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Crise financière mondiale [info only]


debonneguerre

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Zone euro: les banques pourront emprunter 1000 mrd EUR à long terme à la BCE :) youpi

 

avec le TLTRO la banque centrale prete aux banques privées aux taux de 0.15 %

oui vous savez les banques qui crée l'argent a partir de rien avec le systeme de resserve fractionnel

il ya un bon gap entre les 0.15 et le taux commercial des banques

on passe le turbo en mode gavage pour les banquiers

 

source romandie news

 

http://www.romandie.com/news/Zone-euro-les-banques-pourront-emprunter-1000-mrd-EUR-a-long-terme-a/493954.rom

 

 

 

 

 

c'est peu etre pas original mais c'est une fissure de plus dans l'edifice civilisationel

la banque espirito santo au bord de l'explosion

"Regulator temporarily bans short selling of Banco Espirito Santo"

source wall street journal

http://online.wsj.com/articles/portugal-regulator-temporarily-bans-short-selling-of-banco-espirito-santo-1404167161

source le figaro

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2014/07/05/20002-20140705ARTFIG00009-les-deboires-de-banco-espirito-santo-font-trembler-le-portugal.php

 

 

 

La banque BNP Paribas est accusée d'avoir publié dans son rapport d'activités 2009 des données, manipulées à la baisse, mesurant les risques de marché encourus par sa filiale BNP Paribas Fortis. Le groupe dément l'information mais l'affaire a été portée devant la Banque centrale européenne, rapporte Le Vif/L'Express à paraître vendredi.

 

source 7sur7.be

http://www.7sur7.be/7s7/fr/1536/Economie/article/detail/1934833/2014/07/03/BNP-Paribas-Fortis-admet-avoir-corrige-des-donnees.dhtml

Modifié par jeanbelved
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la premire banque d'australie CBA a fait perdre des millions a ses clients

 

SOURCE la tribune

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/banques-finance/20140703trib000838300/la-premiere-banque-d-australie-fait-perdre-des-millions-a-ses-clients.html

 

SOURCE

http://www.theaustralian.com.au/business/financial-services/sorry-cba-to-hold-independent-review-into-scandal/story-fn91wd6x-1226976174278?nk=9bd542a3da2df4bfd74b65bdb1566455

 

 

Michel Sapin : "Notre amie c'est la finance... la bonne finance"

 

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Modifié par jeanbelved
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C'est pas la crise pour tout le monde, et ce sera encore mieux à partir de 2020.

La supériorité allemande, sur les terrains de foot et pas seulement.

 

http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20140709trib000839200/la-prosperite-allemande-pourrait-durer-jusqu-en-2030.-et-apres-.html

 

Et à partir de 2030, papyboom teuton.

 

Je les trouve quand même un tantinet optimiste notamment sur la situation de l'europe.

Modifié par debonneguerre
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C'est pas la crise pour tout le monde, et ce sera encore mieux à partir de 2020.

(...)

Je les trouve quand même un tantinet optimiste notamment sur la situation de l'europe.

 

 

Sinon, la Croatie tire la langue après un cocktail de "stabilité économique nationale" et d'austérité de Bruxelles. Voir ici.

 

 

Un tantinet optimiste, oui...

 

L'info rapportée par Kiriyama nous rappelle le contexte général, celui d'une crise qui continue à s'étendre à de plus en plus de pays européens - et qui commence à poindre sérieusement son nez en France. Crise aggravée plutôt que résolue par la politique commune austéritaire-bancaire menée dans le cadre européen. Crise qui ne pourra manquer de provoquer des rétroactions au niveau politique, très probablement des ruptures.

 

Difficile d'imaginer le bousin rester stable jusqu'en 2020. Pour ne pas parler d'atteindre 2030 !

 

Comme je l'avais déjà partagé sur ce fil - mais il y a belle lurette, donc je me permets de reposter - ma vision est plutôt celle d'une valse à trois temps dans laquelle sont engagés les pays européens. Nous sommes au deuxième, celui où l'Allemagne semble voler de succès en succès. Il y aura un troisième temps.

 

La valse de l'Euro, ou : les Allemands aussi sont menacés de banqueroute et de dépression économique

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Un tantinet optimiste, oui...

 

L'info rapportée par Kiriyama nous rappelle le contexte général, celui d'une crise qui continue à s'étendre à de plus en plus de pays européens - et qui commence à poindre sérieusement son nez en France. Crise aggravée plutôt que résolue par la politique commune austéritaire-bancaire menée dans le cadre européen. Crise qui ne pourra manquer de provoquer des rétroactions au niveau politique, très probablement des ruptures.

 

Difficile d'imaginer le bousin rester stable jusqu'en 2020. Pour ne pas parler d'atteindre 2030 !

 

Comme je l'avais déjà partagé sur ce fil - mais il y a belle lurette, donc je me permets de reposter - ma vision est plutôt celle d'une valse à trois temps dans laquelle sont engagés les pays européens. Nous sommes au deuxième, celui où l'Allemagne semble voler de succès en succès. Il y aura un troisième temps.

 

La valse de l'Euro, ou : les Allemands aussi sont menacés de banqueroute et de dépression économique

Y a beaucoup de chose farfelue dans ce billet.

A propos de l'inflation.

Dans un espace économique commun, les prix des produit qui peuvent voyager facilement on tendance a s'aligner. Ici ce n'est pas donc l'inflation transitoire qu'il faut comparer mais bien les prix dans chaque endroit de la zone commune.

Et force est de constaté que ça fonctionne assez bien. Après des inflations de rattrapage, qui aligne les prix, on se retrouve avec un status quo, les prix ne varie plus relativement d'un pays a l'autre.

On constate donc sur ce graphique que les pays les plus cher avant on baisser les prix relativement ... et que les moins cher avant on augmenté les prix relativement. Résultat les prix se sont alignés CQFD.

Inflation_cumulee.PNG

Cette convergence des prix est d'ailleurs un drame pour les "pays pauvres" puisque naturellement ca les appauvris ... par contre pour les pays riche c'est le paradis.

En pratique les prix ne s'aligne que par le haut ... faudrait etre super con pour vendre du lait a 0.50 cents en Roumanie alors qu'on peut le vendre a 1€ en France ... donc on vend le lait a 1€ en France et si les Roumain en veulent ils ont qu'a s'aligner sur les enchères ou boire de l'eau.

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A propos du sujet du bac ES.

 

http://russeurope.hypotheses.org/2498

 

  • Comment la flexibilité du marché du travail peut-elle réduire le chômage ?
  • À quels risques économiques peuvent s’exposer les pays qui mènent une politique protectionniste ?
A ces questions on peut en ajouter une autre, que je n’avais pas relevée, mais qui est tout aussi tendancieuse. Toujours dans ce second sujet, la question (notée sur 10 points, soit la moitié des points) est très discutable : À l’aide de vos connaissances et du dossier documentaire, vous démontrerez que la famille peut constituer un frein à la mobilité sociale des individus.

Une question non orientée ne serait pas plutôt à "Quels peuvent être les effets de la flexibilité du travail sur le chômage" ? Par exemple ?

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Cette convergence des prix est d'ailleurs un drame pour les "pays pauvres" puisque naturellement ca les appauvris ... par contre pour les pays riche c'est le paradis.

 

Les salaires ont généralement suivi l'évolution des prix dans les pays "du Sud" (il ne s'agit pas ici de la Roumanie et des pays de l'Est les plus pauvres). Ce qui a naturellement dégradé la compétitivité des entreprises de ces pays, en plus et en même temps que l'augmentation générale des prix auxquels devaient s'adapter lesdites entreprises.

 

Au final, comme expliqué, du fait de l'ajustement monétaire impossible pour cause de monnaie unique entre pays à l'inflation différente, on se retrouve avec un différentiel de compétitivité pratiquement impossible à compenser pour de nombreux pays de l'Eurozone comparé à d'autres notamment l'Allemagne. Différentiel de compétitivité auquel la politique commune européenne tente de répondre par une déflation salariale dans les pays touchés, résultant en une spirale d'accroissement du poids de l'endettement rapporté à un PIB en diminution, un effondrement de la consommation, une explosion du chômage et de l'émigration surtout des jeunes, ainsi que la disparition de nombreuses entreprises. Processus dont la France vit en ce moment les prodromes, et où l'Italie est plus "avancée".

 

Démonstration en vraie grandeur du fait que rendre impossibles les ajustements monétaires a un prix. Un prix élevé.

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A propos du sujet du bac ES.

 

http://russeurope.hypotheses.org/2498

 

Une question non orientée ne serait pas plutôt à "Quels peuvent être les effets de la flexibilité du travail sur le chômage" ? Par exemple ?

Ah et pourquoi faire faire un sujet neutre-mou-bisounours sur la question de la flexibilité?

La flexibilité peut être une source de réduction du chômage...comme elle peut nuire aux droits des salariés puisque c'est là que tu veux en venir je suppose..mais ce n'est pas le sujet.

Un étudiant exhaustif, posera les arguments du pour et les encadrera en conclusion de son exposé, par les éléments du "SI", ca marche si, car la flexibilité n'est pas forcément un outil garanti de réduction du chômage dans un univers aussi ouvert que le nôtre...etc.etc.etc mais je vais pas faire d'exposé j'ai passé mon BAC ya un moment lol

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Tiens une banque qui serait passée au travers des stress-tests?

En manipulant ses comptes?

Foutu cygne noir!  :cool:

Ça pourrait animer une période estivale que l'on avait annoncée un peu vite comme très calme pour la finance.

 

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/banques-finance/20140710trib000839400/la-crise-de-banco-espirito-santo-attise-les-craintes-de-contagion-en-europe.html

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Ah et pourquoi faire faire un sujet neutre-mou-bisounours sur la question de la flexibilité?

La flexibilité peut être une source de réduction du chômage...comme elle peut nuire aux droits des salariés puisque c'est là que tu veux en venir je suppose..mais ce n'est pas le sujet.

Un étudiant exhaustif, posera les arguments du pour et les encadrera en conclusion de son exposé, par les éléments du "SI", ca marche si, car la flexibilité n'est pas forcément un outil garanti de réduction du chômage dans un univers aussi ouvert que le nôtre...etc.etc.etc mais je vais pas faire d'exposé j'ai passé mon BAC ya un moment lol

C'est pas une question de "mollesse" si c'est une science comme ils le prétendent la neutralité est essentielle. Le sujet pose comme étant acquis que la flexibilité réduit le chômage, l’étudiant n'est pas du tout interrogé sur les limites de la flexibilité. Mais si c'était juste ca pourquoi pas... mais c'est au moins 3 questions posées de façon non neutre. "Comment la famille peut gener la mobilité des travailleurs ?" Et pourquoi pas "Expliquez comment le rétablissement du travail des enfants peut ameliorer la competitivité ?" pendant qu'on y est. Qu'ils se lâchent un bon coup nos orthodoxes :lol:

 

Si ils veulent parler de mobilité pourquoi ne parlent ils pas du probleme de l'immobilier ? Même si perso, j'ai quitté la region de mes parents pour travailler. Pourquoi vont ils emmerder la famille c'est un drôle de sens des priorités.

Modifié par MontGros
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Euh non justement le taux du livret A est supérieur à l'inflation, vu qu'elle est extrêmement faible en ce moment le gouverneur de la banque de France avait proposé de son côté un taux de rému de 0.5%.

 

quand je parle d'inflation il  sagit de l'inflation réelle pas des chiffres truqués du gouvernement ou de leurs officines

Modifié par jeanbelved
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Propose nous alors tes propres statistiques tu as un graphique de l'évolution de l'inflation jeanbelvédienne?

 

c'est simple tu prends un panier de 15 produits toujours les mêmes au super marché pendant plusieurs années en conservant le ticket de caisse

 

et puis après tu constate l'augmentation en  faisant un simple calcul de pourçentage chaque année et tu verra l'inflation réelle

 

et elle est bien + élevée que celle donnée par le gouverne MENT

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Sauf que les produits alimentaires sont une dépense minime du budget des français!

 

ballade toi dans les super et hyper marchés a partir de la deuxième semaine du mois fréquentation en forte baisse plus d'argent

les gens font leur course au compte goute  tout est devenu trop cher et attendent leur maigre paye

 

faut bien que Goldman sachs et autres se gavent en spéculant sur la bouffe les céréales le lait les matières premières et le jus d'orange

 

et que le gouverne ment relevè au cric les banques pourries a coup de QE

quand meme !

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« Mercredi dernier, le cabinet allemand a approuvé le plan qui forcera les créditeurs à sauver les banques de la faillite à partir de 2015, soit un an plus tôt que le délai imposé par l’Europe, qui a concocté un plan similaire. (…) »

Cet article rapporte les propos du Ministre des Finances allemand qui, de façon très hypocrite, indique dans le document que s’est procuré le  WSJ : « Cela permettra de s’assurer qu’en temps de crise, ce sont surtout les propriétaires et les créditeurs (de la banque en difficulté) qui devront contribuer pour résoudre la crise, et non les contribuables. »

 

mouai bof


Les Danois n’aiment pas que l’on touche à leurs entreprises publiques. Avis aux banquiers d’affaires et à leurs paradis fiscaux.

Le gouvernement de coalition danois s’est retrouvé à deux doigts d’une dissolution sur fond d’indignation nationale provoquée par la prise de participation de Goldman Sachs dans une compagnie d’énergie appartenant à l’Etat.

 

nouvel economiste .fr et financial times

 

http://www.lenouveleconomiste.fr/financial-times/goldman-sachs-declenche-une-crise-politique-majeure-au-danemark-21428/

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À propos du dernier Harry Potter ou Piketti (je sais jamais.), il parait que ceux qui achètent ne le lisent pas.

http://m.actualitte.com/n/51277

Quel dommage car quand on le lit, voilà ce que l'on peut penser :

http://www.commentarymagazine.com/article/mr-pikettys-big-book-of-marxiness/#.U7m69ZBb2ko.twitter

Dont un extrait pour ceux qui voient l'action des classes dominantes. Mais quelles classes dominantes au fait :

Why does Piketty reject the more romantic path of the classic Marxist? You know—“Let the ruling classes tremble at a Communistic revolution. The proletarians have nothing to lose but their chains. They have a world to win”—that kind of thing?

One answer to this question explains not only Piketty’s thinking but the response to his work as well: Piketty is a member of the ruling class. Piketty’s way puts Piketty and his friends in charge of everything. A one-time adviser to the Socialist politician Ségolène Royal, a star academic and a columnist for Libération, Piketty is a quintessential member of what the economist Joseph Schumpeter identified as the “new class.” Schumpeter’s prediction of capitalism’s demise hinged on his brilliant insight that capitalism breeds anti-capitalist intellectuals. Educators, bureaucrats, lawyers, technocrats, journalists, and artists, often the children of successful capitalists, always raised in the material affluence of capitalism, would organize to form a class whose collective interest lay in seizing economic decisions from the free market. As Deirdre McCloskey writes: “Schumpeter believed that capitalism was raising up its own grave diggers—not in the proletariat, as Marx had expected, but in the sons of daughters of the bourgeoisie itself. Lenin’s father, after all, was a high-ranking educational official, and Lenin himself a lawyer. It wasn’t the children of auto workers who pulled up the paving stones on the Left Bank in 1968.” No, it was actually people like Piketty’s own parents.

There is a reason the most passionate foes of income inequality tend to be very affluent but not super rich, intellectuals like Paul Krugman and other journalists eager to set the threshold for confiscatory tax rates just beyond their own income levels. But this sort of class war—the chattering classes versus the upper classes—is only part of the equation. Power plays a huge part as well. A full-throated endorsement of classic leftist radicalism would set a torch to Piketty’s own tower of privilege. The State, guided by experts, informed by data, must be empowered to decide how the Rawlsian difference principle is applied to society. Piketty’s assurance that inequality “inevitably” leads to violence amounts to an implied threat: “Let us distribute resources as we think best, or the masses will bring the fire next time.” Once again the vanguard of the proletariat takes the most surprising form: bureaucrats (the true “rentiers” of the 21st century!). A revealing sub-argument running throughout Capital is that we need to tax rich people in ever more, new, and creative ways just so we can get better data about rich people! To borrow a phrase from James Scott, author of Seeing Like a State, Piketty is obsessed with making society more “legible.” The first step in empowering technocrats is giving them the information they need to do their job.

This is what places the Piketty phenomenon squarely in the tradition of Croly and, yes, Marx himself. Piketty’s argument, with its scientific veneer and authoritative streams of numbers, is a warrant to empower those who think they are smarter than the market—and who feel superior to those most richly rewarded by it.

ballade toi dans les super et hyper marchés a partir de la deuxième semaine du mois fréquentation en forte baisse plus d'argent

les gens font leur course au compte goute tout est devenu trop cher et attendent leur maigre paye

On ne doit pas fréquenter les même lieux.

Tu n'es peut être pas au courant mais on ne dépense pas que sa paye mais aussi son revenu.

Et la vie est tellement dure qu'il faut même économiser les majuscules, les "," et les "." dès le 3 du mois. C'est trop dur.

Modifié par Serge
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