Kiriyama Posté(e) le 19 juillet 2016 Share Posté(e) le 19 juillet 2016 Ça devient un peu ridicule cette "course" dont le but est de faire la même chose que l'autre. Au moins, avec le 787 et l'A380 chacun avait fait selon son idée. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
penaratahiti Posté(e) le 19 juillet 2016 Share Posté(e) le 19 juillet 2016 à l’instant, Kiriyama a dit : Ça devient un peu ridicule cette "course" dont le but est de faire la même chose que l'autre. Au moins, avec le 787 et l'A380 chacun avait fait selon son idée. c'est surtout la gamme où les marges commerciales sont les plus alléchantes, et Airbus est en train de tuer tout le haut de gamme 737 avec son A321 (ceo ou neo), le 737-900 ne faisant pas le poids en l'occurence. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 19 juillet 2016 Share Posté(e) le 19 juillet 2016 (modifié) Est-ce que comme pour les voitures ce n'est pas le "haut-de-gamme" avec des avions comme le 777 qu'il y a le plus d'argent à gagner ? Modifié le 19 juillet 2016 par Kiriyama Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 19 juillet 2016 Share Posté(e) le 19 juillet 2016 il y a 5 minutes, Kiriyama a dit : Est-ce que comme pour les voitures ce n'est pas le "haut-de-gamme" avec des avions comme le 777 qu'il y a le plus d'argent à gagner ? Oui il se font plus de benef par vente sur de gros appareils mais en même temps la famille A320 (tout comme le 737) sont bien amortis et se vendent bien en quantité. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
penaratahiti Posté(e) le 19 juillet 2016 Share Posté(e) le 19 juillet 2016 (modifié) il y a 7 minutes, Kiriyama a dit : Est-ce que comme pour les voitures ce n'est pas le "haut-de-gamme" avec des avions comme le 777 qu'il y a le plus d'argent à gagner ? oui mais il faut aussi considérer le volume, tu vends beaucoup plus de produits milieu de gamme que de haut de gamme, donc ce qui t'intéresse c'est le nombre d'unité vendues x la marge opérationnelle unitaire Modifié le 19 juillet 2016 par penaratahiti 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 22 juillet 2016 Share Posté(e) le 22 juillet 2016 Un reportage en français sur le Boeing 747-8 (Dash eight). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 23 juillet 2016 Share Posté(e) le 23 juillet 2016 Ça date un peu mais je viens de découvrir que la version -400 du 767 n'est plus disponible à la vente. Mais d'après ce que je lis les autres versions semblent toujours se vendre : Icelandair, WestJet, Thomas Cook Airlines... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 18 octobre 2016 Auteur Share Posté(e) le 18 octobre 2016 (modifié) c'est bizarre comme requête, les fournisseurs ont pour tâches de répondre au cahier des charges qu'impose leur client Je sais que Dassualt aide sur le 787. Boeing pousse ses fournisseurs français à innover http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2016/10/18/97002-20161018FILWWW00184-boeing-pousse-ses-fournisseurs-francais-a-innover.php Modifié le 18 octobre 2016 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Skw Posté(e) le 18 octobre 2016 Share Posté(e) le 18 octobre 2016 (modifié) il y a 37 minutes, zx a dit : c'est bizarre comme requête, les fournisseurs ont pour tâches de répondre au cahier des charges qu'impose leur client. [...] Boeing pousse ses fournisseurs français à innover. L'idée du logiciel truqué permettant à Volkswagen de voir ses véhicules diesel passer les tests anti-pollution vient-elle de Volkswagen ou de Bosch d'après toi ? Euh bon... mauvais exemple, ou enfin si très bon exemple, mais pas dans le sens attendu. Oui, l'innovation vient tout autant, parfois davantage, des sous-traitants que du fabricant principal. Le fournisseur n'est pas toujours un simple exécutant qui produit la pièce voulue aux standards exigés par le fabricant principal. Edit : En l'occurrence, il semblerait que Volkswagen ait modifié le logiciel fourni par Bosch. En revanche, on a de très fortes présomptions - j'ai notamment quelques connaissances qui bossent comme ingénieurs chez le concurrent Continental m'ayant indiqué certaines pratiques avant que le scandale n'éclate pleinement - sur l'implication de Bosch dans l'ingéniosité du système. Autrement dit, chez Bosch, on vous développe un logiciel clean mais qui soit aisément bidouillable si vous y voyez un certain avantage ; libres à vous chez VW de prendre le risque. D'ailleurs : http://fortune.com/2016/08/19/bosch-vw-diesel-emissions-fraud/ Modifié le 18 octobre 2016 par Skw Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 18 octobre 2016 Share Posté(e) le 18 octobre 2016 Pour reprendre un exemple automobile un peu moins sensible () Pour toutes les aides à la conduite ce sont bien les équipementiers qui font de la R&D dessus et les constructeurs ne font bien souvent qu'acheter leurs modules. Sans Valeo pas d'affichage tête haute, sans Faurecia pas de sièges super confortable et hyper léger, sans Bosh pas de diesel à rampe commune ... etc 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bruno Posté(e) le 26 juin 2017 Share Posté(e) le 26 juin 2017 (modifié) Apparemment, Boeing aurait annoncé à la fin de ce salon du Bourget le début prochain du travail de définition d'un nouvel appareil bi-couloirs de 220-260 sièges, qui aurait un rayon d'action d'environ 9000km. La phase d'étude aurait lieu de 2018 à 2020, suivie d'une phase développement de 2021 à 2024 pour entrée en service en 2025. Il s'agirait clairement du successeur du 757, pour l'instant c'est le NMA-7E7, dont l'auteur de la vidéo suppose qu'il prendra la désignation de Boeing 797 (à moins que ce ne soit 757-X ?) > Cette image de synthèse (qui ne semble pas officielle pour l'instant / Boeing n'en est pas forcément l'auteur) montre un appareil qui serait un 787 en réduction avec la voilure d'un 737-Max (celle de la version 10 qui vient d'être lancée ?). Modifié le 26 juin 2017 par Bruno 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bruno Posté(e) le 22 juillet 2017 Share Posté(e) le 22 juillet 2017 Livraison du 1500ème Boeing-777 (à la compagnie United Airlines) > Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 16 septembre 2017 Auteur Share Posté(e) le 16 septembre 2017 Décision surprenante de Boeing d’augmenter la production du B787 http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/decision-surprenante-de-boeing-d-augmenter-la-production-du-b787-750468.html#xtor=AL-13 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 4 février 2018 Auteur Share Posté(e) le 4 février 2018 (modifié) Boeing et Embraer proches d'un accord sur les avions commerciaux https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/0301249417883-boeing-et-embraer-proches-dun-accord-sur-les-avions-commerciaux-2150609.php si accès limité Selon la presse brésilienne, Boeing et Embraer seraient prêts à créer une coentreprise dédiée à la vente des avions commerciaux d'Embraer. Le projet de partenariat entre Boeing et Embraer est en bonne voie et il ressemble de plus en plus à celui passé entre Airbus et Bombardier . C'est du moins ce qui ressort des dernières informations de la presse brésilienne. Selon le quotidien O Globo, le géant américain et l'avionneur brésilien seraient parvenus à un accord de principe, en vue de la création d'une coentreprise spécialement dédiée aux E-jets, la gamme d'avions de lignes d'Embraer. L'information, qui n'a été ni confirmée ni démentie par les intéressés, a été saluée vendredi par une nouvelle hausse du cours de l'action d'Embraer à la bourse de Sao Paulo. Embraer en quête d'allié S'il se confirmait, cet accord permettrait à Embraer de placer sa principale activité - les avions commerciaux - sous l'aile protectrice de Boeing, à l'abri de la menace représentée par le soutien d'Airbus à son principal concurrent, le québécois Bombardier. En s'appuyant sur le géant américain, l'avionneur brésilien pourrait non seulement s'ouvrir de nouvelles perspectives commerciales chez les clients de Boeing, mais aussi réduire ses coûts de production, grâce à la force de frappe de Boeing auprès des grands équipementiers. Et ce, sans devoir en passer par un rachat pur et simple et sans aliéner ses activités militaires, ce qui aurait conduit le gouvernement brésilien à mettre son veto à l'opération. La réponse à Airbus et Bombardier Pour Boeing, un accord avec Embraer, même limité aux avions commerciaux, permettrait de compléter son offre, à l'instar de ce qu'a déjà annoncé Airbus avec le rachat du programme d'avions Cseries de Bombardier. Sa gamme d'avions commerciaux de Boeing démarre, comme celle d'Airbus, avec des monocouloirs de plus de 150 sièges, tandis que les E-jets d'Embraer se situent sur le segment de marché des avions régionaux et court-courriers de 70 à 140 sièges. En associant leurs offres, Boeing et Embraer couvriraient ainsi l'intégralité du marché de l'aviation commerciale. Boeing serait notamment enfin en mesure de proposer une solution de rechange aux 717 et au MD-80 encore nombreux sur les lignes régionales américaines et dont l'avionneur a cessé la production il y a déjà de nombreuses années, sans leur donner de successeur. La commande de Delta à Bombardier C'est en effet l'absence d'appareils de taille équivalente dans la gamme actuelle de Boeing, qui a conduit Delta à passer commande à Bombardier de 75 Cseries, provoquant ainsi une violente réaction de l'avionneur américain, suivie d'une série de réactions en chaîne. Evincé de l'appel d'offres de Delta, Boeing, qui pensait pouvoir imposer ses 737, avait porté plainte contre Bombardier pour dumping. Dans un premier temps, Boeing avait obtenu gain de cause auprès des autorités américaines. Ces dernières avaient condamné l'avionneur québécois à de lourdes pénalités, contribuant ainsi à jeter Bombardier dans les bras d'Airbus. Mais le mois dernier, la Justice américaine, saisie d'un recours de Bombardier, a finalement annulé les sanctions imposées à Bombardier . Modifié le 4 février 2018 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 4 février 2018 Share Posté(e) le 4 février 2018 Une riposte au rapprochement Airbus/Bombardier ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 22 mars 2018 Auteur Share Posté(e) le 22 mars 2018 Opinion: Boeing On Trade-War Front Line http://aviationweek.com/commercial-aviation/opinion-boeing-trade-war-front-line “Trade wars are good and easy to win.” Thus tweeted President Donald Trump in early March. But for the jetliner industry, trade wars are a potentially toxic exogenous shock. Jetliners are uniquely vulnerable to retaliation, particularly from China. First, the recent aluminum and steel tariffs are just the start of a much more aggressive Trump administration approach to trade. The administration is shortly expected to impose additional tariffs on $30-60 billion in annual Chinese imports. The goal is to cut the U.S.’s $375 billion trade deficit with China by $100 billion, which is basically impossible. Credit: Sean Rayford/Getty Images The Trump administration invoked national security as a rationale in the metals tariffs. That makes it immune from a World Trade Organization (WTO) protest. But this means anyone else can make the same claim and avoid a U.S. protest. As these security-based retaliations proceed, the WTO and other rules needed for world trade would be undermined. Unfortunately, Boeing makes an easy target for anyone wishing to retaliate against the new U.S. trade measures. About 80% of Boeing’s jetliners are exported, and the company is one of the most iconic U.S. manufacturers and global brands. Meanwhile, Boeing’s defensive embrace of Trump—understandable, since the company was among the first subjects of his angry tweets—means that foreign governments now see Boeing as a Trump friend and ally, and therefore a good place to hit back at his policies. By March 16, the S&P 500 Aerospace & Defense Industry Index had fallen more than 4%. Boeing stock fell 7%. Not all of this is due to trade-war fears, but the risk of retaliatory action against Boeing likely played a large role. For Boeing, retaliation is likely to take many unexpected forms. Canada’s fighter competition process appears to penalize Boeing due to its International Trade Commission complaint against Bombardier’s C Series. The Brazilian government is said to be rethinking its approval for a Boeing/Embraer tie-up. But in terms of overall retaliatory throw weight, China is by far the biggest risk for Boeing and the industry. As the graph shows, China accounts for the majority of Boeing’s jetliner delivery growth over the last five years. For Airbus and Boeing combined, China represented 22.8% of worldwide deliveries by unit in 2017. These numbers exclude scores of leased jets imported by China annually. China also plays a very large role in jetliner leasing and finance for carriers around the world. Chinese retaliation against new tariffs would probably not take the form of a blunt embargo, or even anything that would jeopardize current Boeing orders. With air travel growing strongly in China, and global demand for the new Airbus and Boeing single-aisle jets still outstripping supply, canceling existing orders could be a self-inflicted wound. Rather, the country would send a series of messages, ratcheting up the pressure on Trump. Today, China’s airlines have almost exactly the same number of Airbus and Boeing jets—roughly 1,500 of each. For the past five years, China has favored Airbus, with a 60/40 ratio (although this is in units; since Boeing tends to do better with more expensive twin-aisle jets, the ratio in value would be somewhat more equal). A few large block orders for Airbus would send a strong message, particularly if China abstains from any Boeing orders for some time. Perhaps in preparation for this, China has moved to increase Airbus in-country production capacity. In January, Airbus and its Chinese partners signed an agreement to ramp up the Tianjin assembly line to five aircraft per month by early 2019 and six per month by early 2020. Beijing also would accelerate the country’s jetliner development programs. These are still a long way from entering service and will be inferior to Western jets for decades to come. But then again, the swing toward protectionism will render that problem moot, with Chinese airlines increasingly compelled to accept Comac C919s and C929s, regardless of performance and product support concerns. The Trump trade agenda may be justified or not, and Trump might be right, or not, about the winnability of a trade war. But the unfortunate reality about any war is that no matter who wins, the front line usually takes heavy losses. Contributing columnist Richard Aboulafia is vice president of analysis at Teal Group. He is based in Washington. The views expressed are not necessarily those of Aviation Week. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 5 juillet 2018 Share Posté(e) le 5 juillet 2018 (modifié) @zx L'accord entre Boeing et Embraer est officialisé. Ils créeront une coentreprise : http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2018/07/05/97002-20180705FILWWW00152-boeing-et-embraer-signent-un-partenariat-strategique.php Les constructeurs aéronautiques Boeing et Embraer ont annoncé jeudi avoir signé un partenariat stratégique afin de créer une co-entreprise détenue à 80% par l'américain et à 20% par le brésilien. Les deux entreprises vont "se positionner pour pour offrir un portefeuille complet d'avions commerciaux hautement complémentaires (entre 70 et plus de 450 sièges), selon un communiqué conjoint qui précise que la "transaction évalue la totalité des activités 'aviation commerciale' d'Embraer à 4,75 milliards de dollars". Modifié le 5 juillet 2018 par collectionneur 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 13 juillet 2018 Share Posté(e) le 13 juillet 2018 Le 05/07/2018 à 14:23, collectionneur a dit : L'accord entre Boeing et Embraer est officialisé. Ils créeront une coentreprise Quelle nouvelle appellation pour les Embraer à la sauce Boeing ( pendant de A220 pour C-series chez Airbus ) ? Même 717 est déjà ( mal ) pris ! N'oseront pas 797 ?! Manque d' AER chez Boeing ou Faire du B135, B145....B170 ...B195 ? AVIS ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 13 juillet 2018 Auteur Share Posté(e) le 13 juillet 2018 (modifié) Boeing en mode course à l'échalote. mais j'ai l'impression que c'est une pas très bonne affaire. Modifié le 13 juillet 2018 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 19 juillet 2018 Auteur Share Posté(e) le 19 juillet 2018 Boeing prévoit un doublement de la flotte mondiale d'ici à 2037 https://bfmbusiness.bfmtv.com/entreprise/boeing-prevoit-un-doublement-de-la-flotte-mondiale-d-ici-a-2037-1490850.html#xtor=AL-68 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TarpTent Posté(e) le 21 novembre 2018 Share Posté(e) le 21 novembre 2018 Les principaux tronçons du 777X destiné aux essais en vol viennent d’être assemblés. « Le premier vol du 777X est prévu en 2019, et la première livraison en 2020. Le Boeing 777-9, premier membre de la famille 777X pourra accueillir de 400 à 425 passagers en configuration standard avec un rayon d’action de 14 075 km. À ce jour, le Boeing 777X a généré 340 commandes et engagements d’achat de la part de plusieurs compagnies, dont All Nippon Airways, Cathay Pacific, Emirates, Etihad Airways, Qatar Airways, Lufthansa et Singapore Airlines. » http://www.aeroweb-fr.net/actualites/2018/11/le-premier-boeing-777x-destine-aux-essais-en-vol-prend-forme?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+aerowebfrnet_actualite_actualites+(Les+dernières+actualités+-+AeroWeb-fr.net) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 14 décembre 2018 Auteur Share Posté(e) le 14 décembre 2018 avec le nouveau régime, ca doit devenir un problème pour Boeing La fusion Embraer-Boeing bloquée par la justice brésilienne https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/0600299979044-la-fusion-embraer-boeing-bloquee-par-la-justice-bresilienne-2228205.php 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 17 décembre 2018 Auteur Share Posté(e) le 17 décembre 2018 (modifié) L’américain Boeing livre son premier avion assemblé en Chine https://fr.yahoo.com/news/l-américain-boeing-livre-premier-155323732.html Actualités L’américain Boeing livre son premier avion assemblé en Chine Un premier Boeing est sorti des usines chinoises ce week-end. Avec notre correspondant à Pékin, Stéphane Lagarde Les employés de l’usine de Zhoushan ont sorti les téléphones portables pour immortaliser l’instant. Clic, clac. Le biréacteur blanc aux caractères noirs Air China sur le fuselage est le premier appareil terminé par l’avionneur américain sur le sol chinois dans une usine promise au président Xi Jinping lors de sa visite aux Etats-Unis en 2015. En partenariat avec l’entreprise chinoise d’Etat Comac (Commercial Aircraft Corporation of China), Boeing réalise ici les finitions intérieures de ses 737 (sièges, équipements de divertissements, toilettes, et chauffe-plats), mais pour le reste tout est encore made in USA. Les trois hangars réservés à la peinture des carlingues aux couleurs des compagnies chinoises n’étant pas encore opérationnels. Avec son centre d’aménagement de Zhoushan au sud-est de Shanghai, Boeing a une stratégie moins volontariste qu’Airbus et son usine d’assemblage finale des A320 à Tianjin à l’Est de Pékin. Un marché de 7 500 avions dans les 20 ans à venir Pour les deux constructeurs, l’objectif est bien le même : rester au plus près de leurs meilleurs clients, à savoir les compagnies chinoises. Le deuxième marché aéronautique mondial aura en effet besoin, selon les spécialistes, de plus de 7 500 avions commerciaux dans les 20 prochaines années. Un Boeing 737 sur quatre est destiné au marché chinois, et dans le contexte des tensions commerciales entre Washington et Pékin, l’avionneur américain a plutôt intérêt à soigner ses arguments de vente s’il veut continuer à déployer ses ailes en Chine. Le centre de Zhoushan en fait partie. Après le 737 Max d’Air China sorti ce week-end, l’avionneur américain espère aménager une centaine d’appareils par an depuis la côte est de la Chine. Contrairement à son rival européen, Boeing continue de résister à la demande chinoise d’installer une usine d’assemblage finale du type de celle d’Airbus à Tianjin. Mais les hangars de finition de Zhoushan apparaissent comme une première concession. Car si pour l’instant, la Chine a équilibré ses commandes entre les deux constructeurs aéronautiques, avec la guerre commerciale déclenchée par Donald Trump les choses pourraient changer. Boeing a ainsi livré son 2 000e appareil à un opérateur chinois le 30 novembre dernier, un 737 Max à la Xiamen Airlines. Cet exploitant exclusif des avions américains depuis trois décennies vient d’entamer des pourparlers avec Airbus. Modifié le 27 décembre 2018 par zx 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Henri K. Posté(e) le 25 décembre 2018 Share Posté(e) le 25 décembre 2018 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TarpTent Posté(e) le 28 janvier 2019 Share Posté(e) le 28 janvier 2019 Boeing, a travers sa filiale Aurora Flight Sciences, a réussi le baptême de l’air de de sa navette volante autonome, NeXt, oe 22 janvier. l’engin fait 9,14 mètres de long pour 8,53 m d’envergure, et peut accueillir 2 passagers. 9 hélices sont disposées de part et d’autre de l’appareil : https://www.journaldugeek.com/2019/01/27/bapteme-de-lair-reussi-navette-volante-autonome-de-boeing/ 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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