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Union européenne de la Défense


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il y a 33 minutes, kalligator a dit :

Dans cette optique une attaque serait contrée par l'ASMP puis par les M51...apocalypse garantie. Le nuc dissuade le nuc ok mais utilisé comme facteur de compensation à la faiblesse des forces classiques je suis pas très convaincu.

Le terme de faiblesse est très relatif. En pratique, je ne vois pas bien quel pays aurait les moyens d'attaquer l'UE.

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J'utilise le terme faiblesse en écho d'un certain nombre d'article de DSI (Vincent Desportes et Michel Goya) sur l'affaiblissement de l'armée française depuis 15-20 ans.

Alors qu'elle est engagée de manière continuelle en OPEX l'adt a usé ses matériels jusqu'à la corde, a vu ses opérations calculées au plus juste et même en dessous par Bercy. Les renouvellements des roulants ont traîné à un tel stade qu'il a fallut rénover du matos pour les faire tenir jusque vers 2030 alors qu'un remplacement pur et simple eu été plus judicieux.

Aujourd'hui et surtout demain l'adt ce sera 200 Leclerc et 300 Jaguar, (j'attend de voir si les VBAE seront stanag 4 pour les compter).

Si on ajoute des effectifs historiquement très très bas on en sera très vite réduit au nuc.

Dans un monde qui se caractérise par une instabilité de plus en plus aigue on risque de voir apparaître des problèmes qu'une telle armée ne sera plus en mesure de gérer, en particulier lorsqu'ils se conjugueront.

Exemple : la situation se crispe dans la trouée de Suwlaki, les polonais ayant décidé de la "sécuriser", quelques explosifs tombés des camion viennent se nicher malencontreusement  sur les voie de communication vers Kaliningrad etc, en même temps les OPEX en Afrique ne faiblissent pas, Sentinelle est toujours maintenue. Poutine fait sa crise et attaque le Nord de la Pologne (pour sécuriser Suwlaki bien sûr). Ni la France ni l'Allemagne ne sont en mesure d'envoyer des renforts suffisants/à temps.

La Turquie, l'Ukraine sont des autres points de danger. Alors on balance des l'ASMP en espérant que ceux d'en face seront terrorisés au point de demander l'armistice ?

Pour moi le nuc doit s'appuyer sur de solides forces conventionnelles, c'est pour cela que je pensais au CRAB dans le fil Jaguar : redonner de la masse à une ADT squeletique

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Il y a 18 heures, ARPA a dit :

Le terme de faiblesse est très relatif. En pratique, je ne vois pas bien quel pays aurait les moyens d'attaquer l'UE.

n'importe quel pays qui se sent assez puissant pour le faire en pariant que l'UE continuera à baisser les yeux et à regarder ailleurs et tremblera en imaginant la guerre civile dans les banlieues  :

La Turquie peut essayer de s'emparer de Chypre et nous mettre devant le fait accompli en représailles à des sanctions de l'UE , pariant que l'UE fera tout pour éviter la guerre et n'interviendrait même pas en soutient de Chypre ou de la Grèce quitte à ravaler sa fierté comme d'habitude... et comme c'est la façon d'être "naturelle" de l"UE , un Sultan joueur et couillu peut le faire !  alors comment répondra l'UE ?  sanctions économiques .... on n'achètera plus de figues sèches de Turquie à Noel ?

La situation peut se crisper dans l'Est en Ukraine ou en Biélorussie... pourra-t-on toujours faire le pari que des mouvement de troupes Russes ne soient que de la gesticulation diplomatique surtout si la situation intérieure russe se détériorait ? alors qu'opposerait l'EU en attendant que les USA... non les USA demandent 200 milliards de $ pour intervenir ... 

sinon l'UE fait quoi ? qui va mobiliser ? qui va envoyer sa flotte et son corps expéditionnaire "d’opérette ", la peur au ventre des dégâts éventuels, tout en déployant ses gendarmes dans les banlieues agités par des éléments externes potentiellement terroristes ? quels pays européens sont prêts à sortir de leurs petits conforts, au combat de haute intensité , à mettre en  œuvre le couvre feu, à risquer quelques centaines de victimes et à dépenser quelques milliards ?  plus facile de tergiverser et de s'excuser de ne rien faire ...en faisant quelques opération de communication avec l'ONU etc etc .....

 

Modifié par Lezard-vert
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6 hours ago, Lezard-vert said:

pariant que l'UE fera tout pour éviter la guerre

L'Union n'est pas une force militaire ... donc elle n'est que la "somme" des actions individuelles de ses membres dans ce contexte militaire, et plus généralement dans tout ce qui concerne la politique "étrangère".

Dans ce cadre il est assez facile de parier que peu de membres de l'Union iraient faire la guerre à la Turquie en cas d'invasion de Chypre. Une bonne partie des membres n'en n'ont ni l'intention ni les moyens d'ailleurs.

Même pas sur qu'on - les membres motivés - arrivent a organiser une blocus de l’île ...

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  • 2 months later...

Ca parle de rafale, de gripen, de f-16, de E-2C de CDG de corona, de français, de suédois, de danois.

https://www.forsvarsmakten.se/sv/aktuellt/2020/04/samovning-med-franska-flottan/

Pendant les deux jours de l'exercice, il y a eu également une interaction avec un porte-avions français - Charles De Gaulle. L'objectif était que les chasseurs suédois repèrent l'ennemi et que le but soit de combattre le navire.

- Le premier jour d'entraînement s'est déroulé dans l'espace aérien danois à l'ouest du Jutland avec une bonne coopération entre les contrôleurs aériens français et danois. La préparation danoise aux incidents, sous la forme de deux F-16, nous a escortés dans la zone d'entraînement où nous avons ensuite été dirigés par des E-2C français. La collaboration a très bien fonctionné et l'exercice a été mené avec de bons résultats, déclare Johan Jeppsson de l'UT JAS, département de développement tactique pour le Jas 39 Gripen.

Ensemble pour un effet opérationnel
Au cours de la deuxième journée d'entraînement, qui s'est déroulée dans l'espace aérien suédois sous la direction du contrôle aérien suédois, le ravitaillement en vol prévu à partir d'un avion-citerne français a été annulé en raison de l'actuelle pandémie de Corona. Ce jour-là, les Français ont pointé du doigt l'ennemi et ont été chargés de défendre par voie aérienne une cible ponctuelle que les avions de chasse suédois allaient détruire avec des bombes à guidage de précision.

"Malheureusement, nous n'avons pas pu effectuer le ravitaillement en vol prévu, mais les avions Rafale français ont pu se ravitailler entre eux, un ravitaillement dit "en copain". Cela nous a permis de procéder à un échange de bonnes pratiques conformément à notre planification.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Modifié par herciv
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  • 3 weeks later...

https://www.latribune.fr/opinions/cinq-propositions-pour-l-europe-de-la-defense-4-10-847126.html

Cinq propositions pour l'Europe de la défense (4/10)  Groupe MARS    EXTRAITS 

Citation

Dans le but de permettre à la base industrielle et technologique de défense de contribuer à la sortie de crise et aux plans de relance français et européen, le groupe de réflexions Mars* souhaite partager, dans une série de tribunes, les réflexions qu’il mène notamment autour des sujets de la souveraineté et de l’autonomie, du sens donné à l’Europe de la défense et la place réservée à la défense dans un "plan Marshall" européen, des enjeux macroéconomiques et des enjeux industriels et d’innovation dans la défense. L'objectif du groupe de réflexions Mars est de trouver des solutions pour sécuriser les budgets de défense à court et à moyen terme.

Concevoir, produire et acheter européen : une priorité

En France, un consensus assez large existe sur les objectifs de l'Europe de la défense. La difficulté réside dans notre capacité à trouver un accord avec nos "partenaires / concurrents" européens. Comment y parvenir ? 

1/ En appeler à la commande publique européenne  Il est d'abord possible d'en appeler à la commande publique européenne.

2/ Créer de la "conditionnalité européenne"   Il est également envisageable de créer de la "conditionnalité européenne" en faveur d'achats de défense européens.

3/ Le marché intérieur davantage régulé   Ensuite, la conjoncture actuelle rebat toutes les cartes. A défaut de solidarité européenne en matière de défense, le marché intérieur devra être davantage régulé.  Il n'est pas possible que certains États profitent des excédents commerciaux du marché intérieur pour acheter "made in USA".

4/ Mobiliser la palette d'ingénierie financière de l'UE     Puis, il importe de renoncer à l'idée de solliciter, pour la France, un ratio d'endettement public supérieur à ce que l'UE autorise afin de financer notre effort de défense et de mobiliser la palette d'ingénierie financière de l'UE.

5/ Obtenir un "chèque de retour"     Enfin, à défaut d'investissements industriels communs dans le secteur de la défense, la France devra alors refuser tout accord budgétaire européen sauf à obtenir un "chèque de retour".

 

"Retrouver les trois premières tribunes du groupe de réflexions Mars    sur le site de la TRIBUNE:

L'investissement dans la défense rapporte plus que ce qu'il coûte

La défense européenne a-t-elle (encore) un sens ?

Le plan de relance européen doit intégrer la défense européenne !"

Du boulot pour Thierry BRETON ! 

 

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Rapprochement TKMS Fincantieri en vue?

https://www.reuters.com/article/us-thyssenkrupp-fincantieri-m-a-exclusiv/exclusive-thyssenkrupp-fincantieri-in-talks-to-form-warship-champion-source-idUSKBN22P23E

“The subsequent step would be a European idea. We would then have to talk about how we can make it work with global players such as Fincantieri, such as Naval (Group) in France, that not only have European sites but are present globally."

Modifié par Chimera
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  • 3 weeks later...

http://www.opex360.com/2020/05/30/paris-berlin-rome-et-madrid-plaident-pour-une-europe-de-la-defense-a-la-hauteur-des-defis-futurs/

Il est ailleurs question ( Covid-19 ... Défense ) des achats croisés d'armements intra européens ... Ici l'Europe e la Défense essaie de subsister

Citation

Aussi, au vu de ce plan, la question est de savoir si l’UE va maintenir les ambitions qu’elle avait affichées dans le domaine de la défense, ainsi que dans celui de l’Espace, pour lequel elles étaient déjà fort modestes au regard des enjeux qu’il représente [mais à Bruxelles, on a des préoccupations sans doute plus pressantes, comme le calibrage des bananes et d’autres encore – note aux lecteurs : c’est de l’ironie].

En attendant, les ministres de la Défense de quatre États membres, dont Florence Parly [France], Lorenzo Guerini [Italie], Annegret Kramp-Karrenbauer [Allemagne] et Margarita Robles Fernández [Espagne] ont adressé une lettre de six pages à Josep Borell, le Haut représentant de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, aussi qu’à leurs 23 homologues européens, pour appeler à une politique européenne de défense plus ambitieuse ainsi qu’au développement d’instruments communautaires de gestion de crise plus efficaces.

"La sécurité et la défense doivent donc rester une priorité absolue. […] Par conséquent, nous devons maintenir, renforcer et développer notre capacité à agir et à réagir de manière autonome, en tant qu’Union, et dans un esprit de solidarité, d’aide et d’assistance […] chaque fois que cela est nécessaire...pour une Union européenne plus intégrée, efficace et capable sur la scène internationale ", font valoir les quatre ministres. pour y arriver, les quatre ministres proposent 7 axes prioritaires pour les mois à venir.

Le premier vise à accroître la solidarité et la résilience de l’UE et des États membres face aux crises, avec « l’opérationnalisation de l’article 42, paragraphe 7 » du Traité de l’Union européenne [que le président Macron voulait modifier pour y inclure une clause défense collective] .    améliorer considérablement notre capacité à lutter contre les attaques hybrides, la désinformation ou les cyberattaques...

[ le second: ] consolider la Coopération structurée permanente [CSP ou PESCO] 

[troisième: ]   affermir la base industrielle et technologique de défense, grâce au FEDef...

[quatrième: ] progresser vers une analyse partagée des menaces,

[ cinquième: ] renforcer l’engagement opérationnel extérieur européen,

[sixième: ] améliorer la cohérence des initiatives européennes et enfin, à

[septième: ] développer la coopération avec les partenaires."

« La crise du Covid-19 en cours démontre le besoin d’une Europe plus forte qui devrait contrôler les technologies-clés et les capacités de production, notamment militaires », font valoir les ministres.

« Nous plaidons donc en faveur d’un budget ambitieux en tant que priorité dans le domaine de la défense et d’une adoption rapide du FEDef, dans le plein respect des discussions sur le cadre financier pluriannuel. Le FEDef contribuera à soutenir l’économie européenne et la BITDE, en particulier les petites et moyennes entreprises [PME]. Une coopération incitative permet de tirer parti des synergies et d’une allocation plus efficace des ressources », font valoir les signataires de cette lettre ouverte.

« l’Otan reste la pierre angulaire de la défense collective » et que la France, l’Allemagne, l’Italie et l’Espagne restent engagées à en « renforcer le pilier européen » et à « explorer les moyens de renforcer la coopération UE-OTAN ».

 

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consolider raffermir renforcer....ça sent les belles déclarations mais pas vraiment un engagement clair et chiffré...

je crains plutôt que les armées européennes restent au (bas) niveau actuel.

vu sur la revue "batailles et blindés"  : la disponibilité du Puma (le VCI)est de 19,1 %, d'autres armements sont à moins de 40 %...c'est là qu'il faut agir sans tarder.

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20 hours ago, kalligator said:

vu sur la revue "batailles et blindés"  : la disponibilité du Puma (le VCI)est de 19,1 %, d'autres armements sont à moins de 40 %...c'est là qu'il faut agir sans tarder.

Sauf si tu n'as aucune intention de faire la guerre ...

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  • 3 years later...

EH bien voilà. C'était en gestation depuis longtemps mais les allemands freinaient. Maintenant c'est devenu intenable. La règle des 3% sera souple sur les budgets militaires.

Zone bourse :

 

Vers davantage de flexibilité en matière de dépenses de défense-sources

Aujourd'hui à 12:35

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par Jan Strupczewski

BRUXELLES, 7 septembre (Reuters) - Les Etats membres de l'Union européenne (UE) se rapprochent d'un accord sur la proposition de révision des règles budgétaires formulée par la Commission, qui leur offrirait davantage de flexibilité en matière de dépenses militaires en réaction à l'invasion de l'Ukraine par la Russie, a-t-on appris de sources au fait des négociations.

Les règles budgétaires en vigueur dans les 20 pays de la zone euro limitent théoriquement le déficit budgétaire à 3% du produit intérieur brut (PIB) et la dette publique à 60% du PIB.

La Commission européenne (CE) est censée lancer des procédures disciplinaires contre les pays qui ne respectent pas ces plafonds, comme la France, même si c'est dans les faits rarement le cas.

Un débat sur les dépenses qui doivent ou pas être prises en compte dans le calcul de la règle des 3% existe depuis longtemps au sein de l'UE. Il s'est exacerbé avec la pandémie de COVID-19 puis la guerre en Ukraine, qui ont contraint les Etats à sortir leurs carnets de chèques pour amortir les crises, et poussé la CE à suspendre l'application des règles budgétaires.

En matière de défense, ce débat est compliqué par le fait que seuls neuf pays membres de l'UE, dont aucune des trois plus grandes économies - Allemagne, France et Italie -, respectent la règle de l'Otan prévoyant qu'ils consacrent au moins 2% de leur PIB à des dépenses militaires afin de garantir la disponibilité opérationnelle de leurs armées à l'échelle de l'Alliance.

Après l'invasion de l'Ukraine début 2022, plusieurs pays, notamment les voisins de la Russie, ont plaidé pour que les dépenses militaires soient exclues des règles européennes de calcul du déficit budgétaire.

"Ça n'a pas abouti, mais il y a un accord (au sein de l'UE) sur le fait que même si les dépenses de défense continuent à être prises en compte pour le calcul du déficit, la Commission les considérera comme des 'facteurs pertinents' qui justifient qu'elle n'entame pas de procédure disciplinaire contre un Etat qui dépasserait la limite des 3%", a déclaré un diplomate au fait des négociations.

Ce compromis permettrait à l'exécutif européen de conserver un droit de regard sur les dépenses militaires, pour déterminer au cas par cas celles qui relèvent purement de la défense et celles qui pourraient tomber dans une zone grise, et éviter ainsi d'éventuelles dérives.

"Jusqu'à présent, je n'ai entendu personne dire 'non' à cette proposition, pas même les Allemands", a dit un second diplomate qui a participé aux discussions sur la réforme des règles budgétaires, qui doivent de nouveau s'appliquer à partir de 2024.

Les propositions jusqu'alors discutées en commission vont désormais être soumises aux ministres des Finances des Vingt-Sept, qui se réuniront une première fois la semaine prochaine, puis au mois d'octobre, avec pour objectif de parvenir à un accord définitif d'ici la fin de l'année, même si certains jugent cette date butoir ambitieuse.

Avant que les règles budgétaires ne s'appliquent à nouveau, les Etats membres entendent aussi qu'elles prennent en compte les nouvelles réalités en matière de dette publique - qui a explosé dans de nombreux pays pendant les crises successives - ainsi que les investissements gigantesques requis par la transition verte et numérique.

(Version française Tangi Salaün, édité par Blandine Hénault)

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  • 1 month later...

Les Origines des Relations Franco-allemandes  après 1945, sous la IV ème République ... Tombé par hasard là-dessus  ... Quelques titres de §

Choc de Suez - 1956 -,  Adenauer, La Sarre retourne à l'Allemagne,  Euratom et les armes nucléaires, Europe unie ou Europe Franco-Allemande ? 

Ainsi un extrait :  "Les accords secrets de collaboration bipartite Strauss-Bourgès-Maunoury du 17 janvier 1957 (protocole de Colomb-Béchar), l’accord tripartite franco-germano-italien de novembre 1957 sur la fabrication d’IRBM 30, et les accords secrets Strauss-Chaban-Delmas-Taviani d’avril 1958 sur une usine de séparation isotopique traduisent un effort français pour maîtriser la filière des armes nouvelles. Cette coopération à dominante franco-allemande satisfait d’une manière complexe les aspirations françaises à la sécurité et à l’influence dans un cadre européen"

Autres § :  les 2 traités de Rome, Guy Mollet et l'Indépendance réelle des peuples, L'Europe nouvel espoir des relations internationales,  l'Alliance, Ratification des traités de Rome, "Contre" Anglais, Euratom déçoit, la coopération franco-italo-allemande pour l'Europe ? , Zone de libre - échanges, Projet français d'Union Européenne de Coopération Economique, 

https://books.openedition.org/psorbonne/728   Long chapitre ... La Conclusion:

"L’entente franco-allemande à Val Duchesse a-t-elle sauvé l’Europe du Marché commun et de l’Euratom ? Sans aucun doute, puisque la rencontre du 6 novembre 1956 a été décisive. Mais on connaissait moins le jeu subtil que Français et Allemands jouaient, les uns pour promouvoir leur capacité nucléaire, les autres pour participer au réarmement et partager un tant soit peu les secrets nucléaires. Les deux gouvernements ont parfois oublié, à propos d’Euratom, la finalité unitaire de cette organisation. L’accord que les Allemands donnent aux Français à propos d’Euratom semble s’accompagner d’une recherche de puissance allemande, ou d’une recherche de sécurité, fondée sur le couple franco-allemand. La culture du pré carré national est parfaitement visible dans le cas de l’Euratom, une construction « européenne ». Un petit groupe a su agir avec finesse dans les structures de l’État au temps de la IVe république. Gaston Palewski, ministre chargé de l’énergie atomique et Pierre Kœnig, ministre de la Défense nationale en 1955 (Pinay) ainsi que le Commissariat à l’Énergie atomique (CEA) ont choisi de créer une force militaire nucléaire française tout en l’appuyant techniquement et financièrement sur un projet d’Europe atomique (EURATOM)166. Les armées ont joué un rôle de pression fort efficace auprès des gouvernements en faveur de la force nucléaire française 167. Une autre surprise apparaît aussi. La cellule « Europe » du cabinet Guy Mollet est décidée à faire entrer la France dans le Marché commun. L’idée de privilégier Euratom sur le Marché commun n’est pas juste. Les deux institutions sont une priorité. Le Marché commun représente nettement le choix de l’Europe unie, tandis que l’Euratom signifie plus de poids et d’influence pour la France dans la communauté européenne des Six. Les négociations sur l’élargissement de la zone de libre-échange aux pays du Marché commun échouèrent. Les Anglais opposèrent un « non-possumus absolu » à l’entrée des produits agricoles continentaux en Grande-Bretagne. Ils rejetèrent la possibilité d’une adhésion des colonies britanniques à une zone de libre échange élargie aux pays du Marché commun. Ils contestèrent la forme de l’adhésion des TOM des Six au Marché commun, comme contraire au GATT. La rancœur britannique éclatait au grand jour 168. Les Français étaient disposés à accepter une zone de libre échange à condition que l’essentiel y figurât, c’est-à-dire l’inclusion des produits agricoles, comme l’indiquent les entretiens entre Maurice Faure et le Chancelier de l’Échiquier, Thorneycroft en mai 1957169. Les Anglais avaient marqué leur profonde méfiance vis-à-vis des nouvelles institutions européennes. La France devait en tenir compte. "

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France - Allemagne Sommet des 09 et 10 octobre 2023

https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/France-Allemagne-Reunion-ministerielle-a-Hambourg-sur-fond-de-desaccords--45017669/

Aura t on des décisions, ou à défaut des informations ou à défaut ... le néant  ? 

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/le-monde-a-18h51/le-monde-a-18h51-du-jeudi-05-octobre-2023-8744870

"Lundi 9 et mardi 10 octobre à Hambourg, la France et l’Allemagne organisent un sommet présidé par Emmanuel Macron et Olaf Scholz avec de nombreux ministres des deux pays. Dont les relations restent tendues.

Ce sera une réunion informelle. D’après l’Elysée, les ministres français et allemands vont « faire du bateau sur l’Elbe et manger des Brötchen (les petits pains allemands) au poisson ». Il faudra sans doute un peu plus que cela pour apaiser les tensions.

Cette semaine, l’eurodéputé allemand David McAllister a donné au Guardian une interview à la sulfateuse. Lui qui préside la Commission des Affaires étrangères du Parlement européen estime qu’il y a longtemps qu’on « n’a pas vu aussi peu de coopération entre France et Allemagne »."

Modifié par Bechar06
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  • 1 month later...
Le 04/07/2019 à 23:27, Kelkin a dit :

Ce qui me ferait plaisir, ce serait une Europe assez couillue pour dénoncer leur bluff en leur disant, "d'accord, on choisit l'Iran, et maintenant vous faites quoi ?"

Parce que la vérité, c'est que les USA ont besoin de l'Europe au moins autant que la réciproque. Les Américains ne peuvent pas faire leur "pivot vers l'Asie" pour se confronter à la puissance grandissante de la Chine s'ils n'ont pas les Européens dans leur poche. S'ils se retrouvent à liguer contre eux l'UE, la Russie, et la Chine, ils ont perdu la partie ; s'ils ont l'Europe avec eux ils peuvent encore gagner.

Questions:

En quoi les USA sont-ils dépendants de l'UE en Extrême-Orient?

Est-ce que l'UE s'est engagée constituer une task force pour participer à la défense de Taïwan?

A lire sur le site de la RTBF // Tensions à Taïwan : les Marines des pays membres de l'Union européenne appelées à patrouiller dans le détroit de Taïwan

Le 20/01/2020 à 14:04, ARPA a dit :

Le terme de faiblesse est très relatif. En pratique, je ne vois pas bien quel pays aurait les moyens d'attaquer l'UE.

Que veut dire attaquer l'UE? Lancer des attaques simultanées contre tous les Etats membres?

A priori la Russie est capable d'attaquer la Finlande ou l'Estonie et la Turquie est capable d'attaquer certains Etats membres insulaires comme Chypre ou Malte.

Il ne faut pas partir du principe que l'UE sera forcément attaquée dans son entièreté et par un seul pays à la fois.

Le 20/01/2020 à 16:26, Lezard-vert a dit :

n'importe quel pays qui se sent assez puissant pour le faire en pariant que l'UE continuera à baisser les yeux et à regarder ailleurs et tremblera en imaginant la guerre civile dans les banlieues  :

La Turquie peut essayer de s'emparer de Chypre et nous mettre devant le fait accompli en représailles à des sanctions de l'UE , pariant que l'UE fera tout pour éviter la guerre et n'interviendrait même pas en soutient de Chypre ou de la Grèce quitte à ravaler sa fierté comme d'habitude... et comme c'est la façon d'être "naturelle" de l"UE , un Sultan joueur et couillu peut le faire !  alors comment répondra l'UE ?  sanctions économiques .... on n'achètera plus de figues sèches de Turquie à Noel ?

La situation peut se crisper dans l'Est en Ukraine ou en Biélorussie... pourra-t-on toujours faire le pari que des mouvement de troupes Russes ne soient que de la gesticulation diplomatique surtout si la situation intérieure russe se détériorait ? alors qu'opposerait l'EU en attendant que les USA... non les USA demandent 200 milliards de $ pour intervenir ... 

sinon l'UE fait quoi ? qui va mobiliser ? qui va envoyer sa flotte et son corps expéditionnaire "d’opérette ", la peur au ventre des dégâts éventuels, tout en déployant ses gendarmes dans les banlieues agités par des éléments externes potentiellement terroristes ? quels pays européens sont prêts à sortir de leurs petits conforts, au combat de haute intensité , à mettre en  œuvre le couvre feu, à risquer quelques centaines de victimes et à dépenser quelques milliards ?  plus facile de tergiverser et de s'excuser de ne rien faire ...en faisant quelques opération de communication avec l'ONU etc etc .....

Bonnes questions qui en appellent d'autres:

De quels moyens disposera la Turquie pour annexer Chypre en janvier 2025?

De quels moyens disposera l'Union européenne pour secourir Chypre avant la chute de l'île en janvier 2025?

De quels moyens disposera l'Union européenne pour libérer Chypre conquise par les "Turks erdogistes" en janvier 2025?

A lire sur Euractiv // La Commission dénonce les agissements de la Turquie vis-à-vis de la Grèce et de Chypre

Citation

 

La Turquie dénonce la déclaration UE-OTAN sur la coopération

Les intérêts géopolitiques de la Turquie au sujet de l’île de Chypre menacent de compromettre les efforts visant à resserrer les liens entre l’UE et l’OTAN, un objectif affiché des deux parties.

L’OTAN et l’UE ont signé leur troisième déclaration politique en janvier, s’engageant à coopérer plus étroitement sur les questions liées à la sécurité euroatlantique.

À l’époque, ils ont également ajouté à la liste des domaines de coopération « la protection des infrastructures critiques, les technologies émergentes et perturbatrices, l’espace, les implications du changement climatique pour la sécurité, ainsi que la manipulation et les ingérences étrangères dans le domaine de l’information ».

Malgré le message apparent d’unité dans la déclaration, Ankara a communiqué presque immédiatement qu’elle ne s’alignerait pas sur le document, ont déclaré plusieurs diplomates de l’OTAN à EURACTIV.

L’opposition était largement motivée par des considérations politiques sur le différend chypriote, selon les diplomates.

L’île de Chypre a été divisée à la suite d’une invasion turque en 1974, déclenchée par un bref coup d’État d’inspiration grecque. La partie nord reste sous le contrôle du gouvernement autoproclamé de la « République turque de Chypre du Nord », qui n’a pas été officiellement reconnue par la communauté internationale. L’île a néanmoins rejoint l’UE en 2004.

Depuis le début des négociations de paix en septembre 2008, d’innombrables tentatives de médiation entre les deux parties ont échoué.

Depuis l’échec d’un sommet en 2017, les Chypriotes grecs et turcs se sont encore éloignés les uns des autres, ce qui entrave la coopération dans plusieurs domaines importants et accroît les tensions en Méditerranée orientale.

En raison du conflit gelé, Ankara estime que la déclaration indiquant que les deux organisations « feront avancer le partenariat OTAN-UE en consultation et en coopération étroite avec tous les alliés de l’OTAN et les États membres de l’UE » va à l’encontre des intérêts de la Turquie et de la communauté turque de Chypre.

La feuille de route reportée

Bien que l’irritation d’Ankara ait eu peu d’implications pratiques jusqu’à présent, elle pourrait bloquer les progrès sur la feuille de route UE-OTAN, qui énumère des sujets concrets et pratiques pour la coopération entre l’UE et l’OTAN et qui aurait dû être approuvée en même temps que la déclaration politique en janvier.

Tout le monde « comprend l’importance de renforcer les relations, mais il semble qu’il y ait un problème », ont déclaré deux diplomates de l’OTAN interrogés sur l’état d’avancement du document.

« L’UE a Chypre, l’OTAN a la Turquie », a déclaré le diplomate, soulignant que la question venait des deux côtés.

Le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, a déclaré en décembre dernier que l’alliance soutenait fermement « les efforts des Nations unies pour tenter de trouver une solution négociée et pacifique. Je pense que c’est la seule façon de résoudre les problèmes et les questions en suspens à Chypre. »

Actuellement, 22 membres de l’OTAN sont également des États membres de l’UE, ce qui représente un tiers de l’alliance militaire depuis l’adhésion de la Finlande en avril.

La Suède, qui a également déposé une demande d’adhésion au printemps dernier et attend le feu vert de la Turquie, portera ce nombre à 23. L’Autriche, l’Irlande, Malte et Chypre, sont des États membres de l’UE neutres et ne font donc pas partie de l’alliance militaire.

La feuille de route actuelle de l’OTAN et de l’UE en matière de coopération remonte à 2018, lorsque l’alliance militaire n’était pas encore confrontée à la montée en puissance de la Chine et avant la guerre de 2022 en Ukraine.

Avec 74 propositions, la déclaration de 2018 s’est concentrée sur le renforcement de la mobilité militaire des troupes et des équipements sur l’ensemble du territoire, la cybersécurité, les menaces hybrides, la lutte contre le terrorisme et l’inclusion des femmes dans les questions de sécurité.

Récemment, la Turquie a également bloqué la collaboration entre l’opération Irini de l’UE, qui contrôle l’embargo sur les armes et le pétrole en Libye, et l’opération Sea Guardian de l’OTAN.

Claudia Graziano, ancienne présidente du Comité militaire de l’UE, a déclaré lors d’une conférence sur la sécurité en Méditerranée en 2021 que l’UE devrait « essayer de surmonter certains des obstacles actuels à notre coopération avec l’OTAN » et ne devrait pas laisser les « questions politiques » l’entraver.

« Un problème que nous pouvons facilement identifier [se trouve] en mer Méditerranée, entre l’opération Irini et Sea Guardian : dans un monde parfait, nous aurions une seule et même opération, mais aujourd’hui nous pourrions et devrions viser une coopération améliorée », a-t-il

En juillet, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le chef du Conseil européen, Charles Michel, seront invités à participer à une séance de travail avec les États membres de l’OTAN lors du sommet de l’alliance militaire à Vilnius, afin de montrer le partenariat étroit entre les deux organisations et leurs membres.

 

Source: Euractiv

Question:

En 2025, de qui les USA auront le plus besoin? Du soutien de l'UE avec Chypre ou du soutien de la Turquie erdogiste avec Chypre?

 

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Le 11/10/2023 à 16:57, g4lly a dit :

Un PA européen tu va vendre ce projet à la con à qui?

Aux croisés européens se préparant à libérer Chypre, conquise par les Turcs, pour couvrir les navires capitaux contre l'aviation sarrasine.


 

Citation

 

Article 42 du Traité de Lisbonne sur l'Union européenne

1. La politique de sécurité et de défense commune fait partie intégrante de la politique étrangère et de sécurité commune. Elle assure à l'Union une capacité opérationnelle s'appuyant sur des moyens militaires, et civils. L'Union peut y avoir recours dans des missions en dehors de l'Union afin d'assurer le maintien de la paix, la prévention des conflits et le renforcement de la sécurité internationale conformément aux principes de la charte des Nations unies. L'exécution de ces tâches repose sur les capacités fournies par les États membres.

2. La politique de sécurité et de défense commune inclut la définition progressive d'une politique de défense commune de l'Union. Elle conduira à une défense commune, dès lors que le Conseil européen, statuant à l'unanimité, en aura décidé ainsi. Il recommande, dans ce cas, aux États membres d'adopter une décision dans ce sens conformément à leurs règles constitutionnelles respectives. La politique de l'Union au sens de la présente section n'affecte pas le caractère spécifique de la politique de sécurité et de défense de certains États membres, elle respecte les obligations découlant du traité de l'Atlantique nord pour certains États membres qui considèrent que leur défense commune est réalisée dans le cadre de l'Organisation du traité de l'Atlantique nord (OTAN) et elle est compatible avec la politique commune de sécurité et de défense arrêtée dans ce cadre.

3. Les États membres mettent à la disposition de l'Union, pour la mise en œuvre de la politique de sécurité et de défense commune, des capacités civiles et militaires pour contribuer aux objectifs définis par le Conseil. Les États membres qui constituent entre eux des forces multinationales peuvent aussi les mettre à la disposition de la politique de sécurité et de défense commune. Les États membres s'engagent à améliorer progressivement leurs capacités militaires. L'Agence dans le domaine du développement des capacités de défense, de la recherche, des acquisitions et de l'armement (ci-après dénommée « Agence européenne de défense ») identifie les besoins opérationnels, promeut des mesures pour les satisfaire, contribue à identifier et, le cas échéant, mettre en œuvre toute mesure utile pour renforcer la base industrielle et technologique du secteur de la défense, participe à la définition d'une politique européenne des capacités et de l'armement, et assiste le Conseil dans l'évaluation de l'amélioration des capacités militaires.

4. Les décisions relatives à la politique de sécurité et de défense commune, y compris celles portant sur le lancement d'une mission visée au présent article, sont adoptées par le Conseil statuant à l'unanimité, sur proposition du haut représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité ou sur initiative d'un État membre. Le haut représentant peut proposer de recourir aux moyens nationaux ainsi qu'aux instruments de l'Union, le cas échéant conjointement avec la Commission.

5. Le Conseil peut confier la réalisation d'une mission, dans le cadre de l'Union, à un groupe d'États membres afin de préserver les valeurs de l'Union et de servir ses intérêts. La réalisation d'une telle mission est régie par l'article 44.

6. Les États membres qui remplissent des critères plus élevés de capacités militaires et qui ont souscrit des engagements plus contraignants en la matière en vue des missions les plus exigeantes, établissent une coopération structurée permanente dans le cadre de l'Union. Cette coopération est régie par l'article 46. Elle n'affecte pas les dispositions de l'article 43.

7. Au cas où un État membre serait l'objet d'une agression armée sur son territoire, les autres États membres lui doivent aide et assistance par tous les moyens en leur pouvoir, conformément à l'article 51 de la charte des Nations unies. Cela n'affecte pas le caractère spécifique de la politique de sécurité et de défense de certains États membres. Les engagements et la coopération dans ce domaine demeurent conformes aux engagements souscrits au sein de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord, qui reste, pour les États qui en sont membres, le fondement de leur défense collective et l'instance de sa mise en œuvre.

 

Citation

 

Article 44 du Traité de Lisbonne sur l'Union européenne

1. Dans le cadre des décisions adoptées conformément à l'article 43, le Conseil peut confier la mise en œuvre d'une mission à un groupe d'États membres qui le souhaitent et disposent des capacités nécessaires pour une telle mission. Ces États membres, en association avec le haut représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, conviennent entre eux de la gestion de la mission.

2. Les États membres qui participent à la réalisation de la mission informent régulièrement le Conseil de l'état de la mission de leur propre initiative ou à la demande d'un autre État membre. Les États membres participants saisissent immédiatement le Conseil si la réalisation de la mission entraîne des conséquences majeures ou requiert une modification de l'objectif, de la portée ou des modalités de la mission fixés par les décisions visées au paragraphe 1. Dans ces cas, le Conseil adopte les décisions nécessaires.

 

 

A noter qu'il y a peut-être une autre option qu'un EUROCATOBAR, celle imaginé par le technaugure Salverius...

A lire dans le rubrique Uchronie // Croiseur portes drones : le chainon manquant ?

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On 6/1/2019 at 5:13 PM, Patrick said:

Il ne manque au fond qu'une voie regardant directement sous le Rafale pour disposer d'une capacité à créer une visualisation type EODAS équivalente à celle trouvée sur F-35, en l'absence de pod. Un troisième DDM caréné sous la "tranche" OSF? Pourquoi pas.

Fin de la digression sur la comparaison Rafale/F-35.

J'ai posé la question à MBDA. Il y aurait toute une archi cablage à revoir. Compliqué.

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