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Ukraine


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http://www.dw.de/ersch%C3%B6pft-und-desorientiert/a-17436512 (17 février 2014)

 

Yuri Rescheto, journaliste, est allé faire un reportage pour Deutsche Welle à Kiev, pour y "capter l'ambiance ambigue" :

 

Le parti de Klitschko n'a pas d'influence au parlement parce qu'il est petit. Contrairement à son image en Occident, il n'est pas populaire et il n'a pas de poids. Il est l'un des leaders de l'opposition, mais on les voit rarement en public ces derniers jours. Ils ne sont pas présents sur la Place de l'Indépendance ou dans les médias.

 

(...)

 

J'ai parlé avec beaucoup de gens sur la Place de l'Indépendance - intellectuels, gens normaux, femmes en manteaux de fourrure. Tous rejettent une plus grande implication de l'Union Européenne et des États-Unis.

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http://www.lepoint.fr/monde/ukraine-les-directives-de-catherine-ashton-19-02-2014-1793767_24.php (19 février 2014)

 

"À la demande de la chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton, je vais me rendre prochainement en mission à Kiev", a écrit Sikorski [le ministre polonais des affaires étrangères] sur Twitter.

 

Cela fait genre : « Ben puisque t'es si malin vas-y toi! Histoire qu'on puisse critiquer à notre tour ».

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J'ai parlé avec beaucoup de gens sur la Place de l'Indépendance - intellectuels, gens normaux, femmes en manteaux de fourrure. Tous rejettent une plus grande implication de l'Union Européenne et des États-Unis.

Vu la nature du conflit, il faut en effet laisser les Ukrainiens se débrouiller entre eux. Plus s'impliquer sera le meilleur moyen de crédibiliser le camp "pro-EU et/ou anti-Russie" (vu qu'il y a l'air d'avoir de tout la dedans).

Modifié par Dino
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Les scènes qu'on a pu voir, sur le plan plus technique/warfare (quand un topic merde, revenir au coeur de métier du forum: back to basics), sont assez effarantes: là, on n'était plus dans les oppositions de packs façon phalange, mais dans, d'une part, des répétitions de brefs assauts et contre attaques répétés, et surtout d'autre part, au coeur du maëlstrom, dans l'assaut d'une position fortifiée (et "lourdement" fortifiée en terme d'obstacles, vu l'accumulation de sacs de sables et autres sur Maidan) par des APC.... Et les APC se sont retrouvés coincés à la base de la fortification, à la fois bloqués par sa masse et englués dans les amoncellements de morceaux qui en tombaient (sacs lestés, objets, poutres....): les scènes les plus violentes (si l'on excepte les tirs à balles réelles) ont eu lieu autour de ces APC, "assiégés" à leur tour une fois qu'ils ont été bloqués, forçant les Berkut à consacrer leurs efforts au dégagement de leurs éléments coincés à cet endroit.

 

Maintenant, la question est de savoir si cet événement (qui reste encore très localisé à l'échelle du pays et même de la ville de Kiev) va avoir une vraie contagion violente (au-delà de quelques endroits où des mouvements ont été vus): elle passera, si elle arrive, par, d'une part, la volonté parano du pouvoir de "garder le contrôle", et d'autre part, par la trouille de la majorité des manifestants (aiguillée par la micro minorité qui elle veut cogner) de cette répression (qui pourrait pousser, comme ça a été vu en au moins un autre endroit) à se ruer sur des stocks d'armes réels ou supposés. Il n'y a pas de vraie "volonté révolutionnaire" possible en l'état des choses: cela supposerait une organisation/coordination à une échelle infiniment plus grande, ce qui implique un niveau d'accord entre les composantes du mouvement Maidan (y compris surtout l'extrême droite) qui n'existe pas. J'ai plus l'impression de quelque chose qui a merdé initialement (une gaffe du pouvoir avec un Yanoukovitch affaibli -il faut l'être pour en venir aux ultimatums- qui doit se voir avec désormais peu d'options: peut-être même une décision de terrain a été prise sans lui), créé un feu sur lequel les ultras les plus radicaux du mouvement se sont rués pour pourrir au maximum la situation et franchir un potentiel "point de non retour", pour forcer la majorité de l'opposition dans une position où le choix n'existe plus, voire où la coordination devient impossible parce que tout bouge et change trop vite (avantage de la confusion) pour empêcher certaines actions. C'est en tout cas ce dont les déclarations venant de Svoboda sur ce qu'il y a à faire avec le Parlement me laissent à penser.

 

Pour revenir à l'aspect "technique" des choses: on est désormais à l'ère des révolutions qui seront filmées et diffusées en temps réel et par un grand nombre de sources (amateurs et pros) de tous bords. Cela va t-il changer des choses? Dans les campagnes de RP des camps en présence comme dans le déroulement des événements? Dans la diffusion et "contagion" comme dans la capacité des camps à avoir un message calculé (voire de la propagande pure et dure)? Le nombre de portables à lui seul garantit désormais une extrême visibilité des événements, et encore plus comme ici où le théâtre d'opération est une toute petite zone dans une ville, où se concentrent un grand nombre de protagonistes. Ca garantit aussi beaucoup de confusion dans la perception, et des surréactions dans tous les sens, difficiles à contrôler étant donné la rapidité des événements (un truc est diffusé et devient viral directement, avant que qui que ce soit puisse décider un truc).

Modifié par Tancrède
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Comme d'habitude, il y a un fossé entre ce que disent les médias et ce qu'en pensent les locaux. Si on devait résumer à pu près sérieusement, que peut-on dire ?

 

- la situation économique est foireuse et ne s'arrange pas : l'Ukraine n'arrive pas à se sortir du modèle économique de la Seconde Révolution Industrielle (acier, charbon et constructions mécaniques), et les actifs viables sont rachetés par des investisseurs étrangers ou ukrainiens qui ne veulent qu'une chose, se remplir les poches

- l'économie reste très liée à l'économie russe, et n'est pas très concurrentielle (au niveau de la monnaie, je ne sais pas ce qu'il en est, mais elle ne doit pas valoir grand chose)

- les politiques ukrainiens ne pensent qu'à une chose : se remplir les poches et accaparer le pouvoir le temps que leurs poches et celles de leurs proches se remplissent. Ils n'ont aucune autre ambition, aucun projet politique et aucune envie d'en avoir

- l'identité ukrainienne est encore vacillante, avec le souvenir russe d'un côté, l'idée européenne de l'autre et la tambouille nationaliste au milieu

- les Russes s'accrochent à l'Ukraine, l'UE aimerait bien l'intégrer, et les Américains s'en foutent pas mal, du moment que ça crée des problèmes aux Russes et aux Européens

 

J'ai bon ?

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Voilà un beau résumé si tu veux :

 

http://www.opex360.com/2014/02/19/la-situation-en-ukraine-crispe-les-relations-lunion-europeenne-la-russie/

 

 

 

La situation en Ukraine crispe les relations entre l’Union européenne et la Russie 19 février 2014 – 14:46

kiev-20140219.jpg

Quand, le 21 novembre 2013, le président urkrainien Viktor Ianoukovitch renonce à la signature d’un accord de libre-échange et de coopération avec l’Union européenne (UE), en cours de négociation depuis 5 ans, pour se tourner vers la Russie, des manifestations pro-européennes éclatent alors à Kiev et les opposants au gouvernement occupent la place de l’Indépendance. Le mouvement “EuroMaïdan” est né.

Mais cette opposition au président Ianoukovitch ne se compose pas seulement de partisans d’un rapprochement avec l’Union européenne et l’Occident en général. Parmi eux se trouvent en effet des militants d’extrême droite du groupement “Praviy Sektor”, qui, selon la BBC, prennent un part active aux affrontements contre les forces de l’ordre ukrainienne.

Par ailleurs, des lignes de fracture réapparaissent à la faveur de cette crise. L’ouest de l’Ukraine est plutôt favorable à l’UE, ce que l’est ne veut pas, dans la mesure où il est plus proche de la Russie, tant économiquement que culturellement. Ce tiraillement entre ces deux sphères d’influence est ancien.

En 2004, l’élection de Viktor Ianoukovich, pro-russe, avait été invalidée suite à la révolution Orange à cause de fraudes massives. Finalement, Viktor Iouchtchenko, victime d’une tentative d’empoisonnement quelques mois plus tôt, fut élu président. Avec un chef d’Etat pro-européen et  favorable à l’adhésion de son pays à l’Otan, l’Ukraine semblait avoir choisi de rejoindre la sphère d’influence occidentale. Ce que la Russie voyait d’un très mauvais oeil étant donné ses relations économiques avec Kiev (ce pays n’était-il pas le “grenier” de l’ex-URSS?) et ses facilités militaires, notamment à Sébastopol. D’où, en 2006, le chantage aux livraisons de gaz naturel…

Six ans plus tard, la parenthèse Iouchtchenko fut refermée, avec l’écrasante victoire de Viktor Ianoukovitch à l’élection présidentielle. Pour autant, les négociations portant sur une association avec l’UE continuèrent. Jusqu’en novembre 2013 et les manifestations pro-européenne, durement réprimées par les forces de l’ordre ukrainienne.

Seulement, cette situation est la source de tensions avec la Russie d’un côté et l’Union européenne et les Etats-Unis de l’autre. L’ancien ministre allemand des Affaires étrangères, Guido Westerwelle, a ainsi, en décembre, qualifié “d’inacceptables” les “menaces et pressions économiques” exercées par Moscou sur Kiev pour empêcher tout accord avec l’UE. Ce à quoi la diplomatie russe a répondu en dénonçant les “ingérences étrangères” en Ukraine, son chef, Sergueï Lavrov, allant jusqu’a déclaré que ” l’Occident se comportait de manière hystérique”.

Le 14 février, le ministre russe a répété ses accusations. “En pressant l’Ukraine d’aller d’un côté, et en l’avertissant qu’il faut choisir soit l’un soit l’autre, d’être soit avec l’Union européenne soit avec la Russie, montre que dans le fond ils essaient de créer une sphère d’influence”, a-t-il affirmé lors d’une conférence de presse donnée à Moscou avec son homologue allemand, Frank-Walter Steinmeier.

“Il me semble qu’il n’est pas tout à fait correct, pas tout à fait poli, quand on parle de liberté de choix, d’envoyer chaque jour des émissaires”, a-t-il ajouté, en faisant une allusion aux visites de responsables européens et américains à Kiev au cours de ces dernières semaines.

Cela étant, la contestation n’a pas faibli en Ukraine, alors même que le président Ianoukovitch a, fin janvier, promulgué une loi sur l’amnistie des manifestants interpellés, ainsi que l’abrogation de plusieurs amendements controversés sur la répression des manifestations, en échange d’une obligation, pour l’opposition, d’évacuer dans les 2 semaines tous les lieux publics et bâtiments qu’elle occupaient alors. Ce qu’elle a refusé.

Aussi, cela laissait présager le pire… Tout s’est accéléré le 18 février, avec un ultimatum exigeant le départ des opposants de la place de l’Indépendance. Résultat : au moins 25 personnes ont été tuées, dont des policiers, lors de l’assaut donné par les forces de l’ordre. Et les violences se sont propagées dans 3 villes situées dans l’ouest du pays.

Devant ce bilan, Moscou a affirmé qu’il s’agissait de la “conséquence directe de la connivence de responsables politiques occidentaux et des structures européennes qui ont fermé les yeux (…) sur les actions agressives de forces radicales”. Mais pour les responsables de l’UE, il est désormais question de sanctions à prendre à l’égard des responsables des violences.

“Je suis très préoccupée par la nouvelle et inquiétante escalade à Kiev”, a ainsi affirmé Mme Catherine Ashton, le Haut Représentant de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, qui avait multiplié les déplacements en Ukraine ces dernières semaines.

“Je condamne tout usage de la violence et exhorte les autorités ukrainiennes à s’attaquer aux racines de la crise”, a-t-elle ajouté, par voie de communiqué, en demandant la “formation d’un nouveau gouvernement rassembleur”, “des progrès pour une réforme constitutionnelle” et “des préparatifs d’une élection présidentielle transparente et démocratique” en Ukraine.

Le lendemain, Mme Ashton a fait savoir que “l’UE allait étudier des sanctions contre les responsables de la répression en Ukraine”. Plusieurs pays européens sont sur cette ligne, dont la Pologne, la France, l’Allemagne ou encore la Suède, où le ministre des Affaires étrangères, Carl Bildt, a accusé Viktor Ianoukovitch d’avoir du “sang sur les mains”.

De son côté, le vice-président des Etats-Unis, Joe Biden, a lancé un “appel au président Ianoukovitch à retirer les forces gouvernementales et à faire preuve de la plus grande retenue”.

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oui c'est le moins que l'on puisse dire

sur cette video emploi de carabine  pistolet semi automatique  9mm

et policier anti emeute Lynché tabassé massacré au sol

 

 on est deja a 7 policiers morts depuis hier

https://www.youtube.com/watch?v=T3RIEu5UVPk

 

2 remarques sur cette vidéo

Les armes employées (en tout cas pour le pistole) semblent etre des traumatik gun (not létales)

Les policiers engagés et débordés ici sont des policiers normaux équipés en tenue anti-émeute (un peu nos GdP) pas des unités anti émeutes spécifiques (Berkut, équivalent de nos CRS et Gendarmes mobiles)

Et vu la violence subie je m'étonne de la passivité des FdO. Dans d'autres pays pour se désengager de ce type de situation certains n'auraient pas hésité à sortir leur arme de service (cas à Gênes ou à Gotebord lors des manifestations G8)

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Peu d'influence politique à proprement parler (cad influence sur les politiques en place): son influence et ses fameux "réseaux" sont surtout journalistiques et culturels, et lui permettent de peser dans le monde de l'édition, et d'une manière indirecte sur le "ton général" du débat public (mais là c'est un parmi d'autres), essentiellement en pouvant parfois mettre des gens à l'index (giclés des rédactions, sortis des "dîners en ville"....), mais guère plus. Faut pas exagérer la "puissance" d'un histrion de ce type qui n'a pas vraiment ce genre de muscles politiques.

Il est extrêmement riche (multi-milliardaire quand c'était en francs; je crois pas qu'il le soit en euros, mais c'est pas non plus impossible), mais c'est certainement pas en ayant bien placé ce que ses bouquins ont pu lui rapporter (= que dalle): il a tout bêtement hérité une grande fortune industrielle et immobilière de son papa (entre autres un important industriel du papier il me semble).

C'est un fait que je tiens de deux sources séparées (vous êtes libres de me croire ou pas évidemment) qu'il n'a pesé de rien du tout dans l'histoire libyenne, pas même anecdotiquement: quand il a commencé à s'émouvoir publiquement et à remuer (essentiellement de l'attention, soit pas vraiment ce qui a pesé: y'a pas eu de "pression médiatique" qui a pressé NS), la décision était apparemment déjà prise depuis un moment (restait juste à définir le "quand" et "avec qui", et à se remuer à l'ONU): il a juste cherché à surfer sur une vague existante. Le drame des vieilles pseudo célébrités, quoi: ils ont du mal à accepter la disparition de leur pertinence (si tant est que BHL en ait jamais eu une). Et on avait en face un président en mal de personnalités médiatiques (il a/avait un vrai problème dans ce domaine: il a toujours voulu avoir des stars autour de lui..... Et ça a pas trop marché; voir le déroulement de l'histoire avec Tom Cruise: très illustrative), qui a instrumentalisé le vieux beau dans sa campagne de RP (sans non plus penser que ça changeait beaucoup de choses).

Merci pour le partage des retours de tes amis "insiders". Je ne sais plus quelles sources m'avait amené à mon intereprétation du businessman-intérmédiaire-géopolitique-sous-couvert-de-pasionaria-démocratico-humaniste qui a le bon gout et la chance inouie de s'indigner pile-poil juste avant que l'OTAN ne décide d'envoyer les F-16 sur un pays, mais ca ne change rien au fait que je partage ta conclusion : il faut se désintéresser de ces gesticulations médiatiques.

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Et vu la violence subie je m'étonne de la passivité des FdO. Dans d'autres pays pour se désengager de ce type de situation certains n'auraient pas hésité à sortir leur arme de service (cas à Gênes ou à Gotebord lors des manifestations G8)

 

Il y a clairement de sérieux manquements autant au niveau compétence que de l'équipement. On dirait qu'il manque d'équipement entre le poing et l'arme à feu . Ils manquent de moyen pour disperser la foule  ...

Modifié par Divos
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Il y a clairement de sérieux manquements autant au niveau compétence que de l'équipement. On dirait qu'il manque d'équipement entre le poing et l'arme à feu . Ils manquent de moyen pour disperser la foule  ...

 

L'Ukraine n'a pas de tradition insurrectionnelle récente, c'est meme tout l'inverse, il est fort probable que la police ne soit pas vraiment préparé a gérer ça. Tout le monde a pas le métier et le talent de nos FdO.

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L'Ukraine n'a pas de tradition insurrectionnelle récente, c'est même tout l'inverse, il est fort probable que la police ne soit pas vraiment préparé a gérer ça. Tout le monde a pas le métier et le talent de nos FdO.

Je suis d'accord ,mais après il y a un poids deux mesure aussi ,les arabe non plus n'était pas préparé a géré les "révolte" et pourtant les mort son tombé en beaucoup plus grand nombre.... la sur les 26 mort il y aurait 9 policier ,le ratios est très faible ,un mort sur trois.

 

j'ai l’impression qu'il y a eu un laxisme des FDO au début de l'histoire et que maintenant tous est permis...Il on chargé la phalange Berkut ce matin avec des camion benne...Les arme sont devenu courante ,les photo de gars avec des katana dans le dos ,ou des hachette son courante. Le seul truc qui manque pour que sa dégénérè vraiment c'est un financement extérieur important....

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Je suis d'accord ,mais après il y a un poids deux mesure aussi ,les arabe non plus n'était pas préparé a géré les "révolte" et pourtant les mort son tombé en beaucoup plus grand nombre.... la sur les 26 mort il y aurait 9 policier ,le ratios est très faible ,un mort sur trois.

 

Les polices des pays arabes pas prets a gérer des révoltes?! il n'étaient prêts qu'a ça ... simplement la répression ne peut pas tout faire.

Pour l'Ukraine je doute que la police fusse préparé pour gérer des révoltes, l’Ukraine est un pays paisible, qui ne craint pas grand chose en interne normalement. C'est le bordel politique qui a produit cette violence pas l'inverse. Depuis la révolution orange on a l'impression que le pays vie un coup d'état permanent.

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Laissez le se ridiculiser en paix, enfin, c'est pas comme si il pesait du moindre poids politique ou médiatique (en terme d'effet d'entraînement). Il se vante (et imagine sans doute) avoir eu une influence dans l'affaire libyenne (ce qui est évidemment faux) et pense sans doute qu'il peut peser ici: ça ne change rien en Ukraine ou en France (sauf s'il était tué ou blessé -on croise les doigts-; ça changerait le ton des formules diplomatiques pour dire la même chose), et ça fait plaisir à un vieux beau qui pense avoir compté dans sa vie. Au final, qu'est-ce qu'on s'en fout. Et les Ukrainiens aussi.

 

ah mais non moi je ne le laisse pas tranquille se con ...

 

se vieux connard voit des antisémite partout en France  ... et sa ne le dérange pas de voir des antisémites ukrainien gueulé leur haine du juif dans la manif qu'il soutient ...

 

donc s'est un putain de connard qui lui a le droit de parlé à la télé car comme le disait quelqu'un sur le forum il est une caisse de résonance de certains politiques et "amis" ...

 

moi je peu pas allé à la télé ou à la radio ...

 

j'en peu plus de sa gueule de con !

 

perso j'ai pas d'avis tranché net sur l'Ukraine car sa reste quand même dans le giron de la Russie , mais de l'autres on arrête pas de chialé (genre BHL) de la monté des extrême droite en Europe ...

 

 

sauf que si on y regarde bien ,ses extrême droite se développe surtout dans les dernier arrivé au sein de l'Europe ,genre Lituanie ,Estonie ,Lettonie ,Hongrie etc ... 

 

alors déjà qu'on subi l'arrivé de ses pays en Europe quand on parle du plombier polonais ,s'est réel sauf que s'est pas des plombiers mais des routiers de l'Est ...

 

donc l'Ukraine dans l'Europe va peut-être falloir arrêté ...

 

à oui j'oublié les islamistes ,qui ont prit le pouvoir un peu partout avec sa bénédiction ...le même type qui pleurniche sur la monté de l'intégrisme musulman en France ...

 

alors à un moment va bien falloir qu'il arrête de nous les brisé menu se connard ...

 

ne le prend pas pour toi ;)  mais lui et d'autres je n'en peut plus ...

 

le même connard qui ne supporte pas qu'on critique Israël ...

 

je préviens d'avance ,je n'ai rien contre les Juifs (en France ou ailleurs ) qui eux même doivent en avoir marre d'entendre se connard ( non ses connards car il est pas tout seul se con ) parlé en leur nom .

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Je pense que l'attitude de Poutine est pour beaucoup dans la crise ukrainienne. Imagine que la Russie se soit démocratisé réellement , et pas une farce comme à l'heure actuelle, que la Russie  ait voulu des relations "normales" avec l'Europe au lieu de relations conflictuelles, qu'elle ait  arrête son comportement de "parain" des nouvelles républiques et pas les considérer comme des vassaux .à punir à la moindre incartade on coupant le pétrole et le gaz ..... la Russie ne serait pas considérée comme une menace pour la démocratie ukranienne et les ukrainiens ne verraient pas celle ci comme un retour vers un passé stalinien dont ils se sont affranchis. 

Modifié par Zarth Arn
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http://www.bruxelles2.eu/zones/asie-centrale-georgie-russie-europe-caucase/ukraine-lue-agite-la-menace-de-sanctions.html

Ukraine : l’UE agite la menace de sanctions

(BRUXELLES2) Le Comité politique et de sécurité (COPS) qui se réunit, aujourd’hui, a mis sur son ordre du jour la détérioration de la situation en Ukraine (lire : Opération nettoyage à Kiev). Dans la foulée, les ministres des Affaires étrangères de l’UE devraient se rencontrer, en urgence, et de façon exceptionnelle, jeudi (20 février), à partir de 14h à Bruxelles.

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http://www.bruxelles2.eu/zones/asie-centrale-georgie-russie-europe-caucase/ukraine-lue-agite-la-menace-de-sanctions.html

Ukraine : l’UE agite la menace de sanctions

(BRUXELLES2) Le Comité politique et de sécurité (COPS) qui se réunit, aujourd’hui, a mis sur son ordre du jour la détérioration de la situation en Ukraine (lire : Opération nettoyage à Kiev). Dans la foulée, les ministres des Affaires étrangères de l’UE devraient se rencontrer, en urgence, et de façon exceptionnelle, jeudi (20 février), à partir de 14h à Bruxelles.

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Les médias parlent beaucoup des deux camps "pro-européens" et "anti-européens" pour simplifier la situation aux yeux du grand public mais au final cela crée un sentiment anti manifestants parce que "yen a marre, l'europe est déjà assez grande comme ça"  ^^

Mais si le refus des accords européens par le président ukrainien a mis le feu au poudre c'est surtout la corruption et le système politique du pays qui sont aujourd'hui très critiqués par les manifestants et non une réelle volonté d'adhésion à l'UE (au moins un rapprochement).

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http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/conseils-aux-voyageurs/conseils-par-pays/ukraine-12315/ (19 février 2014)

 

Les tensions se sont brutalement accrues à Kiev dans la journée et la soirée du 18 février entre les manifestants et les forces de l’ordre, faisant plusieurs victimes et de nombreux blessés. Il est demandé aux ressortissants français de ne pas se rendre dans les zones du centre-ville où se déroulent des affrontements (quartier gouvernemental, Place de l’Europe, Maïdan et Kreschatik), ainsi qu’aux abords immédiats de ces zones (place Sainte-Sophie, place Saint-Michel). Les accès routiers à Kiev sont filtrés. Des barrages de miliciens en armes ont été déployés sur plusieurs axes en ville. Les 3 lignes de métro sont fermées et les transports en commun sont perturbés. Compte-tenu de la situation, les déplacements en centre-ville, en véhicule privé ou en taxi, sont à proscrire. Il est en outre recommandé d’éviter tout déplacement non indispensable pendant la journée et de rester à son domicile à la nuit tombée. En province, des troubles ont également éclaté dans plusieurs villes, notamment à Lviv, Ternopil et Ivano-Frankivsk. Il est recommandé de se tenir à l’écart des zones de confrontations. Plus généralement, les voyageurs sont appelés à se tenir informés de l’actualité.

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Je pense que l'attitude de Poutine est pour beaucoup dans la crise ukrainienne. Imagine que la Russie se soit démocratisé réellement , et pas une farce comme à l'heure actuelle, que la Russie  ait voulu des relations "normales" avec l'Europe au lieu de relations conflictuelles, qu'elle ait  arrête son comportement de "parain" des nouvelles républiques et pas les considérer comme des vassaux .à punir à la moindre incartade on coupant le pétrole et le gaz ..... la Russie ne serait pas considérée comme une menace pour la démocratie ukranienne et les ukrainiens ne verraient pas celle ci comme un retour vers un passé stalinien dont ils se sont affranchis. 

Je ne suis pas d'accord. Une Russie même démocratique à l'européenne aurait des intérets stratégiques nationaux à défendre, comme le font par exemple les Etats-Unis. Et je doute qu'elle aurait vu d'un bon oeil l'Europe et l'Otan venir s'étendre jusqu'en Ukraine. Démocratie ne veut pas dire colonne vertébrale souple et fluide et "j'oublie mes intérêts pour défendre les vôtres".

Modifié par Jojo67
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le chef des armées a été limogé et les militaires ont la permissions d'utiliser leurs armes. :huh:

 

Cela étant dit, ici en France on est en "plan vigipirate" (1) principalement contre les bombes du type "Al Qaida" & co. et il n'est pas rare de croiser des militaires armés dans le métro ou le RER à Paris. Je ne sais pas si ils ont la permission d'utiliser leurs armes, mais comme ils en ont, ce ne serait tout de même pas de chance qu'ils aient sur eux des armes et pas la permission de les utiliser...

 

(1) http://fr.wikipedia.org/wiki/Plan_Vigipirate

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