Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Airbus


zx

Messages recommandés

il y a 36 minutes, Clairon a dit :

Bon, transférer la production d'ailes d'Airbus du Pays de Galles à l'Irlande du Nord en cas de Brexit, ok .... ça se rapproche de l'UE, mais c'est pas vraiment le solution tip-top idéale ...

Clairon

Il peut y avoir plusieurs explications

- l'argument du savoir-faire utilisé dans l'article

- la préparation du Brexit : il semble que beaucoup d'industriels fuient

 - il y a une usine airbus aux USA alors pourquoi pas fonctionner avec celle du Canada. Rien ne dit que les pièces canadiennes reviendront en Europe

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Avolon passe commande pour 100 appareils de la famille Airbus A320neo

Citation

 

09/12/2018 Equipe du journalAirbus, Industrie militaire et aerospatiale

Airbus et la société de leasing Avolon ont annoncé vendredi une commande de 100 appareils de la famille Airbus A320neo. Le nouvel accord comprend 75 avions A320neo et 25 avions A321neo, qui seront livrés à partir de 2023.

Notre commande de 100 appareils de la famille A320neo s’appuie sur notre position de leader dans l’industrie et reflète notre ambition de devenir le leader mondial du secteur. Nous continuons de constater une forte demande de la part de nos clients pour la famille A320neo dans le monde. Dómhnal Slattery, PDG d’Avolon

Avolon a signé un protocole d’accord pour la commande au salon aéronautique de Farnborough en juillet en tant que «client non divulgué». L’entente est évaluée à 11,5 milliards de dollars aux prix catalogue actuels.

Source:dzairakhbar.com

 

 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 weeks later...

La justice américaine a ouvert une enquête sur Airbus

Selon les informations du « Monde », l’entreprise pourrait devoir payer une amende de plusieurs milliards de dollars ou, catastrophe ultime, être condamnée au pénal.

https://www.lemonde.fr/economie/article/2018/12/20/la-justice-americaine-a-ouvert-une-enquete-sur-airbus_5400268_3234.html

peut-etre enn lien avec la taxation des GAFA ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 3 heures, Lezard-vert a dit :

La justice américaine a ouvert une enquête sur Airbus

Selon les informations du « Monde », l’entreprise pourrait devoir payer une amende de plusieurs milliards de dollars ou, catastrophe ultime, être condamnée au pénal.

https://www.lemonde.fr/economie/article/2018/12/20/la-justice-americaine-a-ouvert-une-enquete-sur-airbus_5400268_3234.html

peut-etre enn lien avec la taxation des GAFA ?

L'héritage Enders

Il y a 3 heures, kalligator a dit :

N'y a t -il pas moyen d'arrêter le PDG de Boeing sur un prétexte futile comme mesure de rétorsion ?

Pas sûr que le dossier soit si futile que cela.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

si le montant de l''amende met en péril l'existence d'AIRBUS en  plombant son équilibre financier ...  - avec les juges US ont peut s'attendre à tout - c'est en même temps un concurrent qui coule, une entreprise stratégique pour l'Europe qui disparait ... c'est tout bénéf pour les USA et Boeing ... vont ils se gêner les US, connaissant le ° de servilité des européens et leur capacité à se manger le fois entre eux.....

Modifié par Lezard-vert
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 2 heures, Julien a dit :

Exact, le SFO UK et le PNF ont déjà ouvert une enquête

https://www.arte.tv/fr/afp/actualites/airbus-vise-par-une-enquete-aux-etats-unis-coopere-avec-la-justice

J'ajoute que les changements de managers dans le groupe sont un aveu de culpabilité.

Il n’y a aucun « aveu de culpabilité » parce que comme dit dans l’article :

« Le constructeur européen Airbus est sous le coup d'investigations du PNF et du SFO pour des irrégularités sur des transactions, des faits qu'il a lui-même dénoncés en 2016 aux autorités judiciaires britanniques et françaises. »

 

Et pour le volet américain :

« Quelques mois plus tôt, à l'occasion de la publication de ses résultats du troisième trimestre 2017, le constructeur européen avait indiqué avoir découvert "certaines inexactitudes dans les déclarations faites au Département d'Etat américain au titre de la Partie 130 de la réglementation américaine sur la commercialisation d'armes (ITAR)".

Ces constatations ont été "transmises aux autorités américaines compétentes, avec lesquelles Airbus coopère pleinement", avait-t-il précisé. »

Modifié par TarpTent
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 weeks later...
Il y a 8 heures, zx a dit :

C'est un bon choix de leur part : comme ça si jamais les combines du pouvoir américain pour essayer de faire couler Airbus étaient sur le point de réussir, il y aurait aussi des voix s'élevant de l'autre côté de l'Atlantique pour demander d'arrêter ce délire. Notamment le Gouverneur de l'Alabama, et le maire de Mobile... 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 10 heures, seb24 a dit :

 

En lisant cet article, et notamment la phrase mise en exergue, je me suis demandé s’il y avait vraiment plein de pays qui adoreraient fabriquer des ailes d’Airbus... ou plus exactement si plein de pays répondraient aux critères d’Airbus pour installer une nouvelle chaîne de montage de ce type.

 

Parce que s’il est évident que pleins de pays accueilleraient volontiers une telle usine sur leur sol, avec tous les revenus associés, il me semble tout aussi évident qu’Airbus n’est pas prêt à installer son usine n’importe où !

 

En commençant par les critères les plus évidents, les critères industriels : le choix se porte sur un pays ayant déjà la maîtrise de chaines de montage de ce type de production et possiblement de production d’alliages et de traitement des matériaux avancés.

Ajouté à cela une vraie maturité dans le respect des process industriels complexes, le contrôle qualité et un quasi flux-tendu, celà écarte déjà un bon nombre de pays.

Puis viennent les critères d’éducation et de conditions salariales, ainsi que les exigences logistiques. Dans la mesure où ces productions d’ailes s’inscrivent dans un flux de production, elles doivent pouvoir être relativement proches des matières premières ou des transformations intermédiaires, et doivent être également relativement proches des zones d’assemblage final.

Le pays doit posséder les infrastructures nécessaires au soutien de cette logistique, et également être dans une zone et une situation monétaires aui garantissent à Airbus une stabilité et une homogénéité financière afin de maîtriser ses coûts de production sans les surcharger de fluctuation de la monnaie intempestives.

Enfin, il fait rajouter le pays lui-même, et son influence politique sur la scène internationale : s’il est évident que n’importe quel pays accueillant une usine Airbus serait politiquement arrangeant avec cette société en politique interne, Airbus a néanmoins et également besoin que ledit pays soit influent sur la scène internationale afin d’apporter son poids politique et son soutien auprès de prospects pour faire pencher la balance en sa faveur.

 

 

Dès lors, je me demande sérieusement combien de pays sont réellement capables d’héberger une usine d’Airbus de production d’ailes, au bénéfice de celui-ci.

Il ne doit pas y en avoir des masses, et je pense même que la plupart d’entre eux possèdent déjà une usine Airbus sur leur sol.

Modifié par TarpTent
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 15 minutes, TarpTent a dit :

Dès lors, je me demande sérieusement combien de pays sont réellement capables d’héberger une usine d’Airbus de production d’ailes, au bénéfice de celui-ci.

Il ne doit pas y en avoir des masses, et je pense même que la plupart d’entre eux possèdent déjà une usine Airbus sur leur sol.

Où serais le mal à ce que les ailes soient construites dans un pays où Airbus est déjà implanté, comme la France , la France ou alors la France ? :happy: Je n'exclue aucune hypothèse, hein ! :laugh:

Plus sérieusement, s'il faut implanter une using Airbus dans un "nouveau" pays européen qui dispose d'une industrie aéronautique de haut niveau localement, on a des possibilités :

qjP1rur.gif

Par exemple, l'Italie (Leonardo), la Suède (Saab), la Grèce (HAI, qui a participé au Neuron) ou même pourquoi pas le Portugal (Embraer s'y est implanté récemment). On pourrait même imaginer la Suisse (Pilatus, RUAG) qui n'est pas dans l'UE mais qui a tous les accords bilatéraux nécessaires pour que ça ne fasse pas de différence pour une société comme Airbus.

  • J'aime (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a une heure, Kelkin a dit :

Où serais le mal à ce que les ailes soient construites dans un pays où Airbus est déjà implanté, comme la France , la France ou alors la France ? :happy: Je n'exclue aucune hypothèse, hein ! :laugh:

Plus sérieusement, s'il faut implanter une using Airbus dans un "nouveau" pays européen qui dispose d'une industrie aéronautique de haut niveau localement, on a des possibilités :

qjP1rur.gif

Par exemple, l'Italie (Leonardo), la Suède (Saab), la Grèce (HAI, qui a participé au Neuron) ou même pourquoi pas le Portugal (Embraer s'y est implanté récemment). On pourrait même imaginer la Suisse (Pilatus, RUAG) qui n'est pas dans l'UE mais qui a tous les accords bilatéraux nécessaires pour que ça ne fasse pas de différence pour une société comme Airbus.

 

La Grèce, le Portugal ou la Suisse, pour le poids politique sur la scène internationale, c’est quand même un peu léger à mon sens (sur ce type de marché, s’entend).

Mais bien évidemment qu’un pays possédant déjà une ou plusieurs usines pourrait en accueillir une autre avec plaisir. Je retournais juste l’argument de Enders, que je trouvais un peu emphatique (voire pompeux).

Modifié par TarpTent
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 2 heures, TarpTent a dit :

 

En lisant cet article, et notamment la phrase mise en exergue, je me suis demandé s’il y avait vraiment plein de pays qui adoreraient fabriquer des ailes d’Airbus... ou plus exactement si plein de pays répondraient aux critères d’Airbus pour installer une nouvelle chaîne de montage de ce type.

 

Parce que s’il est évident que pleins de pays accueilleraient volontiers une telle usine sur leur sol, avec tous les revenus associés, il me semble tout aussi évident qu’Airbus n’est pas prêt à installer son usine n’importe où !

 

En commençant par les critères les plus évidents, les critères industriels : le choix se porte sur un pays ayant déjà la maîtrise de chaines de montage de ce type de production et possiblement de production d’alliages et de traitement des matériaux avancés.

Ajouté à cela une vraie maturité dans le respect des process industriels complexes, le contrôle qualité et un quasi flux-tendu, celà écarte déjà un bon nombre de pays.

Puis viennent les critères d’éducation et de conditions salariales, ainsi que les exigences logistiques. Dans la mesure où ces productions d’ailes s’inscrivent dans un flux de production, elles doivent pouvoir être relativement proches des matières premières ou des transformations intermédiaires, et doivent être également relativement proches des zones d’assemblage final.

Le pays doit posséder les infrastructures nécessaires au soutien de cette logistique, et également être dans une zone et une situation monétaires aui garantissent à Airbus une stabilité et une homogénéité financière afin de maîtriser ses coûts de production sans les surcharger de fluctuation de la monnaie intempestives.

Enfin, il fait rajouter le pays lui-même, et son influence politique sur la scène internationale : s’il est évident que n’importe quel pays accueillant une usine Airbus serait politiquement arrangeant avec cette société en politique interne, Airbus a néanmoins et également besoin que ledit pays soit influent sur la scène internationale afin d’apporter son poids politique et son soutien auprès de prospects pour faire pencher la balance en sa faveur.

 

 

Dès lors, je me demande sérieusement combien de pays sont réellement capables d’héberger une usine d’Airbus de production d’ailes, au bénéfice de celui-ci.

Il ne doit pas y en avoir des masses, et je pense même que la plupart d’entre eux possèdent déjà une usine Airbus sur leur sol.

D'un point de vue industriel, compétences et logistique c'est sur que cela ne va pas se faire du jours en lendemain. Mais il y a des solutions pour accélérer tout ça comme transférer des employé du RU vers le nouveau site. Pour ce qui est de l'influence politique ce sera sûrement une perte sèche.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 10 heures, Julien a dit :

Airbus choisirait probablement un pays en zone dollar si vraiment il fallait arrêter de faire les ailes au UK

Outre l'aspect industriel ... QUI  A LE SAVOIR FAIRE "AILES"  Conception,  BE,   Industrialisation ( en amont de la prod. ) chez Airbus  ?    Les GB ?   ou autres pays fondateurs ? 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

ils peuvent préparer leur bagages pour le canada

Brexit : Airbus menace de quitter le Royaume-Uni

https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/0600573268858-brexit-lavertissement-du-patron-dairbus-aux-britanniques-2239053.php

 

Citation

 

Dans une vidéo à l'adresse des Britanniques, le grand patron d'Airbus, Tom Enders, évoque pour la première fois un possible désengagement du Royaume-Uni, en cas de Brexit sans accord.

A quatre mois de la fin de son mandat, le grand patron d'Airbus,  Tom Enders  ne prend plus de gants pour mettre en garde les Britanniques contre  les conséquences d'un Brexit sans accord . Dans une vidéo mise en ligne ce jeudi matin sur le site d'Airbus, Tom Enders évoque pour la première fois un possible transfert de la production des ailes des Airbus vers d'autres pays.

« En cas de Brexit sans accord, Airbus devra prendre des décisions très douloureuses pour le Royaume-Uni », prévient-il.

Le message de Tom Enders aux « Brexiters »

 

« Au bord du précipice »

« L'industrie aéronautique britannique est au bord du précipice, déclare Tom Enders. Le Brexit risque de détruire un siècle de progrès basé sur l'éducation, la recherche et les talents [...] S'il vous plaît, n'écoutez pas la folie des partisans du Brexit qui croient que parce que nous avons d'importants sites industriels au Royaume-Uni, nous ne bougerons pas et nous serons toujours là. Ils se trompent », affirme-t-il.

« De nombreux pays aimeraient fabriquer les ailes des Airbus »

« Bien sûr, il n'est pas possible de déménager les sites les plus importants du jour au lendemain, poursuit-il. Mais l'aéronautique est une industrie de long terme et nous pourrions être contraints de réorienter nos futurs investissements. Ne vous y trompez pas : de nombreux pays aimeraient fabriquer les ailes des Airbus », prévient-il.

14.000 salariés au Royaume-Uni

Jamais jusqu'à présent, le patron d'Airbus n'avait évoqué si clairement un possible désengagement du Royaume-Uni, qui reste, à ce jour, le troisième pays le plus important après la France et l'Allemagne. Si le Royaume-Uni compte d'autres acteurs majeurs dans l'aérospatiale, comme le groupe d'armement BAE et le motoriste Rolls-Royce, Airbus est de loin le plus important dans le domaine civil.

Au total, le groupe emploie plus de 14.000 salariés aux Royaume-Uni, répartis entre 25 sites, dont celui de Broughton, au Pays de Galles, où sont assemblées  toutes les ailes de tous les avions commerciaux d'Airbus .

6 milliards de livres par an

Airbus fait vivre plus de 4.000 sous-traitants aéronautiques britanniques, en achetant, chaque année, pour près de 6 milliards de livres d'équipements, dont les moteurs Rolls-Royce qui équipent une grande partie de ses avions.

Le groupe est, par ailleurs, le premier fournisseur d'hélicoptères, de satellites de communications, d'avions militaires et de système de cybersécurité de l'armée britannique.

L'avenir d'Airbus ne dépend pas du Royaume-Uni

Mais ces acquis ne sont pas intangibles, martèle Tom Enders. « Nous ne sommes pas dépendants du Royaume-Uni pour notre avenir, souligne-t-il. Airbus survivra quoi qu'il arrive. La question est : le Royaume-Uni veut-il participer à nos futurs succès ? Si vous êtes convaincus que le Brexit est la meilleure chose pour la Grande-Bretagne, mettez-vous d'accord et parvenez à un accord de sortie pragmatique et ordonné », martèle le patron d'Airbus.

Et d'ajouter : « C'est une honte que, plus de deux ans après le résultat du référendum de 2016, les entreprises ne puissent toujours pas planifier correctement l'avenir. »

 

 

  • Haha (+1) 1
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le 25/01/2019 à 21:55, Bechar06 a dit :

Outre l'aspect industriel ... QUI  A LE SAVOIR FAIRE "AILES"  Conception,  BE,   Industrialisation ( en amont de la prod. ) chez Airbus  ?    Les GB ?   ou autres pays fondateurs ? 

Ils peuvent tres bien proposer a certaines personnes clés au RU de venir bosser en Europe. C'est ce qu'ils font déjà depuis quelques temps.

  • J'aime (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • Statistiques des membres

    5 998
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Pumnsomi
    Membre le plus récent
    Pumnsomi
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,6k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...