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[Somalie] Piège en haute mer pour des pirates au large


Bill

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Intégrer des russes dans une action internationale contre la piraterie serait une bonne idée, ça désamorcerait la tension entre nos pays, et les russes se sentiraient valorisés, sans que ça comporte un problème pour notre prestige, pas forcement leur confier la direction, mais ça serait une bonne chose d'avoir la puissance d'un groupe russe ne serait ce que pour des questions d'intimidation de l'adversaire.

Tout à fait d'accord .

Ca serait plutôt intéressant de se rerapprocher d'eux , et surtout de montrer à la face du monde qu'on est unis (même si c'est que pour la photo) pour la liberté de la circulation des biens ,même Russes et Américains .

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Les corsaires n'ont rien à voir avec des pirates ce sont des civils possédant des lettres de marques du Roi pour livrer la guerre aux adversaires du roi .

Ils se rémunéraient en revendant les prises

Des cargos russes pas à ma connaissance un ukrénien avec des chars à son bord pour d'autres ???

Justement je ne parlais pas des pirates mais des équipages ayant des lettres de course ;)

En fait, une bonne chose serait d'envoyer sur place une bonne douzaine de navire civils sous commandement militaires dont le rôle serait uniquement de jouer les appâts. A leur bord il y aurait de l'armement, mais surtout des hommes des commandos de marine. avec ces navires qui tourneraient dans le coin, attaquer un navire serait comme jouer à la roulette russe. Le problème majeur étant que la peine encourue est trop légère pour dissuader. Les envoyer dans nos prisons, non merci, les relâcher avec une petite tape sur la main, non merci. Par contre couler les navires et les obliger à rentrer à la nage ça pourrait commencer à les faire réfléchir. Evidemment, si on zigouillait tout skiff ou navire mère, là ils comprendraient peut être que la piraterie est une activité dangereuse et pas forcément profitable.

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Les corsaires étaient des civils du premier au dernier homme embarqué. Utiliser des Q ship oui sauf deux bémols les cris  des droits de l’homiste et les conséquences pour le moment il n’y a pas eu de mort ou de blessés graves chez les marins.

Si jamais ils savent qu’il existe un risque qu’est ce qui les empêche de tirer plein but ou à tuer. Comme en plus il ne faut pas négliger le fait qu’une bonne part de ces hommes sont non seulement drogué naturellement au kat mais aussi par leur barbus extrémistes une attaque suicide est toujours à craindre. Que croyez vous qu’il se produirait si jamais deux ou trois cargos étaient envoyés par le fond pire comme ils ne sont pas idiots un pétrolier.

A vous de voir

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Chez Laverdure ... oooops nan Tanguy :)

http://lemamouth.blogspot.com/2009/05/ou-lon-reparle-des-commandos-marine-et.html

Où l’on reparle des commandos marine et du GIGN

Le rapport du député Christian Ménard sur la piraterie maritime regorge d’informations précieuses, dû au panel très large rencontré (1). Entre autres, on notera la répartition des donneurs d’ordres opérationnels des commandos marine, avec des chiffres livrés pour la première fois, à ma connaissance.

Les commandos travaillent à 40% de leur activité pour le… Premier ministre, via les préfets maritimes. Il s’agit d’action de l’état en mer (AEM), particulièrement de lutte contre le narcotrafic et de contre terrorisme maritime (CTM). L’autre employeur est le CEMA, qu’il s’agisse de missions menées pour le compte du COS, à terre ou en mer, ou pour le compte du centre de planification et de conduite des opérations (CPCO). On peut par exemple ranger dans ce compte la formation des commandos afghans, que FORFUSCO va prochainement reprendre au 1er RPIMa, suivant le roulement désormais rôdé.

"Symbiose"

« L’intervention du COS se fait dans le cadre du plan Piratmer », affirme le député, même si l’on voit que par exemple, pour la Tanit, il n’a pas été activé (2). « En ce qui concerne la piraterie, les hommes du COS remplissent deux types de missions poursuit l’élu : ils recueillent des renseignements opérationnels pour disposer d’une bonne capacité d’intervention et mènent des opérations ponctuelles d’intervention ou de libération (du type Ponant). »

On lit plus loin que le « COS travaille également en symbiose avec le GIGN, qui dispose d’une grande expérience en matière de prise d’otage, dans les avions notamment. Par contre, les opérations à terre relèvent des actions commando classiques et constituent le cœur de métier des forces spéciales. »

L’apport de la gendarmerie ne se limite pas au seul GIGN, constate Christian Ménard, qui milite pour l’intégration de gendarmes maritimes : ces professionnels de la mer devant mieux armer les procédures contre d’éventuels recours ultérieurs des défendeurs des pirates interpellés. « En dehors des situations d’urgence requérant l’intervention du GIGN et des forces spéciales, et notamment dans le cas d’opérations planifiées de lutte contre la piraterie, comme l’opération Atalante, la présence de gendarmes enquêteurs pourrait être particulièrement utile à bord des navires engagés ou auprès du commandant de l’opération sur zone. »

Drone antipirates

Le député plaide par ailleurs, comme son confrère Jean-Claude Viollet, pour l’intégration de drones dans la surveillance de cet espace, au large de la Somalie, grand comme quatre fois la France. Je rappellerai seuelement que quatre, c’est justement le nombre de drones endurants dont disposera l’armée de l’Air fin juin dans le meilleur des cas. Trois seront en Afghanistan, il n’en reste plus un seul pour les pirates… Le Harfang est donné pour tenir 10 heures à 1.200 km de sa base d’opérations ; par contre il ne dispose pas pour l’instant… de radar de surveillance maritime, mais seulement d'une boule optronique et d'un détecteur de balise de détresse (PLS). Un concept d'opération reposant sur la seule optronique embarquée est par trop limité, à moins d'avoir des visions sur la position des motherships, ce qui reste, technologiquement du domaine du possible.

Ce séduisant projet de déploiement de drone antipirates n’est donc pas pour tout de suite. Le problème pourrait même être réglé avant qu'on trouve l'argent pour payer les drones, et le temps pour qualifier le radar.

(1) Le député a balayé large, en rencontrant aussi bien des praticiens de l’intervention et de la gestion de crise (Favier, Gillier) que les spécialistes du renseignement (de Mangoux à la DGSE, Puga à la DRM), et évidemment, les armateurs eux-mêmes, principales victimes des pirates.

(2) C’est par contre une des limites du rapport, qui n’a pas étudié cette opération, pas plus semble-t-il que celle du Carré d’As.

Notre photo : pendant les négociations avec les pirates de la Tanit (crédit marine nationale).

Le rapport de Christian Ménard est ici :

http://www.assemblee-nationale.fr/13/rap-info/i1670.asp

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Lu dans ce rapport d'information n°1650 ceci:

Le développement de capacités régionales de sauvegarde maritime est un élément central de la stratégie de lutte contre la piraterie et, plus largement, de restauration de la sécurité maritime dans cette région de l’océan Indien. Or, pour le moment, les moyens dont disposent les États de la région dans ce domaine sont soit limités (au Yémen et à Djibouti) soit embryonnaires (au Somaliland, au Puntland et au Kenya).

Il convient donc d’accroître la coopération internationale en faveur du développement de compagnies de gardes-côtes, sous la forme de formations et de financement des équipements et des infrastructures, mais aussi de mettre en place des mécanismes voire des structures de coopération entre les forces existantes.

Une démarche en plusieurs temps pourrait être envisageable pour la formation des personnels de sécurité des États côtiers (Yémen, Kenya, Djibouti, Nigeria, Cameroun, voire Somalie) aux missions de sûreté maritime.

Dans un premier temps, il pourrait être envisagé d’accueillir sur les bâtiments des forces navales occidentales des détachements de douaniers ou de militaires afin de les sensibiliser et de les former à la fonction de garde-côte. C’est notamment ce que la France a proposé récemment à Djibouti. Dans un second temps, le relais pourrait être passé à un ou plusieurs États côtiers (Djibouti, Yémen, Kenya, Nigeria, Cameroun), tout en leur assurant un soutien financier pour leur équipement, et notamment l’achat et l’entretien de bâtiments adaptés, comme ceux récemment présentés par DCNS ou proposés à l’Union européenne par la société V-Navy. Enfin, dans un troisième temps, les pays concernés pourraient poursuivre cette activité régalienne en pleine autonomie.

Ce même processus devrait pouvoir s’appliquer à la Somalie dès lors qu’elle commencera à reconstruire des structures étatiques et administratives. Il nécessite néanmoins un préalable incontournable : une volonté de coopération réelle et sincère de l’État riverain…

L’instrument de stabilité de l’Union européenne doit être mobilisé afin d’apporter rapidement à plusieurs États de la région (Yémen, Djibouti, Kenya) un financement pour des actions de formation, voire de matériels d’équipement (moyens de communication, radars), dans le domaine de la surveillance côtière.

De très nombreuses coopérations bilatérales, principalement anglo-saxonnes et françaises, existent depuis quelques années avec le Yémen dans le domaine des gardes-côtes et de la sauvegarde maritime. La coopération française est structurelle (formations, dons d’équipements, participation à l’aménagement d’une base de gardes-côtes) mais également opérationnelle, avec l’organisation d’exercices avec la marine française depuis avril 2008. La France participe aussi à la mise en place d’un dispositif de sécurité maritime dans le détroit de Bab el Mandeb à travers un accord tripartite signé avec le Yémen et Djibouti.

Le Kenya est également prêt à contribuer à une action en mer et à la lutte contre la piraterie mais a pour cela besoin d’une aide rapide pour remettre à niveau ses capacités navales. Ce pays a demandé un audit technique à la marine française pour évaluer la valeur opérationnelle des bâtiments existants et préconiser des améliorations réalisables rapidement. Le Kenya a également manifesté son intérêt pour les frégates « Gowind » de DCNS.

• Dans le golfe de Guinée, on peut noter la recherche d’une coopération régionale, voire internationale, pour sécuriser la zone et, sur le plan militaire, des efforts indéniables de la marine nigériane. Le Nigeria semble plus ouvert à la coopération en matière de sécurité, comme en témoigne la signature d’un accord de coopération stratégique avec la France lors de la visite du Président de la République dans ce pays en juin 2008, qui comprendrait notamment, pour ce qui concerne la marine, la fourniture d’équipements de détection et de transmission et des prestations de formation.

Il existe également une coopération avec le Cameroun depuis déjà plusieurs années ; le pays a notamment demandé à la France de réaliser un audit sur la capacité de la marine à remplir des missions de gardes-côtes.

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Bon appart vanter leurs matériels rien de neuf avec un gros bémol stratégique Les cas évoqués sont soit des zones resserrées détroit de Malacca soit des point fixe plateformes pétrolières dans le cas du Putnland les pirates travaillent sur combien de centaines de milles ?

Un maillage de surveillance est toujours possible mais à quel prix et avec quelle efficacité.

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La marine iranienne secourant la Navy le scoop . Remarquez si jamais des pirates leur tombent sous la main la cause est entendue . Ils viennent de dépasser la Chine pour le nombre d'éxecution cette année

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Remarquez si jamais des pirates leur tombe sous la min la cause est entendue . Ils viennent de dépasser la Chine pour le nombre d'éxecution cette année

avec une population 20 fois moins importante  >:( ........sale temps pour les pirates , devraient se remettre a la pêche quelques temps  :lol:

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La marine iranienne secourant la Navy le scoop . Remarquez si jamais des pirates leur tombent sous la main la cause est entendue . Ils viennent de dépasser la Chine pour le nombre d'éxecution cette année

Nos navires ayant un tirant d'eau trop important ,il faudra les faire passer sur des navires Iraniens pour les ramener à Terre et .. Au zut .

Non , c'est méchant ,très, trop .Mais ça va sacrément s'espionner entre Iraniens et .. Autres .

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Russie : la marine russe a déclaré ce vendredi que l'un de ses navires avait tiré sur le village de Vyborg "par erreur". On ne déplore aucun blessé. (Guysen.International.News)

Igor a du perdre son autre main, lui qui croyait être à l'abri du chargeur auto du T-72  :lol:

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Par erreur ? Comment qui disait le cycliste à l'insu de son plein grès.

Je ne suis pas marin mais il me semble que un les tubes possédent une fermeture pour éviter à l'eau de rentrer dans le canon . Sauf si c'est une mitrailleuse et encor vous vous voyez avec une tourelle chargée sans rimes ni raisons.

Bon je dis ça comme ça hisstroire de parler mais connaissant mes amis russes j'ai comme un doute

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Article intéressant dans Courrier International.

"Les chefs des pirates somaliens ont sans doute été formés en URSS"

C'est l'hypothèse qu'avance, dans une interview au quotidien russe Komsomolskaïa Pravda, un ancien officier de marine soviétique.

La piste soviétique est l'hypothèse qu’avance le contre-amiral Blizniouk, ancien directeur du département de préparation militaire de l’Ecole navale de la Caspienne, qui a formé des Somaliens.

Komsomolskaïa Pravda : Sergueï Pavlovitch, d’où vous est venue cette idée sidérante ?

J’ai pu avoir accès à des informations sur la composition des bandes de pirates somaliens et analyser ces données, communiquées entre autres par des marins ukrainiens qui croisent dans le golfe d’Aden, sur des navires transportant des cargaisons civiles. Certains ont été faits prisonniers par des pirates ; ils les ont vu à l’œuvre, leur ont parlé. Or, ces pirates ne cachaient pas qu’ils connaissaient bien l’art de la navigation. Je reçois en outre des informations confidentielles, et je suis de très près tout ce que publie la presse étrangère sur ce sujet. Elle a déjà évoqué le “professionnalisme” impressionnant des bandits, "qui ont manifestement été à bonne école”. C’est ainsi que je suis parvenu à la conclusion que, parmi ces pirates, on doit trouver d’anciens militaires somaliens qui maîtrisent parfaitement la tactique du combat en haute mer. Or cette tactique, ils l’ont apprise dans notre établissement, car les autres écoles de la marine soviétique n’accueillaient pas de Somaliens.

Cela paraît incroyable…

Jugez vous-même. Selon ce qu’en disent les marins ukrainiens libérés, la plupart des pirates auraient entre 35 et 50 ans. Lorsqu’ils étaient chez nous, ils en auraient eu 18 ou 20. Bon nombre des pirates actuels pourraient donc avoir été formés par nous.

Vous avez eu beaucoup d’étudiants somaliens ?

Nous prenions en charge la formation de 70 à 80 étudiants somaliens par an, dans toutes les spécialités – pilotes, artilleurs, radios. Qui aurait pu imaginer que cela se retournerait un jour contre nous ?

Que pouvez-vous dire de leur niveau et de leur tactique ?

Leurs services de renseignements sont bien organisés, et cela aussi, c’est nous qui le leur avons appris. Ils savent à l’avance quel bâtiment doit croiser près de leurs côtes, et avec quel type de fret. Ils savent ce qui va leur rapporter le plus. C’est ce qui leur permet de “gagner” de 20 millions à 100 millions de dollars par an. Avec cet argent, ils peuvent obtenir les informations dont ils ont besoin et surveiller la navigation. Pour ce qui est de leur tactique, ils utilisent 3 à 4 vaisseaux-mères chargés de canots à moteur. Ces bateaux peuvent arborer le drapeau de n’importe quel Etat, et il est difficile de les démasquer.

Tout de même, l’Ecole de la Caspienne n’a pas appris à ces gens à capturer des navires ?

Non, en effet. Cela, ils l’ont appris tout seuls. Chez nous, on enseignait la base des manœuvres en mer… Les pirates sont résolus et rapides. Une capture se déroule en quelques minutes. Depuis le fameux pirate Morgan [XVIIe siècle], peu de choses ont changé. Les attaques se passent de nuit. Les radars sont incapables de repérer les Zodiac ou les barques en bois. Seul le métal apparaît sur les écrans. L’assaut dure un quart d’heure. Les canots rapides se lancent à l’abordage, les agresseurs projettent des grappins sur leur cible et se hissent sur le pont.

Nous avons également recueilli l’avis d’un témoin, Andreï Sazonov, capitaine de vaisseau, officier à l’état-major de la marine du Pacifique :

Je trouve très convaincante l’hypothèse que propose le contre-amiral Blizniouk. Nos navires de guerre sont présents dans le golfe d’Aden. Nos marins ont réussi à capturer une imposante bande de pirates somaliens, qu’ils ont remis aux autorités kényanes. Certains des bandits parlaient un assez bon russe ! Ils n’ont pas voulu dire où ils avaient appris notre langue. Pourtant, on pouvait discuter avec eux sans interprète ! Ça ne vous semble pas curieux ?

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http://www.lemonde.fr/international/article/2009/05/29/interpol-favorable-au-renforcement-de-l-arsenal-legislatif-contre-la-piraterie-maritime_1199600_3210.html

Le secrétaire général d'Interpol, Ronald K. Noble, a estimé vendredi 29 mai à Rome que la piraterie maritime était un problème de criminalité organisée contre laquelle il fallait lutter par un "renforcement des lois", et pas seulement par des moyens militaires.

"Il y a un réel besoin d'une stratégie internationale commune incluant un arsenal législatif renforcé pour combatte la piraterie maritime et les attaques maritimes armées", a déclaré le secrétaire général de l'organisation, basée à Lyon, et qui s'exprimait devant les ministres de l'intérieur et de la justice des pays du G8, selon un communiqué.

Selon M. Noble, un renforcement des lois "permettrait de créer un lien nécessaire entre les interventions militaires, qui débouchent sur des arrestations, et les poursuites engagées contre les pirates ainsi que les enquêtes sur leurs méthodes". A cet égard, il a proposé la création d'une structure "chargée des enquêtes et des poursuites dans la région concernée" qui pourrait bénéficier "du soutien des moyens internationaux d'Interpol et de son réseau de 187 pays-membres".

Soulignant l'urgence de recueillir et de partager des informations telles que photographies, empreintes digitales et ADN, le dirigeant a déploré l'absence "de système central de collecte, d'échange et de coordination" et plaidé sur la nécessité d'une base de données sur les pirates déjà connus, afin "de [se] faire une meilleure idée (...) sur la façon dont ils opèrent".

"Ces pirates criminels s'organisent de manière à cibler leurs victimes, à les prendre en otages et pratiquent l'extorsion de fonds. Nous devons donc suivre la piste de ces fonds pour frapper les intérêts économiques de ce genre de criminalité organisée", a-t-il estimé.

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Oui sauf qu'allez suivre des fonds à Dubai ou en Arabie Saoudite... C'est plus simple aux Bahamas.

Effectivement si vous taxez le portefeuille la chose risque de dépérir . Mais le pauvre pêcheur illétré lui reste sur place Attention au match suivant eux n'ont rien à perdre à l'inverse de commanditaires qui sont des sortes de commerçants 

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Face à la multiplication des actes de piraterie au large de la somalie ,le conseil des ministres belges su 30 avril 2009 a decidé de mettre des militaires à bord de navire marchands battant pavilllon belge .

les navires marchands belges pourront faire faire appel à une équipe de huit militaires .il en coûtera aux armateurs un forfaît de 115 000 euros par trajet ,vers le nord ou vers le sud pour une durée d'environ huit jours.

la défense mettra ses militaires à disposition ,avec un préavis de 48 heures,sous certaines condition : entre autres, chaque armateur devra démontrer que son navire est parfaitement assuré pour cette zone maritime et devra également renoncer à poursuivre l'état belge pout tout dégât éventuel ,au bâtiment et à son équipage suite à un acte de piraterie .cependant la décision d'entreprendre une action reste une prérogative du commandant de l'équipe militaire.

trois équipes de huit hommes sont prêt à partir .si la période d'essai qui, doit se poursuivre jusqu'à la fin juin 2009 ,s'avére concluante ,sept ou huit équipes ,composés de huit militaires seront opérationnelles en même temps face aux côtes somaliennes.

contrairement à se qui avait été pressenti ,ces miltaires ne seront pas des issus des forces spéciales belges ,mais des paras commandos du 2° CODO de flawinne .ils seront basés probablement à dubaï,djibouti et mombasa .            THIERRY CHARLIER .RAIDS 

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On y vient tout doucement réarmer les navires marchands. Je veux bien mais il va falloir faire accepter les pertes qui en découlent.

Pour l’instant les pirates se sont conduit en gentlemen à ma connaissance il n’y a pas de morts.

Je peux me tromper mais je crois bien que l’information serait repassée en boucle.

Mais si l’on se bat à bord ; le propres des balles perdues c’est le plus souvent de ne  pas l’être pour tout le monde et ne me parlez pas du pavillon si ces gentils garçons sont assez imbibés de kat pour confonde un navire de guerre et un vaisseau civil reconnaître le pavillon belge …

Lez risque se retrouver comme à une époque avec des convoyeurs de fonds armés et équipés et de l’autre dez truands qui n’hésitaient pas à utiliser du RPG en pleine ville 

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