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[British Army]


Philippe Top-Force

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il y a 43 minutes, Tancrède a dit :

Ca sent la pente descendante. Donc autant la savonner, tant qu'on y est. 

Cela dépend. Tu penses qu'il vaut mieux un poste non pourvu qu'un poste occupé par une femme ? 

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1 hour ago, Rémy said:

Cela dépend. Tu penses qu'il vaut mieux un poste non pourvu qu'un poste occupé par une femme ? 

Enlève le mot "femme", et met "quelqu'un pas au niveau" à la place. Mettons de côté (ou traitons la chose dans le topic ad hoc) le caractère particulier de l'autre sexe, de la mixité dans une unité de combat (pas l'armée en général, mais les unités de combat, particulièrement de mêlée: les groupes permanents appelés à aller à la castagne et vivre dans des conditions de haut stress) et de la sociologie différente (en partie due à des différences irréductibles) dans les unités et sous-unités essentielles (dynamiques qui changent....). On parle là juste des critères individuels. Si on baisse le niveau requis, il y a problème, qui se paiera le plus souvent en différé et de façon peu visible (on peut attribuer les problèmes en opération à mille et une causes.... Pour lesquelles de toute façon personne ne sera mis en cause), raison pour lesquelles les politiciens et officiers en haut de la pyramide n'ont que peu à foutre de ce genre de réformes dans beaucoup de cas (sauf s'ils ont vraiment le sens de l'Etat et du service en priorité personnelle absolue, ce qui est rare). Si, comme ça semble de plus en plus se faire (à l'exemple des USA), on "ajuste" les qualifications requises, les critères de niveaux requis, à un nombre plus élevé de spécialités militaires, on perd non seulement en qualité dans l'ensemble, mais en plus on perd en souplesse et adaptabilité.... Et cela suppose en plus que ces "ajustements" soient honnêtement calibrés sur la tâche/spécialité, et/ou réellement "ajustables" (difficile de faire des tests qui reflètent réellement le niveau attendu dans tous les cas de figure possible, raison pour laquelle une barre haute a aussi un intérêt sur ce plan). 

Au final, je ne suis pas contre le fait de laisser des postes non pourvus et de ne pas faire de compromis sur une barre la plus unifiante possible pour un maximum de personnels, et la plus haute raisonnablement possible. On met les budgets annuels pour les postes non pourvus de côté (pas annulés comme tant de crédits non utilisés), et on voit ce qui se passe. Tant qu'à faire, si les manques se font persistants et atteignent des niveaux préoccupants, cela devrait inciter à la réflexion et de nouvelles politiques de recrutement pour faire venir la main d'oeuvre qu'on veut (et pas faire partir celle, qualifiée, qu'on a). Parce que "la barre", "le niveau", est censé être ce qui est requis pour faire face aux situations probables: la guerre ne s'adapte pas à ce qu'on a, c'est nous qui devons nous adapter à ce qu'elle produit, et ça, généralement, ça se préoccupe assez peu de l'état de forme de votre population, du niveau de volontariat et d'enthousiasme pour le drapeau.... Les unités de combat coûtent cher, et ce genre de réformes PC et de fonctionnaire magouilleur à la petite semaine, outre le fait qu'elles tendent à accroître vulnérabilités et risques (sans compter les problèmes internes), ne changent pas les coûts (en fait si: les femmes coûtent plus cher: logements et équipements spéciaux, plus de blessures et indisponibilités, plus de procès et procédures pour invalidité...), mais diminuent la qualité. Si c'est pour avoir moins au même prix, autant mettre l'argent sur un compte épargne et revoir l'approche. Si ça rend une partie des forces indisponible pour un temps, tant mieux: ça incitera peut-être les hautes sphères à s'intéresser au sujet de façon sérieuse au lieu du compromis "faire bien pour l'image progressiste" + "on compte en corps à 37°c indifférenciés". 

Edited by Tancrède
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Je suis sur la même ligne. J'ai lu tous tes posts sur le sujet dans la partie USA. Mais les postes non pourvus ne sont pas forcément tous dans la mêlée j'imagine. Dans le soutien, où le physique est peut être moins primordial, c'est peut-être faisable.

Pour faire venir de la main d'oeuvre, il faut un haut niveau d'activité (x jours d'entraînement/formation/opex par an. En France, il a été assez faible avec la réduction des budgets pendant quelques années), une activité intéressante (exit Sentinelle), une capacité certaine à se reconvertir efficacement dans le civil à la fin, des structures pour la conjointe et les gosses... à mon sens, davantage de gains en nature qu'en sousous, parce que les armées ont déjà fondu avec la professionnalisation.

Si en plus tu remets sérieusement une louche pour continuer à attirer, tu te retrouves sans masse critique de forces un tant soit peu minimale pour faire quoique ce soit d'opérationnellement signifiant. Et puis, il y a une dimension générationnelle (effet millenials) à laquelle il n'y a pas vraiment de réponse adéquate, j'ai l'impression :mellow:

Edited by Rémy
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Les postes non pourvus dans les unités de mêlée ne doivent pas être traités de façons très différentes. En effect quand les forces armées ouvrent les postes aux femmes ils le font de façon progressive mais ils sont obligés de tout adaptés pour plusieurs raisons. La concurrence avec le secteur civil, les normes et critères égalité dans le secteur professionnel comme scolaire, et une fois que vous avez un nombre important de personnels que vous acceptez à la sélection de base vous ne pouvez pas les refuser dans les autres postes. Les forces armées appliquent des normes que l'on retrouve dans d'autres domaines civils c'est le sens distinction de sexe féministe en fait tout le contraire et vous verrouiller le tout avec les réseaux, association et arsenal législatif. Tout doit être pensé en fonction du nombre de femmes ou pourcentage féminin l'objectif et de féminiser. Des quotas de recrutement aux aménagements spécifiques (sélection, carrières, formations, nominations, fonction... ) c'est le nombre ou le pourcentage de femme qui est l'égalité vous rejouter à cela force armées top 10 des bastions masculins supérieurs. Les critères physiques dans les armées et l'un des critères qui peut empêcher le plus une féminisation acceptable aux normes actuelles. Depuis 1998 les forces armées Anglaises ont enclenché un processus pour des normes "neutres" qui en 2018 ne sont pas considérait comme suffisant.

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Le 01/10/2018 à 22:21, Tancrède a dit :

Enlève le mot "femme", et met "quelqu'un pas au niveau" à la place. Mettons de côté (ou traitons la chose dans le topic ad hoc) le caractère particulier de l'autre sexe, de la mixité dans une unité de combat (pas l'armée en général, mais les unités de combat, particulièrement de mêlée: les groupes permanents appelés à aller à la castagne et vivre dans des conditions de haut stress) et de la sociologie différente (en partie due à des différences irréductibles) dans les unités et sous-unités essentielles (dynamiques qui changent....). On parle là juste des critères individuels. Si on baisse le niveau requis, il y a problème, qui se paiera le plus souvent en différé et de façon peu visible (on peut attribuer les problèmes en opération à mille et une causes.... Pour lesquelles de toute façon personne ne sera mis en cause), raison pour lesquelles les politiciens et officiers en haut de la pyramide n'ont que peu à foutre de ce genre de réformes dans beaucoup de cas (sauf s'ils ont vraiment le sens de l'Etat et du service en priorité personnelle absolue, ce qui est rare). Si, comme ça semble de plus en plus se faire (à l'exemple des USA), on "ajuste" les qualifications requises, les critères de niveaux requis, à un nombre plus élevé de spécialités militaires, on perd non seulement en qualité dans l'ensemble, mais en plus on perd en souplesse et adaptabilité.... Et cela suppose en plus que ces "ajustements" soient honnêtement calibrés sur la tâche/spécialité, et/ou réellement "ajustables" (difficile de faire des tests qui reflètent réellement le niveau attendu dans tous les cas de figure possible, raison pour laquelle une barre haute a aussi un intérêt sur ce plan). 

Au final, je ne suis pas contre le fait de laisser des postes non pourvus et de ne pas faire de compromis sur une barre la plus unifiante possible pour un maximum de personnels, et la plus haute raisonnablement possible. On met les budgets annuels pour les postes non pourvus de côté (pas annulés comme tant de crédits non utilisés), et on voit ce qui se passe. Tant qu'à faire, si les manques se font persistants et atteignent des niveaux préoccupants, cela devrait inciter à la réflexion et de nouvelles politiques de recrutement pour faire venir la main d'oeuvre qu'on veut (et pas faire partir celle, qualifiée, qu'on a). Parce que "la barre", "le niveau", est censé être ce qui est requis pour faire face aux situations probables: la guerre ne s'adapte pas à ce qu'on a, c'est nous qui devons nous adapter à ce qu'elle produit, et ça, généralement, ça se préoccupe assez peu de l'état de forme de votre population, du niveau de volontariat et d'enthousiasme pour le drapeau.... Les unités de combat coûtent cher, et ce genre de réformes PC et de fonctionnaire magouilleur à la petite semaine, outre le fait qu'elles tendent à accroître vulnérabilités et risques (sans compter les problèmes internes), ne changent pas les coûts (en fait si: les femmes coûtent plus cher: logements et équipements spéciaux, plus de blessures et indisponibilités, plus de procès et procédures pour invalidité...), mais diminuent la qualité. Si c'est pour avoir moins au même prix, autant mettre l'argent sur un compte épargne et revoir l'approche. Si ça rend une partie des forces indisponible pour un temps, tant mieux: ça incitera peut-être les hautes sphères à s'intéresser au sujet de façon sérieuse au lieu du compromis "faire bien pour l'image progressiste" + "on compte en corps à 37°c indifférenciés". 

 

Je pense que se lien va t'intéresser :

 

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  • 4 weeks later...
  • 3 weeks later...
Il y a 1 heure, Philippe Top-Force a dit :

Il n'y a pas à dire, les britanniques savent communiquer.

Oui, ils nous mettent la pâtée. C'est d'ailleurs affolant côté français lorsque l'on compare les stratégies digitales (notamment sur le suivi de Falcon Amarante 2018). C'est pourtant pas la mer à boire.

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On 11/21/2018 at 2:54 PM, Kerloas said:

Oui, ils nous mettent la pâtée. C'est d'ailleurs affolant côté français lorsque l'on compare les stratégies digitales (notamment sur le suivi de Falcon Amarante 2018). C'est pourtant pas la mer à boire.

Pourquoi spécifiquement? Parce que les photos sont plus jolies et/ou cool que ce que produit le Mindef? J'ai pas eu l'impression que les dites stratégies digitales, même si elles sont plus crachantes côté Brit, avaient plus d'impact, et c'est là tout le problème des armées occidentales aujourd'hui. Une partie du problème est du côté du public, pas assez intéressé aux problématiques de défense (en amont) et aux armées (en aval), plus largement aussi parce qu'il y a moins d'intérêt dans la nation et son service, mais il serait intéressant aussi de noter que si problème d'impact il y a, les dites stratégies de com (digitales ou non) pourraient faire partie de l'équation. Et si les résultats manquent (ce dont le recrutement est l'un des indicateurs majeurs; et en Gibi, il va bien plus mal que chez nous), c'est qu'elles sont pas si bonnes que ça, quoiqu'on en aie et quoique les petites communautés (comme nous ici) de fanamilis pensent de l'esthétique des productions. Un peu comme le marché du cinéma, quoi: les professionnels et afficionados se félicitent de plein de trucs et de leur propre génie dans diverses cérémonies et festivaux, mais les productions célébrées dans ces cérémonies et festivaux sont le plus souvent celles qui ne vendent rien, et ne reçoivent que bien peu de surcroît d'audience après les dites récompenses (voir le désormais très faible impact commercial des oscars, par exemple). 

Donc avant de s'extasier devant un supposé plus grand génie ou volontarisme des communicants étrangers, et devant les photos plus jolies chez le voisin, mon point serait plutôt de voir pourquoi les stratégies qui président (entre autres) à leur prise ne donnent pas grand-chose. Parce que si le résultat en terme d'impact est limité ou absent, c'est sans doute pas une bonne stratégie, et ce que fait le voisin n'est peut-être pas si bon que ça. Et même si la photo est jolie, c'est de l'énergie dépensée en pure perte, sauf pour nos micro-audiences d'afficionados, ce qui n'est pas le marché voulu. 

Edited by Tancrède
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J'entends bien et tu as tout à fait raison. Je ne m'extasiais pas mais constatais plutôt le vide côté français.

Entre pondre X magazines papier chaque mois et ne pas pouvoir (ou vouloir) "abreuver" le citoyen connecté de manière maitrisée et simplifiée (donc sans avoir à passer par une boite de communicants)... je constate les incohérences et/ou les faiblesses, au vue des objectifs fixés par l'EMA.

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1 hour ago, Kerloas said:

J'entends bien et tu as tout à fait raison. Je ne m'extasiais pas mais constatais plutôt le vide côté français.

Entre pondre X magazines papier chaque mois et ne pas pouvoir (ou vouloir) "abreuver" le citoyen connecté de manière maitrisée et simplifiée (donc sans avoir à passer par une boite de communicants)... je constate les incohérences et/ou les faiblesses, au vue des objectifs fixés par l'EMA.

L'un des grands problèmes à mon sens est qu'il n'y a pas de stratégie, ou plutôt même de vision d'ensemble de la chose, qui est ce qu'on appelle dans le (mauvais) langage actuel, le "lien armée-nation". Difficile d'en avoir un quand l'armée émane désormais moins de la nation (entendons, la "nation en armes", face à un ou plusieurs dangers bien discernés) que, de façon plus limitée, de son budget. Il est difficile de maintenir cet esprit sans menace tangible et relativement pressante (de façon clairement discernable par la majorité), sans (de façon plus précise encore) ennemi déclaré et "appropriable" (cad une identité claire, qu'on apprend à craindre), sans conscience de la réalité de l'insécurité ou de la vulnérabilité d'un pays (on vit de façon assez "détachée" de beaucoup de réalités). Réaliser l'importance des armées dans ce contexte devient beaucoup plus dur. Ne pas y être conscrit en rajoute une couche. C'est par cette conscience du danger qu'il faut commencer toute stratégie de communication, sinon on ne fait que l'équivalent publicitaire de la petite tactique pour un public de niche, quels que soient les montants investis dans la chose. Une pub, un photo reportage.... Ce sont juste quelques munitions dans le vaste arsenal disponible. Une campagne de pub, c'est de la petite tactique d'unité élémentaire (aussi cher que ça puisse être): sans pensée opératique, et plus encore sans stratégie, c'est de l'effort en pure perte et, souvent, de la dépense de vanité (ou de bêtise) qui ne peut produire l'effet désiré sans effort plus large, mieux orienté et mieux pensé. 

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@Tancrède

Comme on a put l'observer, après avoir sabré les effectifs chez les Gurkhas  voilà qu'ils font marche arrière, comme je l'avais mis en avant il y a quelques temps. 

La gestion du recrutement reste très compliqué. 

La création d'un escadron dans un domaine plus technique même si il y a déjà des unités de Gurkhas optique  unités logistique, transmission, génie c'est pas disons un hasard, d'un côté il n'y a aucun problème pour recruter au profit des bataillons d'infanterie Gurkhas, et après une phase où certains craignaient que les Gurkhas ne pourraient pas s'adapter au format armée moderne du 21ème siècle. Déjà après le déménagement de Hong Kong, on imaginé même la possibilité de dissoudre la brigade , on observe qu'il y a de la ressource qui est largement apte, se qui dans un contexte où la crise du recrutement est de mise, ben les Gurkhas restent une ressource loin d'être négligeable pour l'armée britannique.

D'ailleurs je me demande si côté commonwealth il y a toujours autant de monde pour le service au sein de l'armée britannique. Sûrement encore pas mal de fidjiens mais pour le reste sa ne doit pas être si énorme que ça. 

 

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Il y a 2 heures, Tancrède a dit :

Ca, c'est le signe qu'ils rament. Après avoir gaspillé du fric dans les campagnes de "recrutement de diversité" et quasiment dissuadé les "autochtones" de postuler, ils repartent taper dans le réservoir habituel offshore. 

Effectivement, en plus les Gurkhas bénéficient d'un réel support auprès de la population britannique, entre nostalgie de l'ancien Empire britannique , les Gurkhas sont resté fidèle aux britanniques, contrairement au reste de l'armée des Indes à une époque avec pour résultat une confiance totale envers ces magnifiques unités de Gurkhas , cela explique aussi la difficulté de recruter chez les Brits d'origine indienne et pakistanaise ( les limites du système communautaire anglo-saxon) ... Vu que le contentieux reste toujours de mise entre britanniques et indiens du point de vue mémoire. 

De plus même durant les 2 conflits mondiaux, l'augmentation des effectifs de bataillons de Gurkhas n'a pas amené de problème qualitatif, je pense d'ailleurs que les critères de recrutement ont été revu à la baisse pour la montée en puissance de plusieurs bataillons pour ces 2 conflits. 

D'ailleurs cette fidélité paiera aussi lorsque les droits des Gurkhas seront remis en cause, le soutien des britanniques, avec l'actrice Joanna Lumley en tête, fille d'un officier des Gurkhas qui sera sauvé par un de ses Gurkhas lors de 2ème guerre Mondiale à fini par aboutir, après le gvt lui se vengera via les réductions d'effectif chez les unités Gurkhas... Mais bon vu la mouise en terme de capacité à recruter, au final je pense que le rapport "qualité/prix" et disponibilité dans la capacité à recruter aisément chez les Gurkhas, les avantages concédés par le passé et qui n'avait pas été apprécié par le budget, ben au final ils ne sont pas se qui aura coûter le plus cher... 

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Joanna_Lumley

Bon je ne serais pas forcément objectif car depuis toujours j'ai trouvé magnifique cette force de combat Gurkhas, néanmoins je pense que même en étant pas objectif, les Gurkhas restent quand même une force de qualité. 

Idem depuis quelques temps j'ai observé que l'armée Brits mettait en avant sa musique lors de la gay pride. Je pense que la aussi se ne fut pas une réussite du point de vue recrutement, le côté image très décalée n'apportant pas une image disons très en phase via le biais de la culture militaire qui reste carré en comparaison de la gay pride , même si on sait qu'il y a des gays à l'armée, généralement les gays à l'armée ne mettent pas en avant leur identité sexuelle, les armées restant une "communauté" ayant une vision d'un seul moule, une seule entité .

D'ailleurs cela a dû aussi posé pb car d'un côté on a cherché à recruter chez des minorités communautaire qui n'ont pas disons l'optique dans leur culture un rapport aisé avec l'homosexualité, et de l'autre cherché à recruter chez les gays, sans oublier la volonté de féminiser un peu plus les armée, féminisation pouvant aussi être un pb pour des minorités ayant culturellement une vision de la femme à une certaine place. 

Tout cela au final, a sûrement aussi achevé la motivation déjà très basse dans le bassin classique au niveau recrutement. Sans oublier qu'entre les gens qui ont quitté l'armée après le premier contrat, ou après plusieurs années de service, soit par fatigue via le fait d'être engagé pour le pays à l'étranger et de voir le budget de l'outil militaire être réduit, alors qu'ils étaient au charbon ( et ça c'est très mauvais de se sentir poignardé dans le dos) , avec l'image d'une armée qui n'est plus celle qu'ils ont connu, via le côté d'un certaine image qui participe à la cohésion d'une armée. Une fois dans le civil, si le discours de ces anciens soldats montrent une forme de déception, allant jusqu'à dire à un petit gars motivé que c'est fini l'armée vu comment elle est traitée , que sa part en couille vu l'évolution des budgets, et que le petit gars perdra moins de temps en trouvant un job dans le civil même si c'est pas génial, ce ne sera pas pire qu'à l'armée.

Bon il y a toujours une qualité, mais le problème c'est que la qualité, c'est un véritable investissement qui doit durer, et la via les coupes de sabre dans le budget, ça va être compliqué de conserver la première qualité de l'armée Brits, ses soldats. Bon c'est aussi la même chose dans tout pays, mais chez les Brits c'est se qui a toujours était très mis en avant. 

Maintenant, on a nos propres problématique, mais je pense que l'on avance même si tout n'est pas parfait. Néanmoins on a un point commun avec les Brits, celui d'avoir avec la Légion Étrangère pour nous et les Gurkhas pour eux un vivier qui permet de compenser les effectifs même si les problématiques sont différente. 

Bon il est vrai que le système Gurkhas il est plus proche de celui que nous avons eu avec les Tirailleurs Sénégalais and Co, et donc avec des limites la ou la Légion reste un système qui s'adaptera au vu des époques passés, présente, et futur dans son recrutement qui est ouvert à tout étranger. C'est un plus pas négligeable qui montre que l'on est pas à la ramasse au final. 

 

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  • 2 weeks later...
  • 3 weeks later...

Présentation de certaines améliorations souhaitées par les utilisateurs du Challenger 2 pour du combat urbain:

Intéressant les caméras déportées à l'extrémité du canon, système ayant apparemment été déjà testé par les Danois en Afghanistan sur leurs Leopard.

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Il y a 16 heures, ascromis a dit :

Présentation de certaines améliorations souhaitées par les utilisateurs du Challenger 2 pour du combat urbain:

Intéressant les caméras déportées à l'extrémité du canon, système ayant apparemment été déjà testé par les Danois en Afghanistan sur leurs Leopard.

brevet déposé par Giat industries dans les années 90 !

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