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ZEE française La France d'Outre-mer et son voisinage


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Société de Plantation, histoire et mémoires de l'esclavage à La Réunion

Musée historique de Villèle, Saint Paul  :

https://www.portail-esclavage-reunion.fr/documentaires/abolition-de-l-esclavage/l-abolition-de-l-esclavage-a-la-reunion/la-premiere-abolition-de-lesclavage-par-la-france-et-sa-non-application-a-la-reunion/

La première abolition de l’esclavage par la France et sa non-application à La Réunion

Durant toutes ces années 1796-1801 La Réunion a non seulement approuvé les mesures prises par l’île voisine contre la menace abolitionniste mais même souvent surenchéri sur elles. Au point d’envisager, fin 1799 – début 1800, une déclaration unilatérale d’indépendance, au moins temporaire jusqu’au rétablissement de la monarchie en France, écartée par l’Assemblée coloniale après force débats, puis un rattachement à l’Angleterre.

La crise se termine lorsque Bonaparte, sans doute influencé, comme il l’a affirmé plus tard, par « les criailleries du parti colon » mais surtout mû par des choix personnels foncièrement racistes, décide le rétablissement de l’esclavage par la loi du 30 floréal an X (20 mai 1802).

https://www.portail-esclavage-reunion.fr/documentaires/abolition-de-l-esclavage/l-abolition-de-l-esclavage-a-la-reunion/20-decembre-1848-labolition-de-lesclavage-a-la-reunion/#

20 décembre 1848 : l’abolition de l’esclavage à la Réunion

Une voie spécifique vers la « Liberté générale » ?

Les îles françaises de l’océan Indien ont connu une voie vers la Liberté générale sensiblement différente de celle suivie par les colonies américaines : la Guadeloupe, Saint-Domingue et la Guyane ont connu de 1793-1794 à 1802 l’histoire tourmentée de l’abolition révolutionnaire de l’esclavage, imposée d’abord par l’insurrection victorieuse des esclaves de Saint-Domingue commencée fin août 1791.

La Martinique n’a certes pas connu cette première abolition, mais ce fut l’occupation anglaise de l’île qui y empêcha l’application de la « loi française ». Cette première abolition de l’esclavage a été annulée en 1802 par le rétablissement imposé par Bonaparte par une violente guerre de reconquête en Guadeloupe ; mais l’échec a été total à Saint-Domingue, la colonie ayant proclamé son indépendance le 1er janvier 1804, après la capitulation des troupes françaises à Vertières le 18 novembre 1803.

Dans l’océan Indien il en fut tout autrement : la première abolition de l’esclavage, votée par la convention nationale le 16 pluviôse an II (4 février 1794), ne fut pas appliquée et l’esclavage y fut maintenu dans son intégralité pendant la période révolutionnaire.

Entre le début du 19e siècle et l’abolition française de 1848, le monde colonial de l’océan Indien a connu deux mutations majeures qui ont profondément marqué les pratiques esclavagistes.

D’abord ce fut l’interdiction de la traite négrière : d’abord imposée par l’Angleterre en 1807, puis étendue à toutes les puissances présentes par un Acte additionnel au Congrès de Vienne en 1815 : la Réunion, désormais seule colonie française de la région, ne pouvait ignorer cette nouvelle donne. L’importation de nouveaux esclaves ne pouvait être que « clandestine », et illégale au regard du droit international, même si elle a pu longtemps se poursuivre.

Ensuite, seconde mutation majeure, l’Angleterre prononça l’abolition de l’esclavage dans ses colonies en 1833. L’océan Indien colonial d’alors étant entièrement britannique, la Réunion restait ainsi seule terre esclavagiste dans la zone.

Ces deux données ne doivent être perdues de vue pour expliquer le processus « pacifique » de 1848. Certes les colons français de la Réunion restaient fortement attachés à la pratique de l’esclavage qu’ils considéraient comme impérieusement nécessaire au travail sur leurs plantations, mais conscients du contexte local et international, pouvaient ils, comme entre 1794 et 1802, faire obstacle à une loi d’abolition votée à Paris ? De leur côté, les esclaves n’étaient pas dans une dynamique pré-insurrectionnelle. En Martinique l’abolition a été anticipée face à une révolte d’esclaves survenue au Carbet : le décret du 27 avril était certes connu dans l’île, mais toute attente du délai de deux mois prescrit par le gouvernement risquait de précipiter l’insurrection générale tant redoutée. L’abolition effective dès le 22 mai 1848 a pu ainsi être interprétée comme une abolition imposée par la révolte et non comme une « liberté octroyée » depuis Paris.

A la Réunion le processus de « sortie » de l’esclavage est, à l’opposé, resté dans le cadre prévu par le Gouvernement provisoire.

https://www.portail-esclavage-reunion.fr/documentaires/la-traite-des-esclaves/la-traite-dans-locean-indien/la-traite-dans-locean-indien-occidental-durant-la-seconde-moitie-du-xixe-siecle/

Concernant la France, en dépit de l’abolition de la traite (1817) puis de l’esclavage (1848), un trafic illégal continua d’approvisionner en esclaves et en « travailleurs engagés » les plantations coloniales françaises de l’océan Indien comme l’illustre le cas du Djamila. Ce trafic donna naissance à une traite d’une nouvelle forme entre l’Afrique de l’Est, les Comores, Madagascar et La Réunion. Au cours de la seconde moitié du XIXe environ 50 000 « engagés » furent ainsi « recrutés » par les planteurs de ces îles19.

les-grands-axes-de-la-traite-en-afrique-

Les grands axes de la traite en Afrique orientale au XIXème siècle. Alexandre Nicolas, cartographe.
In Intervention d’humanité : la répression de la traite à Zanzibar, Raphaël Cheriau, CNRS éditions, 2023, p. 16

https://www.portail-esclavage-reunion.fr/documentaires/abolition-de-l-esclavage/apres-l-abolition/les-consequences-economiques-de-labolition-de-lesclavage-a-bourbon/

La restructuration de l’économie de plantation, de l’esclavagisme au salariat contraint

Mais après l’Abolition, il devint indispensable de rouvrir les vannes de l’immigration. Une législation fut conçue pour organiser les recrutements, le transport des engagés, leur débarquement à La Réunion, leur répartition entre les planteurs… Ces engagés étaient des salariés qui volontairement avaient signé des contrats de travail qui les liaient durablement (5 ans) à leur employeur. Une partie de leur salaire était versée en nature et l’autre en monnaie.

Valable durant plusieurs années consécutives, ce contrat ne peut pas être dénoncé à tout moment : c’est pourquoi il s’agit d’un salariat “contraint” et non d’un salariat libre.

Au début, les convois d’immigrants étaient formés presque exclusivement d’hommes jeunes et robustes, puis l’administration imposa un petit pourcentage de femmes. En 1860, celles-ci formaient 20 % des engagés présents dans l’île. Globalement, entre 1849 et 1881, près de 150 000 travailleurs furent drainés vers La Réunion en provenance surtout d’Inde, mais aussi d’Afrique et de Madagascar. En 1881, ils étaient au nombre de 46 450 dont 20 % d’Africains, 65,9 % d’Indiens, 13,7 % de Malgaches et 0,4 % de Chinois.

Avec l’engagisme tout est changé : les engagés perçoivent un salaire qui vient augmenter la demande solvable sur le marché intérieur. Certes, il n’était pas très étendu car en 1859 La Réunion ne comptait encore que 65 000 engagés. Mais cette taille était suffisante pour attirer dans l’île de nouveaux immigrants venant du Goujarat (Inde) et de Chine.

C’est à la charnière des années 1850-1860 qu’ils commencèrent à arriver. Il ne s’agissait pas d’engagés recrutés par les planteurs mais de personnes qui venaient de leur plein gré s’installer à La Réunion pour faire du commerce. Les engagés constituaient l’essentiel de leur clientèle. Les commerçants chinois proposaient surtout des produits alimentaires tandis que les commerçants indiens étaient spécialisés dans les tissus et les articles de quincaillerie.

Tandis que la richesse s’accumulait à un pôle de la société, à l’autre pôle les engagés et les affranchis non intégrés dans l’économie de plantation vivaient dans la misère.

Modifié par Wallaby
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Les pieds dans le plat OU la triste réalité inavouable mais avouée !   Zarbi !!

https://www.opex360.com/2024/11/04/general-burkhard-larmee-francaise-nest-pas-taillee-pour-aller-faire-la-guerre-dans-la-zone-indopacifique/

"« Une Nouvelle-Calédonie acquise à la Chine deviendrait la clé de voûte de la stratégie d’anti-encerclement chinoise, tout en isoldant l’Australie puisqu’en plus de Nouméa, Pékin pourra s’appuyer sur Port Moresby, Honiara, Port-Vila et Suva », avait avancé l’IRSEM. D’où l’intérêt que porte Pékin aux mouvements indépendantistes néo-calédoniens.

« La Chine fonctionne en noyautant l’économie, en se rapprochant des responsables tribaux et politiques parce que c’est la méthode la plus efficace et la moins visible. Sa stratégie est parfaitement rodée et elle a fonctionné ailleurs dans le Pacifique », avait souligné le rapport.

Pour autant, faut-il redouter un coup de force militaire contre le « Caillou » ? Le chef d’état-major des armées [CEMA], le général Thierry Burkhard, n’y croit pas. D’ailleurs, même si cela devait arriver, la France n’aurait pas les moyens de s’y opposer…

« Bien sûr, nous devons assurer la souveraineté de nos territoires d’outre-mer, mais soyons clairs : la France n’a pas l’ambition d’aller faire la guerre dans la zone indo-pacifique ! », a en effet affirmé le CEMA, lors d’une audition à l’Assemblée nationale, le 25 septembre dernier [le compte-rendu vient d’être publié, ndlr].

« Ce qui menace la Nouvelle-Calédonie n’est pas une invasion par la Chine. [Si] celle-ci cherche probablement à y étendre son influence, l’armée française n’est pas taillée pour aller faire la guerre à 17 000 kilomètres d’ici. La menace qui s’exerce sur notre souveraineté en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie française aujourd’hui n’est pas stricto sensu une menace militaire qui nécessite des installations et un outil de combat », a conclu le général Burkhard.

En attendant, la situation en Nouvelle-Calédonie, en proie à de vives tensions d’une ampleur inédite depuis les années 1980, inquiète l’Australie ainsi que, dans une moindre mesure, la Nouvelle-Zélande et les États-Unis."

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Il y a 16 heures, Bechar06 a dit :

Les pieds dans le plat OU la triste réalité inavouable mais avouée !   Zarbi !!

https://www.opex360.com/2024/11/04/general-burkhard-larmee-francaise-nest-pas-taillee-pour-aller-faire-la-guerre-dans-la-zone-indopacifique/

"« Une Nouvelle-Calédonie acquise à la Chine deviendrait la clé de voûte de la stratégie d’anti-encerclement chinoise, tout en isoldant l’Australie puisqu’en plus de Nouméa, Pékin pourra s’appuyer sur Port Moresby, Honiara, Port-Vila et Suva », avait avancé l’IRSEM. D’où l’intérêt que porte Pékin aux mouvements indépendantistes néo-calédoniens.

« La Chine fonctionne en noyautant l’économie, en se rapprochant des responsables tribaux et politiques parce que c’est la méthode la plus efficace et la moins visible. Sa stratégie est parfaitement rodée et elle a fonctionné ailleurs dans le Pacifique », avait souligné le rapport.

Pour autant, faut-il redouter un coup de force militaire contre le « Caillou » ? Le chef d’état-major des armées [CEMA], le général Thierry Burkhard, n’y croit pas. D’ailleurs, même si cela devait arriver, la France n’aurait pas les moyens de s’y opposer…

« Bien sûr, nous devons assurer la souveraineté de nos territoires d’outre-mer, mais soyons clairs : la France n’a pas l’ambition d’aller faire la guerre dans la zone indo-pacifique ! », a en effet affirmé le CEMA, lors d’une audition à l’Assemblée nationale, le 25 septembre dernier [le compte-rendu vient d’être publié, ndlr].

« Ce qui menace la Nouvelle-Calédonie n’est pas une invasion par la Chine. [Si] celle-ci cherche probablement à y étendre son influence, l’armée française n’est pas taillée pour aller faire la guerre à 17 000 kilomètres d’ici. La menace qui s’exerce sur notre souveraineté en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie française aujourd’hui n’est pas stricto sensu une menace militaire qui nécessite des installations et un outil de combat », a conclu le général Burkhard.

En attendant, la situation en Nouvelle-Calédonie, en proie à de vives tensions d’une ampleur inédite depuis les années 1980, inquiète l’Australie ainsi que, dans une moindre mesure, la Nouvelle-Zélande et les États-Unis."

Dans ce contexte j'ai beaucoup de mal à comprendre pourquoi on a pas choisi d'armer à nouveau et immédiatement Taïwan avec tout ce qu'on puisse imaginer de trucs et de machins divers et variés.

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il y a 21 minutes, Patrick a dit :

Dans ce contexte j'ai beaucoup de mal à comprendre pourquoi on a pas choisi d'armer à nouveau et immédiatement Taïwan avec tout ce qu'on puisse imaginer de trucs et de machins divers et variés.

Tu comprends la notion de conditionnel ou d' éventualité ? De scénario ? 

Ou vois tu que la Chine fait quelque chose ? 

Ton patriotisme exacerbé brouille tes réflexions ....

Modifié par clem200
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Il y a 7 heures, clem200 a dit :

Ton patriotisme exacerbé brouille tes réflexions ....

Le mien aussi alors ?  Ce qui se fomente en NC m'interroge, et je me dis "à qui cela pourrait il profiter ?"   en dehors des autochtones Kanks  

Modifié par Bechar06
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il y a 13 minutes, Bechar06 a dit :

Le miens aussi alors ?  Ce qui se fomente en NC m'interroge, et je me dis "à qui cela pourrait il profiter ?"   en dehors des autochtones Kanaks  

Même pas sûr qu'ils en profitent quand on voit comme certains pays d'Afrique sont dans la merde avec les prêts chinois, et comment, d'après certains reportages, l'implantation d'usine n'a pas forcément profité à la population car il y a eu aussi souvent implantation de base vie pour les travailleurs chinois....

Modifié par rendbo
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il y a 11 minutes, rendbo a dit :

Même pas sûr qu'ils en profitent quand on voit comme certains pays d'Afrique sont dans la merde avec les prêts chinois

C'est sûr, mais on voit tout cela de l'extérieur .. Quand on voit des pays africains qui se jettent dans le bras des chinois, mais aussi des russes de wagner ... Moins que sûr que la -mauvaise - expérience des uns profite aux autres   

Donc => Oui pour aller aider Taïwan, raf des chinois continentaux !! 

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On 11/4/2024 at 5:17 PM, Bechar06 said:

Les pieds dans le plat OU la triste réalité inavouable mais avouée !   Zarbi !!

https://www.opex360.com/2024/11/04/general-burkhard-larmee-francaise-nest-pas-taillee-pour-aller-faire-la-guerre-dans-la-zone-indopacifique/

"« Une Nouvelle-Calédonie acquise à la Chine deviendrait la clé de voûte de la stratégie d’anti-encerclement chinoise, tout en isoldant l’Australie puisqu’en plus de Nouméa, Pékin pourra s’appuyer sur Port Moresby, Honiara, Port-Vila et Suva », avait avancé l’IRSEM. D’où l’intérêt que porte Pékin aux mouvements indépendantistes néo-calédoniens.

« La Chine fonctionne en noyautant l’économie, en se rapprochant des responsables tribaux et politiques parce que c’est la méthode la plus efficace et la moins visible. Sa stratégie est parfaitement rodée et elle a fonctionné ailleurs dans le Pacifique », avait souligné le rapport.

Pour autant, faut-il redouter un coup de force militaire contre le « Caillou » ? Le chef d’état-major des armées [CEMA], le général Thierry Burkhard, n’y croit pas. D’ailleurs, même si cela devait arriver, la France n’aurait pas les moyens de s’y opposer…

« Bien sûr, nous devons assurer la souveraineté de nos territoires d’outre-mer, mais soyons clairs : la France n’a pas l’ambition d’aller faire la guerre dans la zone indo-pacifique ! », a en effet affirmé le CEMA, lors d’une audition à l’Assemblée nationale, le 25 septembre dernier [le compte-rendu vient d’être publié, ndlr].

« Ce qui menace la Nouvelle-Calédonie n’est pas une invasion par la Chine. [Si] celle-ci cherche probablement à y étendre son influence, l’armée française n’est pas taillée pour aller faire la guerre à 17 000 kilomètres d’ici. La menace qui s’exerce sur notre souveraineté en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie française aujourd’hui n’est pas stricto sensu une menace militaire qui nécessite des installations et un outil de combat », a conclu le général Burkhard.

En attendant, la situation en Nouvelle-Calédonie, en proie à de vives tensions d’une ampleur inédite depuis les années 1980, inquiète l’Australie ainsi que, dans une moindre mesure, la Nouvelle-Zélande et les États-Unis."

Il l'avait déjà dit lors d'une conférence à l'X, immédiatement tweeté par une étudiante... Chinoise.

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Il y a 16 heures, rendbo a dit :

Même pas sûr qu'ils en profitent quand on voit comme certains pays d'Afrique sont dans la merde avec les prêts chinois, et comment, d'après certains reportages, l'implantation d'usine n'a pas forcément profité à la population car il y a eu aussi souvent implantation de base vie pour les travailleurs chinois....

Mais ça, les locaux ne veulent pas le voir...

La génération d'après s'en rendra compte en comparant...

 

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Il y a 8 heures, Patrick a dit :

Dans ce contexte j'ai beaucoup de mal à comprendre pourquoi on a pas choisi d'armer à nouveau et immédiatement Taïwan avec tout ce qu'on puisse imaginer de trucs et de machins divers et variés.

Pour vendre qq chose, il faut un client convaincu ( surtout vaincu mais pas trop........quand même pour le retex et le combat proven ça fait tache, s'il est con ça se discute pour un one shot ).

Pour les dons ( et pas les ventes ) opérés par Bercy,  j'ose espérer que l'armée FR passe en priorité.

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il y a une heure, Bechar06 a dit :

Le mien aussi alors ?  Ce qui se fomente en NC m'interroge, et je me dis "à qui cela pourrait il profiter ?"   en dehors des autochtones Kanks  

Se poser des questions n'est pas vraiment la même chose que Patrick qui est presque en train d'attaquer la Chine le couteau dans la bouche et le drapeau Français dans l... quelque part

Passé les pitreries de notre Patoche réactionnaire, tu te doutes bien que nous sommes pas les seuls à se poser des questions, et que c'est donc très surveillé

Modifié par clem200
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Il y a 7 heures, Bechar06 a dit :

Le mien aussi alors ?  Ce qui se fomente en NC m'interroge, et je me dis "à qui cela pourrait il profiter ?"   en dehors des autochtones Kanks  

A tout le monde ou presque ... taper sur les restes d'empire des petits pays est devenu la norme. Et tout le monde pensera y trouver son compte, les uns en affaiblissant la France, les autres en se drapant dans l'anticolonialisme, les troisièmes en espérant faire des affaire en NC etc.

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Il y a 19 heures, clem200 a dit :

Ou vois tu que la Chine fait quelque chose ?

La base est déjà là, en moins de 15 ans les exportations vers la Chine depuis la NC sont passées de 4% à plus 60%, tout ça avec l'appui des indépendantistes. C'est subtile mais le nœud coulant se met bien en place comme dans de nombreux autres pays du Pacifique sud.

Même le Groupe Fer de lance mélanésien, dont fait partie le FLNKS, bénéficie de généreux prêts chinois et symbolise l'influence de ces derniers dans la région et leur lutte contre la présence US.

Le général Burkhard a raison sur ce point, ce n'est pas avec les armes que la Chine nous dégagera de la NC.

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Il y a 1 heure, Arland a dit :

La base est déjà là, en moins de 15 ans les exportations vers la Chine depuis la NC sont passées de 4% à plus 60%, tout ça avec l'appui des indépendantistes. C'est subtile mais le nœud coulant se met bien en place comme dans de nombreux autres pays du Pacifique sud.

Même le Groupe Fer de lance mélanésien, dont fait partie le FLNKS, bénéficie de généreux prêts chinois et symbolise l'influence de ces derniers dans la région et leur lutte contre la présence US.

Le général Burkhard a raison sur ce point, ce n'est pas avec les armes que la Chine nous dégagera de la NC.

Oui, rien de secret c'est parfaitement visible. La preuve tu le sais

De la à attaquer la Chine pour ça ... Donnons l'arme nucléaire à Taïwan, ils donnent du boulot à des Français !

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