rendbo Posté(e) le 5 avril 2017 Share Posté(e) le 5 avril 2017 Sur le journal du Geek, il référence les films mois par mois à ne pas louper pour...euh... les gens comme nous http://www.journaldugeek.com/tests/calendrier-resume-des-dates-de-sortie-des-films-geeks-de-2017/2/ Il y avait plein de trucs rigolos, par exemple the warrior gates en mars 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shorr kan Posté(e) le 7 avril 2017 Share Posté(e) le 7 avril 2017 Une satire de la guerre d’Afghanistan avec un personnage principal joué par Brad Le Pitt, pour bientôt. Une exclusivité Netflix. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 8 avril 2017 Share Posté(e) le 8 avril 2017 Bon, ben pour ceux qui en attendaient quelque chose, Ghost in the Shell est en train de boire la tasse façon grand style. Beaucoup incriminent le casting et la polémique qui l'a accompagné, pour avoir créé une aura de discussions négatives autour de l'oeuvre.... Si c'est le cas, le Battle Angel Alita (Gunm) de James Cameron et Robert Rodriguez (qui pour moi est incapable de produire autre chose que de la série B -même si de haute qualité- sans ambition, souffle, perspective ou élan, et reposant uniquement sur l'accumulation de clichés), prévu pour l'an prochain, pourrait aussi avoir quelques problèmes. A moins que dans l'univers très particulier et incompréhensible du "jugement critique" à base ethnoculturelle de la "PC culture" nord américaine, le fait que l'actrice choisie soit latino permette au film d'échapper mystérieusement à ce genre de débats (cad, du moment que c'est pas une "caucasienne", c'est bon). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 8 avril 2017 Share Posté(e) le 8 avril 2017 Harg, j'espère voir Ghost in the Shell lundi matin. Il faut ce faire une idée par soi même :) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 8 avril 2017 Share Posté(e) le 8 avril 2017 49 minutes ago, collectionneur said: Harg, j'espère voir Ghost in the Shell lundi matin. Il faut ce faire une idée par soi même :) J'ai lâché en cours de route: me faisait chier. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 8 avril 2017 Share Posté(e) le 8 avril 2017 Il y a 2 heures, Tancrède a dit : J'ai lâché en cours de route: me faisait chier. Autant que cela ? Sinon, il reste à l'affiche les Powers Rangers !!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 8 avril 2017 Share Posté(e) le 8 avril 2017 Il y a 7 heures, Tancrède a dit : Bon, ben pour ceux qui en attendaient quelque chose, Ghost in the Shell est en train de boire la tasse façon grand style. Beaucoup incriminent le casting et la polémique qui l'a accompagné, pour avoir créé une aura de discussions négatives autour de l'oeuvre.... Si c'est le cas, le Battle Angel Alita (Gunm) de James Cameron et Robert Rodriguez (qui pour moi est incapable de produire autre chose que de la série B -même si de haute qualité- sans ambition, souffle, perspective ou élan, et reposant uniquement sur l'accumulation de clichés), prévu pour l'an prochain, pourrait aussi avoir quelques problèmes. A moins que dans l'univers très particulier et incompréhensible du "jugement critique" à base ethnoculturelle de la "PC culture" nord américaine, le fait que l'actrice choisie soit latino permette au film d'échapper mystérieusement à ce genre de débats (cad, du moment que c'est pas une "caucasienne", c'est bon). perso ce "problème" de white washing dont est accusé GitS ne me marque que parce que l'actoin se passe en Asie, que tous les membres sont asiatiques SAUF le major (jai vu un noir sur la photo du groupe, mais je ne sais pas quel membre il joue). Les critiques disent que c'est justifié dans le film, mais perso je trouve dommage qu'on parle de cosmopolitisme et qu'au final le casting ne soit pas plus ou pas moins... Les deux aspects qui me gêne sont le corps du major, et le scénario entrevu dans la bande annonce. Amérique oblige, le corps du major est une poupée animée, encore moins sexualisée (une plaque moulée SANS TETONS pour la poitrine par exemple) que les mannequins dans les vitrines. Cela me gêne fortement car au final ce n'est plus un corps de femme, mais juste une enveloppe anthropoïde qui serait finalement pas plus humaine que l'exosquelette d'un "Murphy" (Robocop, le vrai). Les américains étant des pervers refoulés, cela permettra au moins à la caméra de s'attarder sans choquer ni risquer plus qu'un PG-13. Pour le scénario, la BA laisse entrevoir une intrigue plus Jason-Bournesque que GitS... mais n'ayant pas vu le film je ne sias pas si ça se confirme dans le long métrage. Certains (retours) accusent le film de ne pas être assez réfléchi et introspectif. J'ai relu la BD il y a peu : certes il y a beaucoup de blabla pour poser le monde, autant pour la technologie, mais honnêtement bien souvent c'est un peu du vent sans grande profondeur. Je pense que c'est Ooshi et ses disciples qui ont introduit l'aspect philosophique et contemplatif ; et c'est parce que les déclinaisons sont des chefs d'oeuvres que l'on n'a pas crié au non respect de l'oeuvre originale... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 8 avril 2017 Share Posté(e) le 8 avril 2017 Perso, la psycholo-philosophie de comptoir dans GitS me laisse froid: un truc d'otakus ayant l'impression de découvrir les mystères du monde sans ouvrir un bouquin sérieux, ce qui n'est pas inintéressant pour de jeunes ados, mais devient inquiétant chez les plus de 17-18 ans. Donc quand on me parle de "profondeur" attendue dans ce genre de films, je me marre un peu: leur profondeur sonne essentiellement comme du blabla prétentieux et stérile qui n'a de mérite que quand il accompagne une bonne intrigue bien déroulée, dont il devient du coup un élément décoratif qu'on peut oublier ou apprécier sans que ça n'écrase le récit général et son rythme. Au mieux, dans un tel contexte, ça donne un style. Si ça commence à prendre trop de place et à essayer de masquer une absence d'histoire un peu conséquente et un déroulé faiblard, c'est juste lourd. Honnêtement, ce genre de grands postulats que les fanboys et pseudo-critiques balancent sur GitS, ça sonne comme ceux qui disaient que Matrix était intelligent et fondé sur Schopenhauer parce que les Wachowski l'avaient lu et prétendaient en avoir imprégné leur script. Faut être sérieux deux minutes et pas chercher à poéter plus haut que son luth en prétendant être ce qu'on n'est pas. Y'a aucune honte à faire une bonne histoire de SciFi visuelle (au contraire). Cette insistance sur "l'introspection" des personnages, c'est souvent surtout un affichage prétentieux qui les rend moins blairables, voire carrément insupportables, en plus de permettre un remplissage avec des scènes de héros silencieux et immobiles scrutant l'infini, qui n'apportent rien, créent des longueurs allant bien au-delà de ce qui est nécessaire pour alterner les tempos du récit, et l'un dans l'autre, font plus chier qu'autre chose (opinion personnelle, mais que j'ai toujours trouvée partagée). 21 minutes ago, rendbo said: perso ce "problème" de white washing dont est accusé GitS ne me marque que parce que l'actoin se passe en Asie, que tous les membres sont asiatiques SAUF le major (jai vu un noir sur la photo du groupe, mais je ne sais pas quel membre il joue). Les critiques disent que c'est justifié dans le film, mais perso je trouve dommage qu'on parle de cosmopolitisme et qu'au final le casting ne soit pas plus ou pas moins... Les deux aspects qui me gêne sont le corps du major, et le scénario entrevu dans la bande annonce. Amérique oblige, le corps du major est une poupée animée, encore moins sexualisée (une plaque moulée SANS TETONS pour la poitrine par exemple) que les mannequins dans les vitrines. Cela me gêne fortement car au final ce n'est plus un corps de femme, mais juste une enveloppe anthropoïde qui serait finalement pas plus humaine que l'exosquelette d'un "Murphy" (Robocop, le vrai). Les américains étant des pervers refoulés, cela permettra au moins à la caméra de s'attarder sans choquer ni risquer plus qu'un PG-13. Pour le scénario, la BA laisse entrevoir une intrigue plus Jason-Bournesque que GitS... mais n'ayant pas vu le film je ne sias pas si ça se confirme dans le long métrage. Tout le trip sur le major, c'est pas justement que c'est un personnage pas asexué, mais différemment sexué? Un cerveau de femme "martialisée", un corps androgyne/asexué, une libido active et indifférenciée, une sentimentalité atrophiée, le tout en un seul package? Elle est justement censée être, au moins pour la partie corporelle, désexualisée, ce qui concourt des tribulations psychologiques du personnage. En tout cas, c'est ainsi que je l'avais toujours pigé. Après, j'ai pas tout lu/vu; je sais qu'il faut regarder la série des Stand Alone Complex, mais j'ai jamais pris le temps. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rogue0 Posté(e) le 9 avril 2017 Share Posté(e) le 9 avril 2017 il y a 34 minutes, Tancrède a dit : [snip la déconstruction des fanboyz] Après, j'ai pas tout lu/vu; je sais qu'il faut regarder la série des Stand Alone Complex, mais j'ai jamais pris le temps. Sérieusement, il faut lire soit le manga original de Shirow ou les séries GITS SAC. Trust me, ça vaut son kilo de photo de Tulsi Gabard faisant du surf pesant de cacahuètes. <mode défi ON> Seras-tu le premier à : piger toutes les références ciné / philo / littéraires de la série sans consulter google ? ou même à visionner la série sans appuyer une seule fois sur le bouton pause pour être sûr d'avoir tout suivi dans les dialogues ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kotai Posté(e) le 9 avril 2017 Share Posté(e) le 9 avril 2017 C'est une boite de conserve, il n'y a que le cerveaux d'humain le reste n'a que faire des artifices que l'on expose de façon grossière et exagérée....Je l'ai vue comme une machine pensante ayant consciente de ses limites... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 10 avril 2017 Share Posté(e) le 10 avril 2017 Vu donc à la séance de 11 h, 3 personnes dans la salle, moi et deux gamins de 12/14 ans... Niveau effets spéciaux, presque rien à redire, mais trop de pub géantes en ville et le chef de la section 9 qui se bat trop bien pour son age. Le scénario m'est en en scène plusieurs gros points du manga mais l'idée de base est bancale en effet. En Spoil, vouloir transformé des hippies en machines de guerre n'est pas crédible, Murphy au moins a de l'expérience en temps que policier. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 11 avril 2017 Auteur Share Posté(e) le 11 avril 2017 Film d'action Belge Menace sur la maison Blanche (Titre en Français/Québécois) ou en VO Ou un film Britannique sur les SBS/MI6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rob1 Posté(e) le 12 avril 2017 Share Posté(e) le 12 avril 2017 Il y a 19 heures, Philippe Top-Force a dit : Ou un film Britannique sur les SBS/MI6 J'ai fini par le trouver... ce n'est qu'une mauvaise série B, malheureusement. Dommage, le roman dont il est inspiré (L'otage de Duncan Falconer) est bien. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rob1 Posté(e) le 12 avril 2017 Share Posté(e) le 12 avril 2017 Par contre il y aura ça pour nous consoler : Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 13 avril 2017 Share Posté(e) le 13 avril 2017 (modifié) Le 09/04/2017 à 01:33, Tancrède a dit : En tout cas, c'est ainsi que je l'avais toujours pigé. Après, j'ai pas tout lu/vu; je sais qu'il faut regarder la série des Stand Alone Complex, mais j'ai jamais pris le temps. C'est très bien Stand Alone Complex. Il y a aussi un OAV, Solid State Society, qui complète les 2 saisons de 26 épisodes chacune. Mais chronologiquement c'est un peu compliqué de relier les séries, les films, les mangas... Une fois qu'on a fait le tri, on se rend compte qu'elle n'est finalement pas si bancale que ça, même si bien sûr un paquet de trucs sont retcon à la truelle. Voir https://www.senscritique.com/liste/Ghost_in_the_shell_c_est_le_BORDEL/43609, un fan a classé chronologiquement les films/séries/OAV dans les commentaires. Citation Michaël Marcopoulos 0 - Ghost in the Shell - Arise 4 OAV (se passe en 2027 - C'est un prequel racontant les origines de la Section 9) Dont l'épisode 4 (Border 4: Ghost Stands Alone) est censé être un remake du film de 1995... 1 - Ghost in the Shell - Arise - Alternative Architecture - Episodes 9&10 seulement (appelés épisodes du "Pyrophoric Cult", les 8 premiers étant une version tronqué des 4OAV) 2 - Ghost in the Shell - The New Movie (continuation des épisodes "Pyrophoric Cult") 3 - Ghost in the Shell (Film de 1995) Se passe en 2029 - voir l'original ou le remaster 2.0, perso je préfère l'original) Le remake de 2017 c'est censé être ce film, et de l'épisode 11 de S.A.C 2nd GIG. 4 - Ghost in the Shell - Stand Alone Complex (ou S.A.C.) (se passe en 2030 - 26 épisodes - a l'inverse de Arise c'est l'OAV "S.A.C. - The Laughing Man" qui est une version tronquée de la série tv ) 5 - Ghost in the Shell - S.A.C. 2nd GIG (se passe en 2032 - 26 épisodes - encore une fois a l'inverse de Arise c'est l'OAV "S.A.C. - Individual Eleven" qui est une version tronquée de la série tv ) 6 - Ghost in the Shell 2 - Innocence (se passe en 2032) 7 - Ghost in the Shell - S.A.C. - Solid State Society (se passe en 2034) Par contre Arise c'est le bordel mais à un point... La série est parfois très dure à suivre, même si en s'accrochant on finit par l'apprécier à sa juste valeur, mais ce qui était à l'origine 4 films (même pas sortis chronologiquement dans les cinés japs) a été découpé en 8 épisodes, avec des cuts au passage pour rentrer dans le format, auxquels ont été ajouté deux épisodes bonus faisant la jonction avec un film final concluant la série... C'était pas l'idée du siècle. Pour tout avoir il faut donc regarder Arise 1 2 3 4 et les épisodes 9 et 10 de Arise alternative architecture pour enfin conclure sur le film "ghost in the shell Arise : the new movie" qui conclut la série... https://kotaku.com/the-newest-ghost-in-the-shell-tv-show-is-an-utter-mess-1712461518 Citation You misunderstand. The TV series it for people who have not seen it in the theaters/on Blu-ray. They took the four movies and then cut them into 8 TV episodes. Then instead of playing them in chronological order, they took what should have been episodes 7 and 8 and made them episodes 1 and 2. En comparaison les problèmes de chronologie manga/animés avec disparition/réaparition du major, font un peu pâle figure... Modifié le 13 avril 2017 par Patrick 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 13 avril 2017 Share Posté(e) le 13 avril 2017 On 4/9/2017 at 1:33 AM, Tancrède said: Perso, la psycholo-philosophie de comptoir dans GitS me laisse froid... C'est que tu as raté un truc ... GITS pose des questions, plein de question. Ce ne sont pas des questions nouvelles pour celui qui s'intéresse à la robotique "japonaise", certes, mais pour le reste du monde c'est copieux, et surtout ça prend de plus en plus sens dans le réel voire même dans le quotidien. Il y le coté très jungien du dilemme sempiternel des interaction corps et âme, mais aussi de la libre disposition de soi, de la corruption intime qui né lorsque un autre s'approprie ton essence... mille truc qui n'était ni a la mode ni très creusé en 95, et qui aujourd'hui devienne d'actualité. Rien que la notion d'automate réellement autonome dans un environnement complexe, telle que le véhicule autonome, et la notion de responsabilité ou de libre arbitre qui vont avec... ça n'a l'air de rien... mais ce genre de problématique est plutôt bien posé dans GITS. "Innocence" avec les automate sexuel qui assassinent leur proprio, ça interroge un minimum aussi ... d'autant plus qu'on est a deux pas de la réalité. Tu peux y ajoute toutes les problématique de corruption à des degrés divers de l'intimité... via les divers "hack" de ghost, autisme "cyber" etc. C'est pas de la philosophie ... mais ça a le mérite de très bien vulgariser des problématique pas évidente a appréhender autrement que dans des scenario d'apparence facile d’accès. 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Berezech Posté(e) le 13 avril 2017 Share Posté(e) le 13 avril 2017 J'ai toujours été très déstabilisé en (re)lisant Shirow. Les univers d'anticipation qu'il propose sont toujours assez réalistes, complexes, remplis de personnages aussi cools que minables, et s'attaquent à pleins de problématiques assez subtiles. La formulation assez spéciale en plus qu'ont les japonais pour poser les problèmes m'a pas mal interrogé (un truc que j'ai retrouvé plus tard en lisant Murakami). Et en même temps le mec te balance ses commentaires sociaux ultra-réactionnaires en plein milieux sur la nécessité de mettre à mort systématiquement les terroristes . C'est un grand amateur de sociologie des organisations, de technologie, et des problèmes éthiques et philosophiques qui vont avec. Le tome II d'Appleseed dans le genre est une immense dissertation assez bien planquée derrière une trame narrative épique et distrayante. Alors on peut dire qu'il se prend le choux sur rien, moi j'y vois surtout parfois de bonnes intuitions, et pas réellement de méthode ordonnée (pour un sciences pipoteur comme Tancrède, ça doit être l'équivalent de faire un plan en 8 parties, et 18 sous-parties dans une dialectique qu'on a branché sur le nombre de cartouches tirées par case. On dira que Shirow fait des "bullets points"), ou plus exactement une méthode qui suit une trame narrative qui se veut avant tout dynamique. Finalement je trouve ça assez réaliste. On traîne souvent avec des persos qui n'ont pas un background universitaire et dont la perspective est purement pratique (même si ils sont "pas cons" dans le sens ou l'auteur leur prête souvent sa propre capacité d'analyse et sa vision du monde), ils tentent de théoriser avec des concepts simple (l'aspect vulgarisation de l'oeuvre de Shirow). Je trouve que GITS est de toute façon un peu court, il y aurait eu bien d'autres choses à dire. (Déjà j'étais sur ma faim avec les 5 tomes d'Appleseed). Mais il y a de vraies sujets intéressant dedans, et encore assez peu perçus ou anticipés dans le débat public en ce début de XXIe siècle Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 14 avril 2017 Share Posté(e) le 14 avril 2017 Salut ! Je suis un peu en retard, mais je découvre les derniers films de la série Sniper. C'est de la série B, parfois crétine et cliché, mais c'est quand même sympa ! J'ai vu le dernier, Ghost Shooter et Legacy. Je vais aussi essayer de trouver le Reloaded (le 4e). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 14 avril 2017 Auteur Share Posté(e) le 14 avril 2017 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 14 avril 2017 Share Posté(e) le 14 avril 2017 Il y a 1 heure, Philippe Top-Force a dit : ouahh... c'est vert comme langage, on a presque l'impression de voir les inconnus... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Conan le Barbare Posté(e) le 21 avril 2017 Share Posté(e) le 21 avril 2017 Je ne connaissais pas la personnalité de Micheal Bay... maintenant c'est fait. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 23 avril 2017 Auteur Share Posté(e) le 23 avril 2017 Sur Netflix, Au début de la seconde guerre du Golfe en Irak, en 2003, Sand Castle suit un groupe de soldats qui se rendent dans la banlieue de Bakouba pour réparer une station de pompage d’eau endommagée par les bombes américaines. Dans une chaleur étouffante, Matt Ocre, un jeune soldat inexpérimenté, découvre l’horreur dans l’atmosphère de ressentiment et de colère que manifestent les populations locales. C’est dans les rues, les places et les écoles qu’il va prendre conscience du danger et du véritable coût de la guerre. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 9 mai 2017 Auteur Share Posté(e) le 9 mai 2017 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rob1 Posté(e) le 12 mai 2017 Share Posté(e) le 12 mai 2017 (modifié) Nouveau trailer pour 6 days, qui spoile pas mal d'action : Et punaise, je n'ai toujours pas compris ce que dit le type à 1min11 - 1min14. Modifié le 12 mai 2017 par Rob1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 12 mai 2017 Share Posté(e) le 12 mai 2017 46 minutes ago, Rob1 said: Nouveau trailer pour 6 days, qui spoile pas mal d'action : Et punaise, je n'ai toujours pas compris ce que dit le type à 1min11 - 1min14. "He's got the heart of a lion, and the.....". J'arrive pô à distinguer les mots: putain d'accent du nord. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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