Cathax Posté(e) le 20 mai 2016 Share Posté(e) le 20 mai 2016 En creusant sur les fortifications nippones, je suis tombé sur ça: c'est assez didactique et plutôt bien fichu: http://web.mst.edu/~rogersda/umrcourses/ge342/Japanese%20Island%20Defenses%201943-45.pdf Des extraits d'un manuel US sur le sujet: http://www.lonesentry.com/manuals/handbook-japanese-military/small-island-defense.html Un chapitre centré sur Okinawa (et son réseau particulièrement dense): http://www.history.army.mil/books/wwii/okinawa/chapter10.htm En espérant que cela intéresse. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 25 juin 2016 Auteur Share Posté(e) le 25 juin 2016 (modifié) On parle souvent des combats mené par les US , les australiens et les brits mais on oubli que les néerlandais aussi furent de la parti à leur humble niveau . https://en.wikipedia.org/wiki/Military_history_of_the_Netherlands_during_World_War_II Je viens de tombé sur ce lien traitant de l'histoire des marines néerlandais . le hasard fait bien les choses car j'avais posté sur un autre file 2 vidéos sur les marines néerlandais de retour dans les Indes néerlandaise . https://www.mca-marines.org/leatherneck/2016/07/rededication-ceremony-showcases-continuing-partnership Cette force ne combattra pas les japonais ,la guerre arrivant à son terme mais cette brigade de marines néerlandais formée ,organisée , préparée ,équipé par l'USMC affrontera les mouvances indépendantiste dès 1945 , on ne doit pas oublié que la fin de la guerre contre les japonais a vu une continuité de la guerre contre les mouvements indépendantistes , que ce soit les britanniques , Français ou néerlandais . Sur le lien plus haut on peu suivre l'histoire de cette brigade , qui verra des éléments renforcé les forces néerlandaises combattant en Europe équipé par les britanniques . Ces personnels retourneront à la brigade une fois la guerre contre l'Allemagne terminée . En terme de matériel , on observe qu'au niveau véhicules ,blindés ils ont ce que les marines US avaient ,mais on observera qu'ils ont aussi eu des Auto mitrailleuses M8 ,ce que n'avait pas les marines US . S'est intéressant car on peu observer que les images pourraient leurrer un oeil pas averti et voir dans ces images des marines US au combat dans le Pacifique . Il faut dire qu'équipé à l'américaine ce n'est pas évident de faire la différence . Des néerlandais ont aussi combattu aux côté des australiens . Modifié le 25 juin 2016 par Gibbs le Cajun 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 5 juillet 2016 Auteur Share Posté(e) le 5 juillet 2016 Un peu de vidéos pour avoir un peu plus le contexte : 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Janmary Posté(e) le 6 juillet 2016 Share Posté(e) le 6 juillet 2016 En effet, Gibbs Le Cajun, > Sous le nom de Brigade "Princesse Irène", les Néerlandais, sous forme d'une brigade du nom de la Reine des Pays-Bas, ont combattus en Normandie et ont libérés certaines agglomérations connues comme la région Deauville-Trouville. https://fr.wikipedia.org/wiki/Brigade_Princesse_Irène > En Indonésie, les Néerlandais ne seront pas engagés contre les Japonais et ce sera des éléments de la Force 136 Britannique qui seront parachutés pour préparer le débarquement de Bornéo qui le seront. En effet, l'engagement des Néerlandais, est peu connu, sauf en Normandie et par les écrits des éditions Heimdal. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 31 juillet 2016 Auteur Share Posté(e) le 31 juillet 2016 Je suis tombé sur ce documentaire de la chaîne nippone NHK . 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cathax Posté(e) le 9 août 2016 Share Posté(e) le 9 août 2016 Un site intéressant sur l'invasion des Indes Néerlandaises: http://www.dutcheastindies.webs.com/ et quelques infos sur le Rikusentai, l'infanterie de marine japonaise (ou du moins ce qui s'en rapproche le plus): https://www.ibiblio.org/hyperwar/Japan/IJA/HB/HB-5.html http://www.ussastoria.org/Rising_Sun_in_the_East.html 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 9 août 2016 Auteur Share Posté(e) le 9 août 2016 Il y a 2 heures, Cathax a dit : Un site intéressant sur l'invasion des Indes Néerlandaises: http://www.dutcheastindies.webs.com/ et quelques infos sur le Rikusentai, l'infanterie de marine japonaise (ou du moins ce qui s'en rapproche le plus): https://www.ibiblio.org/hyperwar/Japan/IJA/HB/HB-5.html http://www.ussastoria.org/Rising_Sun_in_the_East.html Merci ,superbes infos ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cathax Posté(e) le 11 août 2016 Share Posté(e) le 11 août 2016 Un résumé de l'histoire des marine raiders et des bataillons défensifs des marines durant le conflit: http://www.ibiblio.org/hyperwar/USMC/USMC-C-Raiders/ http://www.ibiblio.org/hyperwar/USMC/USMC-C-Defense/ 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 11 août 2016 Auteur Share Posté(e) le 11 août 2016 Il y a 2 heures, Cathax a dit : Un résumé de l'histoire des marine raiders et des bataillons défensifs des marines durant le conflit: http://www.ibiblio.org/hyperwar/USMC/USMC-C-Raiders/ http://www.ibiblio.org/hyperwar/USMC/USMC-C-Defense/ Sur le file des forces spéciales ,dans la partie Marine Raider j'avais posté ces liens : Citation Sur ces liens on a pas mal d'infos sur l'emploi /moyens , les Raiders durant les différentes opérations dans le Pacifique ,et de la complexité de la chose . Dans http://www.nps.gov/parkhistory/online_books/npswapa/extContent/usmc/pcn-190-003130-00/sec11.htm http://www.nps.gov/parkhistory/online_books/npswapa/extContent/usmc/pcn-190-003130-00/sec1.htm#transports http://www.nps.gov/parkhistory/online_books/npswapa/extContent/usmc/pcn-190-003130-00/sec8.htm#weapons http://www.nps.gov/parkhistory/online_books/npswapa/extContent/usmc/pcn-190-003130-00/sec9.htm#training http://www.nps.gov/parkhistory/online_books/npswapa/extContent/usmc/pcn-190-003130-00/sec10.htm http://www.nps.gov/parkhistory/online_books/npswapa/extContent/usmc/pcn-190-003130-00/sec3.htm Le lien général qui envoi sur les lien ci dessus : http://www.nps.gov/parkhistory/online_books/npswapa/extContent/usmc/pcn-190-003130-00/sec1.htm#transports En espérant ne pas être trop confus dans mon post Edit ; https://m1pencil.wordpress.com/2012/01/19/our-kind-of-war-illustrated-saga-of-the-u-s-marine-raiders-of-world-war-ii/ 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cathax Posté(e) le 12 août 2016 Share Posté(e) le 12 août 2016 Ce sont des liens intéressants Gibbs. Apparemment, il y a pas mal de contenu en ligne sur les sites officiels des forces armées et de certaines branches de l'administration américaine: ça peut toujours être bien de penser à y faire un tour quand on aborde certains sujets. Y'a aussi pas mal de docs, entre autre des photos, sur les sites des associations historiques et des groupes préservant la mémoire d'un coin donné, un peu partout dans le Pacifique. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 13 août 2016 Auteur Share Posté(e) le 13 août 2016 Voici un film de formation pour apprendre à connaitre l'ennemi japonais : Et voici un film de formation du G'I déployé au Japon dans les années 50 pour comparer avec la 1°vidéo : l'Hygiène , dessin animé éducatif : 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 20 août 2016 Auteur Share Posté(e) le 20 août 2016 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Janmary Posté(e) le 20 août 2016 Share Posté(e) le 20 août 2016 Remarquable séquences Gibbs le Cajun. Bon débat des plus passionnants aux intervenants sur ce sujet. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 21 août 2016 Auteur Share Posté(e) le 21 août 2016 http://www.marines.mil/Portals/59/Publications/Special Marine Corps Units of World War II PCN 19000413200.pdf 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 21 août 2016 Auteur Share Posté(e) le 21 août 2016 (modifié) En visionnant cette vidéo , vous pourrez suivre les autres parties . Au début ,on a le témoignage de Eugene Sledge . De superbes images en couleur : Inédit pour pas mal d'entre elles , des images nippones , US . Impressionnant car on voit aussi la vie à l'arrière côté japonais ! Je suis tombé sur une perle ! Modifié le 21 août 2016 par Gibbs le Cajun Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cathax Posté(e) le 29 août 2016 Share Posté(e) le 29 août 2016 Je crois que ce doc sur Okinawa m'avait échappé: http://www.ibiblio.org/hyperwar/USA/CSI/CSI-Okinawa/ Il y a des choses (pas mal) déja citées dans l'un des liens que j'ai précédemment envoyé sur ce fil, mais c'est plus complet; d'ailleurs, cela va dans le sens de Janmary sur le fil consacré à la Chine, lorsqu'il évoque les fortifications japonaises survivant aux coups de l'appui-feu américain. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 16 octobre 2016 Auteur Share Posté(e) le 16 octobre 2016 Une action de combat de faible ampleur , qui verra une erreur causé la perte d'une petite unité de marines mais qui prendra une ampleur importante sur le ressentit de haine des Japs qui atteindra aussi l'opinion US déjà bien remontée contre le Japon .De facto un accord tacite dans les unités verra un combat à mort , brutal et sans pitié contre un adversaire fanatisé . http://warfarehistorynetwork.com/daily/wwii/the-ill-fated-goettge-patrol/ Citation Unprepared, a group of 25 American Marines fell victim to one of the first publicized atrocities committed by the Japanese in the South Pacific. by John Wukovits The summer of 1942 had brought uplifting news for the United States in the Pacific Theater. After a numbing series of setbacks, including the December 1941 surprise attack on Pearl Harbor and the subsequent fall of Guam and the Philippines, the nation’s Navy had husbanded its depleted forces and, with the crucial aid of naval intelligence, halted the Japanese in the May 1942 Battle of the Coral Seaand the June Battle of Midway. The Army Air Forces had registered a triumph of its own in April, when Lt. Col. James Doolittle led a daring bomber raid directly into the heart of Tokyo. The turnaround in events restored previously shattered American morale. Military personnel walked about with a bit more pride to their step than before, and most men eagerly awaited another rematch with the Japanese. Especially impatient were the Marines, who yearned for the chance to inflict vengeance on the enemy for what it had done to fellow Marine units overrun on Guam and Wake. They seemed to have their opportunity in August 1942, when elements of the Marines received orders to head into an unfamiliar locale, the Solomon Islands in the Southwest Pacific. Here was their chance to make the Japanese pay for their earlier actions. Instead of ill-supplied island garrisons, such as the enemy had defeated at Guam and Wake, they would now contend with freshly trained, well-armed Marines eager to kill Japanese. Overconfident Marines boasted that they would land in the Solomons, clear the enemy from the region, and be back in Australia within a few weeks to once again enjoy that nation’s women, steak and eggs, and beer. Events of the first week quickly altered their outlook. After the initial landings on Tulagi and nearby Guadalcanal on August 7, military operations soured. Even before the Americans launched their first offensive, seemingly constant enemy air attacks harassed the Marines, who lacked the proper antiaircraft guns to put up a stern defense. Japanese guns on land chimed in to add to the Americans’ woes, and Japanese destroyers churned the waters off Guadalcanal to intercept and attack any shipping they spotted. Then suddenly, and shockingly to the Marines, on August 9 the U.S. Navy pulled its vessels out of the area, claiming that it was too dangerous to retain shipping in a location subject to such intense aerial and land bombardment. “I know I had a feeling, and I think a lot of others felt the same way, that we’d never get off that damned island alive,” stated one Marine. The mind-numbing series of blows perplexed, then angered, the Marines. They had come to fight, not wait in their foxholes for the enemy to seize the initiative. Many itched for a battle, to close with the Japanese, to prove that Americans could more than handle the situation. An enticing prospect for action seemed to materialize on August 12. Marine patrols reported spotting what they thought could be a white flag in the region of the Matanikau River, not far from the American beachhead on Guadalcanal. Then a captured enemy sailor, lubricated with heavy doses of alcohol supplied by his American captors, divulged that many of his comrades in the jungle suffered from starvation and were on the verge of surrendering. This could be the chance to seek vengeance for the earlier bruising taken from the Japanese. If the enemy did not surrender, the starving men would likely be in no shape to mount much of a defense and could swiftly be eliminated. It might not be the major operation many Marines awaited, but at least an expedition toward the Matanikau River could exact some revenge for the unpleasant first few days in and around Guadalcanal. Officers hastily revamped earlier plans, which called for a patrol of 25 men to leave Kukum, close to the landing beaches, early in the morning by boat, head west, land near a spot called Point Cruz, and reconnoiter the area before darkness ended the day’s operation. After spending the night in a sheltered location in the adjoining hills, the Marines would head directly across land back toward Kukum, gaining valuable knowledge about the terrain and possible Japanese concentrations on their return. General Alexander Vandegrift. Armed with the new information provided by the Japanese sailor and by the possible white flag, Lt. Col. Frank B. Goettge, the division intelligence officer, revised the scouting plan a mere 12 hours before the patrol was to set out. He believed the information given by the Japanese captive to be true and argued that the famished and weary Japanese roaming the area of the Matanikau River would readily surrender. Goettge persuaded his division commander, Lt. Gen. Alexander Vandegrift, to let him take the mission, claiming “hundreds of Japanese troops were roaming the jungle west of us ready to surrender.” Vandegrift should have been more cautious, especially since his Marines had little actual experience facing the Japanese, but he assented to the change. Vandegrift warned Goettge to avoid landing between the mouth of the Matanikau and Point Cruz because strong enemy forces had been spotted there only three days before. Instead, he was to land to the west of Point Cruz to be safely out of harm’s way. The decision would later be regretted, but the Americans were still newcomers to Pacific fighting. They lacked personal knowledge of jungle warfare, and while they had heard of Japanese atrocities in China, they did not worry about the same occurring to them. Few was Respected for Being a “Tough Hombre, and Few Certainly Looks the Part; He has Fierce Dark Eyes, a Wiry, Muscular Body, and He Moves with the Swift Ease of a Cat.” Goettge gathered a group of officers to go with him, including the 5th Marines’ surgeon, Lt. Cmdr. Malcolm L. Pratt. Since he believed that they would pick up some Japanese prisoners, Goettge also chose men from the intelligence division of the 5th Marines, including Captain Wilfred Ringer, First Sergeant Stephen A. Custer, and an officer who had worked in Japan before the war and was fluent in Japanese, Lieutenant Ralph Corey. The patrol boasted other men who had already built a reputation among their fellow Marines for leadership and toughness. Twenty-two-year-old Sergeant Frank L. Few of Buckeye, Ariz., so impressed observers that reporter Richard Tregaskis later praised him in his famous 1943 book about the Solomons, Guadalcanal Diary. He wrote that the half-Indian was “vastly respected by the men because he is, as the marines say, ‘really rugged.’ This means he is a tough hombre, and Few certainly looks the part; he has fierce dark eyes, a wiry, muscular body, and he moves with the swift ease of a cat. A flashing white smile, sideburns and scraggly black beard and mustache only intensify the effect.” Should they run into an awkward situation, the men knew they could also look to Sergeant Charles C. “Monk” Arndt and Corporal Joseph Spaulding. However, since no more than 25 men were to be removed from the beachhead, the additional intelligence officers selected by Goettge took the place of Marine riflemen originally assigned to the patrol. Later, when the fighting commenced, the officers would miss this handful of Marine riflemen. That, however, stood in the future. As the 25 Marine riflemen and officers collected near the Higgins boat that would transport them by water from Kukum to their designation west of Point Cruz, their thoughts centered on a possible firefight. The fact that the patrol would now head out after dark, around 6 pm, a delay caused by Goettge’s last-minute changes, bothered only a few men. They would land, bivouac for the night, and then head out the following morning. The landing position of the Goettge Patrol was too distant from the 1st Marine Division’s secure area for any significant evacuation assistance or reinforcements to materialize. In the dark, though, confusion set in. From the sea, Goettge had difficulty sighting the correct landing area, and instead of hitting the proper sector the boat came in too far east. As the Higgins boat approached land near the mouth of the Matanikau River, the boat’s engine made so much noise that the numerous Japanese soldiers in the area were alerted to the presence of the American squad. If that were not enough, when the boat hit a sandbar and forced the coxswain to reverse engines in an effort to inch off the obstacle, more sound reverberated through the jungle. To make matters worse, the Marines had to leap out of the Higgins boat and wade ashore on the west side of the Matanikau, precisely where they had been warned not to land. Colonel Goettge led his men a short way toward the jungle but stopped before leaving the beach to establish a defensive perimeter. Goettge ordered most of the men to remain on the beach while the Japanese sailor, held close by a leash, led Goettge, Captain Ringer, and Sergeant Custer into the jungle toward the supposedly weary enemy soldiers. The group disappeared into the foliage, but within minutes gunfire shattered the darkness. Goettge and the Japanese sailor slumped dead to the ground, while a wounded Sergeant Custer and Captain Ringer returned fire and scurried back toward the beach. As bullets whizzed around them and splattered into the sand, Ringer dragged the bleeding Custer out of danger, and the two safely returned to join their fellow Marines. For much of the night, while Dr. Pratt tended to Sergeant Custer and other injured men, the Americans fought a desperate battle to keep the numerically superior and well-hidden enemy at bay. Lt. Col. Frank B. Goettge was killed moments after his doomed patrol landed in Japanese territory, During a lull shortly after the fighting started, different men called out Colonel Goettge’s name to see if he might respond. When they heard no response, Sergeants Few and Arndt and Corporal Spaulding volunteered to crawl back into the jungle to rescue their commander. The trio searched around until they found Goettge, dead from bullet wounds to the head. Spaulding started back to the beach to bring up more help while Few and Arndt remained behind as cover. In Spaulding’s absence the enemy closed in on Sergeants Few and Arndt. One Japanese soldier rushed Few’s position, and in the darkness Few mistook the soldier for an American. He shouted the password, but in turn received bayonet wounds to the body and leg. In the struggle, Few grabbed the rifle from his assailant and bayoneted him to death. He then picked up a pistol and killed a second Japanese soldier. Few later explained the incident to correspondent Tregaskis, who included it in his book. “Just then I saw somebody close by. I challenged him, and he let out a warwhoop and came at me. My sub-machine gun jammed. I was struck in the arm and chest with his bayonet, but I knocked his rifle away. I choked him and stabbed him with his own bayonet.” Few and Arndt were on their way back to the beach when Few spotted a Japanese sniper perched in the trees. He switched Sergeant Arndt’s pistol for his jammed machine gun, took careful aim, and killed the Japanese. A fourth enemy soldier rushed out of the jungle toward Few, who by then had fixed his weapon and was able to quickly dispatch the foe. Captain Ringer established a tight defensive perimeter at the beach, but he knew that his outnumbered men could not last long in such an open location. The Japanese had the advantage of knowing precisely where the Americans were, while the Marines only had a vague idea where to shoot. So much machine-gun and rifle fire peppered the perimeter that it became only a matter of time before every man was either wounded or killed. Among those shot was Dr. Pratt, who was wounded while tending to another Marine. Pratt later died from his injuries. Since he lacked a radio, Captain Ringer had to improvise if he were to send word back to Kukum that he needed help. During the melee, he turned to the most likely manner of attracting attention and ordered a corporal to rush to the water’s edge and fire tracers. Ringer hoped that the Marines back at Kukum, 41/2 miles away, would notice the illumination and dispatch a relief squad. The corporal fired three tracers skyward, but his effort was in vain. Although the Americans at Kukum spotted the lights, they had no idea what they might mean and thus did not send out any additional forces. Arndt was Struck That the Marines Showed No Fear about Their Fate. As Marines They Knew Their Duty, and if That Meant They had to Stay Behind and Die, Then so be it. Ringer next turned to volunteers who would try to make it back to Kukum and bring help. Sergeant Arndt, who had proven abilities as a scout on land and as a strong swimmer, agreed to remove most of his gear, head for the water, and swim the almost five miles back to Kukum. A wiry veteran, Arndt earned his nickname of “Monk” in 1939 during duty in Puerto Rico when he climbed a tree to retrieve a few coconuts. Tough in training and steadfast in battle, Arndt had gained a reputation as someone who could be relied on. Sergeant Few agreed with his selection and said, “If anyone can get through, it’ll be Arndt.” Sergeant Arndt left around 1 am on August 13, struck by the fact that no one remaining on shore complained that they had not been chosen or showed any signs of fear about their fate. As Marines they knew their duty, and if that meant they had to stay behind and die, then so be it. Hopefully, Arndt could bring back help in time, but the likelihood was that the Japanese would close in for the final kill before reinforcements arrived. Arndt had his mission and they had theirs. Clad in white uniforms and dress caps, Japanese soldiers fire a Nambu machine gun. Possibly a memento from his training days, the photo was found on the body of a dead Japanese soldier on Guadalcanal. Because of heavy Japanese fire, Arndt slithered off the beach toward the sea “like a snake, on stomach, hands and knees, and I went like this just as far as I could without swimming at all. Out for about 30 yards.” As he approached the deeper water, Arndt forgot that he had not untied his shoelaces. He attempted to loosen his boots and slip them off, but the knots were too tightly bound by the water. He was able to remove his clothes, however, and naked except for socks, shoes, helmet, and a pistol crammed inside the helmet to keep it dry, Arndt plunged into the deeper water and headed toward Kukum. Using the breast stroke to keep his helmet out of the water, Arndt drew fire when he crossed the sandbar upon which the Higgins boat had been stuck. He evaded that, veered farther from shore, then swam parallel to land. “I’d go in to the beach once in a while and there was a lot of coral that I had to hold on to and I have scars yet on my hands and legs where I was pushing around the coral,” Arndt stated in a 1948 interview. “I was crawling over the rocks awhile and swimming awhile.” Whenever a coral patch impeded his swimming, Arndt braved the razor-sharp edges and either walked or crawled over it. He then jumped back into the water, swam to the next coral outcropping, and repeated the process. In this manner, he slowly progressed toward help. Occasionally, he turned toward shore to walk for a bit, but he had to be extremely careful lest he stumble upon a Japanese patrol. One time, as he walked along the shoreline, he heard a noise and saw someone running away. Arndt fired at the unknown individual and assumed he had hit him when he detected no further sounds of movement. The trek back to Kukum proved exhausting, but whenever Arndt felt like stopping and resting, he thought of his buddies back at Point Cruz. As weary as he might be, they had to be in far worse shape, mentally and physically. “It’s just like a man is just exhausted completely and ready to give up and then I’d look back where the patrol was and see a tracer shoot up in the air and then I’d go on again. I was thinking about those men down there.” Luck turned in Arndt’s favor when he came across a native boat beached along the shore. He waded toward the craft and noticed that one end had a number of bullet holes. Arndt nudged the boat offshore, jumped into the undamaged end so that the bullet-riddled end lifted out of the water, and paddled away with a plank that he found in the boat. Arndt traveled more than two miles before he reached Marine lines, but his safety was far from guaranteed. Nervous sentries would be eager to shoot first and ask questions later, so Arndt had to be especially careful. His luck almost failed when a Marine guard challenged him and asked for the day’s password, but a weary Arndt could not think of it. Fearing that he would be shot, Arndt quickly yelled out a word he knew the Japanese would have trouble pronouncing, “million.” He figured the enemy could not correctly handle a word containing the double “l,” so he kept repeating the word until the sentry believed he was an American. When Arndt sloshed ashore about 5:30 that morning, the other Marines stared at him as if they had seen a ghost. Arndt bled from coral cuts and scratches to most every portion of his body; in some cases the coral had sliced inches deep into the skin, even exposing the bones of his fingers. The stunned Marines wrapped a blanket around him and led Arndt away to give his report to superiors. Moving quickly from their landing craft and into the relative safety of the jungle, American troops head toward their objective on the strategically vital island of Guadalcanal. While Arndt worked his way back to Kukum, Captain Ringer and the rest near Point Cruz did their best to fend off the enemy. The Japanese cautiously crept closer as the night waned, and as they drew nearer their likelihood of killing a Marine increased. From more than 20 Americans, the numbers dwindled to less than 10. Sergeant Custer fell to gunfire, and the enemy approached so near to Sergeant Few that he could practically feel the muzzle-blast of their machine guns. Marines battled in the darkness, trying to guess where their enemy might be and fire in that direction. Normally, a rifleman shoots toward the flare of muzzle blasts, but as the Japanese had muzzle blast suppressors on their weapons, the Marines could not effectively respond. They had to maintain a steady volume of fire, hold off the Japanese, and hope that aid would come rushing in from Kukum. Captain Ringer had no idea if Sergeant Arndt had safely reached American lines. The only information he had was that they heard gunfire farther down the beach shortly after Arndt left. Concluding that he could not assume that Arndt had succeeded, about one hour after he ordered Arndt away, he sent Corporal Spaulding on the same mission. Spaulding wished his buddies on the beach good luck, removed his clothes and shoes, splashed into the water, and swam east. Like Arndt, he headed toward shore when exhausted to catch a moment’s breather. One time he spotted a fire and, thinking it was a group of Marines, went over to check it out. To his consternation, the soldiers turned out to be Japanese, but fortunately they failed to notice Spaulding, who carefully returned to the water and continued his odyssey. Spaulding safely arrived at Kukum about one hour after Arndt. As happened with Arndt, a jittery American sentry almost shot him before Spaulding convinced him he was a Marine. The situation turned desperate at Point Cruz as dawn’s initial rays illuminated the beach. Only Captain Ringer and three others, including Sergeant Few, remained able to fight. Figuring that if they stayed on the beach they would certainly perish, Ringer led the three men toward the jungle in hopes of hiding. They advanced only a few yards before gunfire cut down a corporal. Ringer and another reached the tree line, only to be killed by a flurry of bullets. Sergeant Few spotted a Japanese soldier firing into Marine bodies, rose, took aim with his .45, and killed the enemy, but he realized that he was in an impossible situation. From the initial unit that left Kukum the day before, only Sergeant Few remained. “The Japs Closed in and Hacked Up Our People. I Could See Swords Flashing in the Sun.” If he had any chance to survive, Few had to leave immediately, for there was little he could do to halt the Japanese. As far as he knew, none of his fellow Marines still breathed, so he could accomplish nothing by staying in the area. While still under Japanese fire, Few stripped to his underclothes and dashed for the water. After he swam far enough from shore to be out of the enemy’s range, Few looked back toward the beach, where he witnessed one of the Pacific War’s earliest atrocities involving Americans. Glancing through the distance, Few noticed the glare and flashes of descending swords. The survivor recoiled from the horror of what unfolded on the beach. “It was the end of the rest on the beach,” he explained to correspondent Tregaskis. “The Japs closed in and hacked up our people. I could see swords flashing in the sun.” Few, sickened by what he saw, could not tarry in the water. From another portion of the beach a group of Japanese soldiers moved a machine gun to the shoreline in an attempt to reach the final American. Few quickly dove under the water and put more yardage between himself and the enemy, then altered his swimming direction to make it harder for them to guess his location. Finally, he moved far enough away to be safe from the dangers on land. He still faced threats from the sea, however, as sharks heavily populated the waters surrounding Guadalcanal. He could do little about that hazard except continue swimming and hope for the best. Trusting that all would end up well, Few gathered his remaining strength and continued his long swim back to Kukum. Around 8 am, an exhausted Few dragged ashore near Kukum after battling the waves and weariness for more than 41/2 miles. He was so tired from his ordeal that, like the two previous Marines, he could barely muster sufficient strength to answer a sentry. Evading this final flirtation with death, Few stumbled ashore to add his report to what Arndt and Spaulding had already divulged. Angry Marine officers quickly organized a patrol to search for any surviving members of Goettge’s group. Company A, with two platoons from Company L, 5th Marines, and a light machine-gun section landed west of Point Cruz, erroneously thinking that Goettge had landed where he was supposed to. Company A advanced east along the coast, receiving enemy fire at the mouth of the Matanikau, while the other two platoons and the machine-gun section veered inland. The two groups returned to Kukum after scouring the region. Some accounts claim both arrived empty-handed, while others, including the information provided by Private Donald Langer, one of the lead scouts, reported spotting a gruesome scene in the jungle—arms and legs protruding from the sand. Before a third group could be dispatched to investigate, heavy rainstorms hit the area and apparently swept the bodies out to sea. A U.S. Marine patrol pauses for a photograph after completing a reconnaissance mission on Guadalcanal. Their Japanese prisoner is a rare find indeed since enemy troops refused to be taken alive. Although the final disposition of the remains is in dispute, what cannot be argued are the consequences and effects wrought by the Goettge Patrol, not only on their fellow Marines, but on all the military in the Pacific and on the people back home. For starters, the division lost most of its intelligence section in an apparently futile action that caused many Marine officers to be hesitant about talking to the press. The patrol should never have departed after dark, which handed the Japanese a huge advantage. Compounding the error, Goettge led his men into a dangerous area without knowing the strength of the opposition. One Marine, Grady Gallant, said after the war that he and his buddies on Guadalcanal were stunned by the patrol’s mistakes. Marines were “shocked because we had fallen for such an obvious trap; shocked because headquarters had believed anything a Jap had to say; shocked and angry and sickened because the Japanese had been able to kill so many and suffer no deaths in return.” The Notion of “Kill or be Killed” Rapidly Spread Throughout the Pacific, and according to Private Donald Langer, “After This, ‘No Prisoners’ was an Unspoken Agreement.” People on the home front reacted with disgust as well. Richard Tregaskis spread news of the incident when his book, Guadalcanal Diary, devoted one section to the patrol. A subsequent popular Hollywood motion picture of the same name contained one graphic scene showing a Marine at sea, based on Sergeant Few, turning back to watch the slaughter of helpless wounded Marines by sword-wielding Japanese. Men and women throughout the country obtained their first glimpse of the true horror of the Pacific War from this incident. The Goettge Patrol had the most potent impact on the Marines in the Pacific. A unit of men who, in part, headed into the unknown to accept the surrender of supposedly starving Japanese, instead fell victim to a massacre. Rumors spread that the Japanese cut off the hands of one man and ripped out the tongue of another. Grady Gallant explained that he and his buddies were convinced the Japanese sailor deviously led fellow Marines to their deaths in a Japanese jungle trap “waiting for the innocent to follow the Judas goat to death.” Marines angrily argued that if the enemy wanted a dirty war, they would get one, for the Marines would answer back in equal measure. The notion of “kill or be killed” rapidly spread throughout the Pacific, and according to Private Donald Langer, “After this, ‘no prisoners’ was an unspoken agreement.” Every Marine unit entering the Pacific Theater knew the story of the Goettge Patrol. Marine Pfc. Eugene Sledge, who later wrote one of the most moving memoirs of the Pacific strife, With the Old Breed, related an incident in his book. When he asked a Marine veteran why the Goettge Patrol had been ambushed, the veteran said of the Japanese, “Because they’re the meanest sonsabitches that ever lived.” Sledge reported that soldiers felt true hatred toward the Japanese, in part because of the atrocities committed against the Goettge Patrol. He related that “at the time of battle, Marines felt it [hatred] deeply, bitterly, and as certainly as danger itself. To deny this hatred or make light of it would be as much a lie as to deny or make light of the esprit de corps or the intense patriotism felt by the Marines with whom I served in the Pacific…. “This collective attitude, Marine and Japanese, resulted in savage, ferocious fighting with no holds barred. This was not the dispassionate killing seen on other fronts or in other wars. This was a brutish, primitive hatred, as characteristic of the horror of war in the Pacific as the palm trees and the islands.” The Goettge Patrol had helped illustrate that the palm trees and beaches of the Pacific, once associated with fun and frivolity, would now be the scene of bloodshed and barbarism. John Wukovits is the author of the recently released book Pacific Alamo on the heroic defense of Wake Island. He is an expert on the war in the Pacific and resides in Trenton, Michigan. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 29 octobre 2016 Auteur Share Posté(e) le 29 octobre 2016 J'ai acheté le dernier Guerres et histoires ,le numéro 33 qui aborde les 30 idées reçues sur la guerre dans le Pacifique . Il y a des choses intéressante mais dans le dossier sur les lauriers et l'opprobre , l'idée 25 -les marines ont reconquis seul le Pacifique la j'ai un blocage ... En fait qu'on mette en avant le fait que l'Army et les armées étrangères ont aussi eu une part importante ne me pose pas de problème , mais de la à minimiser l'action de l'USMC du fait d'avoir moins eu de pertes ... me pose un sacré problème ...Bon on précise que l'USMC est le fer de lance amphibie inter-armes mais il est très loin de combattre seul . Surtout quand on sait que l'évolution du conflit voit une augmentation des effectifs de l'USMC . Voici un détail des pertes de l'USMC dans le Pacifique : http://forum.axishistory.com/viewtopic.php?t=106111 Citation Marine battle losses by campaigns in WW2 Source: The US Marine Corps Story,Robert Moskin,1977. Killed Wounded Captured Missing 1941 Pearl Harbor 108 49 Midway Raid 4 19 Tientsin 203 Guam 4 12 137 Wake 49 400 1942 Philippines 330 357 1283 Midway 49 53 Makin Raid 21 9 Guadalcanal 1207 2926 85 1943 New Georgia 128 307 Bougainville 423 1418 Cape Gloucester 310 1083 Tarawa 978 2188 27 1944 Kwajalein 313 502 Eniwetok 254 555 Saipan 2218 8251 Tinian 317 1550 Guam 1520 5196 Peleliu 1124 5024 117 1945 Iwo Jima 5521 20330 Okinawa 3561 16459 Other 551 928 238 Pows died 514 Missing as dead 229 Total 19733 67207 2270 Notes: Midway Raid refers to air attack on island after Pearl Harbor The 9 Marines captured at Makin were later executed 85 missing Guadalcanal were aircrews lost over sea Other--mainly aircrew losses in SWP,Philippines 1945 etc 514 of the 2270 Marines captured died Missing were reclassified as dead after the war Bon si je fais le point par rapport aux chiffres donné dans Guerres et histoires je ne tombe pas sur le même chiffre question perte , il me donne 23 160 tués pour l'USMC alors que moi je trouve 19 733 . Pour l'Army ( ils doivent compté aussi l'aviation qui fait encore partie de l'Army ) on déplorent 41 592 tués . Si j'observe la chose , leur chiffre pour les pertes de l'Army ne sont pas les bonnes : http://www.ibiblio.org/hyperwar/USA/ref/Casualties/Casualties-1.html#mont Ils minimisent les pertes de l'Army tout en voulant démontré que l'USMC a eu moins de casse . Un lien intéressant sur le déploiement de l'Army dans le Pacifique : http://www.historyshotsinfoart.com/USArmy/DisplayTheater.cfm?t=pacific N'oublions pas que l'aviation fait "partie " l'Army . En 1943 , l'Army a 820 000 hommes qui sont déployé dans le Pacifique ,soit 13 divisions ,alors que l'USMC n'a que 3 division et seulement 160 000 hommes . En fait ce qui me pose problème , s'est que Guerres et Histoires ne semble pas prendre en compte un état de fait en ce qui concerne la guerre dans le Pacifique , le choix des US d'avoir opter pour 2 axes offensif , l'un mené par Nimitz et l'autres par Mac Arthur . Si casse il y a eu pour l'Army ,s'est surtout du au choix d'avoir 2 axes offensifs ce qui en coûtera aussi à l'USMC puisque devant prendre des objectifs durcis . Quand on observe le tempo opérationnel , Nimitz malgré le durcissement des objectifs à prendre avait de l'avance sur Mac Arthur qui s'était enferré dans une campagne aux Philippines ... Philippines qui ne seront pas prise rapidement et n'apportera pas grand chose pour l'option invasion du Japon . Cette guerre dans le Pacifique ,s'était celle des marins et pas celle de l'Army question vision Supposons qu'on est misé que sur Nimitz , donc en allouant à Nimitz les moyens donné à Mac Arthur je pense que le tempo aurait encore plus rapide tout en ayant moins de casses pour l'Army et l'USMC ,idem pour la Navy . Les japonais auraient pas eu le temps de préparer la défense des différentes îles sur l'axe offensif de Nimitz en étant sous pression . On aurait vu 2 opérations menées en même temps sur l'axe de Nimitz . Enfin voilà , les pertes humaines dans le Pacifique ont surtout était du à un choix de ce lancer dans 2 campagnes . 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 29 octobre 2016 Share Posté(e) le 29 octobre 2016 les différences peuvent'elles s'expliquer par les morts hors combat ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 29 octobre 2016 Auteur Share Posté(e) le 29 octobre 2016 il y a une heure, loki a dit : les différences peuvent'elles s'expliquer par les morts hors combat ? Oui s'est possible . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
cracou Posté(e) le 31 octobre 2016 Share Posté(e) le 31 octobre 2016 Pour avoir travaillé sur le sujet, en fait l'axe unique était intelligent et rationnel mais... peu efficace. On ne pouvait pas aller plus vite pour des raisons purement logistiques (il faut capturer une base et la développer avant d'aller plus loin). Les 2 axes ont provoqueé une merde noire chez les japonais qui ne savaient pas quoi renforcer alors que l'axe unique (auquel ils étaient préparéà était plus simple à ralentir. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 31 octobre 2016 Auteur Share Posté(e) le 31 octobre 2016 Il y a 12 heures, cracou a dit : Pour avoir travaillé sur le sujet, en fait l'axe unique était intelligent et rationnel mais... peu efficace. On ne pouvait pas aller plus vite pour des raisons purement logistiques (il faut capturer une base et la développer avant d'aller plus loin). Les 2 axes ont provoqueé une merde noire chez les japonais qui ne savaient pas quoi renforcer alors que l'axe unique (auquel ils étaient préparéà était plus simple à ralentir. Hum je ne suis pas certains que l'axe unique aurait était peu efficace . Tout simplement parce que rien n'aurait empêché de procéder à des opérations de diversion pour semer le doute , avec surtout pour les Philippines un soutien disons de raiders/ranger + du matos livré aux Philippins , idem pour les opérations aérienne de bombardement qui aurait surtout était la pour leurrer , et cela depuis des possessions prises sur l'axe principal . Pour les raisons purement logistique , hum je pense qu'en jouant sur plusieurs phases dans les attaques de facto on ne ce posait pas de problème sur ce point . Observons une chose , on ce lance sur 2 objectifs au début de la campagne (( tout en sachant qu'on pourrai sauter des objectifs qui resteront isolé et sans être une menace ) , de facto on prend de vitesse les nippons dans un premier temps , ceux-ci auraient pensé que tout ce jouerait sur un axe principale , mais s'est la qu'on joue sur les phases de leurres avec des actions aérienne / renforcement des moyens des résistances avec l'aide d'armement et munitions , rations etc ... et des d'éléments des rangers/raiders , renseignement depuis ces 2 premiers objectifs en direction de ceux de l'axe qui ne serait pas utilisé , celui de Mac Arthur . De facto on aurait semé le trouble ,laissant le doute aux japonais . Rien qu'avec cela , on pouvait passé aux 2 autres objectifs suivant . Bien évidemment , on s'arrangé pour faire mal à la marine japonaise qui restait le nerf et la ligne de vie pour les possessions japonaises . Si l'on observe cela , de facto il aurait était compliqué pour les japonais de pouvoir choisir ce qui urgé le plus question défense . De toute façon , il faut prendre en compte une chose l'effort japonais dans le Pacifique ne représente pas une grosse masse , vu que l'armée veut assuré sur la Chine , la Birmanie avec l'Inde à côté . De facto , il aurait était très compliqué pour les japonais de pouvoir renforcer aisément d'une manière importante des points sur l'axe principal , en sachant qu'on procédé à des actions de leurre sur l'autre axe . De plus n'oublions pas que les japonais ont pas mal subi les actions de la sous-marinade US ,et l'idée de renforcer aisément pas aussi évident . Enfin voilà mon point de vue . Il ne faut pas oublié une chose , Nimitz misé sur l'axe le plus court , le plus direct mais il avait pris en compte une chose , la vitesse d'exécution . Les deux axes offensif n'ont permis qu'une chose , durcir des objectifs pour Nimitz tout en voyant l'Army morfler dans sa zone d'action et sur les Philippines ... D'ailleurs , je trouve que lorsque les US débarquent aux Philippines , l'effet de doute sur qui ce rapproche du Japon en premier plus de mise ... vu que Mac Arthur sera toujours sur les Philippines à subir une défense acharnée des japonais . La différence notable ,s'est que même si Nimitz tombe sur des objectifs durcis , il avance . Alors que le fond n'était pas d'avoir 2 axes pour leurrer les japs , mais bien un axe principal ou l'effort et les moyens auraient pesé et éviter de la casse ,pendant qu'on ne jouer que sur des opérations de faibles intensité mais pesante et laissant le doute pour leurrer les japos . Enfin s'est ma vision des choses . 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 31 octobre 2016 Share Posté(e) le 31 octobre 2016 Je ne vais pas rentrer dans le détail, mais à ce qu'il me semble, la politique de l'axe d'attaque unique correspond davantage aux moyens limités d'un pays qui n'a pas les ressources d'une guerre longue et/ou sur plusieurs fronts, comme l'Allemagne. Les États-Unis avaient cette possibilité, cette chance unique, de pouvoir attaquer à plusieurs endroits différents en même temps et malgré tout, avec des moyens très importants à chaque offensive. Pourquoi s'en priver ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 1 novembre 2016 Auteur Share Posté(e) le 1 novembre 2016 Il y a 10 heures, Ciders a dit : Je ne vais pas rentrer dans le détail, mais à ce qu'il me semble, la politique de l'axe d'attaque unique correspond davantage aux moyens limités d'un pays qui n'a pas les ressources d'une guerre longue et/ou sur plusieurs fronts, comme l'Allemagne. Les États-Unis avaient cette possibilité, cette chance unique, de pouvoir attaquer à plusieurs endroits différents en même temps et malgré tout, avec des moyens très importants à chaque offensive. Pourquoi s'en priver ? On a deux type de guerres mené par les USA sur des continents différent ,et rien que cela s'est déjà une capacité énorme . Bien évidemment il y a un paquet de différence entre ces guerres , l'une est tournée vers la terre avec bien évidemment des opérations navales ,mais le but reste une phase ou le terrestre reste de mise . Et de l'autre une guerre qui voit un immense territoire couvert par l'Océan avec des objectifs à prendre . On oubli souvent une chose , les moyens amphibie ( barge de débarquement , navires pour l'assaut amphibie etc ...) ont souvent du faire des bascules entre l'Europe et le Pacifique , puis à l'inverse . Donc tout n'était pas aussi évident en terme de capacités dans les moyens même si bien évidemment ceux-ci resté écrasant ,néanmoins il fallait faire des choix dans le timing . Alors pourquoi ce priver de plusieurs offensives avec des moyens énormes sur plusieurs axe dans le pacifique ? Ben tout simplement parce qu'avec un seul axe on pouvait assuré plusieurs offensives avec des bonds ( 2 offensives sur 2 objectifs en même temps ) , tout en y gagnant dans le tempo , à moindres coup . On dit souvent le terrain commande , et cela ce vaut aussi sur les océans . En Europe , on a agit sur plusieurs zones , entre l'Italie , la France , l'Europe du Nord pour atteindre l'Allemagne , tout en voyant une guerre à l'Est avec l'URSS . Tout cela permettant de mettre une pression , en sachant que les allemands n'avaient pas ce problème ( enfin si mais le contexte différent ) de déplacer des forces , enfin en comparaison des japonais qui devaient passé par les voies maritimes . Donc dans une guerre concentrique comme en Europe sur terre ou l' on encercle en fait les allemands et une guerre ou l'océan et partout il y avait une différence d'approche , que n'a pas observé les USA en optant pour 2 axes offensif . Avec un théâtre d'opération du type Pacifique , il fallait pensé en marin , S'est à dire que contrairement à la guerre en Europe ou s'est la pensé de terrien qui domine naturellement . Pour faire tombé l'Allemagne qui était une puissance terrestre contrôlant un vaste territoire , de facto seul pouvait fonctionné un encerclement . Dans le Pacifique on pouvait s'affranchir de cela tout simplement parce que l'Océan était un gage de possibilité de manoeuvre vers l'avant tout en pouvant trompé et leurrer un ennemi japonais qui était dépendant de ce même océan comme lien vital entre le Japon et ces positions dans le vaste Pacifique . Oui les US ne ce sont pas privé de leur capacité à pouvoir mener plusieurs offensives sur 2 axes dans le Pacifique , mais cela leur a coûté du temps , du monde , de l'argent ( oui on oubli quand même que cela aussi à pesé au bout d'un moment ) et aussi pour les Philippines un coup énorme . On oubli souvent ce que fut la campagne des Philippines une fois Mac Arthur débarqué , et pour Manille ce fut terrible vu la résistance japonaise .D'ailleurs quand fut signé l'acte de reddition du Japon , les opérations aux Philippines étaient en train de ce terminer ,alors qu'en juin Okinawa tombé ... et cela malgré la défense terrifiante des japonais qui avaient eu le temps de préparer leur défense . Si on observe la carte , on voit nettement les capacités et le potentiel qu'aurait eu un un effort sur un seul axe (celui de Nimitz ) avec plusieurs offensives ( on frappe 2 objectifs en remontant , ou l'on mettait le paquet sur un ) sur ce même axe tout en opérant des opérations type leurre /soutien des résistances locale sur l'axe non utilisé ( celui prévu pour Mac Arthur ) . Il y a un paquet de choses qui me font dire que l'axe de Mac Arthur n'a pas permis d'assurer un réel poids face à un Japon qui de toute façon ne pouvait assurer une ligne de vie du fait de ces lacunes pour tenir ce vaste Océan , sans oublié les dissensions entre Marine et Armée nippone ... Si j'observe une chose , Mac Arthur a toujours eu un pb avec les australiens ... dès le début ... Alors qu'ils ont fait montre de capacité et d'adaptation , et vu leurs moyens on peut ce dire qu'ils ont fait un truc incroyable . Pour les Philippines il a limité la présence australienne ... Sauf que dans sa vision de terrien ( le choix d'un axe avec de gros objectifs à prendre , voir la taille des territoires à prendre ) , ce privé de l'apport australien dans la campagne des Philippines fut aussi une erreur qui coûtera du monde ... Alors on a envoyé les australiens sur Bornéo m'enfin bon ...https://en.wikipedia.org/wiki/Borneo_campaign_(1945) , https://en.wikipedia.org/wiki/Operation_Montclair . https://fr.wikipedia.org/wiki/Stratégie_du_saute-mouton Comme quoi ... les opérations menées sur l'axe de Mac Arthur me laisse perplexe ... Alors l'idée de ce lancé sur 2 axes parce que les USA en avaient les moyens est une chose , mais agir sur un seul axe n'aurait en rien enlevé du côté puissance déployée , au contraire , il aurait était mis plus en avant . Démontré sa puissance ne passe pas forcément par une masse de territoire pris ,surtout quand on subi une casse qui ne fait pas arrivé plus vite à l'objectif principal ,faire tombé le Japon . De facto , cela n'aurait pas gêné pour l'après guerre . 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
cracou Posté(e) le 1 novembre 2016 Share Posté(e) le 1 novembre 2016 Pas le temps de répondre mais: Citation On oubli souvent une chose , les moyens amphibie ( barge de débarquement , navires pour l'assaut amphibie etc ...) ont souvent du faire des bascules entre l'Europe et le Pacifique , puis à l'inverse . Totalement faux. C'est arrivé pour de grosses et très rares unités (LDT et plus gros) mais globalement c'était presque de l'usage unique, sauf pour une bascule unique fin 44 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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