Ciders Posté(e) le 14 mars Share Posté(e) le 14 mars il y a 6 minutes, ksimodo a dit : Donc on va avaler nos centrales, et le NS 3eme du nom est un projet d'avenir ( car il y a bien des contreparties ....). Non, on va envoyer des commandos pour repeindre en violet les murs du Kremlin. Au-delà de l'exagération, attendons que la poussière retombe. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 15 mars Auteur Share Posté(e) le 15 mars https://www.zeit.de/politik/deutschland/2025-03/bundeswehr-wehrbeauftragte-eva-hoegl-jahresbericht (11 mars 2025) La commissaire à la défense atteste que la Bundeswehr a de gros problèmes de personnel Dans son rapport annuel, Eva Högl déplore l'absence de données complètes sur les personnes aptes au service militaire. En outre, la commissaire à la Défense demande plus de rapidité dans l'équipement des troupes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 15 mars Auteur Share Posté(e) le 15 mars https://fr.euronews.com/my-europe/2025/03/10/le-rearmement-de-leurope-est-la-prochaine-folie-de-lue-estime-yanis-varoufakis (10 mars 2025) L'ancien ministre des Finances grec se réjouit aussi de l'assouplissement du frein à l'endettement en Allemagne mais il considère que les dépenses de défense "ne généreront pas de croissance là où c'est nécessaire". De passage à Bruxelles, Yánis Varoufákis ne mâche pas ses mots. "Le réarmement de l’Europe est la prochaine grande folie de l’Union européenne", déclare l'ancien ministre des Finances de la Grèce lors d'une interview avec Euronews. L'économiste de gauche estime que le réarmement européen "dissoudra le tissu social" sans garantir la sécurité européenne."C’est une façon d’affaiblir l’Europe au nom de la rendre plus forte", ajoute-t-il. L’ancien ministre des Finances grec, qui s'était opposé à la politique d'austérité européenne, salue ce changement de paradigme avec quelques réserves. "Bien sûr, je me réjouis de la fin de ce frein à l'endettement", assure Yánis Varoufákis avant de nuancer. Le cofondateur du mouvement paneuropéen DiEM25 assure que Friedrich Merz "veut se livrer à un keynésianisme militaire". "Au lieu d’investir dans la vie, il investit dans la mort. D’un point de vue macroéconomique et réaliste, ça ne va pas générer la croissance là où c’est nécessaire. Lorsque vous achetez des munitions, lorsque vous achetez des obus et que vous les mettez sur une étagère. Ce n’est pas un investissement productif", croit-il. Interrogé sur la question de savoir si le pacifisme ne reviendrait pas à donner carte blanche à Vladimir Poutine pour poursuivre ses ambitions impérialistes et envahir d'autres pays, il répond que “le pacifisme n’est jamais une bonne réponse à une invasion”, mais qu’opter “pour une guerre sans fin” n’est pas rationnel non plus. En effet les critiques du PIB pensent qu'il faut soustraire du PIB les dépenses militaires qui ne participent pas du "progrès véritable" ou du bonheur : On trouve les considérations suivante dans un rapport sur l'indice de progrès véritable (Genuine Progress Indicator) de l'État d'Utah : https://utahpopulation.org/wp-content/uploads/2014/11/Utah_GPI__Report_v74_withabstract.pdf p 15 Le PIB traite toutes les dépenses comme des revenus, même lorsque certaines de ces dépenses sont effectuées pour protéger les citoyens des effets secondaires des activités économiques passées et présentes. Il s'agit de dépenses défensives regrettables qui n'ajoutent pas au bien-être, mais empêchent sa détérioration, c'est-à-dire "les dépenses que nous devons faire pour nous protéger des conséquences indésirables de la production et de la consommation d'autres biens par d'autres personnes" (Daly et Farley 2004). Ces dépenses ne devraient généralement pas être comptabilisées dans le bien-être des individus car elles corrigent en réalité un impact négatif plutôt que de produire un avantage positif en soi. Parmi les exemples de dépenses défensives, citons la construction de murs épais pour bloquer la pollution sonore, l'utilisation de filtres à air pour réduire les impacts de la pollution atmosphérique ou l'achat d'armes à feu pour se protéger. https://mahb.stanford.edu/blog/looking-beyond-gdp-evaluate-societal-priorities/ (7 janvier 2020) En outre, les activités non productives telles que les dépenses de défense augmentent considérablement le PIB. Une mise en garde de Dwight Eisenhower - le dernier ancien général à avoir occupé le poste de président - est instructive. Il a mis en garde contre l'affectation excessive de ressources productives aux budgets de défense en raison de son impact sur la faim, l'éducation, les soins de santé et la fourniture d'autres services fondamentaux. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 15 mars Share Posté(e) le 15 mars (modifié) Il y a 5 heures, Wallaby a dit : https://fr.euronews.com/my-europe/2025/03/10/le-rearmement-de-leurope-est-la-prochaine-folie-de-lue-estime-yanis-varoufakis (10 mars 2025) L'ancien ministre des Finances grec se réjouit aussi de l'assouplissement du frein à l'endettement en Allemagne mais il considère que les dépenses de défense "ne généreront pas de croissance là où c'est nécessaire". De passage à Bruxelles, Yánis Varoufákis ne mâche pas ses mots. "Le réarmement de l’Europe est la prochaine grande folie de l’Union européenne", déclare l'ancien ministre des Finances de la Grèce lors d'une interview avec Euronews. L'économiste de gauche estime que le réarmement européen "dissoudra le tissu social" sans garantir la sécurité européenne."C’est une façon d’affaiblir l’Europe au nom de la rendre plus forte", ajoute-t-il. L’ancien ministre des Finances grec, qui s'était opposé à la politique d'austérité européenne, salue ce changement de paradigme avec quelques réserves. "Bien sûr, je me réjouis de la fin de ce frein à l'endettement", assure Yánis Varoufákis avant de nuancer. Le cofondateur du mouvement paneuropéen DiEM25 assure que Friedrich Merz "veut se livrer à un keynésianisme militaire". "Au lieu d’investir dans la vie, il investit dans la mort. D’un point de vue macroéconomique et réaliste, ça ne va pas générer la croissance là où c’est nécessaire. Lorsque vous achetez des munitions, lorsque vous achetez des obus et que vous les mettez sur une étagère. Ce n’est pas un investissement productif", croit-il. Interrogé sur la question de savoir si le pacifisme ne reviendrait pas à donner carte blanche à Vladimir Poutine pour poursuivre ses ambitions impérialistes et envahir d'autres pays, il répond que “le pacifisme n’est jamais une bonne réponse à une invasion”, mais qu’opter “pour une guerre sans fin” n’est pas rationnel non plus. En effet les critiques du PIB pensent qu'il faut soustraire du PIB les dépenses militaires qui ne participent pas du "progrès véritable" ou du bonheur : On trouve les considérations suivante dans un rapport sur l'indice de progrès véritable (Genuine Progress Indicator) de l'État d'Utah : https://utahpopulation.org/wp-content/uploads/2014/11/Utah_GPI__Report_v74_withabstract.pdf p 15 Le PIB traite toutes les dépenses comme des revenus, même lorsque certaines de ces dépenses sont effectuées pour protéger les citoyens des effets secondaires des activités économiques passées et présentes. Il s'agit de dépenses défensives regrettables qui n'ajoutent pas au bien-être, mais empêchent sa détérioration, c'est-à-dire "les dépenses que nous devons faire pour nous protéger des conséquences indésirables de la production et de la consommation d'autres biens par d'autres personnes" (Daly et Farley 2004). Ces dépenses ne devraient généralement pas être comptabilisées dans le bien-être des individus car elles corrigent en réalité un impact négatif plutôt que de produire un avantage positif en soi. Parmi les exemples de dépenses défensives, citons la construction de murs épais pour bloquer la pollution sonore, l'utilisation de filtres à air pour réduire les impacts de la pollution atmosphérique ou l'achat d'armes à feu pour se protéger. https://mahb.stanford.edu/blog/looking-beyond-gdp-evaluate-societal-priorities/ (7 janvier 2020) En outre, les activités non productives telles que les dépenses de défense augmentent considérablement le PIB. Une mise en garde de Dwight Eisenhower - le dernier ancien général à avoir occupé le poste de président - est instructive. Il a mis en garde contre l'affectation excessive de ressources productives aux budgets de défense en raison de son impact sur la faim, l'éducation, les soins de santé et la fourniture d'autres services fondamentaux. C'est surement pas une bonne chose économiquement une part trop importante dans la défense. Mais entre 1,4% en moyenne en Europe dans la défense pendant 30 ans en étend aujourdui à la ramasse et les 8% que met la Russie, il y a un juste équilibre me semble t'il. Et 3/3,5% serait certainement un bon équilibre pour devenir crédible face aux tourments à venir comme le font les US depuis bien longtemps (et leur économie n'est pas trop mal apparemment). De plus, Dwight Eisenhower a dit cela et c'est factuellement vrai. D'ailleurs il a réduit de 10% le budget du pentagone pendant ses 2 mandats. Mais la part du budget de défense dans le PIB US atteignait 10% et 50% du budget fédéral en 1953... (aujourdui c'est 3,4% en PIB et 21% en part du budget fédéral) Modifié le 15 mars par Ronfly 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Manuel77 Posté(e) le 18 mars C’est un message populaire. Share Posté(e) le 18 mars Le Bundestag a décidé, à une courte majorité de plus des deux tiers, que la Loi fondamentale serait modifiée, rendant ainsi possibles les nouvelles dettes très élevées. Auparavant, des plaintes avaient été déposées contre le vote, mais elles ont été rejetées par la Cour constitutionnelle fédérale. https://www.tagesschau.de/eilmeldung/bundestag-finanzpaket-100.html Vendredi, la modification de la loi fondamentale doit être votée au Bundesrat (chambre des Länder), là aussi le succès n'est pas assuré. 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Manuel77 Posté(e) vendredi à 10:18 C’est un message populaire. Share Posté(e) vendredi à 10:18 Le Bundesrat (chambre des Länder) a également approuvé la modification de la Loi fondamentale, ce qui nous permet de rejoindre officiellement le Club Med et de nous endetter presque à notre guise. Champagne pour tout le monde ! En fin de compte, ce qui a été déterminant, c'est que les princes des Länder veulent aussi volontiers dépenser de l'argent à l'avenir pour leurs clientèles respectives ou leur dada politique. https://www.n-tv.de/politik/Bundesrat-stimmt-milliardenschwerem-Finanzpaket-zu-article25646430.html 5 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
SinopeMT Posté(e) vendredi à 12:02 Share Posté(e) vendredi à 12:02 Il y a 1 heure, Manuel77 a dit : Champagne pour tout le monde ! Alors qu'en 1919, le traité de Versailles a été arrosé au... Sekt du Palatinat & du Rheingau ! En tant que caviste, j'approuve que les très grandes cuvées champenoises avec 10 ans de cave post-dégorgements gardent une longueur d'avance. Mais le Winzersekt revient pas mal en grâce et donne le change à haut niveau à l'aveugle complète. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) dimanche à 21:05 Auteur Share Posté(e) dimanche à 21:05 (modifié) En 1469, la France importe la technologie de pointe allemande : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Heynlin Jean Heynlin, en latin Johannes Heynlin ou Johannes Heynlin de Lapide, né vers 1430, peut-être à Stein dans le diocèse de Spire (Saint-Empire) et mort le 12 mars 1496 à Bâle, est un homme d'Église et universitaire allemand. Professeur au collège de Sorbonne de l'université de Paris, Jean Heynlin est en 1469-1470 le principal responsable aux côtés de son collègue Guillaume Fichet de l'installation dans le royaume de France du premier atelier d'imprimerie utilisant les techniques de Gutenberg. En 1469, Heylin fait venir à Paris la première presse à imprimer[4] qu'il fait installer dans des locaux dépendants de la Sorbonne, avec l'autorisation du roi Louis XI et qu'il place sous la conduite de trois compagnons typographes allemands dont Ulrich Gering[5]. Le premier livre publié est un recueil de lettres de Gasparin de Bergame, in-quarto de 118 feuillets, tiré à une centaine d'exemplaires (1470). https://fr.wikipedia.org/wiki/Ulrich_Gering En 1470, Ulrich Gering, Martin Crantz et Michel Friburger, trois ouvriers typographes allemands formés à Mayence, installent à Paris, dans les locaux de la Sorbonne, la première imprimerie typographique sur le modèle de celle inventée jadis par Gutenberg. En 1494, il s'associe avec Berthold Rembolt, jeune maître ès arts, qui tient désormais les rênes de l'atelier du Soleil d'Or. Gering se retire du métier en 1508, et meurt le 23 août 1510. Après sa mort, son atelier restera en activité, administré par Berthold Rembolt (qui mourra en 1518), puis par sa veuve Charlotte Guillard et par Claude Chevallon. https://fr.wikipedia.org/wiki/Berthold_Rembolt Addendum (1) : https://en.wikipedia.org/wiki/Johann_Heynlin La réalisation la plus remarquable de Heynlin fut l'établissement de la première presse d'imprimerie à Paris. Heynlin a travaillé en étroite collaboration avec Guillaume Fichet (1433-vers 1480), un autre professeur de la Sorbonne, qui venait lui aussi de l'étranger : du Petit-Bornand-les-Glières, en Savoie. Heynlin fit venir des ouvriers suisses pour installer cette presse dans les bâtiments de la Sorbonne à la fin de l'année 1469 ou au début de l'année 1470 : Ulrich Gering (ou Guerinch ou Guernich) (1445-1510), Michael Friburger et Martin Crantz (ou Krantz). Ulrich Gering était peut-être originaire de Münster en Argovie [alias Beromünster, aujourd'hui canton de Lucerne], Friburger de Colmar et Crantz de Münster ou de Strasbourg. Heynlin apporta une aide financière précieuse à leurs entreprises, notamment pour l'impression des œuvres des Pères de l'Église. Le roi Louis XI accorda des lettres de naturalisation aux trois ouvriers en 1475. Leur première publication avec cette presse, et le premier livre imprimé en France, fut un recueil de lettres du grammairien du quinzième siècle Gasparinus de Bergamo (Gasparino Barzizza). Les Epistolae Gasparini Pergamensis (1470) étaient destinées à servir d'exemple aux étudiants pour la rédaction d'un latin artistique et élégant. Leur deuxième ouvrage était une traduction de Salluste (1470-1471), le troisième les Orationes de Bessarion (1471) et le quatrième la Rhetorica de Fichet lui-même en 1471. Le nombre d'ouvrages qu'ils ont publiés de 1470 à 1472 s'élève à une trentaine. Addendum (2) : https://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-1971-02-0065-001 Jeanne VEYRIN-FORRER, « Hommage aux premiers imprimeurs de France. 1470-1970 », Bulletin des bibliothèques de France (BBF), 1971, n° 2, p. 65-80. N'est-ce pas l'occasion de citer, une fois encore, les vers latins qui terminent le premier livre imprimé à Paris ? Ut sol lumen sic doctrinam etc... Nouveau soleil, tu répands sur le monde, O Paris, cité royale, mère des muses, Les lumières de la science : Daigne accepter en récompense Cet art d'écrire presque divin Qu'inventa la Germanie. Voici le premier livre créé et composé Sur la terre de France et jusqu'en ta maison. Les maîtres qui l'ont imprimé, Michel, Ulrich et Martin, En feront encore d'autres. Les premiers imprimeurs qui émigrèrent en France se sont fait connaître dès l'origine dans les distiques qu'on vient de lire : ce sont Michael Friburger, de Colmar, Ulrich Gering, de Beromünster au diocèse de Constance, et Martin Crantz, sans doute originaire de la même ville. Le prévôt de Beromünster était depuis le 15 juin 1469 Joost von Silenen, zélé partisan de la France, qui fut à plusieurs reprises chargé de missions en Suisse par Louis XI et travailla au rapprochement des confédérés avec le royaume. Il se peut donc que Silenen ait joué un rôle dans la venue de Gering en France. En tous les cas, en 1470, sur la demande de Jean Heynlin, Gering, Crantz et Friburger prenaient le chemin de Paris, en emportant, ainsi qu'il semble, leurs moules à fondre les caractères et leurs précieuses boîtes de poinçons. Le 18 juin 1467, Fichet et lui-même [Heynlin] revendiquaient avec succès, contre les ordonnances de Louis XI, l'exemption du service militaire pour les étudiants de l'Université. Les Orationes de Bessarion [évêque de Nicée, patriarche latin de Constantinople], ouvrage de propagande politique, premier du genre diffusé par l'imprimerie, est un appel à la croisade contre les Turcs [après la chute de Constantinople de 1453]. Gering, Crantz et Friburger demandèrent alors au roi Louis XI des lettres de naturalisation qui leur furent accordées à titre gracieux en février 1475. Le premier mars, dans la Somme de Barthélémy de Pise, ils terminaient par ce vers la « louange du livre » : « ... Hos genuit Germania, nunc Lutetia pascit. » « Nés en Allemagne, ils ont maintenant Lutèce pour mère nourricière. » Leurs livres qui lui offrent des exemples de bravoure seront, affirment-ils, des armes pour le roi « Armigerisque tuis Alemanos adnumeres qui hos pressere libros arma futura tibi » (Et tu peux compter parmi tes armigères les Allemands qui ont imprimé ces livres, armes de ton futur ». La même année [1472], les imprimeurs exprimaient à Louis XI leur reconnaissance pour son accueil bienveillant et lui faisaient l'hommage de leurs personnes et de leur industrie : « On nous traite ici à Paris, ville capitale de votre royaume, non comme des gens du pays, des habitants ou de simples hôtes, mais comme des bourgeois jouissant de toutes leurs libertés. Ce traitement est si doux, que nulle part, nous ne saurions trouver une plus grande liberté que celle dont nous jouissons à présent, grâce à vous, Roi très pieux, nous qui, uniquement soutenus par votre clémence, avons le plus vif plaisir de contribuer à l'illustration de votre très heureux règne en imprimant des livres. » A la fin de l'année 1477, sur les cinq créateurs de la presse de la Sorbonne, seul donc Gering se fixait à Paris. Mais en faisant siens les premiers imprimeurs, la France avait en 1475 adopté définitivement l'imprimerie, d'autant qu'à côté du « Soleil d'or » s'étaient ouverts deux nouveaux ateliers, celui des Allemands Caesaris et Stoll et celui du «Soufflet vert » animé par des Français. Modifié lundi à 14:01 par Wallaby 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Manuel77 Posté(e) il y a 1 heure Share Posté(e) il y a 1 heure @Bechar06 Il semblerait que Boris Pistorius (SPD) reste ministre de la Défense. C'est plutôt inhabituel, car dans une grande coalition (CDU/SPD), c'est normalement l'Union qui occupe ce poste. En Allemagne, le ministère de la Défense marque souvent la fin d'une carrière politique, car il y a de fortes chances que la personne se ruine à cause d'un scandale mineur - certains sont structurels (un achat ne se déroule pas comme prévu), mais il s'agit souvent d'une malchance personnelle. C'est un ministère qui ne porte pas chance. Mais dans le cas de Pistorius, il est de loin l'homme politique le plus apprécié en Allemagne, de plus le ministère a été valorisé par les circonstances géopolitiques et l'abondance d'argent qui va bientôt arriver. En outre, la direction du SPD pourrait être tout à fait satisfaite que Pistorius reste au ministère de la Défense. Il n'est pas très populaire au sein du groupe parlementaire du SPD, et s'il réussissait à prendre en charge un autre ministère, sa candidature au poste de chancelier pourrait s'imposer dans quatre ans. Friedrich Merz insiste pour que les négociations de coalition soient conclues d'ici Pâques. Il deviendrait alors probablement chancelier peu après Pâques. Mais c'est difficile pour Merz, il se montre maladroit dans les négociations, le SPD peut réussir à le faire chanter. De nombreux membres de la CDU sont en colère. Merz est un très bon orateur, mais il n'a aucune expérience du gouvernement ni de la conduite de négociations de coalition. https://www.stuttgarter-zeitung.de/inhalt.wann-wird-merz-kanzler-mhsd.dec90e9a-eb05-4a66-a758-ec530b7f9029.html 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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