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films sur l'armée française


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Je commence ce fil pour différencier les films d'actions ou de guerre et les films mettant en scène l'armée française, bien trop peu représentée sur nos écrans.

Tout d'abord un film qui sort en juin cette année : Volontaire d’Hélène Fillières (Sortie le 06/06) : Laure a 23 ans. Elle se cherche. C’est dans la Marine Nationale qu’elle va trouver un cadre, une structure, des repères. Solide et persévérante, elle va faire son apprentissage et découvrir sa voie.

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Plus anciens, décriés ou pas, il y a bien sûr :

Les chevaliers du ciel de Gérard Pirès : Salon aéronautique de Farnborough, Angleterre. Alors qu'il était en pleine démonstration, un Mirage 2000 a disparu au-dessus de la Mer du Nord. Les capitaines Antoine Marchelli et Sébastien Vallois sont immédiatement envoyés en patrouille pour retrouver l'avion. Ils ne tardent pas à apercevoir le 2000 : il vole dissimulé sous un Airbus de Qatar Airways. Le pilote du Mirage les a repérés, il s'est placé en position de combat. Marchelli et Vallois reçoivent l'ordre d'abandonner la poursuite sans délai. Trop tard ! Le 2000 est sur le point d'abattre Vallois. Marchelli va devoir l'éliminer pour protéger son équipier. Cet incident est le prélude d'une gigantesque manipulation. A la clé, le détournement d'un avion de chasse français à des fins terroristes. Une manipulation dont le dernier acte se jouera un 14 juillet dans le ciel de Paris, au dessus des Champs-Elysées.

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de pas mal pour le béotien que je suis, il y a aussi Forces Spéciales de  Stephane Rybojad : Afghanistan. Elsa Casanova, grand reporter, est prise en otage par les talibans. Devant l’imminence de son exécution, une unité des Forces Spéciales est envoyée pour la libérer. Dans des paysages à la fois hostiles et magnifiques, une poursuite impitoyable s’engage alors entre ses ex-ravisseurs qui n’entendent pas laisser leur proie leur échapper et ce groupe de soldats qui, au péril de leur vie, n’ont qu’un objectif : la ramener vivante. Entre cette femme de caractère et ces hommes de devoir, contraints d’affronter ensemble les pires dangers, vont se nouer des liens affectifs, violents, intimes…

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Dans les films anciens, honte à moi je n'en ai vu aucun des deux : il y a la 317eme section de  Schoendoerffer (1965)

L'histoire de huit journées de guerre. En mai 1954, durant la guerre d'Indochine, la 317e section locale supplétive composée de quatre Français et de quarante-et-un Laotiens reçoit l'ordre d'abandonner le petit poste isolé de Luong Ba à la frontière du Laos, pour rallier une colonne partie au secours du camp retranché de Diên Biên Phu. Il faut rejoindre Tao Tsaï, à cent cinquante kilomètres plus au sud, et s'user en affrontant la forêt hostile, l'eau, les intempéries, les fièvres et les forces communistes Việt Minh qui déferlent de concert sur la Section. Durant la marche, les soldats apprennent avec consternation la chute du camp retranché de Diên Biên Phu. La section est commandée par un officier, assisté de trois sous-officiers français et d'un sous-officier laotien. Arrivé quinze jours plus tôt, l'officier, le jeune sous-lieutenant Torrens vient tout juste de sortir de formation à Saint-Cyr ; il est secondé par l'adjudant Willsdorff, vieux routier et vétéran de la Seconde Guerre mondiale, dans la Wehrmacht. Les sergents Roudier, Perrin et Ba Kut complètent l'encadrement.La fuite de la section est ponctuée d'embuscades et de morts. L'inexpérience et la bonne volonté de l'officier, qui détient le commandement, sont sans cesse confrontées au pragmatisme et aux efficaces réflexes de guerre du sous-officier. La compréhension et le respect se nouent peu à peu entre eux.

Révélation

un extrait :

 

et le Crabe Tambour du même Schoendoerffer (1977)

Atteint d'un cancer du poumon, un officier de la marine nationale française se voit confier un ultime commandement après l'avoir expressément réclamé, celui de l'escorteur d'escadre Jauréguiberry dont c'est également la dernière mission avant son désarmement. Il est chargé de l'assistance et de la surveillance de la grande pêche sur les bancs de Terre-Neuve. Le commandant mène aussi une quête personnelle, enracinée dans les guerres coloniales françaises depuis le Mékong en 1948 : croiser une dernière fois un homme qu'il a connu, devenu patron d'un chalutier. 

Le film a été tournée sur l'escorteur d'escadre D624 : "Le Bouvet".

Révélation

 

Toujours sur l'indo, quelqu'un aurait il vu "nous étions soldats" ?

Modifié par rendbo
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Celui avec Mel Gibson?

l'introduction est consacrée au massacre d'une colonne française.

Pas mal, racontant le premier "vrai" combat entre les USA et les réguliers nord vietnamiens, les prémices de l'aéromobilité .

intéressant aussi dans le sens ou le film décrit le comportement des femmes des soldats restées au pays.

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  • 3 weeks later...
Le 08/05/2018 à 11:34, rendbo a dit :

Dans les films anciens, honte à moi je n'en ai vu aucun des deux : il y a la 317eme section de  Schoendoerffer (1965)

  Révéler le texte masqué

un extrait :

 

et le Crabe Tambour du même Schoendoerffer (1977)

De magnifiques films ...

Tu peux y ajouter du même auteur :

"Diên Biên Phu"

Modifié par jojo (lo savoyârd)
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Il y aura un doublon sur le file sortie film de guerre 2018. 

https://www.ladepeche.fr/article/2018/05/29/2806863-winter-war-film-1er-rcp-durant-seconde-guerre-mondiale.html

 

Citation

À l'occasion des portes ouvertes, samedi, le 1er RCP a projeté «Winter war», de David Abouyaca. Un film qui raconte la libération de Jebsheim en 1945.

Le film est malheureusement passé quasi inaperçu à sa sortie. Samedi, les visiteurs du 1er RCP ont pu voir «Winter war», de David Abouyaca. Un film qui rend hommage aux premiers combattants du régiment appaméen. Il raconte la libération du village alsacien de Jebsheim en 1945. Un fait de guerre méconnu dans notre pays.

«Je voulais rendre hommage aux soldats français qui ont combattu pour la liberté durant la Seconde Guerre mondiale.», explique le cinéaste. Il regrette qu'en France, le rôle de l'armée durant cette guerre soit un peu résumé à «la 7e compagnie», alors que l'armée française a de nombreux faits d'armes à son actif. Il s'intéresse alors au 1er RCP et à la libération de l'Alsace ce qui lui permet d'aborder un second thème dans son film : celui des malgré nous.

La réalisation n'est pas évidente. Il faut trouver du matériel via des associations. «J'en ai aussi acheté au fur et à mesure», précise-t-il. Au total, la réalisation dure une bonne année, à cause des différents désagréments.

Et ils continuent. La sortie est perturbée par un problème de distributeur. Le film ne sort que dans une vingtaine de salles. «Il n'a pas fait la sortie qu'on espérait, mais le film a reçu un accueil extraordinaire dans les salles où il a été projeté», assure l'équipe. Mieux, il reçoit trois nominations lors du festival «Action on film» et deux au «Hollywood dreamz». «Aux USA, chez les spécialistes du film de guerre, c'est quand même intéressant», souligne David Aboucaya. Le film a été vendu dans une vingtaine de pays.

Le 1er RCP a donc décidé de mettre en avant ce film. «Il faut récompenser l'effort de ces gens, en faisant le maximum de bruit autour de ce film. C'est un devoir de mémoire», indique le régiment. «Nous sommes le seul et l'unique régiment de parachutistes existant ayant combattu durant la Seconde Guerre mondiale», rappelle-t-il. Le 31 mai, le film sortira en DVD et blue ray en France, Suisse et Belgique. Et l'équipe espère bien qu'une chaîne le diffusera prochainement.

Une série télé sur le 1er RCP

Fort intéressé par l'histoire du régiment, David Abouyaca ne compte pas s'arrêter là. L'équipe travaille actuellement sur un second projet : une série en six épisodes sur le 1er RCP durant la Seconde Guerre mondiale : «L'aube des rapaces». De sa création en 1943 à la libération de Colmar en 1945. «Comme dans Band of brothers, on suivra l'histoire du régiment à travers des soldats. Ce sera une première sur une chaîne française», insiste le réalisateur.

Le 1er RCP soutient le projet.

 

 

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