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[France] Armée de l'Air et de l'Espace


Henri K.

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Et voilà. Si vous avez LinkedIn hésitez pas à commenter, lacher un pouce et activer la cloche ! 

... Comment ça rien à voir

Défilé du 14 juillet: DefTech embarque à bord d'un avion de l'armée de l'Air et de l'Espace
https://www.linkedin.com/pulse/défilé-du-14-juillet-deftech-embarque-à-bord-dun-avion-de-larmée?utm_source=share&utm_medium=member_android&utm_campaign=share_via

 

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Il y a 12 heures, Picdelamirand-oil a dit :

Le Falcon Archange entre en phase de test sur la base aérienne d'Istres

Dassault Aviation, Thales et la DGA ont entamé la phase d'essai du prototype de l'appareil au cœur du programme Archange, très attendu par le renseignement militaire français. Un projet d'envergure visant à renouveler des capacités de collecte de renseignement aujourd'hui déficitaires en pleine crise en Ukraine. [...]

J'avais écrit un article au lancement de ce programme il y a des années de ça. Il ne s'appelait pas archanges mais autrement. Il m'a tellement marqué que j'en ai même oublié à quoi il servait cet avion... Oui... Ma coupure a été assez rude...

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Le 24 juillet, 2 Rafale, 1 A400M Atlas et 1 A330 MRTT Phénix sont arrivés sur la base aérienne d’Halim-Perdanakusuma en Indonésie. Le 28 juillet, les Aviateurs ont décollé pour la base aérienne 188 de Djibouti avant de rentrer en France. L'occasion pour eux de participer à des vols conjoints aux côtés des F-16 indonésiens, de présenter leurs aéronefs ou encore, de ravitailler les Mirage 2000-5 stationnés à Djibouti.

 

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Le 04/08/2023 à 18:28, Paschi a dit :

Le 24 juillet, 2 Rafale, 1 A400M Atlas et 1 A330 MRTT Phénix sont arrivés sur la base aérienne d’Halim-Perdanakusuma en Indonésie. Le 28 juillet, les Aviateurs ont décollé pour la base aérienne 188 de Djibouti avant de rentrer en France. L'occasion pour eux de participer à des vols conjoints aux côtés des F-16 indonésiens, de présenter leurs aéronefs ou encore, de ravitailler les Mirage 2000-5 stationnés à Djibouti.

 

J'espère que l’accueil a été plus chaleureux qu'à Aceh en Mai 2019 ! :tongue:

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Je regarde et trouve curieux ce lance-leurres dans la queue des Jaguars. L'arrière était laissé ainsi "ouvert", sans capuchon, en vol ? :sinterrogec: C'est la seule façon pour que les leurres puissent être largués. spacer.png

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il y a 38 minutes, Vobule a dit :

C'est vrai, mais il n'y a aucun détail sur le fonctionnement du système industrialisé, si ce n'est une meilleure électronique pour les séquenceurs.

Très certainement le même fonctionnement, pas vraiment de raison de faire autrement

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https://air-cosmos.com/article/general-stephane-mille-pegase-2024-se-fera-sans-doute-avec-plusieurs-pays-europeens-65596

 

Général Stéphane Mille : "Pégase 2024 se fera sans doute avec plusieurs pays européens"

Durant son déplacement dans le Pacifique, le général Stéphane Mille, chef d’état-major de l’Armée de l’Air et de l’Espace, a accordé une interview à Air et Cosmos, revenant sur le bilan de Pégase 2023 et la modernisation des capacités outremer.

 

Comment avez-vous choisi le programme de Pégase 2023, avec quels attendus ?

Cela fait trois ans que nous effectuons ces projections vers le Pacifique. L’idée était de démontrer notre capacité à projeter un dispositif conséquent, cette année avec 10 Rafale, cinq Phénix et quatre A400M, ce qui constituait une force significative et crédible. Par rapport aux éditions précédentes, celle-ci comportait des dimensions d’influence, de coopération bilatérale et de rayonnement bien plus importantes. Nous avons été plus actifs dans la préparation de ces domaines. Ainsi, à chaque escale, j’avais demandé qu’un officier général soit présent pour présenter la projection Pégase et ce que l’Armée de l’Air et de l’Espace est capable d’apporter dans la zone en matière de puissance, de couverture de la zone, de réactivité et de rapidité de déploiement.

La manière dont nous avons conçu Pégase s’y prêtait : ainsi, à peine le dispositif était-il arrivé dans le Pacifique, qu’il s’est séparé en plusieurs sous-ensembles pour réaliser différentes missions comme un entraînement interallié à Guam ou des missions de rayonnement régional grâce aux A400M et MRTT au profit des forces armées en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie française. Le 23 juillet, deux Rafale ont rejoint la Nouvelle-Calédonie dans le cadre du voyage officiel du président de la République, d’autres se sont rendus en Indonésie (puis Djibouti) et les derniers ont mis le cap vers la Corée du Sud puis le Japon. Un tel dispositif permettait d’augmenter notre « surface de contact » et donc d’échanger avec de nombreux partenaires. On a pu mesurer l’impact local à travers les productions de médias, de posts sur les réseaux sociaux, dans l’ensemble des pays de la zone que nous traversions.

A quoi pourrait ressembler Pégase 2024 ?

Pégase 2024 se fera sans doute avec plusieurs pays européens. L’idée est de rallier ensemble l’exercice Pitch Black qui se déroulera en Australie à l’été 2024. A ce stade, le volume de moyens dépendra de ce que chaque pays voudra engager, mais également des capacités d’accueil de nos hôtes Australiens. Nous avons en tête un volume de 6 à 8 appareils par pays avec l’environnement associé. Les discussions se poursuivent.

On parle aussi d’une participation à Red Flag, mais lequel, au Nevada, en Alaska ?

Probablement en Alaska, l’Armée de l’Air et de l’Espace y a déjà participé par le passé.

Vous avez profité de votre escale à Anchorage le 20 juillet pour venir en repérage ?

Cela a fait partie des sujets que j’ai évoqués sur place. Les Allemands étaient passés la semaine précédente.

Vous avez ensuite accompagné le président de la République lors de son déplacement en Nouvelle-Calédonie. Quelles évolutions allez-vous lancer en matière d’infrastructures et de capacités ? La LPM 2024-2030 annonce un renforcement de l’outremer…

Sur un plan capacitaire, nous avons des vieux Puma âgés de presque 50 ans, à remplacer assez vite, et des Casa 235 dont le successeur est attendu dans la prochaine décennie. La montée en puissance de la flotte A400M, avec à minima 35 avions en service et l’adaptation des infrastructures nous permettront d’être plus souvent présents dans les territoires d’Outre-mer. Ceci nous permettra, à terme, d’envisager le déploiement d’un avion quasiment en permanence. Notre réflexion sur l’outremer va au-delà du Pacifique et concerne aussi la Guyane, la Réunion, qui ont les mêmes besoins de mobilité avec une utilisation accrue de l’A400M et le remplacement des Puma.

Que vous réglerez à court terme avec les huit Caracal du plan de soutien à l’aéronautique…

Pas seulement, à partir de 2026, nous allons commencer à récupérer les 8 Caracal en service dans l’Armée de Terre. C’est donc avec ces 16 hélicoptères (8 du PSA et 8 en provenance de l’AdT) que nous devrons assurer la succession de nos Puma, en Guyane où c’est le plus *** mais aussi à Djibouti, ou en Indo-Pacifique.

Avez-vous aujourd’hui une nécessité de déployer des chasseurs en permanence dans le Pacifique ?

Le Chef d’Etat-Major des Armées l’a clairement dit : il n’y a pas de menace aujourd’hui en Indo-Pacifique. En revanche, nos bases outremer doivent être capables d’accueillir des dispositifs et donc de disposer des infrastructures nécessaires : parking, carburant, capacités d’accueil en munitions. Pégase permet de nous entraîner à la projection à distance de l’hexagone mais aussi de mesurer les difficultés que soulèvent les stationnements de nos dispositifs. Avoir deux A400M et deux Phénix sur un parking consomme de l’espace.

La Guyane avait cette culture et les moyens d’accueillir les dispositifs de chasse, avec un Awacs, c’est moins le cas dans le Pacifique.

La Guyane a bien progressé dans ce domaine. En 1992, quand je m’y suis déployé la première fois, les Mirage F1 étaient mis en travers des taxiways car nous n’avions pas de parking dédié, une difficulté qui a été résolue depuis avec un vrai parking qui accueille régulièrement des dispositifs aériens. A nous de trouver les bonnes solutions dans le Pacifique pour répondre aux besoins civils et militaires, car la solution est probablement mixte.

Vous avez aussi réfléchi à la mise en place du Reaper dans le Pacifique…

Cela fait partie des évolutions étudiées dans le cadre de la LPM et le renforcement de l’outremer. Quand on émet des besoins de surveillance sur de vastes zones de l’Indo-Pacifique, on pense plutôt à une réponse dans le domaine aéronautique. Un drone endurant comme le Reaper va pouvoir orienter le travail des navires de la marine. La LPM a pris en compte la possibilité de mobiliser des drones, mais aussi des avions légers de surveillance et de reconnaissance (ALSR).

A partir de quel horizon pourrait-on voir ces moyens sur place ?

Tout dépendra du besoin exprimé. Cela pourrait intervenir à un horizon de deux ans. Déployer un Reaper ne se résume pas à envoyer un drone : la mise en place d’une infrastructure dédiée, y compris satellitaire, est nécessaire.

Les infrastructures reviennent à plusieurs reprises depuis le début de cette interview : à partir de quand pourrez-vous commencer les travaux qui contribueront à modeler le capacitaire pour plusieurs décennies ?

Le chef d’état-major des armées devrait commencer l’examen des priorités en matière d’infrastructures à la rentrée. C’est le travail normal des armées d’anticiper et de planifier de tels sujets.

Vous sortez d’un dispositif particulier de sûreté aérienne (DPSA) au Bourget qui a été particulièrement dense, pour attaquer à la rentrée celui qui concernera la coupe du monde de rugby, en forme de répétition des JO 2024. A quelles difficultés vous attendez-vous pour ces prochains DPSA et savez-vous ce que vous engagerez ?

Des systèmes comme Parade sont encore en cours de développement. Nous avons par ailleurs un système performant de fusion de remontée des différents systèmes, SAP. Il permet d’avoir une vue complète de la situation drone et de coordonner la réponse la plus adéquate avec les différents acteurs impliqués, l’armée de l’air et de l’espace, la gendarmerie, la police… SAP avait été mis en place au cours de l’exercice Coubertin LAD, dédié aux problématiques de lutte antidrones des grands événements sportifs à venir.

Aurez-vous des livraisons de matériel supplémentaire, des personnels à former pour tenir ce contrat opérationnel ?

C’est principalement Parade, il nous faudra former les opérateurs sol-air. La lutte antidrone est une suite logique pour eux, c’est la prolongation « par le bas » de la PPS Air (posture permanente de sûreté).

Quel regard portez-vous sur les contributions actuelles de l’A400M ?

L’A400M est un véritable couteau suisse. Il réalise des missions de transport stratégique et tactique, des entraînements paras, des projections comme Pégase, le soutien aux opérations pour évacuer des ressortissants du Soudan, le transport d’armes pour l’Ukraine, certains rapatriements depuis le Moyen-Orient… Il est devenu notre vecteur principal. Les forces spéciales sont en train de monter en compétence et le moment venu ils pourront faire appel à cet appareil.

Comment l’armée de l’air et de l’espace est-elle engagée actuellement ?

Elle est bien engagée. Quand on fait Pégase, on y va avec beaucoup d’ambition et on apprend énormément, y compris parce que nous sommes capables de saisir les opportunités. Durant Pégase, deux missions ont été particulièrement remarquées par nos amis américains. Des contributions logistiques, que nous avons faites à leur profit, alors que Guam a été dévasté par un typhon, et la mission réelle de recherche et sauvetage qu’un de nos équipages d’A400M a réalisée. Grace à un C2 agile et les délégations consenties, le commandant de bord a pu réorienter sa mission, localiser le navire en panne moteur de nuit, à court de batteries, orbiter à basse altitude au-dessus de lui durant cinq heures, prêt à larguer des chaînes SAR au besoin, le temps qu’un bateau des CoastGuards puisse évacuer les 11 passagers en perdition.

Comment aujourd’hui pratiquez-vous le dialogue avec vos homologues étrangers ?

A plusieurs niveaux. Tout d’abord en bilatéral avec des échanges réguliers entre chefs d’états-majors ou nous identifions des pistes de coopération bilatérale renforcées. Ensuite dans des formats adaptés : je pense en particulier aux travaux sur le SCAF qui génèrent des échanges renforcés avec mes homologues allemand et espagnol, et désormais belge. Nous échangeons sur nos besoins pour faire face aux menaces futures. Ainsi, nous avons signé durant le salon du Bourget un document présentant notre vision du combat collaboratif futur.

Je pense également à l’initiative trilatérale avec les CEMAA américains et britanniques. L’objectif est d’aborder des sujets stratégiques communs mais surtout de renforcer l’interopérabilité entre les trois pays.

Je pense aussi à l’EURAC, conférence des chefs d’état-major européens qui permet un échange collectif sur des sujets divers. En avril, nous avons ainsi échangé sur la guerre en Ukraine et les conséquences en matière de préparation opérationnelle.

Je pense enfin au NACS, Nato Air Chiefs Symposium, qui nous permet d’échanger sur les engagements opérationnels en cours et sur les réflexions de l’OTAN en matière d’emploi et d’organisation du domaine aérien.

La nouvelle politique de rémunération des militaires (NPRM) est-elle un levier pour fidéliser ?

Cela en fait partie, comme le plan familles 2, les conditions de vie sur les bases aériennes. J’y suis tout particulièrement attentif.

Le MCO frétille un peu, sur quelles flottes avez-vous pu progresser ?

Oui, il frétille un peu mais je reste prudent car les progrès s’apprécient dans le temps long. On voit une amélioration sur l’aviation de chasse en général, sur l’A400M mais nous conservons quelques difficultés sur les hélicoptères. On attribue souvent ces gains aux marchés verticalisés, mais il faut aussi prendre en compte les ajustements dans les organisations de nos mécaniciens. C’est bien la somme des deux qui permet cette amélioration.

Vous êtres aussi vous-même chef d’entreprise puisque vous avez la responsabilité du service industriel de l’aéronautique (SIAé)…

Le SIAé est un acteur industriel majeur pour suivre tout ou partie des flottes en service. Il suit en particulier le C-130H Hercules, qui lui aussi fait l’objet d’une disponibilité en hausse. J’explique ces progrès par le plan d’urgence mis en place il y a deux ans. L’engagement de toutes les équipes a permis d’obtenir les premiers résultats encourageant. Il s’agit d’une flotte sensible, de par ses utilisateurs (le commandement des opérations spéciales et la DGSE, NDLR) et à ce titre, elle concentre toutes les attentions.

Combien de temps le C-130H restera dans cette zone difficile ?

C’est difficile à dire, c’est un combat permanent, il faut beaucoup de volonté, d’engagement, de l’EMAAE, de la direction de la maintenance aéronautique, du SIAé.

On parle plus rarement d’un autre C-130 : la version J, en service au sein de l’escadron Rhin franco-allemand, avec quels résultats ?

C’est une réussite. On a pu franchir des étapes que beaucoup pensaient infranchissables. Nos camarades allemands nous sont reconnaissants des efforts qui ont été menés pour les intégrer au sein de la base d’Evreux et des populations environnantes où ils vivent avec leurs familles. Cela montre un exemple qui pourrait s’appliquer à d’autres flottes, comme celles utilisées pour la formation.

Edited by Titus K
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Résumé de PEGASE 2023     https://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2023/08/17/pegase-2023-24054.html

"Pégase 2023: retour sur 40 jours de projection en Indopacifique"

"Dans le cadre de Pégase 2023, 320 aviateurs, 10 Rafale, 5 A330 MRTT Phénix et 4 A400M Atlas ont sillonné l'Indopacifique du 25 juin au 3 août 2023. Pendant ces 40 jours de projection, les Rafale ont effectué 170 sorties (500 heures de vol), les A330 MRTT Phénix  80 sorties (500 heures de vol) et les A400M Atlas  80 sorties (440 heures de vol).

Ce jeudi,  l’armée de l’Air et de l’Espace a diffusé un focus sur ce déploiement opérationnel en Indopacifique. Elle y a détaillé les trois phases ..."

Phase 1 "escale auprès des Forces françaises aux Émirats arabes unis (FFEAU)"......"Singapour et la Malaisie"

Phase 2 : "72 heures après le départ de France, Pégase 23 atterrit sur l'île de Guam, à 18 000 km de son point de départ"  "Pendant quatre semaines, les aviateurs participent à un des exercices américains d’ampleur regroupant des partenaires de la région et de nombreux alliés : Australie, Canada, États-Unis d’Amérique, Nouvelle-Zélande et Royaume-Uni."

Phase 3 "et dernière phase débute le 24 juillet 2023. Le déploiement se sépare une nouvelle fois pour pouvoir rejoindre trois points géographiques distincts :
- La Nouvelle-Calédonie"  

- L’Indonésie puis Dijibouti 

- La Corée du Sud du 24 au 26, puis le Japon 

Au gré des exercices, vols conjoints, expositions statiques, visites d'autorités, tables rondes, ces différentes escales ont permis de consolider les partenariats avec les nations hôtes et l’interopérabilité des forces avant un retour en France le 3 août"

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Série de 3 bons articles sur les l'espace français en 2023 et développements à venir :

 

IRIS² procurement challenges, or David versus Goliath

https://satelliteobservation.net/2023/06/21/iris²-procurement-challenges-or-david-versus-goliath/

 

Tour of French New Space 2023: Yoda & Hemeria

https://satelliteobservation.net/2023/07/11/tour-of-french-new-space-2023-yoda-hemeria/

 

Tour of French New Space 2023: Promethee

https://satelliteobservation.net/2023/08/23/tour-of-french-new-space-2023-promethee/

Edited by Titus K
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il y a 23 minutes, clem200 a dit :

Je viens de voir passer à l'instant la patrouille de France au-dessus de Versailles

En formation et avec les fumigènes 

Quelqu'un sait ce qu'il se passe ? C'est étonnant un lundi 28 août à 11h ...

Pareil, mais je suis porte de la villette et ils ont fait péter les fumigènes au dessus du stade de france je pense que c'est une répétition pour l'ouverture de la coupe du monde de rugby. 

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7 hours ago, emixam said:

Pareil, mais je suis porte de la villette et ils ont fait péter les fumigènes au dessus du stade de france je pense que c'est une répétition pour l'ouverture de la coupe du monde de rugby. 

Pas con. 'tin y font ca le jour où j'ai pas la vue sur le ciel parisien ><

Edited by Asgard
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Il n’est tjr pas décidé du sors des deux avions. Dassault sait les réparer. Mais à quel coût ?

la question est donc, l’armée juge t’elle, vu le nombre d’heure de vol des avions la réparation économiquement intéressante ou pas…

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