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Police, Gendarmerie, Pénitentiaire, Pompiers [infos only]


Akhilleus

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Ce n'est pas de la stricte politique policière ou de l'équipement des forces de police mais l'outil rajouté à l'arsenal des enquêteurs peut être très intéressant pour l'avenir de la lutte contre le crime organisé par les services concernés par le sujet aussi me permettrais-je d'apposer. Une loi de 2004 recevra enfin ses mesures d’exécution.

 

http://www.franceinfo.fr/justice/justice-un-statut-de-repenti-va-voir-le-jour-1139431-2013-09-12

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  • 2 weeks later...

On suggère l'utilisation de drones pour lutter contre l'insécurité dans les quartiers Nord à Marseilles :

 

http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/09/24/des-elus-ps-de-marseille-preconisent-le-recours-a-des-drones-contre-le-crime_3483435_3224.html

 

 

Des drones pour surveiller les quartiers Nord de Marseille. Et lutter contre le crime depuis le ciel. C'est l'idée que le préfet de police des Bouches-du-Rhône a suggérée, début septembre, lors de la table ronde sur le pacte national de sécurité que le gouvernement veut mettre en place. La proposition a été reprise publiquement par un candidat à la primaire socialiste, Eugène Caselli et par plusieurs ténors de la gauche marseillaise.

Depuis quelques mois, rien ne semble excessif pour lutter contre les trafics dans les quartiers Nord. Jean-Paul Bonnetain, préfet de police, a ainsi évoqué le 7 septembre devant les élus locaux, rassemblés pour parler de la sécurité dans la cité phocéenne, la recherche de "modes de surveillance alternatifs". Des "moyens aériens" – des drones – sont à l'étude explique-t-il. Il s'agirait de les utiliser dans "certaines investigations qui demandent de longues surveillances et pour des topographies particulières que sont les cités de Marseille", ajoute son cabinet.

3483660_3_004a_des-elus-ps-marseillais-s

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Si on commence à envoyer des drones au dessus des quartiers nord, les voyous vont s'adapter : en plus des Kalash et des RPG, ils vont acheter des SA-7... :-X

 

et ça apporte quoi de plus, un drone, par rapport à des caméras ?

combien de temps ça tient en l'air ?

c'est blindé ? ça résiste à un chargeur de kalash ? (parce qu'on peut quand meme penser que les petits sauvageons vont s'amuser à les canarder)

 

on fait quoi des images filmées ? (quand on sait que celles des images des caméras de Noailles ne peuvent pas servir aux poursuites, que vont apporter celles là ?)

 

combien de temps pour que ça soit operationnel ? combien de personnel à former (et combien de temps) ?

Modifié par christophe 38
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On suggère l'utilisation de drones pour lutter contre l'insécurité dans les quartiers Nord à Marseilles

 

Ca va faire polémique à la télé et à l'Assemblée. J'imagine déjà les "débats". Ca promet de chaudes discussions.

 

Est-ce que d'autres pays y ont déjà recours ?

 

Ca peut éventuellement servir à pister des malfaiteurs. Imaginons que certains prennent la fuite après une attaque, le drone peut les suivre et renseigner en temps réel sur leur position. Evidemment derrière ça devra suivre : transmission des informations, adaptation aux évènements...

Modifié par Kiriyama
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Les USA utilisent des drones pour surveiller leurs frontières (les Customs avait ou a toujours un Predator sauf erreur)

 

En Suisse, les drones ADS-95 Ranger des forces aériennes sont occasionnellement opérés en faveur du corps des gardes-frontières pour des missions de surveillance.

Modifié par Chris.
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Les USA utilisent des drones pour surveiller leurs frontières (les Customs avait ou a toujours un Predator sauf erreur)

 

En Suisse, les drones ADS-95 Ranger des forces aériennes sont occasionnellement opérés en faveur du corps des gardes-frontières pour des missions de surveillance.

 

 

sauf que là, on parle de quartiers, pas d'etendues, pas de km lineaires..

on parle de drones et l'image nous montre un objet de petite taille, donc une autonomie limitée (encore plus en electrique)...

 

bref, dans le cas présent et comme ça, pour moi, c'est impossible.

 

enfin, je vous rappelle que les caméras dans le domaine public ne doivent pas filmer  les entrées des domiciles, et encore moins l'interieur des domiciles. Là, on en est loin.

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sauf que là, on parle de quartiers, pas d'etendues, pas de km lineaires..

on parle de drones et l'image nous montre un objet de petite taille, donc une autonomie limitée (encore plus en electrique)...

 

bref, dans le cas présent et comme ça, pour moi, c'est impossible.

 

enfin, je vous rappelle que les caméras dans le domaine public ne doivent pas filmer  les entrées des domiciles, et encore moins l'interieur des domiciles. Là, on en est loin.

Pourtant dans le contexte des trafics de drogue, on voit que dans les rues à trafic, il y a un guetteur à l'entrée de la rue, un guetteur à la sortie et un brave type tout à fait inoffensif qui est assis sur une chaise avec une bouteille de jus d'orange... sauf qu'il est là même en hiver, sous la neige : quelle conscience professionnelle de vendeur de jus d'orange...

Or les services de police sont souvent intéressés à planquer à proximité de ces zones de deal, afin d'en repérer la séquence et mettre le grappin sur les livraisons.

Le problème est qu'il n'est pas toujours aisé de s'approcher de telles zones, souvent situées au milieu d'une cité et où il n'y a pas forcément une zone de planque suffisamment discrète tout en étant bien orientée sur la zone à repérer :

De ce point de vue , un drone dans le ciel a l'avantage d'apporter un point de vue indépendant d'une zone de planque (où le fonctionnaire peut aussi se faire découvrir et passer alors un sale quart d'heure).

L'autre solution, c'est l'EC-135 avec boule d'optronique... mais c'est tellement bruyant que tout le monde sait qu'il est là... Certes les clients dans leur mini Clubman apprécient modérément d'être pris en photo... mais cela n'a un effet que transitoire...

Donc un drone ayant une autonomie de quelques heures, cela vaut bien le fonctionnaire qui va aller "planquer" dans des conditions de confort ou de sécurité médiocre autour d'une période de temps circonscrite !

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Pourtant dans le contexte des trafics de drogue, on voit que dans les rues à trafic, il y a un guetteur à l'entrée de la rue, un guetteur à la sortie et un brave type tout à fait inoffensif qui est assis sur une chaise avec une bouteille de jus d'orange... sauf qu'il est là même en hiver, sous la neige : quelle conscience professionnelle de vendeur de jus d'orange...

Or les services de police sont souvent intéressés à planquer à proximité de ces zones de deal, afin d'en repérer la séquence et mettre le grappin sur les livraisons.

Le problème est qu'il n'est pas toujours aisé de s'approcher de telles zones, souvent situées au milieu d'une cité et où il n'y a pas forcément une zone de planque suffisamment discrète tout en étant bien orientée sur la zone à repérer :

De ce point de vue , un drone dans le ciel a l'avantage d'apporter un point de vue indépendant d'une zone de planque (où le fonctionnaire peut aussi se faire découvrir et passer alors un sale quart d'heure).

L'autre solution, c'est l'EC-135 avec boule d'optronique... mais c'est tellement bruyant que tout le monde sait qu'il est là... Certes les clients dans leur mini Clubman apprécient modérément d'être pris en photo... mais cela n'a un effet que transitoire...

Donc un drone ayant une autonomie de quelques heures, cela vaut bien le fonctionnaire qui va aller "planquer" dans des conditions de confort ou de sécurité médiocre autour d'une période de temps circonscrite !

bonjour

 

 

la variante, c'est la caméra qui filme le secteur depuis un appartement inoccupé ou posée sur le tableau de bord ou la plage arriere d'une voiture ... comme des collegues de certains services savent faire.

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Il faudrait un drone tres leger qui puisse se poser sur le bord d'un toit d'immeuble (sans se faire attaquer par les corbaks :D ), ca permettrait de faire de la surveillance tres discrete:

http://www.geek.com/science/robo-raven-is-a-robotic-drone-that-flies-like-a-real-bird-1559835/

mais, ça, ça implique que le pilote du drone soit rentré dans la cité et soit monté sur le toit sans se faire reperer ; donc, s'il y est, pourquoi se limiter en temps avec l'autonomie du drone plutot que de poser des caméras ?

 

et quand le drone sera repéré, il s'exfiltrera comment, le pilote ?

 

et quand les mecs auront l'habitude d'avoir des drones au dessus d'eux, comment feront ils ? ils iront dans les caves ou les parkings souterrains...

Modifié par christophe 38
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mais, ça, ça implique que le pilote du drone soit rentré dans la cité et soit monté sur le toit sans se faire reperer ; donc, s'il y est, pourquoi se limiter en temps avec l'autonomie du drone plutot que de poser des caméras ?

et quand le drone sera repéré, il s'exfiltrera comment, le pilote ?

et quand les mecs auront l'habitude d'avoir des drones au dessus d'eux, comment feront ils ? ils iront dans les caves ou les parkings souterrains...

il y a des drones un petit Chouia pus gros dans la même firme qui fond de la cartographie civile , donc en pratique avec une portée plus grand sans necessité de coller le pilote au plus près du drone.

De plus pour l'appart inoccupé, encore faut il qu'il y en ait un de dispo ; ensuite il faut qu'il ait une vue qui porte sur la zone à surveiller...

Ensuite, si ils sont contraint à aller dans les caves, cela risque de ne pas plaire forcément aux clients...donc gêner le trafic .

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Ce qui est bizarre c'est que tout le monde est d'accord pour s'accorder sur le fait que la lutte contre les stup telle qu'on la connais est un échec cuisant depuis des dizaine d'année, et qu'on espère qu'avec un "eyes in the sky" tout va changer!!!

Tant qu'il y a un marché il y aura des marchands. Tu veux pourrir les stup', harcèle les clients, c'est très facile mais politiquement couteux, d'autant plus qu'avec nos tribunaux engorgé on serait incapable de traiter les millions de cas. Colle des dépistages a la médecine de travail, à l'école, au volant etc.

Si le marché se tarit ... les marchands iront faire d'autres affaires. Ooooooops ... serait-ce pire que le mal précédent?

Moi ça m'amuse toujours ces soit disant solutions technos qui sont un cautère sur une jambe de bois de notre "stratégie" contre les trafics.

L'autre aspect c'est la rentabilité.

Pourquoi beaucoup de monde mange sur le stup, tout simplement parce que les profit sont immense. Tellement immense que ca en devient vite irrésistible et sans concurrence aucune.

Fait chuter cette rentabilité ... tu fais disparaitre le trafic.

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Ce qui est bizarre c'est que tout le monde est d'accord pour s'accorder sur le fait que la lutte contre les stup telle qu'on la connais est un échec cuisant depuis des dizaine d'année, et qu'on espère qu'avec un "eyes in the sky" tout va changer!!!

Tant qu'il y a un marché il y aura des marchands. Tu veux pourrir les stup', harcèle les clients, c'est très facile mais politiquement couteux, d'autant plus qu'avec nos tribunaux engorgé on serait incapable de traiter les millions de cas. Colle des dépistages a la médecine de travail, à l'école, au volant etc.

Si le marché se tarit ... les marchands iront faire d'autres affaires. Ooooooops ... serait-ce pire que le mal précédent?

Moi ça m'amuse toujours ces soit disant solutions technos qui sont un cautère sur une jambe de bois de notre "stratégie" contre les trafics.

L'autre aspect c'est la rentabilité.

Pourquoi beaucoup de monde mange sur le stup, tout simplement parce que les profit sont immense. Tellement immense que ca en devient vite irrésistible et sans concurrence aucune.

Fait chuter cette rentabilité ... tu fais disparaitre le trafic.

re,

 

juste une illustration pour ce que tu écris :

tout le monde a entendu parler des reglements de compte à Marseille, dans les cités.

 

certaines montées d'immeuble dégagent de 40 000 à 100 000 euros de chiffre d'affaire par semaine.

Regardez combien vous déclarez et ce que vous devez faire comme taf, horaires, risques pour les gagner.

 

Imaginez des gosses, analphabetes ou presque, qui ont des parents au chomage et qui voient miroiter des billets comme ça ... vous croyez qu'ils vont raccrocher et aller bosser pour le SMIC ? (alors qu'un chouf, chez eux, fait 100 euros par jour.... 3000 euros par mois)

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Imaginez des gosses, analphabetes ou presque, qui ont des parents au chomage et qui voient miroiter des billets comme ça ... vous croyez qu'ils vont raccrocher et aller bosser pour le SMIC ? (alors qu'un chouf, chez eux, fait 100 euros par jour.... 3000 euros par mois)

 

Le problème est là.

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En écoutant la radio se matin ,j'ai entendu cette histoire de cette femme qui c'est fait abattre par la police au volant de ça voiture a Washington car elle avait forcé un barrage de police, son enfant était a l’arrière de la voiture. Les policier étasunien non pas les même protocole d’engagement que nous ,en France . Je voulait donc savoir si les balle utilisé par la police(peu importe le pays) on un coefficient de pénétration relativement faible pour ne pas "transpercé" une personne et en touché une autre accidentellement derrière.

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En écoutant la radio se matin ,j'ai entendu cette histoire de cette femme qui c'est fait abattre par la police au volant de ça voiture a Washington car elle avait forcé un barrage de police, son enfant était a l’arrière de la voiture. Les policier étasunien non pas les même protocole d’engagement que nous ,en France . Je voulait donc savoir si les balle utilisé par la police(peu importe le pays) on un coefficient de pénétration relativement faible pour ne pas "transpercé" une personne et en touché une autre accidentellement derrière.

 

 

on essaie !

 

 

à l'époque du passage au revolver, dans les années 82-85, avec les RMR (après l'épisode des MR 73 avec des barillets qui acceptaient les demi lunes pour mettre les 9 para), nous sommes passés au 357 full métal jacket.

A Lille, de mémoire, suite à une prise d'otage ou un incident grave, le GIPN local a tiré, touché l'auteur et blessé au moins une personne derriere : taux de pééntration trop important.

Dans le meme temps, sur Marseille, un échange de tirs avec des malfaisants, une riposte policiere et un autre cas de surpenetration avec un autre individu (qui n'y était pour rien sur ce coup là (lire "connu des services de police mais pas sur ce coup là").

 

Ensuite, ça a ronronné jusque vers 84-85 où de nombreux cas de déssertissages des balles ont été notés.

Il a fallut tirer rapidement ce qui était encore tirable (au stand) et la boite s'est inquieté du coup du remplacement (5 francs de l'époque, soit 75 cents la mun').

Entre le cout et les dégats collatéraux, on en est revenu (en arrière) aux bonnes vieilles mun' chemisées (un de mes officiers ne voulait pas me voir avec des speer gold dot arguant que ça ne respectait pas la convention de la Haye sur les munitions déformantes utilisées par les armées belligérantes... sauf que la police nationale n'est pas en guerre et que ce n'est pas une armée..)

Bref, interdit de se faire prendre (avant) et si usage (justifié), la legitime défense annule les autres infractions... (sauf les sanctions administratives). J'avais donc soit des +P soit des gold dot, soit des hydra shock.

 

 

Dans les années 2000-2005 et surtout depuis l'arrivée du SIG 2023, de nouvelles mun qui dissipent leur énergie à l'impact (déformantes, donc) sont apparues.

Certains collegues ont pesté : sous incidences, elles ne passaient pas les portes des voitures...

 

C'est un peu la quadrature du cercle : si tu veux toucher, il faut une munition qui ne s'arrete pas (et qui garde une certaine énérgie pour incapaciter à l'impact)... donc, des risques de surpenetration.

 

Enfin, concernant la dame morte au USA, je ne suis pas certains que les policiers aient vu, avant le tir, la présence de l'enfant.

Cela étant, chez nous, nous sommes formés à la procédure AMOK ; tu vas trouver plein de liens ici :http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=2&cad=rja&ved=0CDkQFjAB&url=http%3A%2F%2Fwww.polfed-fedpol.be%2Fpub%2Finforevue%2Finforevue1_11%2F11_01-IRFR-Amok.pdf&ei=JrVOUtuvFqmM7AaI1oHoAQ&usg=AFQjCNFp_-QIvVnQmSAvYkDmBwO5b874VA&sig2=LPWwyMCX9lkX7MsixCVpCg&bvm=bv.53537100,d.ZGU

Imagine toi dans un avion de chasse derriere un des avions de ligne détournés le 11 septembre : tu as le choix de tirer missile et tuer 200 personnes d'un coup ou de laisser faire.... et d'avoir 3 000 victimes.

Imagine toi à Nairobi : si tu portes assistance aux blessés, les auteurs continuent à massacrer ; il faut les eteindre le plus vite possible.

 

Là, imagine toi que, dans le périmetre du Capitole, ce soit une voiture piegée ... que le bébé soit vrai (si la conductrice veut vraiment mourir, ce n'est pas cela qui changera la donne) ou pas... tu es dans la voiture de patrouille derriere ; tu fais quoi ?

Le probleme, c'est que la situation bouge en permanence et qu'il faut faire vite.

 

La conductrice a fait son choix. Le policier, tireur, devra vivre avec.

Modifié par christophe 38
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De plus les règles d'engagement des flics US sont plus souples que les notre.

Si les flics chez nous devaient tirer sur chaque voiture qui force un barrage, ce serait une hécatombe.

La bas cela arrive beaucoup moins car si quelques fonce sur un policier il est quasi sûr de se faire tirer dessus, ici non.

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Hummm d'accord je voit le principe des balle justement je mepossait la question des portiere et autre obstacle ,sait le casse tête tout ça...

Il existe des balle déformante peu pénétrante mais trés dangeureuse ,je croit que on les surnom les "grif du ranger" quelle que chose du genre !

 

Concernant le fait divers je ne juge absolument pas les policier qui on tiré ,au vu de la vidéo au on peu voir au début que les policier encercle la voiture son a bout-touchant des vitre et du par-brise avec leur arme et ne tire pas(peu etre on t-il vu l'enfant) et surtout d'autre vidéo que j'ai pu déjà voir sur des policiers (3) qui engageait et vidait leur chargeur a 10m sur un homme seul armé d'une seul barre de fer je trouve qu'il on agis avec calme et grand professionnalisme.

 

Concernant tout les autre exemple ça c'est impossible a faire ,on ne peu pas savoir se qu'il va se passé ,sacrifier 1 personne pour en sauvé 10 ,et si parmi les 10 il y a une personne qui va en tué 100 ,et si la personne que l'ont sacrifie va inventé un vaccin contre le sida ?! Bon jugement et libre arbitre...

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http://delinquance.blog.lemonde.fr/2013/10/10/linsaisissable-circulaire-sur-lutilisation-des-vehicules-saisis/

http://i.imgur.com/LdgVDyB.jpg

L’insaisissable circulaire sur l’utilisation des véhicules saisis

 

C'est une jolie usine à gaz comme on les aime dans la haute administration française. La circulaire d’application 1323437C du 11 septembre, élaborée par l’intérieur, la justice et les finances, doit permettre aux policiers, aux gendarmes et aux douaniers d'utiliser les voitures ou les motos saisies lors de procédures judiciaires, avant même le jugement. Elle déroule, sur 14 pages, les "conditions de mise en oeuvre de la procédure d’affectation". Est adjoint un schéma récapitulatif qui permet en un coup d’oeil de mesurer la simplicité de ladite procédure.

 

Schéma récapitulatif pour l'affectation des saisies aux services d'enquête

 

La possibilité pour les services d'enquêtes d'utiliser des véhicules saisis en cours de procédure judiciaire a été ouverte par l’article 98 de la LOPPSI 2 (loi de programmation pour la performance de la sécurité intérieure) du 14 mars 2011. Lors de son audition par la commission des lois de l'Assemblée nationale, Michèle Alliot-Marie, alors ministre de l’intérieur, avait estimé que "lorsqu’un petit caïd de quartier se fera confisquer sa Porsche et la verra revenir conduite par un policier, il sera ridiculisé aux yeux des autres, ce qui est peut-être la pire sanction qu’on puisse lui infliger".

 

Qui va payer?

 

Evidemment, il y a un problème: tous les mis en examen dont on saisit les biens ne seront pas condamnés à la fin. Que faire si le propriétaire d’un véhicule utilisé est en droit de le récupérer à l’issue d'un non-lieu, d'une relaxe ou d'un acquittement? Etrangement, les députés et les sénateurs se sont très peu préoccupés de la question (à leur décharge, la LOPPSI 2, un invraisemblable fourre-tout, a été difficile à digérer). "Bien sûr, si les propriétaires de ces véhicules n’étaient pas condamnés ou si une peine de confiscation n’était pas prononcée, ils les récupéreraient, s’ils n’ont pas été vendus, ou ils seraient indemnisés à concurrence de leur valeur d’usage au moment de l’aliénation", avait simplement confirmé le sénateur Jacques Gautier (UMP, Hauts-de-Seine) lors des débats, sans dire par qui…

 

La circulaire 1323437C a tranché: ce seront les services d'enquête eux-mêmes. Ils devront payer non seulement "une indemnité compensant la perte de valeur qui a pu résulter de l’usage" du véhicule, mais également l’expertise finale du bien et les frais de garde. Autant dire que dans des services enquêteurs où l’achat de ramettes de papier devient un combat à partir du mois de septembre (en général, il faut arbitrer entre imprimer un document ou se chauffer), la perspective d’avoir à débourser des milliers d’euros pour profiter quelques mois d’une voiture ou d’une moto devrait décourager même les plus motivés. D’autant plus qu’il s’agit, par définition, de rembourser un ancien suspect que le service avait interpellé. On imagine la tête du patron de PJ qui rendra sa Porsche Cayenne avec un gros chèque à l’individu qu’il pensait (et pense peut-être encore) être un trafiquant de drogue. Qui sera alors "ridiculisé", pour reprendre les mots de Michèle Alliot-Marie?

 

On va dire que le pari est un chouïa risqué. "Mais pourquoi n’ont-ils pas confié ça à l’Agrasc ou à un fond de péréquation?", s’interroge un commissaire. Depuis 2010, l’Agence de gestion et de recouvrement des avoirs saisis et confisqués (Agrasc) est justement chargée "d’améliorer le traitement judiciaire des saisies et des confiscations en matière pénale". Mais elle dépend du ministère de la justice, qui n'a pas particulièrement envie de financer les bolides des policiers ou des douaniers.

 

2 motos, 1 Renault Trafic et 1 quad en huit ans

 

L'article 98 de la LOPPSI 2 devrait donc aller rejoindre le cimetière des articles de loi sur la sécurité de l'ère Sarkozy votés puis pas ou peu utilisés. L'ironie de l'histoire, c'est qu'il devait lui même corriger les imperfections d'une disposition de la loi pour la sécurité intérieure de 2003, qui permettait aux services de police, de gendarmerie ou de douanes de s'approprier les voitures, deux-roues ou même bateaux confisqués à l’issue d’un jugement. Un four: en 2011, après huit ans d’application, seuls quatre véhicules avaient été affectés (2 motos, 1 Renault Trafic et 1 quad). La bonne idée s'était révélée inopérante pour deux raisons: la longueur du délai entre la saisie et la confiscation définitive et le coût de gardiennage des véhicules en attendant. En 2007, une étude avait estimée à 13 millions d’euros par an le coût total de gardiennage des véhicules placés sous scellés judiciaires. D’où, aussi, l’idée de permettre leur utilisation avant même le jugement: quitte à payer leur gardiennage, autant en profiter.

 

"Vous nous rendrez compte de toute difficulté rencontrée dans l’exécution des présentes instructions", concluent les cinq signataires de la circulaire (directeurs généraux de la police, de la gendarmerie, des douanes et des finances publiques et directrice des affaires criminelles et des grâces). Pas sûr que les patrons des services prennent même cette peine.

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  • 2 weeks later...

La Gendarmerie en cessation de paiement fin octobre ?

 

Selon des parlementaires de l’opposition qui ont auditionné le directeur général de la gendarmerie nationale, les crédits commencent à manquer chez les gendarmes pour payer carburant et loyers. Le député UMP Nicolas Dhuicq craint “la cessation de paiement”.

 

http://www.acteurspublics.com/2013/10/18/faute-de-credits-les-reservoirs-des-vehicules-de-gendarmerie-sont-a-sec

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Gendarmerie : c'est vraiment la dèche !

 

Le gouvernement a décidé de geler 124 millions d’euros des crédits destinés à la gendarmerie (programme 152) alors que, comme l’a souligné son directeur, le général Denis Favier, devant les députés de la commission de la Défense, “la loi de finances initiale pour 2013 garantissait des moyens calculés au plus juste”.

Bilan des courses : “La ressource ne permet plus d’assurer un niveau satisfaisant de fonctionnement et d’investissement : aucune commande de véhicules n’a pu être passée pour le moment alors que ces moyens sont des outils de travail quotidien, aucune commande d’ordinateurs n’a pu être réalisée pour la deuxième année consécutive. Nous sommes également en difficulté pour assurer les paiements sur des lignes incontournables, par exemple les dépenses d’énergie pour lesquelles il manque aujourd’hui 16 millions d’euros”, a expliqué le général Favier, qui a précisé ne plus être en mesure d’honorer “ces factures à la fin du mois d’octobre” et d’être contraint de reporter l’acquittement des loyers dus aux collectivités locales.

Aussi, a-t-il plaidé pour la “levée” de la mise en réserve”, laquelle est “absolument nécessaire”, même si cela ne “réglera pas toutes les difficultés”. Ainsi, par exemple, le budget alloué au carburant “ne pourra pas être abondé”.

 

Suite : http://www.opex360.com/2013/10/24/la-gendarmerie-est-dans-la-deche/

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