Invité Posté(e) le 6 janvier 2014 Share Posté(e) le 6 janvier 2014 (modifié) Nous assistons de plus en plus, à la mise en place de méthodes, suplly chain, ingénierie système, lean mannagement . Aussi je vous propose le sujet suivant: L'ingénierie système doit elle être developpé au sein des armées et plus généralement pour la rédaction du besoin ? Doit elle être le corollaire du suply chain ? Modifié le 6 janvier 2014 par wolfmoy Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Conan le Barbare Posté(e) le 6 janvier 2014 Share Posté(e) le 6 janvier 2014 pas compris de quoi ont parle ... tu parles d'avoir des ingénieurs dans l'armée c'est ça ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 6 janvier 2014 Share Posté(e) le 6 janvier 2014 (modifié) Le lean management sont des méthodes pour éviter le gaspillage de toute sorte et optimiser les ressources et les processus, humain,temps,matériel, Lean veut dire (sans gras) Ca fait bizarre de voir ça appliquer à l'armée. genre combien de toyota on explose avec une aasm. est ce qu'on peut faire moins cher et aussi bien et plus rapidement avec moins de ressources. L'efficacité de cette méthode dépend des gens qui la mettent en oeuvre, ca peut être utile, mais cela peut être aussi un cauchemar si elle est mal appliquée, elle donne des résultats au début et ensuite tout se déglingue, car tout le monde se casse ce qui désorganise tous les services face aux clients. c'est des méthodes à pression, dans la réalisation des tâches et de temps impartis. Muda (« Sans valeur ») : les gaspillages, ce qui est fait mais n’ajoute pas de valeur au produit. C’est-à-dire ce qui finit à la poubelle, les pannes, les déplacements inutiles, les pertes de temps, les choses que l’on ajoute au produit mais dont le client ne veut pas, etc. Muri : l’excès, la surcharge de travail engendrée par des processus non adaptés. Peuvent être tourmentés par le démon Muri : Le personnel, lorsque la charge de travail n’est pas adaptée au nombre de travailleurs, Les installations, lorsque la charge est supérieure à ce qu’une installation peut faire (sa capacité), Les stocks, lorsque des pièces ou des produits ne « tournent pas ». Mura : la variabilité, ou l’irrégularité : Des machines qui ne mettent pas toujours le même temps pour faire la même chose et dont la qualité varie, Des opérateurs qui ne font pas tous et pas toujours le même travail lorsqu’ils sont affectés à un même poste, Des fournisseurs qui ne livrent pas toujours les mêmes quantités de matière première, http://fr.wikipedia.org/wiki/Lean_management Le supply chain, c'est la gestion d'approvisionnement. Maintenant, quel est le rôle des ingénieurs système, il peut être multiple, dans le cas normal et qu'il a pour rôle de définir des architectures pour des système informatiques Mais dans le domaine militaire, il a un autre rôle, compte tenu de ses connaissance pluridisciplinaires, il doit rédiger des spécifications ou concevoir des systèmes exemple http://www.jobteaser.com/fr/entreprises/thales/metiers/64-ingenieur-systeme Modifié le 6 janvier 2014 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) le 7 janvier 2014 Share Posté(e) le 7 janvier 2014 (modifié) zx a bien résumé les methodes. http://jeanphilippeauzelle.wordpress.com/ D'après M. Auzelle; Que faut-il de particulier à un système pour qu’il soit considéré comme un Système de Systèmes (SdS) ? Quels sont les caractéristiques des éléments constitutifs d’un SdS et les évènements qui génèrent les liens qui les assemblent et les unissent pour le meilleur et pour le pire… le temps d’un objectif à partager… à travers d’une histoire commune ??!! Avant de considérer qu’un système est un SdS, il convient donc de définir qu’elles sont les propriétés intrinsèques des systèmes autonomes qui le constituent mais aussi les propriétés des relations entres ces systèmes constitutifs à un facteur d’échelle d’observation donné et au travers d’un prisme d’observation donné comme le définit Kuras en 2006 dans ses recherches. (Kuras 2006) “The currently accepted definition of a system is no longer adequate. It is no longer sufficiently general, and too much is left implicit in its articulation. While the current definition is adequate for “traditional” systems, it is lacking when it is used as the foundation for the engineering of systems associated with the more recent and ambitious efforts.” Pour plus de détails, je vous propose de parcourir une partie de ma thèse qui synthétise la vision de Kuras. Une des premières questions à se poser seraient vraisemblablement : pourquoi aurait-on besoin d’un SdS et pour quel profit ? La littérature sur le sujet fait apparaître que les systèmes constitutifs ont besoin à certains moments de leur cycle de vie d’atteindre des objectifs qui vont au-delà de leurs capacités humaines, organisationnelles, d’activités ou techniques. Or, les nouveaux objectifs visés par un "petit" système peuvent être partagés par un autre système ayant des « faiblesses » capacitaires similaires. Une fois les alliances potentielles décelées et les rapprochements politiques et stratégiques réalisés, des partenariats peuvent être formalisés contractuellement entre les systèmes « parties prenantes ». Pour étayer mes propos, je m’appuierai sur les problématiques liées aux Systèmes d’Information. A partir du moment où les parties prenantes ont trouvé un terrain d’entente contractuel, il convient de définir les canaux d’échanges entres les systèmes justes nécessaires et réglementés au travers de leurs hommes, de leur organisation de leur culture, de leur champs de compétences, de leurs activités, de leurs technologies. Nous appellerons ces échanges, ou bien encore ces relations comme l’évoque Kuras, les interopérations entre les systèmes partenaires (ou constitutifs) comme le décrit (Ficher 2006). Ces interopérations doivent être le plus "lâches" possible, faiblement couplées si vous préférez…afin que chaque système constitutif garde sa propre autonomie opérationnelle et managériale. Ainsi, la finalité d’un sur-système est atteignable si et seulement si un certain nombre de systèmes constitutifs autonomes mettent en interopération tout ou partie de leurs ressources ou capacités dans le respect contractuel qui les unie temporairement. La qualité des interopérations est le facteur clé de la réussite de la construction du sur-système et éphémère accueillant virtuellement les systèmes partenaires. Or, force est de constater que le niveau de qualité optimum souhaité reste très difficile à mettre en œuvre en fonction du contexte général du partenariat. Le cadre contractuel définit au plus haut niveau décisionnel des partenaires impose à leurs composants opérationnels distribués de collaborer sous contraintes fortes. Les interopérations « idéales », qui devraient s’en déduire restent à certains moments extrêmement compliqués à mettre en œuvre en fonction du contexte général lié : - A la barrière de la langue, - Au choc sociale et culturel, - Au recouvrement capacitaire (fonctionnel, compétence, technologique) incomplet pour la finalité du sur-système, - A l’hétérogénéité des technologies, - A l’obsolescence technologique, - Etc. Le niveau de performance du sur-système se voit intimement lié à la qualité des interopérations entres les hommes, leur organisations et les technologies concernées. C’est à ce moment là que naissent des comportements dans le seul but de compenser des dysfonctionnements d’alignement "interopérationnel". Ces comportements peuvent être de deux types : les comportements " freins ", les comportements "moteurs". Les comportements " freins " peuvent être issus par exemple d’une incompréhension entre les intérêts des acteurs d’un partenaire par rapport aux intérêts globaux du sur-système. En effet, il est très difficile pour les acteurs humains de percevoir quels seraient leurs propres intérêts à participer à un tel projet de plus grande envergure dont ils n’ont pas la maîtrise complète ou même la connaissance de la finalité réelle du partenariat. Les activités entre acteurs peuvent s’en voir impactées par des flux d’informations incomplets, ou non délivrés à temps, voire pas du tout délivrés. Une fois le frein identifié par les autres partenaires, ces derniers adoptent un comportement " moteur " qui permet d’ajuster leur propre fonctionnement afin de garantir une certaine stabilité partenariale pour le sur-système. C’est peut être aussi à ce moment là que le contournement comportemental "moteur" fait émerger des innovations opportunes de quelques natures quelles soient pour assurer la continuité de service(s) attendu(s) pour que le sur-système atteigne son but. En résumé, le sur-système est le résultat d’un partenariat (c1 : appartenance) qui rassemble un certain nombre de systèmes constitutifs autonomes (c2 : autonomie). La coopération née de ce partenariat nécessite de mettre en place des interopérations entre des systèmes constitutifs (c3 : connectivité) mais aussi à l’intérieur même de chaque système constitutif au travers de leurs propres éléments constitutifs qui sont de différentes natures (c4 : diversité) : des hommes, des organisations, des activités, des technologies. Le sur-système évoluant au grès du contexte général dans lequel il s’intègre, évolue aussi en fonction des systèmes constitutifs (et leurs éléments) qui le composent (c5 : évolution). Le sur-système est aussi influencé par des perturbations contextuelles, sociales, culturelles, fonctionnelles, techniques, etc. qui sont autant d’évènements qui influencent les comportements qu’ils soient humains ou techniques qui sont sources d’inspirations positives ou négatives (c6 : émergence). Nous venons de voir que le sur-système, n’est pas un objet stable. Il évolue en permanence aux grés des exigences et contraintes de tout ordre, mais aussi que cette vision d’évolution est elle-même reproductible au sein même de chaque système composant : vision récursive. La possibilité de pouvoir décrire un tel sur-système sur la base des 6 caractéristiques c1 à c6, lui permet d’être nommé un Système de Système au sens de Maier 1998; DeLaurentis 2005; Boardman and Sauser 2006. Et c’est dans ce contexte perturbé et complexe lié aux 6 caractéristiques qui le définissent que le Système de Système doit maintenir son cap pour atteindre l’objectif visé qui l’a fait naître. Comme tout système, un SdS nait, vie et meurt. Sa disparition pourra être due soit : à des perturbations tellement fortes entre éléments constitutifs que les alignements comportementaux ne pourront plus compenser les dysfonctionnements et la mission, le but, et la finalité ne pourront plus être atteints…le partenariat se rompt, à l’aboutissement du partenariat et l’atteinte de la mission, du but, et de la finalité…le partenariat se termine en "douceur", le contrat se clôt au partenariat qui se transforme en une intégration totale avec des systèmes constitutifs au départ faiblement couplés pour devenir complétement couplés lorsque la fusion est réussie et complète pour former un système complétement intégré… Appliqué aux Systèmes d’Information, La particularité du concept de SdS réside dans sa conception puisqu’il convient de considérer simultanément ses éléments constitutifs et les relations d’interopération qui s’exercent entre ces éléments. C’est cette particularité qui distinguera les interactions au sein d’un système d’information monolithique des interactions qui s’exercent dans un Système de Systèmes d’Information (SdSI). En effet, si les premières sont relatives, comme préconisé en Ingénierie Système, à une structure hiérarchisée contrôlé par un SI censé posséder la visibilité globale des échanges entre les éléments, les secondes sont quant à elles issues de l’agrégation des éléments constitutifs pour réaliser la fonction globale du SdS mise en œuvre par le maître d’œuvre pour satisfaire les exigences d’un maître d’ouvrage et pour répondre au(x) besoin(s) d’un donneur d’ordres (Auzelle 2009). Modifié le 7 janvier 2014 par wolfmoy Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) le 7 janvier 2014 Share Posté(e) le 7 janvier 2014 (modifié) La supply chain est la gestion "d'approvisionnement". Qui comprend; l'approvisionnement le stockage la distribution Mais qu'est ce que l'approvisionnement sans les achats. Il y a plusieurs typologie d'acheteur; l'approvisionneur: qui prend des devis, passe la commande et effectue la recette technique. En terme d'efficacité cout/service rendu, il n'a pas su acheter au meilleur prix. l'acheteur; qui utilise toutes la panoplie de la mise en concurrence en mettant en avant le cout. En terme d'efficacité cout/service rendu, il a acquis au moins disant. l'acheteur confirmé; qui utilise toutes la panoplie de la mise en concurrence en mettant en avant le cout, le delai et la qualité En terme d'efficacité cout/service rendu, il a acquis au mieux disant. Le 3 est le but a atteindre. Mais pour arriver (tout comme le 2), il faut avoir une expression de besoin. Et si je n'abuse , le supply chain ne dispose pas d'une méthode rodée. C'est donc le sens de ma question, l'ingénérie systeme est elle le corollaire de la supply chain? Modifié le 7 janvier 2014 par wolfmoy Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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