pampa14 Posted May 21, 2014 Share Posted May 21, 2014 Le Yokosuka MXY-7 Ohka était uma habité arme kamikaze, en utilisant une plate-forme, le bombardier Mitsubishi G4M Betty. Le lien ci-dessous montre une petite raportage et quelques photos des armes utilisées par le Japon à la fin de la Seconde Guerre mondiale: http://aviacaoemfloripa.blogspot.com.br/2011/02/uma-bomba-kamikase.html J'espère que vous apprécierez et merci de votre visite! 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Janmary Posted May 22, 2014 Share Posted May 22, 2014 Merci Pampa 14. Le Yokosuka MXY-7 Ohka (Fleur de cerisier, qui fut également l'emblème des volontaires des attaques spéciales Japonaise) dont 850 exemplaires furent construits, avait les caractéristiques suivantes = Poids de 2050 kg, Longueur de 6,1 m, Envergure de 5,1 m, Vitesse maximale de 800 km/h, Vitesse en piqué de 1050 km/h, Tête explosive de 1200 kg de trinitroaminol. Il était propulsé par fusées. Les robes de cérémonie des pilotes étaient blanche avec une fleur de cerisier à cinq pétales brodée dans le dos pour la marine et noires brodées d'un dragon vert et or pour l'armée. La tenue était celle d'un pilote pour l'envol du kamikaze ("vent divin", du nom des typhons qui détruisirent la flotte sino-mongole - de 3500 navires et 100.000 guérriers - qui se dirigeait vers le Japon pour l'envahir au XIII° siècle, les 14 et 15 août 1281exactement) Link to comment Share on other sites More sharing options...
collectionneur Posted May 23, 2014 Share Posted May 23, 2014 Leur autonomie étant réduite, leurs avions porteurs se faisaient abattre dans leur majoritè avant d'être a porté de leurs cibles. Link to comment Share on other sites More sharing options...
Janmary Posted May 23, 2014 Share Posted May 23, 2014 En effet collectionneur. C'était un vol à vue direct de l'objectif qui faisait que l'avion porteur, le bombardier Mitsubishi G4M Betty, était dans la sphère de "l'ombrelle" (c'est le nom de l'époque) aérienne américaine. Par ailleurs, beaucoup de pilotes (dont Pierre Clostermann, premier chasseur de France de la seconde guerre mondiale) et d'aérodynamiciens ont émis des doutes sur la stabilité de cet engin à son maximum de vitesse, qui devait être une vitesse "critique" pour l'aérodynamique de cet appareil et donc d'une grande instabilité. Link to comment Share on other sites More sharing options...
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