pampa14 Posté(e) le 18 novembre 2014 Share Posté(e) le 18 novembre 2014 Je partage avec vous le lien suivant, qui apporte un rapport avec des photos et des informations sur l'un des épisodes les plus emblématiques et étonnantes de la Seconde Guerre Mondiale. Je vous souhaite une bonne et je compte sur votre visite! http://aviacaoemfloripa.blogspot.com.br/2011/02/trinta-segundos-sobre-tokyo.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Janmary Posté(e) le 18 novembre 2014 Share Posté(e) le 18 novembre 2014 L'histoire de "Trente secondes sur Tokyo" est bien connue sur le plan historique, technique et par les citoyens américains. Ce fut un moment de fierté pour le public et les forces armées américaines après tant de défaites consécutives depuis l'attaque de l'aéronaval Japonaise à Pearl Harbor L'annonce de ce raid de la part du Président Américain Roosevelt qui annonça le raid de bombardiers américain sur le Japon à partir de la base de Shangri-la pour éviter de mentionner le décollage des bombardiers du type B-25 « Mitchell » (du nom d’un officier général qui fut traduit devant un tribunal militaire pour avoir affirmé la suprématie de l’avion sur le cuirassé) du porte-avion « Hornet » accompagné du porte-avions « Entreprise » avec leurs croiseurs de protection , l’ensemble sous le commandement de l’Amiral William F.Halsey. Les 16 bombardiers (du type terrestre donc non prévu pour des décollages à partir de bases flottantes tels des porte-avions) sous le commandement du célèbre (colonel) Doolittle, devaient décoller au poids de 23.000 livres, parcourir 500 milles marin (1 mille marin = 1.852 mètres), attaquer. le Japon sans escorte, et parcourir 700 milles marin pour tenter de se poser en Chine Nationaliste en zone non occupée par les Japonais. Il fallut une heure entre le premier et dernier décollage, sans soucis particulier du fait d'un excellent entrainement au prélable.. Rien ne se produit comme prévue dans un conflit, puisque l’escadre US fut détectée par un patrouilleur, le « Karita Maru » qui fut coulé an canon par l’escorte, mais obligea au décollage prématuré des bombardiers prévus que le lendemain. Le manque d’essence eu pour conséquence pour certain appareils des posés en Chine dans une zone tenue par les Japonais. Mais le choc psychologique des bombardements du Japon et des villes de Tokyo (résidence de l’Empereur), Yokohama, Osaka, Kobé et Nagoya fut une réussite. Le slogan américain devint « Doolit’ do it », c’est à dire le nom de Doolitle qui signifie en traduction littéral « Fait peu », le slogan se traduisant par « celui qui fait peu...l’à fait ! »). Janmary 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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