines diplomatique, économique, et stratégique”. Dans les cercles autorisés de Washington, cette déclaration d’intentions est devenue connue sous le nom “le pivot”. Le même mois où Clinton publiait cet article — au titre présomptueux “Le siècle du Pacifique pour les Etats-Unis” — l’administration Obama envoyait pour la première fois 2 500 soldats américains sur la côte nord australienne. L’étau se resserre autour de la Chine. http://la-chronique-agora.com/etau-militaire-resserre-autour-chine/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 30 janvier 2013 Share Posté(e) le 30 janvier 2013 O. Delamarche du 29 janvier 2013 :http://www.dailymotion.com/video/xx3zgn_olivier-delamarche-29-janvier-integrale-placements_news Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 30 janvier 2013 Auteur Share Posté(e) le 30 janvier 2013 Trés bon ce podcast. Excellente émission des Experts aujourd'hui : Charles Gave, Alain Madelin et Jean-Pierre Petit. Avec un podcast de l'émission : Italie: une banqueroute de Monte dei Paschi menacerait l’Europe. Les conséquences d’une faillite pour les banques, l’Italie, et l’Europe seraient létales Elle entrainerait une faiblesse contagieuse des deux autres grandes banques italiennes, Unicredit et Intesa San Paolo, ainsi que du réseau de caisses d’épargne du pays. Ce faisant, elle menacerait l’ensemble du secteur bancaire européen à travers le marché interbancaire et provoquerait une crise de liquidité. Parmi elles, un montant substantiel prêté à 1% à 3 ans au début de 2012 par la Banque Centrale Européenne. Ancien Gouverneur de la Banca d’Italia, Mario Draghi connaît parfaitement les fils qui lient les institutions bancaires de son pays avec l’Europe et le reste du monde. Une panique entrainerait un effondrement des obligations souveraines italiennes qui s’étaient améliorées suite à l’engagement pris par la BCE de soutenir l’Italie et l’Espagne. Cet engagement a rassuré, mais n’a pas encore été exécuté. Face à un risque de 2.000 milliards d’euros de titres du Tesoro italien, la BCE pourrait se trouver elle-même en difficulté, vu son bilan déjà largement surexposé en créances bancaires de l’Europe du Sud. L’affaire ne s’arrêterait pas à l’Italie : la France serait aux premières loges, et en particulier BNP Paribas, qui détient la Banca Nazionale del Lavoro, elle-même la quatrième banque du pays et qui célèbre son centenaire en 2013. Qui plus est, on voit mal comment un effondrement de la dette italienne n’affecterait pas d’autres pays européens, relançant une spéculation contre les obligations souveraines. La suite : http://finance.blog.lemonde.fr/2013/01/28/italie-une-banqueroute-de-monte-dei-paschi-menacerait-leurope/ Vont-ils rendre les bonus, et autres salaires "extra-ordinaires" que les meilleurs d'entre nous se sont versés? Ok je sors. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 30 janvier 2013 Share Posté(e) le 30 janvier 2013 Italie: une banqueroute de Monte dei Paschi menacerait l’Europe.La suite : http://finance.blog.lemonde.fr/2013/01/28/italie-une-banqueroute-de-monte-dei-paschi-menacerait-leurope/ Vont-ils rendre les bonus, et autres salaires "extra-ordinaires" que les meilleurs d'entre nous se sont versés? Ok je sors. Pourquoi faire ? Les pertes privées doivent être prises en charge par les Etats. Ensuite, les Etats sont surendettés, on fait des "cures" d'austérité, les programmes sociaux "dispendieux" sont réduits voire taillés à la serpe... La procédure est connue, elle fonctionne... où est le problème ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 31 janvier 2013 Auteur Share Posté(e) le 31 janvier 2013 Pourquoi faire ? Les pertes privées doivent être prises en charge par les Etats. Ensuite, les Etats sont surendettés, on fait des "cures" d'austérité, les programmes sociaux "dispendieux" sont réduits voire taillés à la serpe... La procédure est connue, elle fonctionne... où est le problème ? J'ai fait un écart en ajoutant un commentaire un peu perso et provocateur à mon post, donc je ne vais pas te répondre pour coller à la charte du fil. Si tu veux on peut en débattre par MP. La contraction du PIB américain ignorée par Wall Street Wall Street reste de marbre alors que pour la première fois depuis trois ans et demi, le PIB trimestriel américain repasse en territoire négatif. Le PIB des Etats-Unis s’est inscrit en baisse de 0,1% en rythme annualisé pour le quatrième trimestre 2012. C’est la douche froide, le consensus tablant sur une progression de +1%. La contraction est d’autant plus surprenante qu’au troisième trimestre 2012, la croissance américaine était pourtant particulièrement ferme à +3,1% en rythme annualisé. Au final, pour l'ensemble de l'année 2012, le PIB américain a progressé de 2,2%, après avoir augmenté de 1,8% en 2011. Les marchés restent stoïques. Le Dow Jones devrait céder 0,08%, à 13 897 points, le S&P devrait céder 0,17%, à 1502 points. Le Nasdaq devrait accuser un léger repli de 0,09%, à 2740 points. Toujours sur le front économique, et d'après le dernier rapport de la firme ADP relatif à l'emploi privé non-agricole aux États-Unis, pour le mois de janvier 2013, les créations de postes mensuelles se sont inscrites cette fois à 192.000, contre un consensus de place de 172.000. Néanmoins, les créations de postes dans le privé pour le mois de décembre ont quant à elles été revues en baisse à 185.000, contre 215.000 précédemment estimé. Les créations de poste du mois de janvier dépassent la moyenne des 6 derniers mois, qui fait état de 153 000 créations de postes. La suite : http://www.monfinancier.com/bourse/info-et-actu-bourse-valeurs-et-marches-c6/points-marches-r26/la-contraction-du-pib-americain-ignoree-par-wall-street-12736.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 31 janvier 2013 Auteur Share Posté(e) le 31 janvier 2013 Goldman Sachs conseille une baisse générale des salaires de 30 % en France En réalité ce titre pompeux n'est qu'une phrase au milieu d'une interview généraliste du chef économiste de GS. http://www.huffingtonpost.fr/2013/01/20/goldman-sachs-france-huw-pill-france-interview-2013_n_2517175.html?utm_hp_ref=economie Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 31 janvier 2013 Share Posté(e) le 31 janvier 2013 et un gros FUCK à cet empaffé non peut-être ?lui son salaire et ses primes ils diminuent de combien Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 31 janvier 2013 Auteur Share Posté(e) le 31 janvier 2013 :oops::lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 31 janvier 2013 Share Posté(e) le 31 janvier 2013 Greenpeace Suisse et la Déclaration de Berne (DB) ont révélé les lauréats du Public Eye Awards, un prix attribué aux entreprises en raison « des atteintes aux droits humains ainsi que des crimes environnementaux particulièrement graves, commis par des entreprises irresponsables ». Le prix du jury revient cette année à la banque américaine Goldman Sachs et le prix du public a été décerné – par 41 800 personnes qui ont voté en ligne – au pétrolier Shell. Goldman Sachs s’est distinguée en affichant d’excellents résultats financiers (+19%) et a attribué aux 12 membres de son équipe dirigeante 102,2 millions de dollars (75 millions d’euros) de bonus pour l’exercice 2012. Le groupe bancaire américain « est un acteur central de la mondialisation, guidé par la finance, qui alimente les profits de quelques rares nantis par le biais d’inégalités phénoménales et de l’appauvrissement de larges couches de la population », expliquent Greenpeace Suisse et la Déclaration de Berne. Andreas Missbach, expert financier à la Déclaration de Berne, précise à ce sujet : « Les produits dérivés de Goldman Sachs qui ont permis à la Grèce d’intégrer la zone euro de façon frauduleuse ont hypothéqué l’avenir de la population grecque. En outre, les managers de Goldman Sachs sont les maîtres du tourniquet : en occupant alternativement des postes au sein de la banque et des postes publics ou politiques, ils s’assurent les affaires de demain. » Acteur emblématique de la finance, la banque a fait l’objet d’un documentaire diffusé sur Arte qui montre comment, après s’être enrichie pendant la crise des subprimes en pariant sur la faillite des ménages américains, elle a été l’une des instigatrices de la crise de l’euro en maquillant les comptes de la Grèce puis en misant contre la monnaie unique. « Goldman Sachs n’hésite jamais à tremper dans des affaires qui plongent des Etats entiers dans la ruine. En échange d’honoraires exorbitants, Goldman Sachs a camouflé la moitié des dettes de la Grèce par le biais d’astuces de comptabilité conduisant le pays à la ruine et l’UE dans une crise financière qui perdure aujourd’hui encore et dont l’issue ne s’entrevoit même pas », expliquent les ONG. Michael Baumgartner, président du jury des Public Eye Awards, ajoute que « Goldman Sachs est non seulement l’un des principaux gagnants de la crise financière, mais en outre, la banque occupe une place prépondérante dans le casino des matières premières : elle a conquis ces marchés pour en faire sa nouvelle source d’argent et commencé à déstabiliser les prix. Si les prix des denrées alimentaires battent à nouveau tous les records, comme en 2008, des millions de personnes vont sombrer dans la famine et la misère ». http://www.terraeco.net/Goldman-Sachs-et-Shell-entreprises,48068.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 31 janvier 2013 Auteur Share Posté(e) le 31 janvier 2013 Rideau à Amiens Nord: comment Goodyear en est arrivé là Une affaire qui commence en 2007. L'article ne ménage pas le rôle des syndicats dans cette déroute industrielle. • 2007 : La direction de Goodyear souhaite réorganiser le temps de travail des salariés pour des horaires en 4x8 (qui rend possible des sessions de travail les week-ends). Le but affiché ? Sauvegarder pas moins de 402 emplois. Le site d'Amiens sud accepte la proposition, alors que celui d'Amiens nord le refuse suite à la ferme opposition de deux syndicats : la CGT et SUD. • 2008: La direction de l'usine d'Amiens nord organise un référendum et pose la question suivante aux salariés: «pour la sauvegarde de votre emploi, acceptez-vous le changement d'organisation du temps de travail en 4 X 8 et ses contreparties?» La réponse a été «oui» à 75,8%, pourtant la direction n'a jamais pu appliquer cette mesure. L'usine le paie aujourd'hui au prix fort. La suite : http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/automobile/20130128trib000745336/rideau-a-amiens-nord-comment-goodyear-en-est-arrive-la.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 31 janvier 2013 Share Posté(e) le 31 janvier 2013 L'article ne ménage pas le rôle des syndicats dans cette déroute industrielle. "Le coût des pneus produits à Amiens nord est de 75 euros, comparé au prix de vente moyen qui s'élève à 40 euros dans le segment des pneus tourisme en Europe" C'est pas un vulgaire PSE qui va faire chuter le prix de revient de 75%!!! Accessoirement c'est la justice - saisie par certains syndicats certes - qui a repoussé le PSE. Quant a la reprise partielle de l'activité agricole par Titan elle n'a jamais garantie la sauvegarde d'emploi en France. Certes la CGT et Sud n'ont pas aidé a sauvegarder grand chose, mais visiblement Goodyear ne tenait pas a sauvegarder quoique ce soit non plus. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 31 janvier 2013 Auteur Share Posté(e) le 31 janvier 2013 Ce sont les valorisations de 2012 je suppose.L'affaire commence en 2007.Et il me semble, si je paraphrase bêtement l'article, que toutes les initiatives de la direction ont été rejetées.Il n'est pas fait mention des propositions de projets de reconversion industrielle par les syndicats, pour peu qu'il n'y en ait jamais eues.Après si tu ne partages pas le récit du journaliste de la Tribune tu peux donner ta version détaillée.Parce que si je te paraphrase, tu (et les syndicats aussi) pourrais finalement remercier la direction d'avoir maintenu en vie pendant 5 ans un site qui produit des pneus à un cout de 85% supérieur à leur prix de vente.. :P Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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