Patrick Posté(e) le 1 novembre 2023 Share Posté(e) le 1 novembre 2023 (modifié) Il y a 22 heures, jojo (lo savoyârd) a dit : Allez, un coup de mains ... Ben au total il va falloir donc produire à minima 613 Rafale de tous types Soit si les 26 indiens se font, encore 118 92 avions à commander. C'est amplement faisable. Iraq, Colombie, Serbie, Arabie Saoudite, Egypte 3T, Qatar 3T, Inde IAF 2T, Inde IN 2T, plus d'autres prospects qui se sont déclarés intéressés. Les chiffres qu'il faut viser à mon avis ce sont ceux du Mirage F1. 726. Soit encore 205 appareils. Edit tardif: Et bien évidemment ne pas perdre de vue le remplacement des avions français les plus vieux ou d'éventuelles commandes supplémentaires permettant de dépasser le format à 225 ou d'anticiper l'attrition. En fait plus le temps passe plus un objectif à 1000 avions semble à portée de main. Le truc c'est qu'on aura quand même sans doute pas le luxe d'attendre des plombes, et qu'il faudra une mise à jour de l'avion qui ne soit pas qu'interne, surtout après l'arrivée de concurrents amenant une plus grande furtivité par exemple. Modifié le 2 novembre 2023 par Patrick correction des chiffres et ajouts. 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 5 novembre 2023 Share Posté(e) le 5 novembre 2023 La mère de toutes les affaires ! La France s'intéresse au contrat "inachevé" de l'avion de combat Rafale 114 pour l'armée de l'air indienne Par Ritu Sharma -November 4, 2023 La France a reçu une lettre de demande (LoR) de l'Inde pour vendre le Rafale Marine de Dassault Aviation à la marine indienne pour ses porte-avions. Le contrat portant sur 26 Rafale-M ayant été conclu, l'avionneur français s'intéresse à la commande la plus importante, à savoir une commande inachevée de 114 jets pour l'armée de l'air indienne. La LdR est en quelque sorte un document d'appel d'offres dans lequel le gouvernement indien a spécifié toutes ses exigences et capacités concernant l'avion Rafale Marine. Il opérera à partir des porte-avions INS Vikrant et INS Vikramaditya. La signature du contrat n'interviendra pas avant un certain temps, car la France doit encore évaluer la LdR et répondre à l'Inde par une lettre d'acceptation (LdA) avant que les négociations sur le coût des 26 jets ne débutent. La signature du contrat est prévue pour 2024. Dassault Aviation a vu la demande d'avions de combat omnirôles Rafale augmenter dans le monde entier après avoir livré 36 Rafale à l'IAF dans le cadre d'un contrat de gouvernement à gouvernement. Plus récemment, les médias français ont affirmé que Rafale avait remporté un contrat pour la fourniture de 54 Rafale à l'Arabie saoudite, après qu'un veto de l'Allemagne ait réduit à néant les chances de l'Eurofighter Typhoon de remporter le contrat. Le Rafale de Dassault Aviation est en concurrence avec les F/A-18 et F/15EX de Boeing, le F-21 de Lockheed Martin, le Gripen de SAAB et trois autres jets de combat importants du monde entier pour l'appel d'offres de l'armée de l'air indienne - appelé la mère de toutes les affaires - pour la fourniture de 114 avions de combat multirôles (MRFA). En 2013, le Rafale avait remporté un précédent appel d'offres pour 126 jets, lancé par l'IAF en 2007, dans le cadre du programme MMRCA (Medium Multi-Role Combat Aircraft). Mais en 2015, le Premier ministre indien Narendra Modi a annulé l'appel d'offres, qui était devenu non viable, et a acheté 36 Rafale sur étagère à la France dans le cadre d'une transaction de près de 8 milliards de dollars américains. C'est pourquoi Dassault Aviation considère cette MRFA de 114 jets comme une affaire "inachevée". "L'IAF prévoit d'intégrer six escadrons de MRFA de manière progressive. Le programme sera mis en œuvre dans le cadre de l'initiative 'Make in India' du DAP-2020. Des réponses ont été reçues pour huit types d'aéronefs", a déclaré aux médias indiens le maréchal de l'air VR Chaudhari, chef de l'IAF. Les experts estiment toutefois que la concurrence s'intensifie entre le Rafale de Dassault, le F-15EX de Boeing et le JAS-39 Gripen de Saab. "Les ASQR (Air Staff Qualitative Requirements) ont été finalisés et des interactions détaillées avec les OEM (Original Equipment Manufacturers) ont eu lieu. Des engagements de la part des équipementiers concernant le contenu indigène de certaines catégories et des dispositions relatives au "Make in India" sont en cours de recherche. Il est envisagé d'intégrer des armes A-A (air-air) et A-G (air-sol) développées en interne sur les MRFA fabriqués en Inde", a ajouté le chef de l'IAF. L'IAF a lancé l'appel d'offres en 2018 et a reçu une réponse enthousiaste de la part des avionneurs du monde entier pour ce contrat de plusieurs milliards de dollars. Après avoir fixé les nouveaux ASQR, comme l'EurAsian Times l'a rapporté précédemment, l'IAF attend le feu vert du gouvernement pour envoyer une proposition d'acceptation de nécessité (AoN). Depuis un an, rien n'a bougé dans le dossier MRFA. Le maréchal de l'air Narmdeshwar Tiwari, ancien chef adjoint de l'IAF, avait déclaré aux journalistes lors de l'Aero India 2023 (qui s'est tenu en février) que l'AoN était attendue du gouvernement dans les trois ou quatre prochains mois. Nous sommes en novembre et l'AON n'a pas encore été accordée à l'IAF, qui dispose actuellement de 31 escadrons et doit faire face à une diminution des effectifs des escadrons de chasse et à une flotte vieillissante. L'IAF a besoin de nombreux appareils pour être reconnue comme une force de dissuasion face à la Force aérienne de l'Armée populaire de libération (PLAAF). "L'IAF n'a pas été en mesure de convaincre le gouvernement indien que les avions importés étaient nécessaires en si grand nombre. L'ensemble du processus, jusqu'à la livraison des appareils, prendra 6 à 7 ans. D'ici là, le Tejas Mk-2 pourrait également être prêt à être mis en service. C'est peut-être la raison de l'indécision du gouvernement", a déclaré le fonctionnaire. L'IAF, qui suit la politique "Make in India" du gouvernement indien, a déjà exprimé son intention de commander 90 avions de combat légers Mk1 supplémentaires. Le Rafale répond aux besoins urgents de l'IAF L'IAF a un besoin urgent de 114 MRFA pour conserver un avantage compétitif. Le Rafale présente l'avantage d'être déjà utilisé par l'armée de l'air du pays et d'être bientôt mis en service par la marine. Les experts y voient également un avantage, mais les responsables de l'IAF ne considèrent pas cette décision comme acquise, car les ASQR ont été redéfinis. La formulation des ASQR est l'étape la plus cruciale dans l'acquisition de matériel de défense, car elle détermine la qualité, le prix et la concurrence. "La compétition pour le MMRCA a été un processus minutieusement mené. Il nous a fallu des années pour examiner chaque candidat. Pour le MRFA, qui n'est qu'un nom différent pour le contrat, je ne peux que m'attendre à ce que le "Make in India" soit le facteur décisif", a déclaré à l'EurAsian Times le maréchal de l'air (retraité) M. Matheswaran, qui avait supervisé l'appel d'offres MMRCA pour l'IAF avant de prendre sa retraite. En août 2000, l'IAF avait proposé d'acquérir 126 Mirage 2000 II. La proposition a été rejetée en 2004, et en 2007, la décision a été prise d'acheter 126 jets dans le cadre du MMRCA. Pour le Rafale, l'affaire reste en suspens Le Rafale, avion bimoteur multirôle, peut mener des combats aériens ou larguer des bombes sur des cibles dans le cadre de missions air-sol. Grâce à ses caméras, ses radars et ses capteurs, il peut être utilisé pour la collecte de renseignements. Le développement de l'avion a pris beaucoup de temps. Le démonstrateur a volé le 4 juillet 1986. Le programme a été officiellement lancé en janvier 1988, le prototype a pris l'air le 19 mai 1991 et le premier Rafale F1 a été livré à la marine française dix ans plus tard, le 18 mai 2001. Depuis, la France a déployé cet avion de combat en Afghanistan, en Libye, en Irak, en Syrie et au Mali, où il a effectué sa mission la plus longue en 2013, d'une durée de neuf heures et 35 minutes. L'expérience du Rafale en matière de combat a été décrite dans un rapport antérieur de l'EurAsian Times. En Afghanistan, en Libye, au Mali, en Irak et en Syrie, les avions à réaction Rafale ont surclassé leurs ennemis partout et n'ont jamais été abattus. L'avionneur, Dassault Aviation, affirme que le Rafale peut remplir "la plus large gamme de rôles" avec le plus petit nombre d'avions. Il peut transporter des missiles air-air à longue portée Meteor, des missiles air-air à portée de vue (BVRAAM) MICA, des missiles à longue portée SCALP, des missiles antinavires AM39 Exocet, des bombes guidées par laser et des bombes classiques. Le Rafale participe aux missions permanentes d'alerte de réaction rapide (QRA), de défense aérienne, de police du ciel, de dissuasion nucléaire, de projection de puissance et de déploiement pour des missions extérieures, de frappe dans la profondeur, d'appui aérien des forces terrestres, de reconnaissance et d'entraînement des pilotes. Il existe trois variantes : le Rafale C monoplace pour l'armée de l'air, le Rafale B biplace d'entraînement pour l'armée de l'air et le Rafale M monoplace pour la marine. Les Rafale B et C sont entrés en service dans l'armée de l'air française en juin 2006, lorsque le premier escadron a été constitué. La société a reçu le contrat de développement de l'avion standard Rafale F4 en janvier 2019. La validation du dernier standard est prévue pour 2024. Mais pour remporter le marché de la MRFA, la major française de l'aérospatiale devra aller plus loin et proposer de "fabriquer en Inde", et il reste à voir quel transfert de technologie Dassault Aviation peut offrir. Il est indéniable que le marché français des avions de combat étant saturé, l'Inde représente un marché important. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) le 6 novembre 2023 Share Posté(e) le 6 novembre 2023 Le 01/11/2023 à 02:23, jojo (lo savoyârd) a dit : Allez, un coup de mains ... Ben au total il va falloir donc produire à minima 613 Rafale de tous types Ok c’était très mal formulé 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) le 6 novembre 2023 Share Posté(e) le 6 novembre 2023 (modifié) Le 01/11/2023 à 14:06, Patrick a dit : Soit si les 26 indiens se font, encore 118 92 avions à commander. C'est amplement faisable. Merci. As-tu compté les prototypes là-dedans ? Les C01 M01 et tutti quanti… Modifié le 6 novembre 2023 par Teenytoon Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 6 novembre 2023 Share Posté(e) le 6 novembre 2023 il y a 2 minutes, Teenytoon a dit : Merci. As-tu compté les prototypes là-dedans ? Les C01 M01 et tutti quanti… Non. Si tu veux tu peux donc rajouter 5 avions à la liste. Après je ne sais pas si compter les protos comme l'a fait @jojo (lo savoyârd) est si utile que cela. Mais bon pourquoi pas. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 6 novembre 2023 Share Posté(e) le 6 novembre 2023 il y a 1 minute, Patrick a dit : Non. Si tu veux tu peux donc rajouter 5 avions à la liste. Après je ne sais pas si compter les protos comme l'a fait @jojo (lo savoyârd) est si utile que cela. Mais bon pourquoi pas. C'est une bonne question. Après tout dépend si l'on veut parler des productions totales ou du total des ventes aux opérateurs ... Mais si l'on focalise toutes les données globales en détail, on obtient les 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 6 novembre 2023 Share Posté(e) le 6 novembre 2023 il y a 16 minutes, jojo (lo savoyârd) a dit : C'est une bonne question. Après tout dépend si l'on veut parler des productions totales ou du total des ventes aux opérateurs ... Mais si l'on focalise toutes les données globales en détail, on obtient les 2 J'aurais plutôt tendance à penser qu'il faut justement exclure les prototypes et avions de pré-série de la notion de "production", mais ça peut mener aussi mener à des aberrations dans le cas où des avions de presque pré-série à un standard initial pauvre en capacités mais déjà bien déverminés se retrouvent au service actif (Rafale M F1) ou bien quand des avions de série ne sont pas destinés à combattre (cas des bancs d'essais volants). Donc ta solution en vaut une autre. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Teenytoon Posté(e) le 6 novembre 2023 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 6 novembre 2023 Et puis, si on vire tous les avions de préséries, il n’y a toujours aucun F 35 de produit 11 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 6 novembre 2023 Share Posté(e) le 6 novembre 2023 (modifié) Il y a 1 heure, Teenytoon a dit : Et puis, si on vire tous les avions de préséries, il n’y a toujours aucun F 35 de produit Alors que les 10 pré série du Rafale ont été "produit" quand on les a passés au standard 3. Modifié le 6 novembre 2023 par Picdelamirand-oil 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 6 novembre 2023 Share Posté(e) le 6 novembre 2023 Random Radio a sorti ça : Picdel et moi en avons discuté, l'AMCA en tant que DT pour le SCAF avec l'Inde en tant que partenaire majeur. Le seul problème est que nous ne disposons pas d'autant d'argent. Nous ne pouvons pas nous permettre de payer les niveaux occidentaux de R&D ni de verser des salaires équivalents, ce qui pourrait provoquer de graves désaccords entre les employés, au point d'entraîner un risque de sécurité important. L'industrie n'acceptera pas non plus de partager le travail alors que l'objectif de l'AMCA est l'autosuffisance. Le mieux que nous puissions faire est de devenir un partenaire à hauteur de 10 ou 20 %, mais nous n'en tirerons pas grand-chose. La majeure partie de la R&D de base coûteuse sera toujours effectuée par la France, et le partage des tâches de production impliquera toujours des importations, la France refusant comme d'habitude d'accorder la maîtrise d'œuvre des technologies de base. Une meilleure option est d'importer 2 à 6 escadrons en fonction des besoins après le développement, et ils offriront le même niveau de ToT qu'une JV au cas où nous voudrions 6 escadrons. Quoi qu'il en soit, l'IAF est tout à fait favorable à une autosuffisance à 100 % à partir de maintenant. Seul le marché IN est négociable. Si ADA ne parvient pas à développer un jet naval de nouvelle génération, nous serons obligés d'importer le SCAF. Ou bien l'IN pourrait entrer dans une JV en tant que petit partenaire, ce qui est plus justifié. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Picdelamirand-oil Posté(e) le 6 novembre 2023 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 6 novembre 2023 20% pour l'Inde, 20% pour l'Espagne et 60% pour la France : ça parait un partage plus raisonnable que celui qu'on a obtenu non? 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 6 novembre 2023 Share Posté(e) le 6 novembre 2023 il y a 24 minutes, Picdelamirand-oil a dit : 20% pour l'Inde, 20% pour l'Espagne et 60% pour la France : ça parait un partage plus raisonnable que celui qu'on a obtenu non? Où est-ce qu'on signe ... ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 6 novembre 2023 Share Posté(e) le 6 novembre 2023 il y a une heure, Picdelamirand-oil a dit : La majeure partie de la R&D de base coûteuse sera toujours effectuée par la France, et le partage des tâches de production impliquera toujours des importations, la France refusant comme d'habitude d'accorder la maîtrise d'œuvre des technologies de base. Ce raisonnement d'aujourd'hui, la FRANCE aurait pu l'avoir dans les années 50 / 60. Et alors la France n'aurait pas développé le Super-Frelon = à partir de technos US, après avoir fabriqué sous licence des H55 et H-58 de Sikorsky. La France est devenu alors un acteur majeur en matière d'Hélicoptères Idem la Grande-Bretagne et l'Italie ! qui ont acquis aussi leur autonomie Ce que nous semblent pas vouloir comprendre les Indiens: c'est qu' "il faut y aller" pour les avions de combat ! Même si ils l'ont fait pour les hélicos ( avec HAL : mauvais calcul ) Et ce que les Allemands buttés ne veulent pas admettre : c'est en achetant et en fabriquant des Rafales qu'ils pourraient un jour espérer devenir un peu meilleurs en matière de fabrication, puis de conception, R&D d'avions de combat ( Mon Dassault-Deutchland GMBH, Joint-Venture sous contrôle mini de DA, déjà évoqué sur le fil SCAF )...Et qu'ils auraient eu un meilleurs accès à la techno du NGF ... Or Airbus D&S ( on va voir ce qu'ils sortent comme SATOC Strategic Air Transport for Outsized Cargo ) Les allemands auraient pu le faire depuis le choix Mirage III / F-104 ( qu'ont ils appris du F-104 ? ils ont très mal géré ? Qu'ont il appris avec le Tornado ? avec l' EF ? ) ... Puis en suivant la lignée DA ... Vraiment l'histoire ne leur a rien appris ou si peu ! Mrs les INDIENS : faites mieux que les allemands ! Faites confiance à DRAL 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 6 novembre 2023 Share Posté(e) le 6 novembre 2023 @Picdelamirand-oil Random Radio c'est une radio en ligne ? Je trouve rien sur le net ... en tout cas rien qui soit Indien 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 6 novembre 2023 Share Posté(e) le 6 novembre 2023 il y a 9 minutes, Titus K a dit : @Picdelamirand-oil Random Radio c'est une radio en ligne ? Je trouve rien sur le net ... en tout cas rien qui soit Indien https://www.strategicfront.org/forums/threads/future-combat-air-system-fcas-france-germany.1511/post-262739 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 6 novembre 2023 Share Posté(e) le 6 novembre 2023 il y a 2 minutes, Picdelamirand-oil a dit : https://www.strategicfront.org/forums/threads/future-combat-air-system-fcas-france-germany.1511/post-262739 Ah oui pas une radio du coup Tu mène un véritable combat las-bas avec @herciv dis donc ! Bel effort ! (Pas très sympa l'australien qui s'appelle "Optimist" en tout cas ) 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 6 novembre 2023 Share Posté(e) le 6 novembre 2023 il y a 2 minutes, Titus K a dit : (Pas très sympa l'australien qui s'appelle "Optimist" en tout cas ) ... Peut-être parce qu'il l'est un peu trop 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pakal Posté(e) le 7 novembre 2023 Share Posté(e) le 7 novembre 2023 Il y a 19 heures, Titus K a dit : (Pas très sympa l'australien qui s'appelle "Optimist" en tout cas ) Il sévit aussi sur F16.net 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 7 novembre 2023 Share Posté(e) le 7 novembre 2023 il y a 6 minutes, Pakal a dit : Il sévit aussi sur F16.net Un véritable écosystème les forums de Defence dis donc ! Ca mériterait presque une étude 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
glitter Posté(e) le 7 novembre 2023 Share Posté(e) le 7 novembre 2023 Il y a 6 heures, Titus K a dit : Un véritable écosystème les forums de Defence dis donc ! Ca mériterait presque une étude Il y avait un sujet dédié, mais disparu depuis peu. Défendre le Rafale en 1998, il fallait avoir le coeur accroché. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Picdelamirand-oil Posté(e) le 9 novembre 2023 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 9 novembre 2023 For the Indian Armed Forces, the Era of Moscow-Supplied Platforms and Assets Is Ending Pour les forces armées indiennes, l'ère des plates-formes et des équipements fournis par Moscou touche à sa fin L'industrie militaire russe, autrefois gargantuesque, a presque à elle seule armé l'armée indienne depuis les années 1960, notamment en ce qui concerne ses besoins aériens.Rahul Bedi Chandigarh : Le retrait progressif, la semaine dernière, de deux types d'avions militaires russes de l'inventaire des forces armées indiennes annonce définitivement la fin de l'époque où les plateformes de combat, de surveillance et de transport à voilure fixe fournies par Moscou, ainsi que les appareils à voilure tournante, monopolisaient les catalogues des trois armées du pays. Le 31 octobre, l'armée de l'air indienne (IAF) a retiré de la circulation l'un de ses trois derniers escadrons de chasseurs MiG-21 "Bison" modernisés, le même jour que la marine indienne (IN) a mis hors service, après 44 ans, le dernier de ses cinq avions de patrouille maritime à long rayon d'action Ilyushin IL-38 Sea Dragon datant de la même époque. L'IAF a également pour objectif, d'ici 2025, de mettre hors service ses deux derniers escadrons de MiG-21 "Bison", soit une quarantaine d'avions de combat, qui ont tous été exploités de manière imaginative par trois générations de pilotes de chasse. Les MiG-21 seront bientôt remplacés par l'avion de combat léger indigène Tejas (LCA), tandis que les IL-38 ont déjà deux remplaçants en place : 12 plateformes maritimes multimission à long rayon d'action Boeing P-8I Neptune et 26 Dornier Do-228 à turbopropulseurs d'origine allemande, construits sous licence par Hindustan Aeronautics Limited (HAL) à Bangalore avec des moteurs remis à neuf, des hélices en composite, une avionique avancée et un cockpit en verre. Douze autres variantes maritimes du Do-228 étaient actuellement commandées à HAL par l'IN. "Il est désormais peu probable que l'Inde acquière d'autres avions militaires russes", a déclaré un ancien pilote de chasse trois étoiles de l'IAF. Il a ajouté qu'outre les handicaps intrinsèques que constituent la faible capacité d'entretien et les problèmes de maintenance paralysants, la fiabilité précédemment douteuse de Moscou en matière de soutien après-vente, y compris les pièces détachées, pour ses plateformes aériennes en service s'était maintenant "multipliée de manière exponentielle" à la suite des sanctions imposées par les États-Unis pour l'invasion de l'Ukraine. Un échantillon représentatif d'officiers militaires en activité et à la retraite a convenu que "l'âge d'or" des plateformes militaires aériennes soviétiques/russes, qui a commencé en 1963 avec l'introduction des chasseurs monomoteurs et monoplaces MiG-21FL "Fishbed" dans l'IAF, et qui a été complété par la suite par une vaste panoplie d'autres plateformes, touchait enfin à sa fin. Le complexe industriel de défense russe lui-même, pour la première fois depuis l'imposition de sanctions il y a 21 mois, a exprimé publiquement son incapacité à continuer à livrer du matériel à ses nombreux clients, dont l'Inde, car il devait "donner la priorité" à la production militaire nationale pour répondre aux besoins nationaux. Ce message non formulé signalait l'urgence pour les fabricants d'armes russes de garantir la fourniture ininterrompue d'équipements aux forces armées russes afin qu'elles puissent poursuivre leur campagne ukrainienne, qui se trouve dans l'impasse. Dans un communiqué de presse daté du 19 octobre, Rosoboronexport, la principale société par actions russe d'exportation d'armes, a admis qu'elle était actuellement confrontée à des "défis urgents". Par conséquent, contrairement au passé qui se concentrait principalement sur l'exportation d'équipements, Rosoboronexport a proposé à ses partenaires étrangers potentiels d'autres formats de coopération centrés sur les partenariats technologiques. Les responsables militaires et de la planification de la défense à New Delhi ont interprété cet aveu comme le signe du déclin précipité de l'industrie militaire russe, autrefois gargantuesque, qui, presque à elle seule, a armé l'armée indienne depuis les années 1960, notamment en ce qui concerne ses besoins aériens. La flotte de transport de l'IAF, par exemple, dominée auparavant par les Antonov An-32 et les Ilyushin Il-76, a subi une importante transformation avec l'arrivée de 11 Boeing C-17 Globemaster III et de 12 Lockheed Martin C-130J-30. Cinquante-six autres avions de transport moyen C295 MW d'Airbus Defence and Space ont été mis en service pour remplacer l'ancienne flotte Avro-748M de l'IAF, 16 d'entre eux ayant été acquis en état de vol et 40 ayant été fabriqués dans une installation récemment inaugurée à Vadodara, par le biais d'un transfert de technologie. Bien qu'une centaine d'An-32 soient toujours en service dans l'IAF, leur modernisation de 400 millions de dollars, convenue avec l'Ukraine en 2008, est suspendue après qu'une soixantaine d'entre eux ont été réaménagés. Début 2019, l'IAF a commencé à remplacer sa flotte décroissante de 8 à 10 hélicoptères d'attaque Mil Mi-25/35 par 22 équivalents Boeing AH-64E Apache, acquis aux côtés de 15 hélicoptères de transport lourd Boeing CH-47F Chinook. Ces deux appareils rotatifs ont été présélectionnés après avoir battu des plates-formes russes comparables lors d'essais en conditions réelles d'utilisation. L'armée indienne devrait elle aussi prendre livraison, début 2024, du premier des six Apaches qu'elle s'était engagée à acquérir en 2020 pour un montant d'environ 500 millions de dollars. "Les liens de défense que l'Inde entretient depuis des décennies avec Moscou ont atteint un plateau et sont désormais en déclin, en particulier en ce qui concerne les avions militaires", a déclaré Amit Cowshish, ancien conseiller du ministère de la défense en matière d'acquisitions. La route du matériel pour l'Inde, a-t-il ajouté, mène désormais fortuitement aux fournisseurs occidentaux et à l'atmanirbharta (autonomie) pour développer des systèmes d'armes et des plates-formes en interne, ou à un mélange pratique des deux, souligné par des transferts de technologie. Cela étant dit, Moscou tire sans doute un réconfort commercial du fait qu'environ 60 % de l'ensemble du matériel militaire indien en service est d'origine russe, même si les importations de matériel de Delhi en provenance de Russie entre 2017 et 2022 ont chuté de 62 % à 45 %, selon l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm. Mais l'IAF, l'IN et, dans une large mesure, même l'IA restent fortement tributaires de Moscou pour assurer le soutien technique de leur flotte d'avions et d'hélicoptères russes, qui devraient rester en service pendant au moins deux décennies, voire plus. Les plus importants d'entre eux sont les quelque 260 chasseurs bimoteurs multirôles Sukhoi Su-30MKI (Inde) de l'IAF et quelque 65 avions de combat de supériorité aérienne MiG-29UPG modernisés, qui constituent actuellement le "bras armé" des escadrons de combat de l'IAF. En septembre, le ministère de la défense a approuvé, après de longues délibérations, l'achat de 12 Su-30MKI construits par HAL en remplacement d'un nombre équivalent d'appareils perdus au fil des ans à la suite d'accidents. Entre-temps, une évaluation rapide de la réduction constante des plateformes militaires aériennes d'origine russe par l'IAF et l'IN, en particulier, est instructive. En 2006, l'IAF a retiré de la circulation son légendaire intercepteur supersonique et plateforme de reconnaissance MiG-25 "Foxbat" datant de la guerre froide, surnommé Garuda d'après la créature mythologique des écritures hindoues, dont les activités supposées étaient aussi mystérieuses et énigmatiques que celles de cet avion. Par la suite, en mars 2007, elle a retiré du service quelque 120 chasseurs MiG23MF/BN "Flogger", variante de défense aérienne et d'attaque au sol, baptisés Bahadur par HAL. Douze ans plus tard, fin 2019, elle a retiré du service ses derniers avions de combat à voilure tournante MiG-27 ML modernisés, dont quelque 165 exemplaires ont été construits sous licence par HAL. À peu près au même moment, l'Inde a fait ses adieux, après 29 ans, à huit de ses quadrimoteurs Tupolev-142MK-E, probablement l'un des meilleurs avions de reconnaissance maritime et de lutte anti-sous-marine des années de la guerre froide. En outre, l'Inde a également contourné la Russie lors de récents contrats d'aéronefs, le ministère de la défense ayant plus ou moins abandonné l'appel d'offres de plus de 1,2 milliard de dollars lancé en 2014 pour 200 hélicoptères utilitaires légers russes Kamov Ka-226T "Hoodlum". Parmi ceux-ci, 135 étaient destinés au Army Aviation Corps et 65 à l'IAF, mais après des années de négociations, le contrat s'est enlisé dans une myriade de complications insolubles concernant le transfert de technologie à HAL et le coût global, et a été abandonné. L'IAF a également évité la Russie en modernisant 84 de ses Su-30MKI aux normes "Super Sukhoi", dans sa première tranche de modernisation, en améliorant leurs performances opérationnelles globales, afin de les maintenir en service jusqu'en 2045-50. Les négociations pour la modernisation des Su-30MKI par HAL et un consortium de fournisseurs locaux, qui comprend la mise à niveau de 51 des systèmes opérationnels, offensifs, de surveillance et de détection des chasseurs, mais pas de leurs moteurs Al-31F, ont été entamées avec les sociétés russes United Aircraft Corporation (UAC) et Sukhoi Corporation en 2011, mais elles se sont poursuivies pendant des années, avant d'être récemment abandonnées. Autre indicateur révélateur de la désillusion de l'IAF à l'égard des avions militaires russes : son "manque d'enthousiasme" et son "désintérêt" pour l'évaluation de l'offre de MiG-35 "Fulcrum-F" et de Su-35 "Flanker-E" faite par UAC et Sukhoi Corporation dans le cadre de son projet d'acquisition de 114 avions de combat multirôles (MRFA). Les deux constructeurs russes, ainsi que cinq autres équipementiers étrangers, ont répondu à la demande d'information d'avril 2018 de l'IAF concernant l'achat prévu d'avions de combat multirôles pour renforcer le nombre d'escadrons de chasse, qui a chuté à environ 29-30 par rapport à l'effectif autorisé de 42 escadrons. De hauts responsables de l'IAF et de l'industrie auraient estimé que, pour diverses considérations opérationnelles, de disponibilité et de durabilité, l'évaluation des deux types de chasseurs russes à forte consommation de carburant en vue d'une éventuelle acquisition était "irrationnelle et irréalisable", ce qui excluait catégoriquement le rôle de Moscou dans le cadre de ce contrat lucratif. Les autres OEM ayant répondu à la demande d'offre de l'IAF pour le MRFA comprenaient les Français Dassault (Rafale) et Eurofighter (Typhoon), le Suédois Saab (Gripen-E) et les Américains Boeing et Lockheed Martin (F/A-18 et F-21 modernisé). À l'inverse, l'Inde est elle aussi en train de renoncer à l'intégration de chasseurs russes dans l'armement aérien de combat de son nouveau porte-avions. Actuellement, des négociations avancées sont en cours pour acquérir 26 chasseurs français Rafale (Marine) pour l'INS Vikrant, au lieu des MiG-29K/KUB russes supplémentaires, qui se sont tous révélés inefficaces sur le plan opérationnel et extrêmement problématiques depuis leur mise en service à partir de 2009. L'IN a acquis 45 MiG-29K/KUB bimoteurs entre 2004 et 2010 pour un montant de 2,29 milliards de dollars, mais en exploite actuellement une quarantaine, dont près de la moitié serait en réserve en raison de leurs performances médiocres et de leur incapacité à transporter leur charge utile d'armement jusqu'à leur rayon d'action déclaré, avec une pleine charge de carburant. Une analyse accablante du contrôleur et auditeur général en 2016 avait mis au rebut les MiG-29K, dont la disponibilité opérationnelle entre 2014 et 2016, a-t-il révélé, a fluctué entre 15,93% et 37,63%, tandis que celle des avions d'entraînement biplace MiG-29KUB a oscillé entre 21,2% et 47,14%. De manière révélatrice, l'IN aurait également interrompu les négociations avec la Russie en vue d'acquérir 10 hélicoptères Kamov Ka-31 "Helix" supplémentaires de détection précoce aéroportée (AEW&C) pour 520 millions de dollars, approuvés par le MoD en mai 2019, pour un déploiement à bord du Vikrant, en raison de l'incertitude des approvisionnements liée aux sanctions et aux mécanismes de paiement noueux qui en découlent. Ces 10 Ka-31 auraient dû compléter 10 à 12 plateformes similaires en service au sein de l'IN depuis 2003, qui avaient toutes besoin d'être modernisées, ce qui était également menacé par les sanctions imposées à la Russie. Entre-temps, l'IN a acquis 24 hélicoptères multirôles Lockheed Martin/Sikorsky MH-60R dans le cadre d'un accord de 2,6 milliards de dollars conclu au début de l'année 2020, dont les livraisons se poursuivent, ce qui dilue encore davantage les actifs russes à voilure tournante de la marine, qui étaient autrefois prodigieux. En conclusion, la druzhba ou amitié de Delhi avec Moscou, qui a soutenu un commerce militaire bilatéral prodigieux entre les deux, d'une valeur de plus de 70 milliards de dollars, semble avoir fait long feu sur l'autel des nouvelles configurations géopolitiques émergentes, englobant une Russie assiégée cimentant des liens stratégiques, politiques, diplomatiques, économiques et, à terme, même militaires étroits avec l'ennemi redouté de l'Inde qu'est Pékin. 10 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Picdelamirand-oil Posté(e) le 9 novembre 2023 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 9 novembre 2023 (modifié) Si vous cherchez une logique dans le concours MRFA, je suis désolé de vous le dire... mais vous n'en trouverez aucune. Ce qui a commencé comme une proposition pour une ligne de production de Mirage 2000 en Inde (début des années 2000) s'est transformé en un spectacle de cirque avec de multiples numéros (le concours MMRCA, le concours SE (Single Engine) et maintenant le concours MRFA). Depuis plus de deux décennies, beaucoup de choses ont changé. La production sous licence de 126 Mirage 2000 a été proposée pour remplacer l'importante flotte vieillissante de MiG-21 de l'IAF. Cette proposition ne s'est jamais concrétisée et d'innombrables vies ont été perdues en utilisant des appareils qui n'étaient pas idéaux. La seule lueur d'espoir dans cette sordide saga est que le Tejas Mk1A devrait prendre la relève de l'importante flotte de MiG-21 (aujourd'hui presque à la retraite) en deux tranches - 83 cellules (confirmées) et 97 cellules supplémentaires (prévues). L'état-major de l'armée de l'air s'est également rendu compte que la production sous licence d'un avion de combat étranger est semée d'embûches - budgétaires, politiques, techniques et même géopolitiques - qui doivent être surmontées. C'est plus facile à dire qu'à faire dans le monde politique agité de l'Inde moderne. De multiples agendas sont défendus par diverses factions, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du pays. Ce qui était initialement conçu pour remédier à la grave pénurie d'escadrons s'est transformé en un concours qui exige de l'IAF qu'elle acquière un avion de combat capable de l'emporter sur ce que la PLAAF est en train de mettre en service. Cela augmente considérablement le coût et la complexité de l'ensemble de l'opération, tout en obligeant le QG de l'armée de l'air à réduire le nombre d'appareils qui seront finalement acquis. L'IAF veut un bimoteur, un avion LO capable d'entrer en premier, d'effectuer des frappes de précision et doté d'un haut degré de survivabilité. Avec la coentreprise Safran-GTRE pour un turbofan de 110kN + le contrat du Rafale M pour la marine indienne, je pense que c'est le Rafale qui va encore gagner. Modifié le 9 novembre 2023 par Picdelamirand-oil 1 2 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Picdelamirand-oil Posté(e) le 9 novembre 2023 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 9 novembre 2023 (modifié) Le Rafale est le choix plus logique, tout le monde le sait, y compris les responsables de l'IAF et du ministère de la défense. En outre, la ligne de pensée ---> "42 escadrons sont nécessaires pour un spectre complet d'opérations..." va bientôt changer avec les avions sans pilote/drones qui prendront en charge de nombreux rôles de frappe dangereux. Ce qui était insurmontable pour l'Inde est désormais réalisable. Cela deviendra une nécessité lorsque la PLAAF (et même la PAF) commencera à adopter cette capacité dans ses propres flottes. Et la nécessité est la mère de l'invention. Dans un avenir prévisible, l'IAF comptera environ 35 escadrons "habités" et une flotte importante d'aéronefs/drones sans pilote. Le ministère de la défense a demandé à l'IAF de faire évoluer sa doctrine autour d'une force de 35 escadrons de chasse, ce qui est réalisable d'ici 2030. L'ancien chef d'état-major de la défense de l'Inde avait recommandé l'achat de Rafale par lots, c'est-à-dire 36+36+36 répartis entre 2020 et 2030, chaque lot étant accompagné d'améliorations progressives, comme la commande de 36 Rafale F3R en 2016, de 36 F4.2 en 2023 et de 36 F5 en 2028. Modifié le 9 novembre 2023 par Picdelamirand-oil 2 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 9 novembre 2023 Share Posté(e) le 9 novembre 2023 ... À la marge : et "on dit" que les sanctions économiques infligées à la Russie n'ont pas d'effet ! 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 9 novembre 2023 Share Posté(e) le 9 novembre 2023 il y a une heure, Picdelamirand-oil a dit : L'ancien chef d'état-major de la défense de l'Inde avait recommandé l'achat de Rafale par lots, c'est-à-dire 36+36+36 répartis entre 2020 et 2030, chaque lot étant accompagné d'améliorations progressives, comme la commande de 36 Rafale F3R en 2016, de 36 F4.2 en 2023 et de 36 F5 en 2028. Alors que s'ils les commandaient tous d'un coup, en sus des 26 M qui s'accompagneront sans doute de 26 autres, ils pourraient, du haut d'une commande globale de 150 Rafale en plus de leurs 36, revendiquer une unité de production et maintenance à Nagpur chez DRAL (ou DAIL si Dassault reprend le truc) qui leur assurerait que le "make in India" soit une réalité... Ouvrant même la possibilité d'aller à bien plus que 150 Rafale, quand il faudra remplacer les Mig 29 et les Mirage 2000... Le pire c'est que Dassault sont prêts à signer sur cette base, Trappier l'a dit: "j'ai besoin d'une commande de 100 Rafale pour les faire en Inde". De plus les Rafale indiens ont été livrés à un standard bien supérieur à F3, équivalent à F4 sur certains points, et clairement F4.2-ready, voire F5-ready. Tout ça pour ne pas froisser l'éléphant blanc HAL... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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