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[Somalie] Piège en haute mer pour des pirates au large


Bill

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Tu parle, j'ai eu l'occasion d'aller a Mogadiscio bien avant le partage en sucette du pays et je n'imagine pas une seconde comment c'est possible car depuis au moins 30 ans le pays a quasiment toujours été synonyme de vol, rapine et autre méfait et a tout les niveaux de la société.

J'ai rarement vue même en Afrique un pays aussi gangréné et c'est d'ailleurs pour ca que la charia a pu s'établir un temps et a été vu par certains comme un soulagement.

Au royaume des aveugles les borgnes sont roi..

je souhaite bon courage a celui qui veut démocratiser la Somalie, car c'est simplement impossible pour le moment.

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La solution idéale serait que la Somalie se développe économiquement.

Mais bon, vu qu'ils ne pensent qu'à la guerre civile, c'est chaud.

c'est mort pour un bon bout de temps ! vue le nombre de clans de tributs et d'armes en circulation c'est pas pres de ce calmer !
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http://afp.google.com/article/ALeqM5igioTZX-SVQN4ih3O2gFJnIKzPFw

...Selon les autorités ukrainiennes, le cargo appartient à la société panaméenne Waterlux.

Il transporte 33 chars d'assaut T-72 de conception soviétique, mais aussi 150 lance-roquettes RPG-7, des batteries anti-aériennes, des lance-roquettes multiples et environ 14.000 munitions. Il faisait route vers le port kényan de Mombasa lorsqu'il a été attaqué...

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L'US Maritime Administration conseil un itinéraire plus sur dans le Golfe D'Aden

http://www.corlobe.tk/article10719.html

Navigation dans le Golfe d’Aden : mise en place d’un corridor de sécurité et de convois

Par Rédacteur en chef

Publié le 6 octobre 2008, dernière mise à jour le 6 octobre 2008.

Le mois de février est le mois au cours duquel de nombreux voiliers de croisière transitent par la mer Rouge. A cette époque de l’année, les vents y sont favorables et un voilier peut atteindre la Méditerranée à temps pour profiter du printemps européen.

Cependant, cette année, la difficulté ne sera pas seulement la mer Rouge, mais aussi le golfe d’Aden, infesté par les pirates. Pour cette raison, un corridor de sécurité a été mis en place et les bateaux se voient conseiller de naviguer en convoi.

Au cours de la dernière année, 50 attaques sérieuses de navires ont eu lieu dans la région. 2 voiliers ont été détournés, chacun secouru par les commandos de marine français. Cependant, normalement, des rançons sont payées et cela a exacerbé la situation. Actuellement, 12 navires sont retenus en otage, en attente du paiement d’une rançon. Toute l’économie de la région semble désormais tourner autour des groupes de pirates, qui font du trafic d’armes et d’êtres humains, qui exigent des "taxes" pour la protection des bateaux étrangers qui pêchent dans les eaux somaliennes, et qui s’attaquent aux voiliers et aux cargos qui naviguent au large.

Dans un avis [1] aux navigateurs reçu de Sean T. Connaughton, l’US Maritime Administration (MARAD) suggère aux navires transitant dans cette région de suivre une route dont les coordonnées sont les suivants :

    1. Cet avis aux navigateurs du MARAD précise des points de passage conseillés pour les navires de commerce transitant par le golfe d’Aden.

    2. Le Marlo (Maritime Liaison Office) de Bahrein a envoyé le 25 aout un message qui indique que l’US Naval Central Command avait ordonné la mise en place d’une Maritime Security Patrol Area [2] (MSPA) dans le golfe d’Aden.

    3. De plus, une force de bâtiments de la coalition va patrouiller dans la zone, et des avions vont survoler son espace aérien. Le Commodore Bob Davidson de la marine canadienne, qui commande actuelle la CTF-150, va commander les forces navales dans la zone de patrouille. La MSPA est mise en place pour soutenir les efforts permanents de l’Organisation Maritime Internationale. Les actions de la coalition vont donner à l’OMI le temps de travailler à des actions préventives qui vont conduire à une solution durable à long terme. Les bâtiments de la coalition sont dans la région dans le cadre de notre présence continuelle dans cette région. Bien qu’ils aient effectué par le passé des opérations de routine dans la zone, la mise en place de la MSPA va concentrer les efforts sur la lutte contre les activités déstabilisatrices dans la région et améliorer la sécurité en attendant que des initiatives à long terme murissent.

    4. Coordonnées de la route de sécurité suggérée dans le golfe d’Aden :

    Le corridor de sécurité

    Le corridor de sécurité

    - Point : 12 15N 045E

    - Point : 12 35N 045E

    - Point : 13 35N 049E

    - Point : 13 40N 049E

    - Point : 14 10N 050E

    - Point : 14 15N 050E

    - Point : 14 35N 053E

    - Point : 14 45N 053E.

Notes :

[1] Cet avis est disponible sur le site du NATO Shipping Centre. Il s’agit d’un fichier Word (ajouter l’extension .doc lors de l’enregistrement).

[2] Zone de sécurité maritime et de patrouille.

L'analyse de la rédaction :

Contacté, l’état-major des armées n’a pas confirmé l’existence de cette route, ni indiqué s’il la conseillait aux navires battant pavillon français.

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C'est d'une logique évidente et cette mesure devrait entraîner une chute spectaculaire des actes de piraterie à l'encontre des navires qui respecteront ces procédures.

Surtout avec une couverture navale et aéronavale de zone.

Les vieilles recettes sont souvent celles qui marchent le mieux et celles ci ont été inaugurées en 1917/18 redécouvertes en 1941 et appliquées aujourrd'hui.

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Mer et Marine :

Un vraquier émirati, un chimiquier philippin, un tanker italien et un porte-conteneurs taïwanais... Quatre navires marchands ont été attaqués, mercredi dernier, au large de la Somalie. Ces attaques, qui se sont toutes produites le même jour, démontre une intense activité des pirates, qui visent désormais tous les types de bateaux. Par chance, le 1er octobre, tous les navires surpris ont pu s'échapper, notamment grâce à l'intervention de moyens militaires aériens et navals. Le porte-conteneurs taïwanais s'en serait quant à lui sorti grâce à la mise en oeuvre d'un canon à eau. L'équipage a donc eu beaucoup de chance, les marins faisant face à des pirates armés de fusils mitrailleurs et de lance-roquettes (*). Pour le Bureau Maritime International, la situation au large de la corne d'Afrique atteint « un niveau critique », une soixantaine de bateaux ayant été attaqués dans ce secteur depuis le début de l'année. Plusieurs navires et leurs équipages sont retenus dans des villages côtiers somaliens, les pirates réclamant de fortes rançons pour les libérer.

Parmi eux, le cargo Faina, ses 20 marins et sa cargaison de matériel militaire, dont 33 chars lourds, sont toujours immobilisés devant Hobyo, à 500 kilomètres au nord de Mogadiscio. Abordé le 25 septembre, le navire est encerclé par plusieurs bâtiments de l'US Navy.

La France a présenté au Conseil de sécurité de l'ONU une nouvelle résolution pour combattre la piraterie au nord de l'océan Indien. Dans le même temps, plusieurs pays européens se sont dits prêts, la semaine dernière, à participer au déploiement d'une force aéronavale dédiée à la lutte contre ce fléau. Vendredi, la Russie a de son côté prôné une coordination avec les Etats-Unis et l'Europe pour faire cesser la piraterie. Après l'attaque du Faina, Moscou avait annoncé l'envoi au large de la Somalie d'un navire de la flotte de la mer Noire.

(*) L'utilisation manuelle d'équipements d'autoprotection comme les canons à eau ou les dispositifs à ultrasons reste en effet très dangereuse. En 2005, un marin du paquebot Seabourn Spirit avait, ainsi, été grièvement blessé en repoussant les assaillants avec un dispositif à ultrasons.

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Mer et Marine :

Un vraquier émirati, un chimiquier philippin, un tanker italien et un porte-conteneurs taïwanais... Quatre navires marchands ont été attaqués, mercredi dernier, au large de la Somalie. Ces attaques, qui se sont toutes produites le même jour, démontre une intense activité des pirates, qui visent désormais tous les types de bateaux. Par chance, le 1er octobre, tous les navires surpris ont pu s'échapper, notamment grâce à l'intervention de moyens militaires aériens et navals. Le porte-conteneurs taïwanais s'en serait quant à lui sorti grâce à la mise en oeuvre d'un canon à eau. L'équipage a donc eu beaucoup de chance, les marins faisant face à des pirates armés de fusils mitrailleurs et de lance-roquettes (*). Pour le Bureau Maritime International, la situation au large de la corne d'Afrique atteint « un niveau critique », une soixantaine de bateaux ayant été attaqués dans ce secteur depuis le début de l'année. Plusieurs navires et leurs équipages sont retenus dans des villages côtiers somaliens, les pirates réclamant de fortes rançons pour les libérer.

Parmi eux, le cargo Faina, ses 20 marins et sa cargaison de matériel militaire, dont 33 chars lourds, sont toujours immobilisés devant Hobyo, à 500 kilomètres au nord de Mogadiscio. Abordé le 25 septembre, le navire est encerclé par plusieurs bâtiments de l'US Navy.

La France a présenté au Conseil de sécurité de l'ONU une nouvelle résolution pour combattre la piraterie au nord de l'océan Indien. Dans le même temps, plusieurs pays européens se sont dits prêts, la semaine dernière, à participer au déploiement d'une force aéronavale dédiée à la lutte contre ce fléau. Vendredi, la Russie a de son côté prôné une coordination avec les Etats-Unis et l'Europe pour faire cesser la piraterie. Après l'attaque du Faina, Moscou avait annoncé l'envoi au large de la Somalie d'un navire de la flotte de la mer Noire.

(*) L'utilisation manuelle d'équipements d'autoprotection comme les canons à eau ou les dispositifs à ultrasons reste en effet très dangereuse. En 2005, un marin du paquebot Seabourn Spirit avait, ainsi, été grièvement blessé en repoussant les assaillants avec un dispositif à ultrasons.

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Du nouveaux du cargo ukrainien?

Les marins ont eu droit a un petit tour sur le pont :)


http://www.corlobe.tk/article10755.html

Les marines doivent composer avec des règles rusées pour punir les pirates

Du temps de la marine à voile, lorsqu’une marine attrapait un pirate, on lui liait les mains et les pieds, et on le jetait à la mer. Il pouvait être aussi pendu.

Mais les temps ont changé.

Le capitaine de vaisseau Andres Breijo, responsable de la nouvelle cellule anti-piraterie de l’Union Européenne, ne préconise pas un retour vers le passé. Mais il comprend néanmoins les frustrations des marines européennes qui doivent faire face au fléau de la piraterie d’aujourd’hui.

“Désormais, il y a les droits de l’homme,” explique-t-il, ajoutant qu’il comprenait parfaitement la décision prise le mois dernier par la marine danoise de laisser simplement partir des pirates capturés. “Que peut-on faire ?” demande-t-il, “ils n’appartiennent à aucune nation.” La Somalie, où la piraterie est la plus grave, est après tout un “état défaillant.”

Les marines européennes renforcent leur présence dans le golfe d’Aden pour réduire la menace que représente la piraterie, mais ils seront limités dans leurs actions par des règles d’engagement précises. C’est comme “jouer avec un certain ensemble de cartes,” explique le capitaine de la marine espagnole, qui a passé 3 ans au quartie-général de l’OTAN.

“De l’autre côté, les pirates n’ont pas de cartes, ils ne jouent pas au jeu.”

Les règles d’engagement sont des choses pointues et les marines, c’est compréhensibles, ne veulent pas en parler. Chaque état-membre de l’Union publie son propre jeu de règles, indique le capitaine de vaisseau Breijo, bien qu’il y ait des points communs.

D’abord, les conventions internationales précisent qu’un bâtiment de guerre a l’obligation de venir à l’aide d’un navire de commerce en détresse. “Ils ne peuvent pas tout simplement éteindre la radio,” he says.

Ensuite, lorsque la marine va intervenir pour empêcher une attaque de pirates d’avoir lieu, il y a fort à parier que, si le navire de commerce a déjà été détourné, il ne se passera plus rien.

“Ici, à la cellule de l’Union Européenne, nous prenons des mesures préventives,” explique le capitaine de vaisseau Breijo. “Tout ce qui se passe après qu’un navire ait été attaqué est un problème national.”

Même si le bâtiment de guerre est espagnol et que le navire détourné arbore le pavillon espagnol, aucun commandant de bâtiment de guerre ne reprendra le contrôle d’un navire attaqué sans la permission de Madrid, souligne le capitaine Breijo.

Malgré la résolution 1816 des Nations Unies qui autorise l’utilisation de la force par les puissances étrangères dans les eaux territoriales somaliennes, l’autorisation de l’état du pavillon, dans de nombreux cas un état non-européen, sera nécessaire. Ce délai permet souvent aux pirates de s’échapper.

Les règles d’engagement politiquement correctes d’aujourd’hui signifient que, généralement, les pirates ont peu de chances d’être punis, même s’ils sont arrêtés.

La seule exception remarquable à cette tendance est la marine nationale français, qui a déjà arrêtés 2 groupes de pirates et les a transférés à Paris pour y être jugés. D’autres forces militaires opèrent selon des règles moins prévues à l’avance.

Outre le cas danois, la Royal Navy aurait l’ordre de ne pas ramener de pirates en Grande-Bretagne par crainte qu’ils ne demandent l’asile. La marine allemande aurait reçu l’ordre d’intervenir mais de ne pas poursuivre les pirates s’ils arrêtent de tirer et s’éloignent.

Il y a cependant un espoir, indique le capitaine Breijo. Que la seule présence d’un bâtiment de guerre soit suffisante pour faire peur à la plupart des pirates.

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moi je dis qu'il faudrait faire comme les américains:

les pirates tirent (sur le navire militaire ou civil), les navires de guerre ripostent...

...au 127 mm (76 ou 100 si le 127 est pas dispo...). Enfin remarque, un bon arosage à la 20 mm, ça doit avoir à peu près le même effet...

ça règle le problème des droits de l'homme (c'est pas un meurtre (comme pour le supplice de la planche), mais de la légitime défense ou la défense d'un autre navire en danger*) et le problème des droits d'asile (vu qu'un cadavre va pas demander l'asile...).

*quant au problème de la proportionnalité, c'est simple, on n'a qu'à dire que les pirates avaient peut-être des lance-roquettes et donc qu'il fallait à tout prix éviter de prendre des risques...

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Ne peut on pas utiliser le concept de ’’combattants illégaux’’ institué par les Etats-Unis pour les gens s’adonnant à ce genre de banditisme ? La piraterie peut être comparé à du terrorisme maritime  >:(

La piraterie c'est de la delinquance ordinaire ...

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L’Otan enverra sept bateaux d’ici 15 jours contre les pirates somaliens

L’Otan va envoyer d’ici deux semaines sept navires de guerre dans l’océan Indien pour contribuer à la lutte contre la piraterie au large de la Somalie, en pleine coordination avec l’Union européenne (UE), a indiqué jeudi le porte-parole de l’alliance militaire.

L’article est disponible sur le site du journal.

L'analyse de la rédaction :

Il s’agirait des sept navires de la force navale permanente SNMG2 (Standing NATO Maritime Group) qui participaient à un exercice près du canal de Suez.

Selon le site de l’OTAN, elle est actuellement composée de :

- ITS Durand de la Penne (destroyer, navire amiral Italie)

- FGS Karlsruhe (frégate Allemagne)

- FGS Rhön (navire de soutien Allemagne)

- HS Themistokles (frégate Grèce)

- TCG Gokova (frégate Turquie)

- HMS Cumberland (frégate Royaume Uni)

- USS Barry (destroyer USA)

http://www.corlobe.tk/article10802.html

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La piraterie c'est de la delinquance ordinaire ...

Pas tout  à fait, il me semble.... Citation :

"Dans le domaine du droit international la piraterie est généralement considérée comme le plus ancien exemple d'utilisation du principe de juridiction universelle. Piller les navires en haute mer, bloquer les routes commerciales ou mettre en danger les communications maritimes était considéré par les états souverains comme étant hosti humanis generis (crimes contre l'humanité). Puisque la piraterie, par définition, est pratiquée en dehors des juridictions nationales, les poursuites engagées par des états souverains contre des pirates constituent une situation juridique exceptionnelle."

Cependant il me semble que, si les actes sont commis dans des eaux territoriales, ce n'est plus de la piraterie au sens strict, juridique...

Le droit penal français, prend en compte les actes commis contre des navires (ou aéronefs) français quelque soit l'endroit...

Je ne suis pas sur qu'il y ait une véritable différence (juridique) en droit français  entre un acte de "piraterie" (but économique) et un acte de "terrorisme" commis avec un but "politique"...

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Pas tout  à fait, il me semble.... Citation :

"Dans le domaine du droit international la piraterie est généralement considérée comme le plus ancien exemple d'utilisation du principe de juridiction universelle. Piller les navires en haute mer, bloquer les routes commerciales ou mettre en danger les communications maritimes était considéré par les états souverains comme étant hosti humanis generis (crimes contre l'humanité). Puisque la piraterie, par définition, est pratiquée en dehors des juridictions nationales, les poursuites engagées par des états souverains contre des pirates constituent une situation juridique exceptionnelle."

Cependant il me semble que, si les actes sont commis dans des eaux territoriales, ce n'est plus de la piraterie au sens strict, juridique...

Le droit penal français, prend en compte les actes commis contre des navires (ou aéronefs) français quelque soit l'endroit...

Je ne suis pas sur qu'il y ait une véritable différence (juridique) en droit français  entre un acte de "piraterie" (but économique) et un acte de "terrorisme" commis avec un but "politique"...

Je voulu surtout séparer les notion d'insurrection, guérilla, avec objectif politique, d'une pratique délinquanetielle avec comme but essentiel le gain immédiat.

Meme si légalement pour des probléme d'extranationalité et d'absen,ce de souveraineté des lieu ou sont perpétré les actes de piraterie - quand il ont lieu en haute mer - implique des disposition particuliere, il sera difficile de justifier que la piraterie soit assimiler a des combattant ennemi ou ce genre de statut plus "martial" que "judiciaire".

Donner des statut d'exception a chaque fois qu'on a un souci n'est pas forcement une bonne idée, la pirateries a été bien contenu a Singapour et en Malaisie dans un cadre légal assez classique pas besoin d'inventer une nouvelle usine a gaz pour un phénomène pas nouveau que tout un tas de jurisprudence permet de traiter.

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Invité barbaros pacha

TCG Gokova (frégate Turquie)

Image IPB

Berkut, les Grecs seront sous les ordres de l'amiral de la frégate Turc (ahhh, c'est beau de rêver..), mais bon la mer rouge, l'océan Indien n'est pas étrangère a la marine Turc (d'anciens comptoir Turc en Somalie, Kenya, Soudan, et en Tanzanie..)

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http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5h8sxlGBVY8Sxj2jX9xOKFBl3EZlw

Un cargo grec pris en otage près de la Somalie

Il y a 2 heures

KUALA LUMPUR, Malaisie — Un chimiquier grec et ses 20 membres d'équipage ont été pris en otages vendredi soir par des pirates armés dans le golfe d'Aden, près des côtes de Somalie, a-t-on appris samedi auprès du Bureau maritime international.

Selon Noel Choong, le bateau naviguait d'Asie du Sud-Est vers le canal de Suez quand il a été intercepté. Ce détournement porte à 69 le nombre d'attaques dans les eaux somaliennes depuis le début de l'année, a-t-il ajouté. Sur ce total, 27 bateaux ont été pris en otages et onze se trouvent toujours aux mains des pirates, ainsi que 200 membres d'équipage.

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