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[Blindés] les dépanneurs


Serge

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Question bete a propos des lames dozer.

Le DCL en a un toute petite ... qui sert a priori plus de beche qu'autre chose.

Mais celle sur le EPG était a peine plus grosse.

Il y a une raison particuliere pour laquelle les lames dozer sont si petite, et donc pourquoi on prévoit de déplacer si peu de terre avec? Par rapport au engin de TP pourtant faiblement motorisé c'est le jour et la nuit ...

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Il y a 4 heures, g4lly a dit :

Question bete a propos des lames dozer.

Le DCL en a un toute petite ... qui sert a priori plus de beche qu'autre chose.

Mais celle sur le EPG était a peine plus grosse.

Il y a une raison particuliere pour laquelle les lames dozer sont si petite, et donc pourquoi on prévoit de déplacer si peu de terre avec? Par rapport au engin de TP pourtant faiblement motorisé c'est le jour et la nuit ...

sans apporter de réponse formelle, on est dans le meme cas qu'avec un tracteur, on demande du couple a un Bull mais pas de rouler a 70 km. 

je pense que le couple disponible dans la plage  de 1 à 3-5 Km/h ne permet pas monter une lame plus grande... 

En complément, on demande une plus grande polyvalence a un Dépanneur ou engin du Génie que se que l'on peut attendre d'un Bulldozer.

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Il y a 5 heures, g4lly a dit :

Question bete a propos des lames dozer.

Le DCL en a un toute petite ... qui sert a priori plus de beche qu'autre chose.

Mais celle sur le EPG était a peine plus grosse.

Il y a une raison particuliere pour laquelle les lames dozer sont si petite, et donc pourquoi on prévoit de déplacer si peu de terre avec? Par rapport au engin de TP pourtant faiblement motorisé c'est le jour et la nuit ...

La lame sur le DCL est un lame d'ancrage. Le dépanneur repose dessus quand ce dernier doit tracter de lourdes charges dans un terrain gras. Cette lame est, de fait, plus courbée qu'une lame de terrassement.
26908066_10155978558293187_2449398953837

Que ce soit l'EPG ou le DCL, les lames sont de largeur identiques (+/-1cm).
La différence majeure se trouve dans le fait que la lame de l'EPG est complétée par des extensions pour creuser un embossement suffisant pour un Leclerc (et ses préblindages).
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Modifié par DarkLabor
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Il y a 4 heures, DarkLabor a dit :

La lame sur le DCL est un lame d'ancrage. Le dépanneur repose dessus quand ce dernier doit tracter de lourdes charges dans un terrain gras. Cette lame est, de fait, plus courbée qu'une lame de terrassement.
26908066_10155978558293187_2449398953837

Que ce soit l'EPG ou le DCL, les lames sont de largeur identiques (+/-1cm).
La différence majeure se trouve dans le fait que la lame de l'EPG est complétée par des extensions pour creuser un embossement suffisant pour un Leclerc (et ses préblindages).
26814613_10155978559058187_5498449315849

Non la différence majeure est surtout que la lame de l'EPG n'a rien à voir avec celle du DCL et n'a pas du tout la même utilité, va faire du terrassement et/ou creuser un embossement avec la lame du DCL et va faire la même chose avec celle de l'EBG sur châssis 30B2 et tu verra la différence.

Ben la lame de l'EPG est quasi la même que celle de l'EBG sur laquelle ont peut aussi rajouter des extensions pour mieux diriger le "flux" de terre à pousser et non pas pour, forcément, créer un embossement de la largeur directe du char.

Et l'EPG sur châssis DNG rempli parfaitement cette mission et pour l'avoir vu faire le jour même où cette photo à été prise, (oui j'y étais ce jour là, c'était en 2001 et je faisais un de mes derniers stages durant mes études et ce jour j'étais sur piste) avec les élargisseurs de lame, et quelques années plus tard pour défricher tout une partie de terrain pour créer une piste tout chemin sans les élargisseurs montés, la différence se situe bien au niveau de la direction du flux de matériaux à pousser et non directement pour la largeur.

Pour créer un embossement ça ne se fait pas forcément du premier coup pour le mettre à la largeur de l'engin suivant le sol sans lequel tu creuse, pour avoir vu des EBG creuser lors de leurs essais constructeurs, quand j'étais gamin, des embossements ou tranchées je peux te garantir que, même équipés avec des élargisseurs, ils s'y reprennent à plusieurs fois pour mettre la bonne largeur.

Modifié par pinpon42100
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il y a 9 minutes, Scarabé a dit :

EPG pour Engin Principal du Génie est un proto de Nexter construit sur une base de DCL Et il me semble bien qu'un seule exemplaire est conservé à Saumur .

  

Si ma mémoire est bonne il a été construit a partir du proto 3 (DNG3) des ARVs qui ont été vendus aux EAU ainsi que comme les deux premiers Français DNG qui sont des ARVs.

 

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  • 3 weeks later...
  • 2 years later...

Un petit article US ... sur le droit de réparer ... et son application dans les armées ...

En gros le pentagone signe des contrats de maintenance ... qui incluent une interdiction de réparation sauf pour le contractant qui a gagné le contrat. En gros les forces armées elles mêmes se retrouvent interdites d'effectuer des maintenances ou réparation élémentaire sur le champ de bataille ...

https://foxtrotalpha.jalopnik.com/even-the-american-military-is-struggling-with-right-to-1841531517

Quote

Even The American Military Is Struggling With Right-To-Repair

Imagine that you’re stationed at an outpost deep in a conflict zone. Your MRAP’s alternator is busted and you’ve got a spare, but your mechanic tells you that she’ll void the warranty if you let her replace it. It’s either tow the whole thing out or let it sit there wasting space. That’s what American servicemembers are up against these days.

This is the same right-to-repair issue that’s affecting farmers, iPhone tinkerers, and even regular old wrenchers across the country, but now it’s making it nearly impossible for our armed forces to do their jobs, and it’s likely the Pentagon’s fault too.

Back in November, Marine Captain Elle Ekman wrote an op-Ed in the New York Times attempting to draw attention to the challenges that mechanics across the American armed forces are facing with equipment that they aren’t allowed to fix.

Increasingly, Captain Ekman argues, the Department of Defense is signing procurement contracts for equipment from generators to trucks to MRAPs that not only cover the purchase of the vehicle but strict maintenance regimens as well. These contracts often place restrictions on the maintenance of the equipment, requiring manufacturer-affiliated contractors to perform maintenance and repair instead of enlisted Soldiers.

These contracts, Captain Ekman continues, dramatically limit the ability of Soldiers to stay properly equipped when on duty, whether they are deployed overseas or here at home.

Captain Ekman’s op-Ed accompanied a much more detailed letter that she submitted to the Federal Trade Commission. This letter goes into greater detail to describe the policy conditions that she believes allowed the military to sign these restrictive procurement contracts and the impact that specific contracts have had on the ability of the military to properly use the maintenance and repair resources it already has to service its equipment.

According to Captain Ekman, the problems began when legislators changed military procurement guidelines to give the military greater freedom to procure equipment and technologies that were designed for commercial use. These items would be exempt from many rules and regulations that govern bidding processes and contact negotiations that have long slowed military procurement.

When the Pentagon made these changes to allow the military to obtain more commercial equipment, it was allowed to negotiate for the rights to the data and literature necessary to enable servicemen and women to perform repairs and maintenance without the assistance of the manufacurer. In practice, though, the equipment purchased by the military has remained subject to the same restrictions as civilian equipment which poses unique challenges to the military:

“These restrictions, present in both commercial and non-commercial items and services, are particularly problematic in light of DOD’s mission. Many of the products and services purchased from contractors must be available in combat situations where contractor presence or reach-back for repairs, data, or diagnostics, will likely not be an option. Unfortunately, although DOD employs these contracted items to achieve our nation’s national security goals, an arena which is decidedly unrelated to the conventional commercial marketplace, DOD is restricted by the same challenges faced by other consumers, yet with farther-reaching effects.”

Captain Ekman goes on to point to two major equipment procurement projects that have demonstrated just how damaging these policies have been to the effectiveness of American military operations. These two programs, the MTVR, a medium-sized truck that replaced the Army’s M939 and the Marines’ M809 5-ton trucks, and the JLTV, which is among the vehicles that are currently coming into service to replace the HMMWV, or Humvee.

Both vehicles are built by the Wisconsin-based Oshkosh Corporation, a truck builder and military contractor, and though Oshkosh does manufacture civilian equipment like cement mixers and fire trucks, the models above are both intended for military use only. Despite that, the procurement contracts for these two systems retained service and warranty terms that gave the vendor total control over warranty repairs and the delegation of any support work to third-party contractors.

Captain Ekman does point out that one upside of these contracts is that trained military personnel may be freed up from vehicle maintenance duties for other purposes while contractors work on equipment, but she reminds readers that any such benefit is ultimately a liability under battlefield conditions where equipment is needed immediately and the vendor is unable to perform necessary work under fire.

Furthermore, Captain Ekman explains that some of the challenges facing Soldiers and Marines in the field were more than just bureaucratic. The designs of the vehicles themselves made it difficult for mechanics to perform even the maintenance they were allowed to do. In her letter, Captain Ekman includes some anecdotes about the difficulty of maintaining the JLTV from a 2014 report that suggested that the challenges were as technical as they were contractual:

- “units [could not] maintain the JLTV without support from the contractor field service representatives due to vehicle complexity”;

- there were issues with “ineffective training, poor manuals, and challenges with troubleshooting the vehicle”;

- “the maintainer training was not effective and required additional familiarization and hands-on time to increase the competency of military maintainers to troubleshoot the vehicle”; and

- “the health monitoring system [was] not accurate and [it] reduce[d] crew and maintainer confidence in the system.”

If servicemembers are losing faith in their ability to accurately assess issues with the equipment designed to keep them safe in war zones, their ability to fight will be severely impaired. If there are no contractors available to correctly use computerized vehicle status systems to diagnose and repair faults, Soldiers could be going into battle with equipment that will not function properly and cannot be repaired.

It’s important to point out that while Captain Ekman makes the point that these pieces of equipment are unrepairable for warranty reasons, the military still retains a robust equipment maintenance program whose hands are tied. In other words, the capability to keep these vehicles moving is largely there, but it sits idle while contractors are paid to do the work.

That capability will fade away, though as military mechanics lose opportunities to build experience working on their equipment outside of the warzone. With contractors performing the work, these mechanics are not developing the necessary experience to use the resources at their disposal to keep equipment working when conditions are tougher. Even worse, those mechanics that do attempt to perform repairs on warrantied equipment have even found themselves reprimanded for their actions as unsanctioned repairs voided warranty support.

Now, all of this has a secondary effect that Captain Ekman doesn’t touch upon but which seems important to me: The impact of these policies on military mechanics’ post-service job prospects.

Both the Army National Guard and the Marines promote mechanic positions in their ranks as opportunities to build skills that will translate to careers back on the homefront. If you search online, countless websites describe the Marine MOS 3521 Automotive Maintenance Technician and Army National Guard 91B Wheeled Vehicle Mechanic positions are pathways to future jobs in the private sector. The National Guard says that working as a 91B:

“Will help prepare you for a career with service stations, auto dealers, farm equipment companies and state highway agencies. You’ll be able to pursue a career as a garage mechanic, carburetor mechanic, transmission mechanic, radiator mechanic, construction equipment mechanic or endless track vehicle mechanic.”

The US Marines website has an entire database of positions that are supposedly opportunities for former MOS 3521 and it makes sense. The same regulations that made it so difficult to repair the military’s vehicles also made them much more similar to what mechanics work on back at home.

All of that sounds great, but if Soldiers and Marines are not getting the on-the-job experience they need because of restrictions the procurement process has put on their ability to practice their craft and cultivate necessary skills, the prospect of post-service employment seems rather dimmer. Of course, the private sector is where these warranties and maintenance contracts originated so perhaps the experience of navigating these restrictions and waiting for vendor approval or assistance will prove more useful than I might have thought, though one hardly needs to serve in the military to know how to hold the phone while a call center pulls up your account, right?

If you an active or retired serviceman or woman with experience with Right-To-Repair issues in the military, we would love to hear from you. Please feel free to share your experiences in the comments below or reach out to us at tips@jalopnik.com.

https://foxtrotalpha.jalopnik.com/even-the-american-military-is-struggling-with-right-to-1841531517

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Il y a 6 heures, g4lly a dit :

Un petit article US ... sur le droit de réparer ... et son application dans les armées ...

En gros le pentagone signe des contrats de maintenance ... qui incluent une interdiction de réparation sauf pour le contractant qui a gagné le contrat. En gros les forces armées elles mêmes se retrouvent interdites d'effectuer des maintenances ou réparation élémentaire sur le champ de bataille ...

En vertu de ce que l'on voit, que ce soit côté US ou côté européen, dans les modalités de développement des matériels, d'attribution des contrats, ou encore de gestion des parcs, Franz Kafka devrait être le nom du futur char franco-allemand.

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Lorsque la logique des bénéfices commerciaux l'emporte sur tout le reste ça devient vraiment ridicule...s'ils respectent scrupuleusement cela il suffira d'infliger des dégats relativement minimes pour immobiliser un engin...le temps que LM GD ou autre envoie des mécano...les ennemis des ricains doivent se pâmer de plaisir devant cette kafakienne absurdité...pire que le formulaire 27B-6.

Je pense une fois de plus qu'il faudrait un nouveau Mindef aux States, un hybride de R.Gates et d'A.Serduykov qui virerai un bon tiers du Pentagone.

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  • 2 weeks later...
Le 11/02/2020 à 02:39, g4lly a dit :

Un petit article US ... sur le droit de réparer ... et son application dans les armées ...

En gros le pentagone signe des contrats de maintenance ... qui incluent une interdiction de réparation sauf pour le contractant qui a gagné le contrat. En gros les forces armées elles mêmes se retrouvent interdites d'effectuer des maintenances ou réparation élémentaire sur le champ de bataille ...

https://foxtrotalpha.jalopnik.com/even-the-american-military-is-struggling-with-right-to-1841531517

https://foxtrotalpha.jalopnik.com/even-the-american-military-is-struggling-with-right-to-1841531517

A force de recentrer les cœurs de métier, on arrive à des trucs bizarres, non ?

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  • 1 year later...

En attandant la version Griffon ELI (élément léger d’intervention) pour les Regiment du Materiel ,qui n'arrivera pas avant 2025

 24 VAB ELI vont être Valoriser en Ultima.  Ils seront livré en terre de france en 2022/ 23 Il verront l'ajout d'un nouveau treuil sur l'arriere comme sur les VAB Genie Un nouveau cables et un moteur electrique sur la petite grue ( à la place de la manivelle :rolleyes:) .  L 'atelier intereur va être entierment revu.  Ils recevront égalment des nouveaux racs de rangement. la Radio contact

Et bien sur, revision habituel, moteur, freins, suspension etc..

 

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Belle initiative en attendant la dotation initiale des Griffon ELI. La motorisation du portique de levage est un vrai plus, comme le treuil d’ailleurs (en espérant qu’il soit en capacité de tracter ses congénères bien dodus). La conception et l’organisation actuelle de l’atelier arrière sous blindage des ELI VAB est une approche « à l’ancienne », digne héritière des familles de Lot 7 (stockage pièces et volant d’atelier, casiers, étau, établi etc … avec une deux couchettes de fortune). A mon humble avis, il y a possibilité de faire nettement plus fonctionnel « à pas cher ». Gageons que le Feed back de la STAT et de l’ESAM donne un résultat à la hauteur des attentes de nos maintenanciers.

Par exemple, Il y a sur ce registre (ici un véhicule réellement dédié métier maintenancier) une nation qui a su rebondir sur du châssis VAB et sortir une configuration géniale. Produit par PT Pintad en Indonésie depuis 2008. Conception et réalisation sur base de VAB, reprenant la chaine cinématique et le GMP Français. 

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Le 11/07/2021 à 18:28, max a dit :

Par exemple, Il y a sur ce registre (ici un véhicule réellement dédié métier maintenancier) une nation qui a su rebondir sur du châssis VAB et sortir une configuration géniale. Produit par PT Pintad en Indonésie depuis 2008. Conception et réalisation sur base de VAB, reprenant la chaine cinématique et le GMP Français. 

Alors là, je suis bouche bée, c'est génial leur truc.  Mais tu ne dois pas avoir beaucoup de place pour l'atélier

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il y a 7 minutes, Fusilier a dit :

Alors là, je suis bouche bée, c'est génial leur truc.  Mais tu ne dois pas avoir beaucoup de place pour l'atélier

Nous on va pas faire yn truc comme ça 

Juste une revaloristion au plus pratique surtout qu'ils risquent de finir en OM

Et puis c'est en 2 tranches de 12 et pour l'instant seule les 12 premiers sont passé au budget. 

Faudra voir à quoi ressemble les Griffon ELI en 2025

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7 hours ago, Fusilier said:

Alors là, je suis bouche bée, c'est génial leur truc.  Mais tu ne dois pas avoir beaucoup de place pour l'atélier

Il n'y a pas d'atelier ... la cabine est essentiellement occupé par le moteur "central". A priori l'atelier est sur un autre véhicule. Le "couloir" - ou du moins l'arriere de celui ci - sert de place pour un des membre d'équipage.

Celui ci transporte essentiellement des équipement a utiliser en mode débarqué.

Le moteur est monté à droite contrairement au modele francais. Ce qu'on voit derriere le lance leurre et jusqu'à la pioche c'est le couloir. Et la porte arriere donnc acces a une toute petit cabine pour un ou deux pax. Je suppose que le couloir sert à stocker des équipements. Normalement des tronçonneuse, des pinces hydraulique et de l’équipement pneumatique etc. mais je ne sais pas ce qui est transporter à l'intérieur ou à l'extérieur. Normalement il y a aussi une 7.62 servi par le "copilote". La grue porte 13t ... et s'étend à 10m.

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Le 13/07/2021 à 10:13, Fusilier a dit :

Alors là, je suis bouche bée, c'est génial leur truc.  Mais tu ne dois pas avoir beaucoup de place pour l'atélier

@Fusilier, je suis bien d’accord, c’est génial.

L’idée de dissocier l’espace blindé de l’espace « métier » est LA réponse attendue pour enfin disposer d’un outil adapté. Je ne vois aucune valeur ajoutée à mettre sous abris un espace atelier pour un ELI ou tout autre engin de maintenance. Imagine dans cet espace très restreint aller limer une pièce coincée dans un étau lui-même fixé sur un établie de quelques cm2 … Aucun intérêt. Pourquoi aussi aller mettre des dizaines de casiers à rangement contenant le volant atelier (fusibles, ampoules, écrous/vis/rondelles, pâte à joint etc…) sous blindage ? Pourquoi encore stoker dans cet abris les bidons d’huiles et pots de graisses ? Pire encore, quel est la raison pour laquelle les chapes et manilles de remorquages (lot dédié) devraient être protégé de la « mitraille » ?. Quant aux pièces de rechanges…

En revanche, pouvoir disposer de tout ça en dehors du véhicule/engin en « pensant » une accessibilité favorisée dans une logique d’acte réflexe … Bingo !

Et là toute la logique de rapidité, de rationalité et de vitesse d’exécution prend sens pour la maintenance. On est à des années-lumière des pratiques préhistoriques actuelles conditionnées par les queues de crédits éparses qui sont allouées à la pratique professionnelle des métiers liés au MCO. On peut même imaginer une réserve d’eau de juste de quelques litres avec un robinet en externe pour se laver les mains (ça fait bizarre de parler d’une telle « subtilité » en 2021 …..)

De toute façon lorsque l’on procède à atteler un autre véhicule en panne (l’une des principales mission d’un ELI) la manip’ ne s’effectue pas « sous blindage » ? (Mise en place de l’attelage, triangle de remorquage + chapes + goupilles + prise 12 broches etc …).

Sur l’exemple ci-dessus du VAB 6X6 de Pintad pour l’Indonésie, je trouve que l’espace blindé est encore trop grand. Je ne laisserais uniquement que le blindage d’origine sur l’espace pilotage et intègrerais dans l’espace gagné ce genre de module :

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Il y a quelques années, l’ETBS/ETAS possédait la compétence de la découpe sur véhicule blindé. L’ESAM de Bourges avait envoyé quelques VAB pour servir de support à l’instruction. Ces « maquettes » grandeur réel avaient eu leurs flancs complètement enlevé de manière à avoir accès aux organes du GMP.

On a pas beaucoup évoluè dans la pratique professionnelle depuis ça :

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Le but de la revalorisation Vab ELI est de faire des KIT comme les masters ELI en service dans les Régiments du materiels

Avoir 2 sieges sur l'arriere et le reste en kit outils pour des dépanages d'urgences  

Celui la c'est un atelier environnement et servitudes intégrées. 

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