Fenrir Posté(e) le 18 septembre 2016 Share Posté(e) le 18 septembre 2016 1er Février 109 (ou 2020 pour les oppresseurs Occidentaux) Vous êtes l'amiral Kim Tou Estpossible et la veille le grand leader vous a chargé de mettre en place la dissuasion nucléaire de la Corée. Vous devez faire en sorte que les 8 classe Sinpo puissent être une menace crédible face aux Etats Unis et de leur belliqueux mais fou président Donald Tlump. Ces bijoux de technologie nationale (fruit du génie sans limite du Juche) disposent chacun d'un missile KN 12 de 4000km de portée (ce missile est purement fictif à l'heure ou j'écris). Vous avez toutes latitude pour mettre en place/construire les infrastructures nécessaire. Les moyens ASM: 2 Najin construite en 62 (soit 1973). Bon courage et je vous rappel que votre famille reste à disposition du parti... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 18 septembre 2016 Share Posté(e) le 18 septembre 2016 (modifié) Combien de temps avant une traitresse attaque des contre-révolutionnaires occidentaux, camarade ? Si nous devons mobiliser les chantiers navals populaires et entraîner les ouvriers et paysans à la contre-insurrection, il nous faudra quelque délai. Fort peu, mais tout de même. Ne serait-ce que pour extirper de nos rangs les quelques agents capitalistes qui s'y seraient cachés. EDIT : nous sommes en 106. Trois années donc ? Modifié le 18 septembre 2016 par Ciders 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fenrir Posté(e) le 18 septembre 2016 Auteur Share Posté(e) le 18 septembre 2016 J'avais trouvé 105 pour 2016 sur le Wiki anglais. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 18 septembre 2016 Share Posté(e) le 18 septembre 2016 Bah. De toute façon, nous vaincrons. Quel délai donc camarade ? On commence le scénario maintenant jusqu'en février 2020 ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fenrir Posté(e) le 18 septembre 2016 Auteur Share Posté(e) le 18 septembre 2016 Non début Février 2020. Nous avons les SLE et devons mettre en place les moyens nécessaire pour leur succès. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARPA Posté(e) le 19 septembre 2016 Share Posté(e) le 19 septembre 2016 Le 18/09/2016 à 15:23, Fenrir a dit : Bon courage et je vous rappel que votre famille reste à disposition du parti... Je crois que ça va être dur. Avec des SLE doté d'un rayon d'action de moins de 3 000 km et des missiles de 4 000 km de portée pour menacer un pays dont les principales villes se trouvent à plus de 8 000 km, ça va être dur d'être crédible. Il faudra développer des (au moins 2 pour en avoir toujours un en mer) navires ravitailleurs qui permettront d'augmenter la zone de patrouille des SLE. Pour avoir un SLE en position de tir, il faudra qu'il ait quitté son ravitailleur depuis plusieurs jours. Pour être crédible malgré une infériorité technologique (face aux SNA américains donc en ayant le risque de se faire couler un SLE), il serait bien d'en avoir deux en position de tir. Pour avoir 2 SLE en position de tir, il faudra quasiment en avoir en permanence 3 en "patrouille nucléaire" (donc après avoir fait le plein sur le ravitailleur et avant d'être revenu) On va aussi avoir des navires en transit de leur port d'attache vers le ravitailleur ou du ravitailleur vers le port d'attache. Les autres SLE seront en maintenance pour les préparer pour leur longue croisière. Pour que cette stratégie soit possible, on va avoir besoin d'avoir des SLE assez fiables, capable d'effectuer plusieurs missions d'affilés (un transit, une à plusieurs patrouilles puis un transit avec entre chaque mission une "escale" avec un ravitaillement en mer et éventuellement un changement d'équipage avec le bateau mer) L'idéal sera d'avoir des temps de transit bien plus court que le temps passé en patrouille. Si on compte 2 semaines de transit (presque 3000 km à 10 km/h) pour des patrouilles de 6 semaines et qu'on compte une patrouille par "mission" (avec les 2 transits, ça fait quand même 10 semaines de mer sans entretien) ça veut dire qu'on a besoin d'assurer 26 missions (donc 260 semaines de mer) par ans et on va avoir besoin d'avoir en permanence 5 SLE en mer (donc une disponibilité exemplaire). Si on arrive à assurer 2 patrouilles par missions (donc 16 semaines de mer, ça commence à devenir sérieux, surtout qu'on va passer à 22 semaines dès qu'il y a un incident et qu'on demande à un SLE de faire une troisième patrouille) on peut se permettre de n'avoir plus que 4 SLE en mer (ce qui devient un objectif crédible). La grande vulnérabilité de cette stratégie sera d'arriver à "sécuriser" la zone de transit puis les zones autour des navires ravitailleurs. Les 2 navires ASM auront beaucoup de travail et il faudra aussi demander à la flotte conventionnelle et au reste de l'armée (l'aviation en particulier) de protéger nos navire ravitailleurs. Pour être crédible, il faudra aussi assurer une disponibilité remarquable, il faudra disposer en permanence d'un navire ravitailleur au large. Nos SLE devront aussi avoir une disponibilité supérieure à 50%. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
christophe 38 Posté(e) le 20 septembre 2016 Share Posté(e) le 20 septembre 2016 oui, mais :-) Moi, si j'étais l'adversaire du Juche, j'aurais mis un reseau de bouées autour du port où sont les soum', voire un SNA qui tourne dans le coin pour pister la sortie des soum' du Juche. Enfin, leur technologie "primaire" ne les mets pas à l'abri d'un accident en haute mer, un accident de diametre 554 mm, en gros, la taille d'une rafale de torpilles, en cas, justement d'un cap vers le pays à attaquer Révélation Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARPA Posté(e) le 20 septembre 2016 Share Posté(e) le 20 septembre 2016 L'autre gros problème d'une flotte de SLE (ou SNLE), c'est qu'on ne reçoit pas en permanence l'état du SLE. En cas perte, on risque de devoir attendre plusieurs heures/jours/semaines pour s'en rendre compte. Cela laisse donc un peu de temps à la flotte adverse pour détruire tous nos SLE. Une des solutions serait peut-être d'admettre que nos SLE coréens ne sont pas furtif et sont donc vulnérables. Comme nos SLE vont devoir "très" souvent se mettre en immersion périscopique (ils ne sont pas nucléaires) on peut en profiter pour avoir une liaison presque permanente (via un téléphone satellite ou autre) ce qui permet de confirmer que nos SLE sont bien opérationnels et qu'ils ne se font pas attaquer par les lâches capitalistes. Cette liaison aura le défaut de rendre nos SLE encore plus facilement détectable (et en cas de panne de téléphone, on risque de s'inquiéter un peu trop) Bon, on risque d'avoir quasiment en permanence des SNA américains qui "escorteront" nos SLE et un beau jour, on risque de voir les 4 ou 5 SNA américains effectuer une attaque coordonnée pour détruire nos 8 SLE. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 20 septembre 2016 Share Posté(e) le 20 septembre 2016 En l'état actuel des choses, je ne suis pas certain que les Nord-Coréens disposent des technologies, des effectifs et de la doctrine pour gérer des navires à long rayon d'action, et encore moins avec des ravitaillements en mer. Ils ont pensé leur flotte comme un instrument de défense du littoral et des eaux côtières, pas comme une flotte hauturière. Ils disposent d'ailleurs d'un nombre extrêmement limité de "grosses unités" (quand je dis "grosses", c'est au dessus de 2 000 t de tonnage). En revanche, ils ont un nombre très important de petites unités qui paraissent armées à la diable (ça va de la mitrailleuse calibre 14,5 mm au missile anti-navire, en passant par les roquettes de 122 mm et les torpilles) mais qui forment une masse non négligeable... et un piège à missiles (tirer un Harpoon sur une vedette semie-submersible avec deux torpilles légères ?). Sachant en plus que tout mouvement suspect d'une grosse unité nord-coréenne sera rapidement repéré, comme l'envisage Christophe. Personnellement, et je développerai plus tard, je miserai davantage sur une défense très rapprochée et limitée dans le temps, histoire de tirer les missiles et de faire le maximum de dégâts possibles en un minimum de temps. Parce que je ne pense pas qu'un SNLE nord-coréen tiendrait assez longtemps pour revenir se ravitailler au port après un premier tir. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
christophe 38 Posté(e) le 20 septembre 2016 Share Posté(e) le 20 septembre 2016 (modifié) Il y a 2 heures, ARPA a dit : L'autre gros problème d'une flotte de SLE (ou SNLE), c'est qu'on ne reçoit pas en permanence l'état du SLE. En cas perte, on risque de devoir attendre plusieurs heures/jours/semaines pour s'en rendre compte. Cela laisse donc un peu de temps à la flotte adverse pour détruire tous nos SLE. Une des solutions serait peut-être d'admettre que nos SLE coréens ne sont pas furtif et sont donc vulnérables. Comme nos SLE vont devoir "très" souvent se mettre en immersion périscopique (ils ne sont pas nucléaires) on peut en profiter pour avoir une liaison presque permanente (via un téléphone satellite ou autre) ce qui permet de confirmer que nos SLE sont bien opérationnels et qu'ils ne se font pas attaquer par les lâches capitalistes. Cette liaison aura le défaut de rendre nos SLE encore plus facilement détectable (et en cas de panne de téléphone, on risque de s'inquiéter un peu trop) Bon, on risque d'avoir quasiment en permanence des SNA américains qui "escorteront" nos SLE et un beau jour, on risque de voir les 4 ou 5 SNA américains effectuer une attaque coordonnée pour détruire nos 8 SLE. quand on pense que les sales capitalistes ont des SNA qui suivent les sous marins russes et qui ont pour consignes de les couler en cas d'ouverture des panneaux de lancement... c'est une mission sans retour, adorable Juche. Prenez soin de nos familles (petit point de vue d'en face) : avec des menaces réitérées de la Corée du Nord sur les USA, par exemple, et compte tenu de leur capacité de nuisance et de leur zone de nuisance, les USA doivent les surveiller (au moins par satellites, voire avec des écoutes SOSUS). Les voir appareiller avec des missiles (vus par satellites), voir les volume des communications changer (ou les codes), suivre les soum' et les voir prendre un cap en direction des USA, les voir sortir de leur zone habituelle aura allumé pas mal de clignotants chez les Ricains... de là à ce que leurs sous marins mals entretenus, peu fiables coulent... (un peu aidé avec une torpille ou deux) serait un scenario qui éviterait un départ de missile vers le territoire tazunien... Tant que l'autre clown gueule à distance et ne fait pas grand chose d'autre, sous le controle des chinois (quand meme), ils laissent faire... s'ils se sentent menacés, je pense que ce sera autre chose Modifié le 20 septembre 2016 par christophe 38 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 22 septembre 2016 Share Posté(e) le 22 septembre 2016 Le 19/09/2016 à 22:08, ARPA a dit : Je crois que ça va être dur. Avec des SLE doté d'un rayon d'action de moins de 3 000 km et des missiles de 4 000 km de portée pour menacer un pays dont les principales villes se trouvent à plus de 8 000 km, ça va être dur d'être crédible. Il faudra développer des (au moins 2 pour en avoir toujours un en mer) navires ravitailleurs qui permettront d'augmenter la zone de patrouille des SLE. Pour avoir un SLE en position de tir, il faudra qu'il ait quitté son ravitailleur depuis plusieurs jours. Pour être crédible malgré une infériorité technologique (face aux SNA américains donc en ayant le risque de se faire couler un SLE), il serait bien d'en avoir deux en position de tir. Pour avoir 2 SLE en position de tir, il faudra quasiment en avoir en permanence 3 en "patrouille nucléaire" (donc après avoir fait le plein sur le ravitailleur et avant d'être revenu) On va aussi avoir des navires en transit de leur port d'attache vers le ravitailleur ou du ravitailleur vers le port d'attache. Les autres SLE seront en maintenance pour les préparer pour leur longue croisière. Pour que cette stratégie soit possible, on va avoir besoin d'avoir des SLE assez fiables, capable d'effectuer plusieurs missions d'affilés (un transit, une à plusieurs patrouilles puis un transit avec entre chaque mission une "escale" avec un ravitaillement en mer et éventuellement un changement d'équipage avec le bateau mer) L'idéal sera d'avoir des temps de transit bien plus court que le temps passé en patrouille. Si on compte 2 semaines de transit (presque 3000 km à 10 km/h) pour des patrouilles de 6 semaines et qu'on compte une patrouille par "mission" (avec les 2 transits, ça fait quand même 10 semaines de mer sans entretien) ça veut dire qu'on a besoin d'assurer 26 missions (donc 260 semaines de mer) par ans et on va avoir besoin d'avoir en permanence 5 SLE en mer (donc une disponibilité exemplaire). Si on arrive à assurer 2 patrouilles par missions (donc 16 semaines de mer, ça commence à devenir sérieux, surtout qu'on va passer à 22 semaines dès qu'il y a un incident et qu'on demande à un SLE de faire une troisième patrouille) on peut se permettre de n'avoir plus que 4 SLE en mer (ce qui devient un objectif crédible). La grande vulnérabilité de cette stratégie sera d'arriver à "sécuriser" la zone de transit puis les zones autour des navires ravitailleurs. Les 2 navires ASM auront beaucoup de travail et il faudra aussi demander à la flotte conventionnelle et au reste de l'armée (l'aviation en particulier) de protéger nos navire ravitailleurs. Pour être crédible, il faudra aussi assurer une disponibilité remarquable, il faudra disposer en permanence d'un navire ravitailleur au large. Nos SLE devront aussi avoir une disponibilité supérieure à 50%. Bonne analyse mais il y'a un moyen de circonvenir les problèmes de "courtes pattes". C'est menacer Hawaii (en priorité) ou l'Alaska qui eux sont à portée (même si c'est en extrême limite). En terme de dissuasion du faible au fort, cela peut suffire surtout si tu menaces aussi les bases US régionales (ainsi que les centres urbains très peuplés japonais et sud coréens) par des missiles basés à terre. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 22 septembre 2016 Share Posté(e) le 22 septembre 2016 (modifié) Le 19/09/2016 à 22:08, ARPA a dit : Je crois que ça va être dur. Avec des SLE doté d'un rayon d'action de moins de 3 000 km et des missiles de 4 000 km de portée pour menacer un pays dont les principales villes se trouvent à plus de 8 000 km, ça va être dur d'être crédible. Kamarad Amiral, même si ma famille est à disposition du parti et du pays, puis je faire une remarque ? Bien que votre raisonnement soit sans faille, pourquoi ne pas adopter la doctrine française lors des premières définitions de la dissuasion stratégique ? Si nous devons un jour nous défendre avec nos SLE contre nos ennemis, c'est que la situation militaire de notre bien aimé pays va mal, très mal même. Alors pourquoi penser au retour ? Dans mon esprit, la zone de patrouille n'a pas besoin d'être si éloignée que cela de nos (vaillantes) bases. Elle sert juste à nous assurer que nos moyens de seconde frappe (car nous n'attaquerons jamais les premiers) sont bien cachés. Partons sur une zone de patrouille à 1000 km de nos cotes. En cas de besoin il reste donc 5000 km d'autonomie à nos SLE pour se rapprocher au plus près des positions adverses et lancer leurs missiles (4000 km de portée). Nous pouvons donc frapper toute cible se trouvant à 6000+4000 km soit 10000 km. Washington DC qui est à seulement 9639.11 km de nos cotes, la cote Ouest (ses centres de population recherche et production sont rayés) en feu... Les Etats Unis ne s'en relèveront pas ! Nos glorieux soldats, ayant vengé notre belle patrie, abandonneront ensuite leur navire après l'avoir sabordé (afin que notre invincible technologie, fruit du génie sans limite du Juche, ne tombe pas entre de mauvaises mains). Modifié le 22 septembre 2016 par rendbo Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 24 septembre 2016 Share Posté(e) le 24 septembre 2016 Il faudrait mettre une carte des mers bordant la péninsule coréenne pour se faire une idée. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 24 septembre 2016 Share Posté(e) le 24 septembre 2016 Il y a de sacrées cartes en accès libre sur le site de l'université du Texas : https://www.lib.utexas.edu/maps/korea.html Tu peux notamment visualiser des cartes topo de l'US Army, des plans de villes du début du siècle ou encore trouver des liens menant à des cartes parues dans la presse. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 1 octobre 2016 Share Posté(e) le 1 octobre 2016 Petites infos complémentaires pour vous aider dans ce scénario : http://38north.org/2016/09/sinpo093016/ 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 5 novembre 2017 Share Posté(e) le 5 novembre 2017 On 9/22/2016 at 1:05 PM, rendbo said: Kamarad Amiral, même si ma famille est à disposition du parti et du pays, puis je faire une remarque ? Bien que votre raisonnement soit sans faille, pourquoi ne pas adopter la doctrine française lors des premières définitions de la dissuasion stratégique ? Si nous devons un jour nous défendre avec nos SLE contre nos ennemis, c'est que la situation militaire de notre bien aimé pays va mal, très mal même. Alors pourquoi penser au retour ? Dans mon esprit, la zone de patrouille n'a pas besoin d'être si éloignée que cela de nos (vaillantes) bases. Elle sert juste à nous assurer que nos moyens de seconde frappe (car nous n'attaquerons jamais les premiers) sont bien cachés. Partons sur une zone de patrouille à 1000 km de nos cotes. En cas de besoin il reste donc 5000 km d'autonomie à nos SLE pour se rapprocher au plus près des positions adverses et lancer leurs missiles (4000 km de portée). Nous pouvons donc frapper toute cible se trouvant à 6000+4000 km soit 10000 km. Washington DC qui est à seulement 9639.11 km de nos cotes, la cote Ouest (ses centres de population recherche et production sont rayés) en feu... Les Etats Unis ne s'en relèveront pas ! Nos glorieux soldats, ayant vengé notre belle patrie, abandonneront ensuite leur navire après l'avoir sabordé (afin que notre invincible technologie, fruit du génie sans limite du Juche, ne tombe pas entre de mauvaises mains). Kamarad ... si les impérialistes, que leurs mensonges les étouffent, sont équipés de missiles pouvant intercepter les balistique régionaux ... le plan devrait être adapté. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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